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    Remise à plat de la fiscalité : «Juste une réforme technique», estime Copé

     

    Publié le 19.11.2013, 10h22 | Mise à jour : 13h18

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    Jean-François Copé, président de l'UMP, a dénoncé mardi, sur France 2, ce qu'il qualifie de «réforme technique». | Alain Jocard

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    Jean-Marc Ayrault annonce ce mardi, dans un entretien aux Echos, qu'il va engager une «remise à plat» de la fiscalité. «Le système fiscal français est devenu très complexe, quasiment illisible, et les Français, trop souvent, ne comprennent plus sa logique ou ne sont pas convaincus que ce qu'ils paient est juste, que le système est efficace», admet le Premier ministre. <btn_noimpr>
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    </btn_noimpr> Il précise que cette remise à plat interviendra «à prélèvements obligatoires constants».

    Le débat avec les partenaires sociaux portera sur une possible fusion entre impôt sur le revenu et CSG, mesure annoncée par durant sa campagne mais plus évoquée depuis. Durant le débat préalable à cette remise à plat, l'écotaxe restera suspendue, a annoncé le ministre de l'Ecologie et de l'Energie Philippe Martin. En revanche, a prévenu le Premier ministre, il n'est «pas question» de revenir sur les hausses de TVA prévues au 1er janvier.

    Ces annonces de Jean-Marc Ayrault ont été saluées avec des réserves par les organisations syndicales et la majorité, mais sans surprise accueillies avec scepticisme dans l'opposition.

    L'opposition

    Jean-François Copé, de l'UMP, a dénoncé mardi, sur France 2, ce qu'il qualifie de «réforme technique». «La priorité, a dit le député-maire de Meaux, ce n'est pas de savoir si on remélange encore les impôts dans un sens ou dans un autre, c'est comment on les baisse. Il faut rendre de l'argent aux gens». «Voir aujourd'hui M. Ayrault dire aux Français: on ne bouge pas, on va juste faire une réforme technique, voir comment on réorganise les impôts, c'est irresponsable», a-t-il martelé, affirmant qu«'une autre solution est possible»: «On baisse massivement les impôts et les charges en baissant massivement les dépenses publiques inutiles, c'est la seule solution». La réforme dessinée par le chef du gouvernement, a-t-il insisté, n'a «de sens que dans un univers où on commence par baisser les impôts et les charges pour laisser les gens travailler, embaucher, investir, consommer». La hausse de la TVA maintenue est condamnable, selon Jean-François Copé puisque non accompagnée de baisse de charges : «Nous venons accroître encore les coûts de production».

    Valérie Pécresse, ex-ministre du Budget, a réagi sur i>TELE à l'annonce de Jean-Marc Ayrault. «C'est assez surréaliste. Nous votons aujourd'hui un budget qui est caractérisé par une absolue instabilité fiscale, une bougeotte fiscale, une créativité fiscale totalement contre-productives», a déclaré la députée des Yvelines. Elle voit dans l'éventuelle fusion CSG-impôt sur le revenu «une nouvelle menace de hausse fiscale. La CSG va être le socle d'un impôt progressif. Or, aujourd'hui, la CSG est source de multiples abattements pour un certain nombre de catégories de personnes, notamment les retraités qui bénéficient de 10% d'abattement», qui seraient supprimés dans le cadre de cette réforme, selon elle. Quant à la hausse de la TVA au 1er janvier, elle considère qu'«il faut baisser les charges des entreprises mais certainement pas en augmentant la TVA à 7% qui est la TVA du quotidien. C'est la TVA à 19,6% qu'il faut augmenter pour financer le crédit impôt pour les entreprises.»

    VIDEO. Valérie Pécresse sur i-télé
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    Christian Estrosi, député-maire UMP de Nice, a dit «non», sur BFM TV, «à ce que l’on rajoute une taxe par jour». «Je propose une dernière taxe pour le gouvernement : l’autotaxe, a-t-il poursuivi. Qu’il fasse des économies sur lui-même.» «Aujourd’hui, les Français se disent on prend notre argent, nos économies et on ne sait pas pourquoi. Si la fusion amène à payer moins d’impôts et redonne du pouvoir d’achat je suis pour», a-t-il encore déclaré à propos de la fusion CSG et impôt sur le revenu.

    VIDEO. Christian Estrosi sur BFM TV


    Eric Woerth, député UMP de l'Oise et ancien ministre du Budget, a traité le Premier ministre de «parfait pompier pyromane», sur Twitter. «Après avoir détruit le consentement à l'impôt, il invente le grand soir fiscal.» «Enfumade et reculade sont les deux moteurs du gouvernement», a-t-il ajouté.

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    Marine Le Pen, présidente du FN, a pour sa part jugé que Jean-Marc Ayrault n'avait «rien compris à l'absurdité de sa politique fiscale». Elle a préconisé «deux engagements» immédiats «pour soulager les Français et réamorcer la pompe économique et sociale» : «Annuler immédiatement l'écotaxe, et non simplement en reporter l'entrée en vigueur, et annuler les augmentations massives de TVA prévues en janvier prochain.» La députée européenne demande aussi une «chasse aux gaspillages», et cite «l'immigration massive, les fraudes sociale et fiscale, la décentralisation anarchique et la contribution très déficitaire au budget européen».

    La majorité

    Harlem Désir, premier secrétaire du PS, s'est félicité «de l'annonce par le Premier ministre de l'ouverture d'un dialogue avec les partenaires sociaux». «Cela s'inscrit dans le prolongement des réformes initiées depuis le début de ce mandat (progressivité, alignement de la fiscalité du capital sur celle du travail, suppression de niches fiscales)», a-t-il jugé dans un communiqué. «Le débat autour de la fiscalité ne peut se limiter à celui sur son niveau, même si ce dernier est essentiel dans le contexte économique actuel. Il doit porter sur le sens de l'impôt, sur les enjeux de lisibilité, de stabilité et d'équité.»

    Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale, a considéré qu'il n'était «jamais trop tard» pour remettre à plat la fiscalité. «Il faut réconcilier les Français avec l'idée d'impôt, parce que l'impôt n'est pas un gros mot», et insister sur le principe que «chacun doit payer en fonction de ses moyens», a martelé le député de Seine-Saint-Denis. Si la majorité a «maintenu les augmentations d'impôts décidées par nos prédécesseurs, c'est à la fois pour assurer l'indépendance du pays compte tenu des attaques qui nous étaient annoncées de la part des marchés et pour financer les premières priorités, notamment l'éducation et les emplois d'avenir», a-t-il également fait valoir.

    Jean-Michel Baylet, président du Parti Radical de Gauche (PRG), a salué la «volonté» de Jean-Marc Ayrault de rendre l'impôt «plus compréhensible et plus juste». « Jean-Marc Ayrault a ouvert le chantier de la réforme fiscale que les radicaux de gauche ont appelé de leurs voeux», s'est-il félicité dans un communiqué.

    Les syndicats

    La CFDT a accueilli favorablement l'annonce de Jean-Marc Ayrault. «La CFDT appelait depuis de nombreux mois une mise à plat de la fiscalité pour amorcer une réforme qui redonne du sens et de l'équité à notre système fiscal. Le consentement à l'impôt recule face à l'illisibilité, l'instabilité et l'empilement des mesures. Cela mine notre modèle républicain», observe la confédération dans un communiqué. «L'impôt doit être plus progressif et plus redistributif. Il est hors de question d'accepter des transferts massifs de la fiscalité ou du financement de la protection sociale des entreprises vers les ménages, notamment les classes moyennes et modestes», plaide le syndicat dirigé par Laurent Berger.

    Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, a salué mardi l'annonce du Premier ministre. «C'est une bonne initiative que le Premier ministre reçoive dans les jours à venir les interlocuteurs sociaux», a-t-il affirmé sur France Inter. Selon le n°1 de FO, «il y a la nécessité d'entamer une grande réforme fiscale», ajoutant qu'«il faut que les citoyens aient le sentiment qu'elle est équitablement perçue et équitablement répartie». L'impôt «finance les services publics et c'est aussi un outil de répartition», a-t-il poursuivi, «pour FO cela suppose qu'on remette au centre l'impôt sur le revenu qui est un impôt progressif». Selon lui, «quand on regarde l'histoire de la fiscalité dans notre pays, à chaque fois que l'impôt sur le revenu est le plus largement perçu, c'est là aussi que les inégalités sont les plus faibles». «On compte poser cette question sur la fiscalité au Premier ministre», a ajouté le leader de FO.

    Le patronat

    Pierre Gattaz, président du Medef, s'est interrogé mardi, lors de sa conférence de presse mensuelle, sur le chantier fiscal ouvert par le Premier ministre : «J'apprécie le fait qu'Ayrault pense à nous réunir mais pour quel objectif ». «On ira la première fois mais on ne restera pas si c'est juste pour faire un jeu de bonneteau sur la fiscalité intérieure des entreprises», a-t-il averti, affirmant qu'il fallait traiter ce chantier «avec courage». «Est-on bien dans la baisse des dépenses publiques permettant une baisse des prélèvements obligatoires des entreprises, qui permettra de donner de l'air à l'activité ?», s'est-il encore demandé. Selon lui, cette déclaration «parle d'optimiser la fiscalité, sans baisser les prélèvement obligatoires». «J''y ai vu deux problèmes qui m'ont surpris: nous serons en iso-fiscalité et il n'y aura pas de baisse des prélèvements obligatoires, a-t-il poursuivi. Si l'objet est de baisser la fiscalité sur les entreprises, nous sommes d'accord pour avancer. Mais si l'objectif est flou et qu'on a encore des zigzags et des zigzags (...), il faudra être extrêmement vigilant».

    LeParisien.fr

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  • Marine Le Pen explique avoir ressenti

    "un malaise" en voyant les otages libérés

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-10-31T09:59:11+01:00" itemprop="datePublished">31.10.2013 à 09h59</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-10-31T11:41:08+01:00" itemprop="dateModified">31.10.2013 à 11h41   </time>
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    Durée : 00:58  |  Images : Europe 1
     

    Invitée jeudi matin au micro d'Europe 1, la présidente du Front national a laissé entendre que, de son point de vue, les otages français libérés mardi avaient pu être islamisés. Interrogée à leur sujet, Marine Le Pen a déclaré qu'elle avait "trouvé leur habillement étonnant" , tout comme leur "barbe taillée". "Excusez-moi, mais cet otage avec le chèche sur le visage, tout ça, ça mérite quelques explications de leur part", a-t-elle ajouté. Pressée d'éclaircir ses propos, elle a cependant expliqué qu'elle ne souhaitait pas "faire des théories". Plus de mille jour après leur enlèvement, Thierry Dol, Marc Féret, Daniel Larribe et Pierre Legrand sont revenus en France mercredi.

    Le Monde.fr


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  • Actualité > Politique > Copé au Maroc pour évoquer "la France de demain" et l'immigration

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    Copé au Maroc pour évoquer "la France de demain"

    et l'immigration

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    <time datetime="2013-10-25T22:46:10" itemprop="datePublished">Publié le 25-10-2013 à 22h46</time> - <time datetime="2013-10-26T19:20:39" itemprop="dateModified">Mis à jour le 26-10-2013 à 19h20  </time>
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    Le président de l'UMP, Jean-François Copé, a expliqué vendredi à Rabat s'être rendu ces deux derniers jours au Maroc pour évoquer "la France de demain" et a défendu sa "nouvelle politique d'immigration". 
(c) Afp

    Le président de l'UMP, Jean-François Copé, a expliqué vendredi à Rabat s'être rendu ces deux derniers jours au Maroc pour évoquer "la France de demain" et a défendu sa "nouvelle politique d'immigration".  (c) Afp

    Rabat (AFP) - Le président de l'UMP, Jean-François Copé, a expliqué vendredi à Rabat s'être rendu ces deux derniers jours au Maroc pour évoquer "la France de demain" et a défendu sa "nouvelle politique d'immigration".

    M. Copé a rencontré vendredi le chef du gouvernement marocain, l'islamiste Abdelilah Benkirane, ainsi que des ministres et responsables de trois partis proches de l'UMP, dont la fédération au Maroc est la plus grosse à l'étranger. Jeudi soir il a tenu un meeting à Casablanca.

     
     

    "Cela a été l'occasion pour moi de dire ce que (...) j'imagine pour la France de demain. Car il y aura bien un jour où il y aura l'alternance, où les Français nous referont confiance", a déclaré M. Copé à l'AFP.

    "J'ai évoqué les pistes de travail (auxquelles) je réfléchis avec mes amis de l'UMP en terme économique, mais aussi en terme de sécurité, notre politique d'immigration, qui sont des sujets majeurs", a-t-il enchaîné.

    S'agissant des relations franco-marocaines, M. Copé a évoqué "un partenariat d'exception". Interrogé sur la capacité de Paris à aborder le thème des droits de l'homme au Maroc, le président de l'UMP a considéré qu'il n'existait "pas de sujet tabou". "Il y a des principes auxquels nous sommes profondément attachés et il faut le dire à ses interlocuteurs mais en évitant de donner des leçons", a-t-il dit.

    Jean-François Copé a également défendu sa récente proposition pour une "nouvelle politique d'immigration", objet de vives critiques dans la classe politique, estimant que la "nationalité" ne devait "pas récompenser l'illégalité".

    Mardi, dans la foulée de "l'affaire Leonarda", il avait déclaré que l'UMP allait déposer en 2014 une proposition de loi sur une "nouvelle politique d'immigration, remettant en cause le droit du sol pour les enfants nés en France de parents en situation irrégulière.

    "Je voudrais qu'on sorte des clichés, qu'on (arrête) aujourd'hui de dire que la France est parmi les pays les plus attractifs sur le plan social pour les immigrés. Tellement attractive d'ailleurs que c'est devenu un échec", a affirmé à l'AFP M. Copé.

    "Il ne s'agit pas de réformer le droit du sol, il s'agit de poser la question de ceux qui viennent en France illégalement. Est-ce que la nationalité doit récompenser l'illégalité? La réponse est non", a-t-il affirmé. "Il faut une politique courageuse en matière d'immigration", et face à "l'absence de ligne politique claire de la majorité", "le rôle de l'UMP est de proposer des réponses concrètes, c'est que j'ai fait", a-t-il jugé.

    Comme on lui demandait s'il avait parlé d'immigration durant ses entretiens, il a répondu par l'affirmative mais sans entrer dans les détails. De même il a refusé de se prononcer sur la politique d'immigration prônée par le roi du Maroc qui prévoit de régulariser "au cas par cas" des clandestins subsahariens. "La problématique en France est très différente. Notre problème, c'est de réussir l'intégration de ceux qui immigrent légalement", a-t-il dit.


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  • L'UMP veut bloquer la hausse

    du prélèvement sur l'épargne

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2013-10-24T20:34:31+02:00" itemprop="datePublished">24.10.2013 à 20h34</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-10-24T21:51:31+02:00" itemprop="dateModified">24.10.2013 à 21h51</time>

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    <figure class="illustration_haut"> L'Assemblée nationale a voté le relèvement des prélèvements sociaux sur certains produits d'épargne. </figure>

    L'uniformisation à 15,5 % du taux des prélèvements sociaux sur les produits de placement exonérés d'impôt, adoptée à l'Assemblée jeudi, suscite des remous à l'Assemblée, où l'opposition dénonce une mesure rétroactive. 

    Cette mesure supprime les taux dits "historiques" concernant les produits issus des plans d'épargne en actions (PEA) de plus de cinq ans, les primes versées avant le 26 novembre 1997 sur les contrats d'assurance vie multi-supports, de l'épargne salariale, des primes versées dans le cadre des comptes et plans d'épargne logement (CEL et PEL) et des intérêts acquis sur ces plans d'épargne logement (PEL) de moins de dix ans souscrits avant le 1er mars 2011. La mesure doit rapporter 600 millions d'euros, dont 450 millions affectés à la Sécurité sociale.

    Lire aussi : "Les prélèvements relevés à 15,5 % sur certains produits d'épargne"

    Les élus de l'UMP, à l'Assemblée comme au Sénat, ont annoncé qu'ils allaient saisir le Conseil constitutionnel. "Cette mesure scélérate porte un nouveau coup dur au pacte de confiance entre l'Etat et les contribuables qui subissent de plein fouet l'iniquité et l'instabilité de la politique fiscale de François Hollande", a lancé le président des députés UMP, Christian Jacob. 

    "ON N'ATTAQUE PAS L'ÉPARGNE DES FRANÇAIS"

    Le sénateur UMP, Pierre Charon, qui s'est indigné "de la rétroactivité fiscale qui pose un problème d'égalité entre les contribuables", a expliqué que "les sénateurs UMP formuleront un recours auprès du Conseil constitutionnel sur ce texte déloyal". Les deux recours ne pourront toutefois pas intervenir avant la fin de l'année, après le vote définitif par le Parlement du budget de la sécurité sociale, dans lequel s'intègre cette disposition. L'Assemblée se prononcera le 29 octobre.

    Les associations d'épargnants et l'Association française des usagers des banques ont également dénoncé cette harmonisation, cette dernière espérant que le Conseil constitutionnel soit saisi "au titre de la rétroactivité et de l'iniquité" de la mesure.

    Le gouvernement, par la voix du ministre chargé des relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a défendu "une mesure d'harmonisation". "On n'attaque pas l'épargne des Français. Il paraît naturel que l'ensemble des revenus supporte le même taux pour le financement de la sécurité sociale", a-t-il ajouté en soulignant que le taux à 15,5 % s'appliquera lorsque l'épargnant réalisera son gain.

    Lire notre décryptage : Epargne, retraite, hôpital... les principales mesures du budget de la "Sécu"


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  • Leonarda : l'UMP et le MoDem

    critiquent la décision de Hollande

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-10-20T13:11:26+02:00" itemprop="datePublished">20.10.2013 à 13h11</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-10-20T14:23:10+02:00" itemprop="dateModified">20.10.2013 à 14h23</time>

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    Plusieurs responsables de l'opposition ont exprimé, dimanche 20 octobre, leur désaccord sur la décision prise la veille par le chef de l'Etat concernant Leonarda Dibrani, la collégienne rom kosovare expulsée le 9 octobre. François Hollande avait indiqué que l'adolescente pourrait poursuivre sa scolarité en France si elle en faisait la demande, mais que sa famille, dont les demandes d'asile ont été déboutées, ne pourrait pas suivre.

    Lire notre analyse : " François Hollande peut-il espérer éteindre l'incendie ?"

    "Je préviens : tout cela, cela fait monter le Front national et je ne laisserai pas faire ça", a déclaré le président de l'UMP, Jean-François Copé sur Europe 1. M. Copé a accusé François Hollande d'avoir "porté un coup terrible à l'autorité de l'Etat" en proposant à la collégienne rom kosovare de revenir seule en France si elle le souhaitait. "On a tout simplement, par la voix du président de la République, bafoué l'autorité de l'Etat."

     

    Selon M. Copé, "il faut réécrire complètement la politique de l'immigration en France", et en particulier "renforcer le contrôle aux frontières et sortir les pays qui à l'intérieur de Schengen sont incapables de faire leur travail de contrôle". "La deuxième priorité, c'est qu'une bonne fois pour toutes on arrête d'être le pays le plus attractif d'Europe en matière sociale pour les étrangers", a poursuivi le président de l'UMP. "La France est un pays bien généreux, mais cette fois-ci ça suffit !", a-t-il déclaré, en soulignant que la famille de Leonarda, arrivée en 2009, était restée quatre années en France malgré "huit procédures de demandes d'asile toutes rejetées par l'administration"

    "Cette affaire révèle non seulement les contradictions mais aussi l'incompétence extrêmement dangereuse de ce gouvernement, qui remet en cause l'Etat de droit et le respect de la loi", a déclaré l'ancienne ministre de la justice, Rachida Dati, dans l'émission "12/13 Dimanche" sur France 3. Selon elle, "c'est insensé" de se poser depuis quelques jours la question du respect ou non d'une décision de justice, et de pointer "le manque de discernement" des policiers, alors que "le père [de Leonarda] reconnaît avoir menti, fraudé" et que tous les recours contre l'expulsion de la famille avaient été épuisés. "Le pire, a enchaîné Mme Dati, c'est de dire 'Leonarda peut revenir, à la charge de la France, faire sa scolarité'. Mais sur quels principes ? Le président de la République viole la Constitution en disant cela."

    Le président de la République François Hollande "a agi en chef de parti et pas en chef d'Etat", estime quant à lui le député et ancien ministre UMP, Bruno Le Maire, dans un entretien au Journal du Dimanche. "En autorisant le retour de cette collégienne sur le sol français, François Hollande a commis une faute inexcusable. En principe, le président de la République est le garant du droit et des institutions. En réalité, il les bafoue. Honte à François Hollande de faire passer les revendications minoritaires avant les intérêts de la majorité des Français ! Honte à lui de contourner les lois de la République !", s'exclame l'ancien ministre de Nicolas SarkozyCe samedi 19 octobre, François Hollande a irrémédiablement affaibli son autorité."

    François Bayrou, le président du MoDem, a lui affirmé dimanche lors du "Grand Rendez-vous" Europe 1 - Le Monde - i-Télé que dans l'affaire Leonarda, s'il avait été chef de l'Etat, il aurait "maintenu" la décision d'expulsion de la jeune collégienne rom kosovare, dès lors que l'enquête écartait tout "manquement grave".

     

    "Qu'il y ait des cas particuliers, tout le monde sait que c'est nécesssaire (...) Il y a des décisions qui sont légales, mais injustes. Cette décision, elle est légale et tout à fait légitime", a poursuivi M. Bayrou. Selon lui, "l'émotion est légitime mais, quand on est chef d'Etat, on ne doit pas confondre l'émotion et le devoir de gouvernement, le devoir d'autorité". Interrogé sur l'autorité de François Hollande, M. Bayrou a jugé qu'elle était "affaiblie". Ce "d'autant plus que le chef de son parti le critique véhémentement dans la minute. Harlem Désir a dit 'il faut que ce soit les enfants et la mère [qui puissent revenir en France].'"


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