• Au coude à coude

    Publié le : Vendredi 12 Décembre 2014 - 18:22
    Dernière mise à jour : Vendredi 12 Décembre 2014 - 19:51

    Présidentielle de 2017: Nicolas Sarkozy

    favori des sympathisants de droite

    et Alain Juppé de l'ensemble des Français

    La lutte semble serrée entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy pour savoir qui sera le candidat de la droite en 2017. Si l'on en croit un sondage récemment paru, les deux hommes se talonnent.
     
    Le duel annoncé entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy est déjà lancé. ©Christophe Ena/AP/Sipa
     

    Selon un sondage Ifop pour Atlantico paru ce vendredi, Nicolas Sarkozy serait le candidat préféré de sympathisants UMP et UDI à droite pour la présidentielle de 2017, alors que sur l'ensemble des Français, la préférence se porte sur Alain Juppé. Le sondage a été effectué entre le 5 et le 11 décembre, auprès de 1.674 personnes, interrogées en ligne, selon la méthode des quotas.

    Ainsi à la question: "parmi les personnalités suivantes, laquelle souhaiteriez-vous voir représenter l'UMP en 2017?", 45% des sympathisants UMP et UDI répondent Nicolas Sarkozy (53% pour les seuls sympathisants UMP), contre 36% pour Alain Juppé (31% pour les sympathisants UMP). Cependant si on interroge l'ensemble des Français, c'est le maire de Bordeaux qui arrive premier (31%), devant le nouveau président de l'UMP (20%).

    Bruno Le Maire, avec son bon score obtenu lors de l'élection du président de l'UMP fin novembre (environ 29% des voix), est plébiscité par 11% des sympathisants de droite et 8% des UMP seuls (12% de l'ensemble des Français).

    Les deux autres candidats déclarés à la primaire de l'UMP pour la présidentielle de 2017 (en plus d'Alain Juppé, Nicolas Sarkozy ne l'ayant pas encore officiellement annoncé), font 4% pour François Fillon et 2% pour Xavier Bertrand, auprès des sympathisants de droite ou des seuls UMP. L'ancien Premier ministre recueille 5% auprès de l'ensemble des Français, et l'ancien ministre de l'Economie également 2%.

    A noter que 30% des sondés ne souhaitent voir se présenter "aucune de ces personnalités".

     

     

    Auteur : La rédaction de FranceSoir.fr


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  • Poursuites contre Sarkozy :

    un enregistrement gênant

    pour Jouyet et Fillon

     

    Publié le 08.11.2014, 12h13 | Mise à jour : 16h14   lien 

     
    Novembre 2008. Jean-Pierre Jouyet (à gauche), alors ministre de François Fillon, Premier ministre de Nicolas Sarkozy.  

    Novembre 2008. Jean-Pierre Jouyet (à gauche), alors ministre de

    François Fillon, Premier ministre de Nicolas Sarkozy. 

      | AFP/GERARD CERLES

     
    François Fillon a-t-il demandé au pouvoir d'accélérer les poursuites contre Nicolas Sarkozy ? Les journalistes du «Monde», auteurs du livre «Sarko s'est tuer» (Stock), l'assurent une nouvelle fois ce samedi, évoquant un enregistrement qui pourrait plonger Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général de l'Elysée, dans l'embarras. <btn_noimpr> </btn_noimpr>Ce à quoi l'ancien Premier ministre, qui dément en bloc, a décidé de répondre en portant plainte pour diffamation, selon BFM TV

    Dans leur livre, Gérard Davet et Fabrice Lhomme assurent que François Fillon aurait demandé à Jean-Pierre Jouyet, lors d'un déjeuner près de l'Elysée le 24 juin, de faire pression pour accélérer le 
    cours judiciaire des affaires visant Nicolas Sarkozy. Si le secrétaire général de l'Elysée a bien reconnu avoir déjeuné avec l'ancien Premier ministre, il avait démenti jeudi les propos prêtés à Fillon. «Nous avons parlé d'autre chose», «il ne m'a, bien entendu, pas demandé une quelconque intervention, démarche par ailleurs inimaginable», a-t-il déclaré.
     
     


    Problème pour ce proche de François Hollande et haut responsable de la présidence : les journalistes du «Monde» affirment cette fois avoir enregistré l'interview au cours de laquelle Jouyet leur a raconté la scène et en publient un verbatim plus complet.

    Fillon a «démenti formellement»

    Ils expliquent avoir demandé «au secrétaire général de l'Elysée de confirmer la teneur du déjeuner» dont ils avaient déjà été informés «par des sources fiables» et avoir tout enregistré «afin de restituer le plus fidèlement possible les propos échangés lors du repas du 24 juin 2014», tels que les aurait rapportés Jouyet quatre mois plus tard. «Ils ont ensuite pris soin de rappeler M. Jouyet» afin «de lui indiquer que ce déjeuner du 24 juin 2014 et son contenu seraient mentionnés».

    Dans leur livre, ils rapportent que Fillon a dénoncé auprès de Jouyet le fait que 
    l'UMP ait remboursé en 2013, à la place de l'ancien président de la République, les pénalités liées au dépassement du plafond des dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012. Le député UMP de Paris aurait lancé à celui qui fut son secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : «Jean-Pierre, c'est de l'abus de bien social, c'est une faute personnelle, l'UMP n'avait pas à payer» avant de lui demander de faire pression pour accélérer le cours judiciaire. «Mais tapez vite, tapez vite ! Jean-Pierre, tu as bien conscience que si vous ne tapez pas vite, vous allez le laisser revenir. Alors agissez!». Toujours selon les journalistes du «Monde», la présidence de la République a assuré n'y avoir «évidemment» donné aucun suite.

    Dès mercredi soir, François Fillon avait lui aussi «démenti formellement», assurant que Jouyet lui avait envoyé le SMS suivant : «M. le Premier ministre, croyez bien que je suis désolé de ces bruits de couloirs élyséens rapportés à des journalistes.» Ce samedi, il a décidé de porter plainte en diffamation contre les journalistes du «Monde». 

    Son ancien directeur adjoint de cabinet, présent au déjeuner du 24 juin, est également monté au créneau dans le courant de la journée, réfutant toute demande d'intervention auprès de Jean-Pierre Jouyet. Selon Antoine Gosset-Grainville, «jamais François Fillon n'a demandé ni même évoqué une quelconque intervention de l'Élysée». «Qui pourrait croire qu'un des dirigeants de l'opposition fasse une telle demande? Ce n'est pas imaginable», a-t-il martelé.

     

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    LeParisien.fr 


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  • Présidence de l'UMP : le Fillioniste Eric Ciotti choisit Nicolas Sarkozy

    <time datetime="2014-10-18T17:59:56Z" itemprop="datePublished">Publié à 17h59, le 18 octobre 2014</time><time datetime="2014-10-18T18:19:04Z" itemprop="dateModified">, Modifié à 18h19, le 18 octobre 2014</time>

    <figure>
    Présidence de l'UMP : le Fillioniste Eric Ciotti choisit Nicolas Sarkozy
    <figcaption>© MaxPPP</figcaption></figure>
    <figure>europe 1<figcaption>

    Par Gaétan Supertino

    </figcaption></figure>

    •  

    SOUTIEN - Dans Nice Matin, Eric Ciotti considère comme "tout à fait compatible" de soutenir Nicolas Sarkozy tout en "restant proche de François Fillon".

    Rester Fillioniste tout en soutenant Nicolas Sarkozy, c'est possible. Et ce malgré la rivalité opposant François Fillon à l'ancien chef d'Etat. Dans une interview à paraître dimanche dansNice Matin, Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et proche de l'ancien Premier ministre, annonce son ralliement à la candidature de Nicolas Sarkozy à la présidence de l'UMP, qui aura lieu fin novembre.

    >> LIRE AUSSI - Caméras-grues, truffes, champagne : le grand train du "Sarko tour"

    "Tout à fait compatible". Nicolas Sarkozy "est le meilleur et le plus expérimenté pour rassembler la famille UMP et préparer les futures primaires à droite", s'est justifié Eric Ciotti, selon des propos rapportés samedi sur le site du quotidien local. Il considère ainsi comme "tout à fait compatible" de soutenir Nicolas Sarkozy tout en restant proche de Fillon "qui n'est pas, lui, candidat à la présidence de l'UMP..."

    En juillet, Eric Ciotti, directeur de campagne de François Fillon en 2012, avait assuré dans le même journal qu'il soutiendrait François Fillon en 2017, lors de la course à la présidence de la République.

    Devedjian aussi. Cette annonce fait suite à celle du président des Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian, sur France 3. Fâché avec Nicolas Sarkozy depuis l'arrivée manquée de Jean Sarkozy à la tête de l'Epad, Patrick Devedjian a déclaré samedi : "Je vais voter pour Nicolas Sarkozy. L'état de l'UMP n'est pas glorieux, nous avons de graves difficultés (...). Je souhaite une réforme profonde l'UMP. Il faut beaucoup d'énergie pour être à la hauteur de ce que demandent les électeurs. Je pense que Nicolas Sarkozy est celui qui est capable de transformer l'UMP", déclare-t-il.

    Le premier tour de l'élection à la présidence de l'UMP aura lieu le 29 novembre. Nicolas Sarkozy sera opposé à Hervé Mariton et Bruno Le Maire, également candidats.


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  • <article><header>

    Présidentielle 2017 : Nicolas Sarkozy évoque l'organisation de "trois référendums"

    Le Point - Publié le <time datetime="2014-10-15T23:46" itemprop="datePublished" pubdate="">15/10/2014 à 23:46</time> - Modifié le <time datetime="2014-10-16T06:11" itemprop="dateModified">16/10/2014 à 06:11</time>lien 

    Ils porteraient sur la fusion des conseils généraux et régionaux, la diminution des parlementaires et des prestations sociales contre une activité minimum.

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Nicolas Sarkozy en meeting à Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire), le 15 octobre 2014.<figcaption>Nicolas Sarkozy en meeting à Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire), le 15 octobre 2014. © GUILLAUME SOUVANT / AFP</figcaption></figure>
     
     
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    Nicolas Sarkozy a évoqué mercredi soir en Touraine la campagne présidentielle de 2017 en avançant l'idée d'organiser après l'élection trois référendums, sur la fusion des conseils généraux et régionaux, sur la diminution du nombre de parlementaires, et une activité obligatoire en échange de prestations sociales.

    "Le problème de la crédibilité de la parole politique est posé. Donc, pour moi, c'est clair : j'ai proposé l'organisation de trois référendums pour que vous ayez à décider par vous-mêmes", a-t-il déclaré devant un gymnase de Saint-Cyr-sur-Loire (banlieue de Tours) bondé avec environ deux mille supporteurs conquis d'avance.

    "Je crois au référendum. Je crois que sur le service national (supprimé par le président Jacques Chirac, NDLR), on aurait été bien inspiré de poser la question par référendum", a-t-il lancé. "La fusion des conseils généraux et régionaux, c'est une question par référendum", a exposé Nicolas Sarkozy comme "première question".

    2017 dans le viseur

    En second lieu, le candidat à la présidence de l'UMP a ajouté : "La question du nombre de parlementaires est clairement posée." Comme troisième référendum, Nicolas Sarkozy a proposé, sous les applaudissements du public, que "les allocations sociales soient fournies en échange d'une activité minimum".

    "Ce serait une bonne idée que ces trois référendums soient organisés à l'occasion des législatives qui suivront l'élection présidentielle", a-t-il conclu.

    </article>

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  • Nicolas Sarkozy précise ses idées de référendum

    Le Monde.fr | <time datetime="2014-10-15T23:50:16+02:00" itemprop="datePublished">15.10.2014 à 23h50</time> |Par Matthieu Goar   lien

     
    <figure>Nicolas Sarkozy à Saint-Cyr-sur-Loire le 15 octobre.</figure>

    A la peine dans les sondages, Nicolas Sarkozy a tenu son cinquième meeting depuis son retour à la vie politique, mercredi 15 octobre, à Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire) devant environ 2 500 militants. « Heureusement qu'elle marche mal cette campagne... Sinon quelle salle j'aurais dû prendre ! », a ironisé l'ancien chef de l'État qui a visiblement peu apprécié les différents articles sur la dynamique enclenchée par Alain Juppé depuis la semaine dernière, l'un de sesrivaux à la primaire de 2017.

    Devant Nathalie Kosciusko-Morizet, députée de l'Essonne et porte-parole de la présidentielle de 2012, et Phillippe Briand, député du département, et ancien trésorier de cette même campagne, M. Sarkozy n'a pour la première fois pas évoqué les affaires, notamment le dossier Bygmalion. Pas un mot donc sur l'ancien directeur de cabinet de Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, qui avait annoncé plus tôt dans la journée son départ de l'UMP. L'ancien président de la République s'est au contraire attaché à évoquer la France en livrant une analyse critique de la situation d'un pays qui doit retrouver son « génie français, c'est-à-dire sa capacité à se réinventer ».

     
    Monaco et l'aide humanitaire
    Monaco et l'aide humanitaire

    L’Europe est le premier contributeur mondial de l’Aide Publique au Développement. En soutenant plus de 110 projets par an dans 24 pays, Monaco contribute à atteindre cet objectif.

    Lire l'analyse (édition abonnés) : Les ratés de la rentrée de Sarkozy profitent à Juppé

    3 RÉFÉRENDUMS AVANT LES LÉGISLATIVES

    M. Sarkozy a surtout précisé ses projets de référendums. S'il était élu en 2017, le candidat à la présidence de l'UMP a expliqué qu'il consulterait les Français avant les législatives sur trois sujets : la fusion des conseils régionaux et généraux, la mise en place de contreparties obligatoires aux prestations sociales et la baisse du nombre de parlementaires. « Une assemblée pléthorique est une assemblée inaudible », a-t-il expliqué.

    Debout derrière un pupitre alors qu'il avait répondu aux questions assis dans un fauteuil lors de ses précédentes réunions, l'ancien chef de l'État est visiblement désireux de prendre de la hauteur dans cette campagne où Bruno Le Maire et ses soutiens ont durci le ton. L'ancien président de la République a donc multiplié les attaques contre François Hollande. « C'est la France qui devrait guider l'Europe, c'est l'Europe qui sermonne la France, voilà où nous a conduits le président normal », a-t-il lancé en se félicitant de son action pendant son quinquennat où « la crise des pays du monde s'était abattue sur la France ».

    Répondant aux questions, M. Sarkozy s'est déclaré pour le maintien de filièrenucléaire, pour le retour de l'autorité dans le pays en promettant de « remettre les valeurs sur la table » ou encore pour un rapprochement de la fiscalité française avec celles des voisins européens, notamment l'Allemagne. « Il est hors de question que dans notre pays, ceux qui travaillent beaucoup et qui, en plus, paient beaucoup d'impôts se fassent insulter par ceux qui gagnent moins », a-t-il déploré.

    En promettant une nouvelle fois de remettre sa famille politique en ordre de bataille, en fondant un parti « sans sectes, sans chapelles », un parti du « XXIesiècle », l'ancien président de la République a une nouvelle fois chanté une ode au rassemblement en se rappelant ses différends avec son prédécesseur à l'Elysée.« Avec Jacques Chirac, je n'ai pas eu que des accords. (…) Il restera comme une partie de ma vie. A 18 ans, je l'admirais. Et puis il y a Bernadette… », a-t-il déclaré alors que Mme Chirac ne cesse de critiquer Alain Juppé, encore lui...

    Lire : Les petites vacheries de Bernadette


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