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5 millions d’entrées pour «Intouchables»
Cinéma: 5 millions d’entrées pour «Intouchables»
Alain GRASSET | Publié le 14.11.2011, 17h52
"Intouchables", avec François Cluzet et Omar Sy, franchira ce lundi soir le cap des 5 millions d'entrées
Mais où donc s’arrêtera «Intouchables» ?... Dimanche soir, 4 804 618 spectateurs en France avaient vu la comédie d’Eric Tolédano et Olivier Nakache avec François Cluzet et Omar Sy pour interprètes principaux.
Ce soir, le film distribué par la Gaumont dans une combinaison de 608 salles va dépasser lors de ses dernières séances le cap des 5 millions d’entrées alors qu’il n’a même pas achevé sa deuxième semaine d’explotation. Le succès phénoménal du film est tel que «Intouchables» a doublé durant le week-end, le «Tintin» de Steven Spielberg, qui totalise 4 689 074 spectateurs après bientôt trois semaines d’exploitation. Mieux encore, «Intouchables» fait un score largement supérieur à celui qu’il avait enregistré lors de sa première semaine. Il cumule 2 599 186 entrées dans l’Hexagone entre mercredi dernier et dimanche soir, avec une journée du 11 novembre à plus de 600 000 entrées contre 2 205 432 lors de sa première semaine d’explotation.Sur cette base de 5 millions d’entrées, et compte-tenu des énormes files d’attente devant les salles de cinéma ce week-end ( beaucoup de candidats-spectateurs à Paris et dans les grandes villes de province n’ont pas pu rentrer faute de places disponibles), et d’un bouche à oreille qui lui est extrêmement favorable, «Intouchables» va rapidement détrôner «Rien à déclarer» la comédie de et avec Dany Boon et Benoît Poelvoorde, 8 135 000 entrées en février dernier, en tête du box-office de l’année 2011. Quel sera le résultat de «Intouchables» en fin de carrière ?... Les experts de la fréquentation cinématographique avouent qu’ils leur est difficile de savoir à combien il se situera. Ce qui semble à peu près certain, c’est que les 10 millions de spectateurs sont désormais envisageables. Mais Eric Tolédano, Olivier Nakache, François Cluzet et Omar Sy, peuvent rêver à beaucoup plus...
Le Parisien
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