• EN DIRECT. Elections régionales: Valls a appelé Bertrand et Estrosi pour les féliciter

    ELECTIONS 44,6 millions d’électeurs français étaient appelés aux urnes ce dimanche pour élire 1.757 conseillers régionaux et 153 conseillers territoriaux...

    <figure class="oembed oembed-photo" data-src-format="photo" role="group"> La carte définitive des résultats du second tour des élections régionales, le 13 décembre 2015. <figcaption>La carte définitive des résultats du second tour des élections régionales, le 13 décembre 2015. - M. Cros / 20 Minutes</figcaption> </figure>

    * Vincent Vantighem

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    Ce qu'il faut retenir des élections régionales :

    • Les listes de droite emportent sept régions
    • Les listes de gauche gagnent cinq régions
    • Le FN sort perdant de tous ses duels et les triangulaires.
    • La Corse sera dirigée par le nationaliste Gilles Siméoni
    • L'Ile de France bascule à droite.

    23h25 : Au passage, Sarkozy se plante sur Twitter

    Le patron des Républicains a tenu à féliciter Didier Robert, candidat vainqueur à la Réunion. Seul problème, il ne s'est pas adressé au bon Didier Robert sur le réseau social Twitter...

     

     

     


    23h17 : De retour du Parc des princes, Sarkozy se met à tweeter

    Soirée chargée pour le président des Républicains. Une élection à analyser, un discours à faire et un match de foot PSG-OL à aller voir au parc. Dans la voiture du retour, il a le temps de tweeter. Il y a toujours des bouchons à la sortie du stade...


    23h16: Valls a décroché son téléphone pour féliciter Bertrand et Estrosi

    Manuel Valls a appelé dimanche soir «pour les féliciter» les vainqueurs de gauche dans les régions, mais aussi les candidats de droite Christian Estrosi, Xavier Bertrand et Philippe Richert pour qui le PS avait appelé à voter face au FN, a indiqué l'entourage du Premier ministre.

    Le Premier ministre, qui a souhaité dimanche soir que «la politique ne reprenne pas comme avant», a appelé les têtes de listes dans les cinq régions où la gauche l'a emporté, «mais aussi MM. Richert, Bertrand et Estrosi pour les féliciter», a expliqué un proche du Premier ministre. Les trois élus Les Républicains ont battu respectivement les candidats frontistes Florian Philippot, Marine Le Pen et Marion-Maréchal Le Pen.


    23h14: Le FN fait plus de voix qu'à la présidentielle 2012

    Le Front national a dépassé dimanche d'au moins 200.000 voix au second tour des régionales son record historique du premier tour de la présidentielle 2012, selon des résultats non définitifs communiqués par l'Intérieur.

    Selon une totalisation nationale provisoire établie à 22h56, le FN obtenait 6.600.253 voix, soit d'ores et déjà mieux que les 6.421.426 voix obtenues par Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle 2012, une élection qui avait pourtant connu une participation supérieure d'environ vingt points.


    23h13 : Une explication à la défaite de Claude Bartolone ?

    Rappelons que seuls deux points le séparent, au final, de Valérie Pécresse...


    23h01: Soirée historique en Corse

    Pour la première fois, le parti régionaliste corse prend la tête de la Région. Et cela se voit sur l'île de Beauté.


    22h59 : La soirée n'a pas été si mauvaise que ça...

    On le rappelle. Le PSG a gagné 5-1 face à Lyon. Et élections régionales ou pas, il ne fallait pas rater ça...


    22h56 : Est-il temps de changer le nom du Parti Socialiste

    Et voilà le retour d'un serpent de mer que Manuel Valls affectionne. Comme chaque soir d'élection depuis dix ans, le PS s'interroge sur l'idée de changer de nom de parti. Cette fois-ci, c'est Julien Dray qui le premier en à parler sur les différents plateaux de télévision qu'il a investis.


    22h52: Très bonne question...

    Alors que le PSG vient de battre Lyon dans les grandes largeurs...


    22h47: Bartolone devrait retrouver le perchoir de l'Assemblée

    Faux débat monté par Claude Bartolone. Défait en Ile-de-France, le candidat PS a annoncé dans la foulée qu'il remettrait son sort entre les mains du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. Une façon opportune de reprendre un peu de soutien pour rester président de l'Assemblée nationale. Bruno Le Roux, patron des députés PS, valide cette thèse.

     


    22h42 : Chacun a son analyse de la situation bien sûr...


    22h36 : «La mobilisation a profité au front républicain»

    C'est ce qu'affirme Virginie Martin, professeur de sciences politiques et de sociologie à Kedge Business School et politologue française dans l'interview qu'elle a donnée à Anne-Laetitia Béraud, notre journaliste politique.

    >> Lire l'interview complète par ici...


    22h33: Que vont devenir les anciens amis de Masseret dans l'Est ?

    Cas très particulier dans le grand Est. Certains collistiers de Jean-Pierre Masseret qui s'étaient désistés ont tout de même été élus, ce dimanche soir, leur ancien mentor ayant recueilli près de 16% des voix. Que va-t-il se passer ? Siègeront-ils ? Sous quels couleurs ?  Floréal Hernandez, notre journaliste à Strasbourg, fait le point sur le débat en cours. C'est à lire par ici...


    22h22 : «Il y a urgence» à réagir à gauche pour Martine Aubry

    La maire de Lille a pris la parole. «Je me réjouis que Xavier Bertrand (LR) emporte la région. J'espère qu'il se souviendra des personnes qui ont voté pour lui et des problèmes de notre région. A gauche, nous ne pouvons pas sortir de ces élections sans nous poser les vraies questions. C'est une urgence. Ce soir, personne n'a gagné ! »


    22h19 : Marion Maréchal Le Pen prend la parole

    «La soirée n'est pas finie. L'écart avec Christian Estrosi se resserre. Nous sommes à 48% et lui, à 51%. Merci à vous. Sachez combien je suis fière de vous, ce soir. Vous pouvez vous applaudir. Mes amis, quel que soit le résultat final, ne soyez pas tristes. Il y a des victoires qui font honte aux vainqueurs. Ils auront sabordé la démocratie. Gagnez à dix contre un n'est pas autre chose qu'une défaite. Alors, ne les écoutez pas. Il n'y a pas de plafond de verre. Il était à 25% en 2010. Aujourd'hui, il est à 48%. Combien demain ? Si tous ces profiteurs cyniques pensent nous effrayer, je leur dis qu'ils se trompent.»


    22h14: Claude Bartolone s'est exprimé

    «Je souhaite bonne chance à la nouvelle majorité. Quant à moi, demain matin, je mettrai mon mandat à la disposition du groupe socialiste à l'Assemblée nationale qui déterminera s'il souhaite, à nouveau, me confier la responsabilité de la présidence de l'Assemblée.»


    21h58 : La carte de France après ces régionales

     


    21h51 : Le point peu avant 22h

    Voilà ce qu'il faut retenir :

    • Les listes de droite emportent sept régions
    • Les listes de gauche gagnent cinq régions
    • Le FN sort perdant de tous les duels et les triangulaires.
    • La Corse sera dirigée par le nationaliste Gilles Siméoni
    • L'Ile de France bascule à droite.

    21h55: Au final, Pécresse finit deux points devant Bartolone

    La candidate de droite termine avec 44% des suffrages environ devant Claude Bartolone (42%) et 14% pour Walerand de Saint-Just (FN).


    21h53 : Valérie Pécresse s'exprime

    «Je tiens à vous remercier de la confiance. J'ai bien conscience d'avoir rassemblé les voix de toutes les opinions politiques. Votre vote n'est pas un chèque en blanc. Jamais notre région n'a eu autant de défis à relever. Je rêve l'Ile de France conquérante, exemplaire et réconciliée. Dès mon élection vendredi prochain, je déploierai un bouclier de sécurité. D'ici là, je veux prendre un engagement solennel : je serai la présidente de tous les Franciliens»


    21h51: Hervé Morin remporte bien la Normandie

    L'Agence France Presse annonce que la victoire de la droite en Normandie est officielle.


    21h45 : D'ailleurs, Marie-Guite Dufay revendique la victoire

    La socialiste Marie-Guite Dufay a appelé à «reconstruire la gauche» après avoir revendiqué dimanche soir la victoire aux régionales en Bourgogne-Franche-Comté. S'exprimant devant la presse en préfecture de Dijon, Marie-Guite Dufay a déclaré que «beaucoup de voix (s'étaient) portées sur son nom pour faire échec au Front national», revendiquant une «victoire chèrement acquise».


    21h42 : La gauche l'emporterait en Bourgogne

    Comme en Normandie, le ministère de l'Intérieur donne un résultat sur la base de 95% des bulletins dépouillés. Ils donnent la victoire à la socialiste Marie-Guite Dufay avec 34,29% des voix devant Sophie Montel (FN) qui recueille 32,93% et le candidat de droite, François Sauvadet, avec 32,78% des voix. Attention, ces résultats sont à prendre avec prudence car les urnes n'ont pas été dépouillées dans toutes les grandes villes de la région.


    21h34: Hervé Morin finalement vainqueur en Normandie

    C'est en tout cas ce qui ressort après le dépouillement de 95% des bulletins selon le ministère de l'Intérieur. Il est passé par tous les états ce soir. Il faut encore attendre les 5% de bulletins restants pour être sûr.


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    A gauche depuis 17 ans, l' Ile-de-France

    bascule

    à droite avec Valérie Pécresse

    Publié le <time datetime="2015-12-13 23:25:07" title="dimanche 13 décembre 2015 à 23h25"> 13 décembre 2015 à 23h25 </time>

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    Paris (AFP)

    L'Ile-de- France, première région de France , gérée par la gauche depuis 17 ans, est tombée dans l' escarcelle de la droite avec la victoire de la liste menée par Valérie Pécresse (Les Républicains) devant celle de Claude Bartolone (PS).

    "L'Ile-de-France, je la rêve conquérante et exemplaire "", a déclaré Mme Pécresse, rayonnante, dans une allocution de victoire à ses partisans près de son QG dans le VIIIe arrondissement de Paris .

    "La sécurité et l'emploi seront mes priorités immédiates", a ajouté la députée des Yvelines , qui démissionnera de son mandat pour se consacrer à la région , qu'elle avait échoué à conquérir en 2010 face à Jean-Paul Huchon (PS).

    Elle a gagné à pied la place de Clichy sous les vivats de ses partisans et saluée par des klaxons avant de se rendre dans une brasserie pour fêter sa victoire.

    A 22H05, Claude Bartolone, président de l' Assemblée nationale , a reconnu sa défaite: "Je transmets toutes mes félicitations à Mme Pécresse que j'ai appelée et je souhaite bonne chance à l'Ile-de-France", remerciant ses alliés écologistes et du Front de gauche.

    Auteur de propos polémiques sur la " race blanche ", il a confirmé qu'il remettrait en jeu dès lundi son mandat de président de l'Assemblée nationale, comme il s'y était engagé.

    Si moins de 33% des bulletins étaient officiellement dépouillés à 21h50, les instituts de sondages ont diffusé des estimations donnant la victoire à Mme Pécresse.

    Selon Ipsos-Sopra Steria , Mme Pécresse l'emporte avec 43,6% des voix devant Claude Bartolone (41,9%) alors qu'OpinionWay crédite la candidate de la droite de 44% devant le président de l'Assemblée nationale à 42%. Ifop-Fiducial et TNS-Sofres les donnent en revanche à égalité avec 43% des voix chacun.

    Le candidat du Front national (FN) Wallerand de Saint Just recueille autour de 14%, selon les quatre estimations, un score en deçà de ses 18,4% du premier tour.

    Dès 21h30, Mme Pécresse était apparue au balcon de son QG de second tour dans le VIIIe arrondissement de Paris, un grand sourire aux lèvres. A ses côtés, un membre de son équipe de campagne agitait un drapeau tricolore. Les militants chantaient la Marseillaise et criaient "On a gagné!".

    - Fort regain de mobilisation -

    Le second tour a été marqué par un fort regain de mobilisation, en passant 45,90% au premier tour à 55,9% à 21h50.

    Selon David Douillet (LR), co-listier de Mme Pécresse dans les Yvelines, le "message de Valérie est bien passé, le terrain nous a montré beaucoup de gens qui s'étaient exprimés pour le FN (au premier tour) et qui nous expliquaient qu'ils allaient voter utile", sous entendu pour faire tomber la gauche.

    La participation en hausse de 10 points entre les deux tours a largement bénéficié à Valérie Pécresse en même temps qu'une baisse marquée du FN.

    Le Front national fait néanmoins, comme dans d'autres régions, son retour dans l'hémicycle régional, après une mandature d'absence.

    L'Ile-de-France, marquée par les attentats qui ont ensanglanté Paris et Saint-Denis il y a un mois jour pour jour, est la plus riche région française avec 30% du PIB et concentre avec ses 12 millions d'habitants 18% de la population française: elle était à ce titre une région hautement symbolique pour les deux partis.

    Le duel avait donné lieu à une campagne sans concessions et notamment après le premier tour, aux résultats plus serrés que prévu et meilleurs qu'attendus pour la gauche.

    Un débat télévisé avait eu lieu dans un climat tendu et les meetings respectifs n'avaient épargné aucun coup pour l'adversaire.

    M. Bartolone avait accusé la droite d'avoir "perdu ses valeurs républicaines" et avait avancé l'expression polémique de "race blanche" alors que Mme Pécresse accusait son adversaire d'être "sectaire, clientéliste et l'ami des riches".

    Au premier tour, Valérie Pécresse avait remporté 30,51% des voix, Claude Bartolone 25,19% et Wallerand de Saint Just 18,41%.


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    EN DIRECT.

    Régionales 2015: le Front national échoue

    au second tour

    <nav class="breadcrumb" role="breadcrumb"> </nav> Par LEXPRESS.fr , publié le <time datetime="13/12/2015 08:04:00" itemprop="datePublished" pubdate=""> 13/12/2015 à 08:04 </time> , mis à jour à <time datetime="13/12/2015 20:29:36" itemprop="dateModified"> 20:24 </time>
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    ELECTIONS REGIONALES, SECOND TOUR - Déroulement du scrutin, déclarations politiques et surtout résultats: découvrez ce dimanche qui seront les nouveaux présidents de régions. La participation est en très forte hausse par rapport au premier tour. Une participation qui aura sans doute eu raison des ambitions du FN dans ce scrutin. 

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    <article class="exp_item_live">

    Manuel Valls refuse "tout triomphalisme"

    Dans son discours, Manuel Valls a salué "l'appel très clair, net, courageux, celui de la gauche, à faire barrage à l'extrême-droite qui n'obtient ce soir aucune région". Soulignant la défaite du Front national dans les régions Nord, PACA et Alsace, le Premier ministre a mis en lumière "l'élan très digne, l'injonction à en finir avec les petits jeux politiciens, les invectives, le sectarisme". Il a toutefois estimé qu'il n'y avait "aucun soulagement, aucun triomphalisme, aucun message de victoire" à avoir car le "danger de l'extrême-droite n'est pas écarté". "Nous devons montrer que nous sommes capables de redonner l'envie de voter pour, plutôt que de voter uniquement contre" a déclaré Manuel Valls. 

    </article><article class="exp_item_live">

    PACA: Estrosi (LR) remercie les électeurs de gauche

    PACA - Christian Estrosi (LR), donné vainqueur, remercie les électeurs de gauche qui ont voté pour lui. Le candidat PS s'était désisté pour faire front au FN. 

     
    </article><article class="exp_item_live">

    Le vote FN, un vote d'adhésion selon un responsable du PS

    Selon un directeur de campagne PS cité par un journaliste de L'Express, le maintien du FN au second tour des régionales démontre que le parti d'extrême droite bénéficie d'un vote d'adhésion. 

     
    </article><article class="exp_item_live">

    Marine Le Pen arrive à son QG de campagne

    Selon notre reporter à Hénin-Beaumont, la candidate FN dans le Nord, donnée perdante, vient d'arriver à son QG de campagne. 

     
    </article><article class="exp_item_live">

    Nicolas Sarkozy salue le "refus de toute compromission avec les extrêmes"

    Nicolas Sarkozy a salué dans son discours "l'unité dans la famille des Républicains, l'union avec le centre, le refus de toute compromission avec les extrêmes" qui ont, selon lui, permis ces résultats. Le président des Républicains a toutefois estimé que "cette mobilisation des Français au second tour ne [devait] pas faire oublier les avertissements adressés à tous les responsables politiques lors du premier tour des élections". 

    "Ce serait une grave erreur de passer comme trop souvent d'une élection à l'autre, comme si les Français n'avaient rien dit" a-t-il expliqué, jugeant que l'action devait se porter sur "l'Europe, la politique économique, le chômage de masse" ou encore "la sécurité". 

     
    </article><article class="exp_item_live">

    Le point sur les résultats à 20h30

    RESULTATS - Le point à 20h30.

    • Selon les estimations Ipsos Sopra Steria pour France Télévisions, sur 11 des 13 régions de France métropolitaine, le PS et ses alliés emporteraient 6 régions, le parti Les Républicains et ses alliés 5 régions. Le FN ne prendrait aucune région.
    • Le PS gagnerait la Bretagne, la Normandie, le Centre-Val-de-Loire, la Bourgogne-Franche-Comté, l'Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes et le Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.
    • Les Républicains gagneraient le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, l'Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, le Pays-de-la-Loire, l'Auvergne-Rhône-Alpes, la Provence-Alpes-Côte-d'Azur.
    • Les résultats en Ile-de-France tomberont plus tard mais Bartolone (PS) et Pécresse (LR) sont donnés au coude-à-coude. Quant à la Corse, elle serait remportée par la liste régionaliste.
    </article><article class="exp_item_live">

    Marine Le Pen dénonce les "campagnes de calomnie"

    Nord-Pas-de-Calais-Picardie - Sèchement battue par Xavier Bertrand dans le Nord, Marine Le Pen a remercié ses électeurs d'avoir refusé les "intimidations, l'infantilisation et les manipulations". Au cours de son allocution, la présidente du Front national a dénoncé les "campagnes de calomnie et d'intimidation décidées dans les palais dorés de la République et exécutées servilement par ceux qui vivent de ce système". 

    Revenant sur les résultats des élections régionales, Marine Le Pen s'est félicité de l'"éradication" dans le Nord et dans le Sud-Est d'un "PS particulièrement malfaisant", allusion au retrait des listes socialistes dans ces régions pour faire barrage au FN. 

    Elle a enfin salué la montée en puissance du FN, qui a recueilli selon elle lors des régionales plus de voix que lors de l'élection présidentielle de 2012. Le FN a "triplé" son nombre de conseillers régionaux, a soutenu Marine Le Pen, ce qui en fait selon elle "la première force d'opposition" dans les assemblées régionales. 

    </article><article class="exp_item_live">

    PACA: le parti LR donné vainqueur

    PACA:

    Estrosi (LR): 54,8% 

    Marion Maréchal-Le Pen (FN): 45,2% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    La Réunion: le parti LR donné vainqueur

    La Réunion

    Robert (LR): 52,7% 

    Bello (Union de la gauche et du centre): 47,3% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Corse: le candidat nationaliste donné vainqueur

    Corse

    Simeoni (nationaliste): 36,9% 

    Giacobbi (gauche): 27,8% 

    Rossi (droite): 26,5% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Bourgogne-Franche-Comté: le parti LR donné vainqueur

    Bourgogne-Franche-Comté:

    Sauvadet (LR): 34% 

    Dufay (PS): 33,5% 

    Montel (FN): 31,6% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Xavier Bertrand salue la "victoire des gens du Nord"

    Nord-Pas-de-Calais-Picardie - Tombeur de Marine Le Pen dans le Nord, Xavier Bertrand s'est exprimé dès l'annonce de sa victoire. Dans une courte allocution, il a salué la "victoire des gens du Nord". "L'histoire retiendra" que c'est dans cette région que la "progression du FN a été stoppée", s'est-il exclamé. 

    Je n'oublie pas les résultats du premier tour, a tempéré le député de l'Aisne, qui les a qualifiés de "coup de tonnerre, le dernier avant que le FN n'arrive au pouvoir". Xavier Bertrand a enfin lancé un appel au gouvernement afin qu'il mette en oeuvre les "réformes qui redresseront notre pays.

    Xavier Bertrand

    </article><article class="exp_item_live">

    Normandie: le PS donné vainqueur

    Normandie:

    Mayer-Rossignol (PS): 36,4% 

    Morin (UDI): 36,2% 

    Bay (FN): 27,4% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Centre-Val-de-Loire: l'UDI donné vainqueur

    Centre-Val-de-Loire:

    Vigier (UDI) : 34,3% 

    Loiseau (FN) : 30,2% 

    Bonneau (PS) : 35,5% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Pays de la Loire: le parti LR donné vainqueur

    Pays de la Loire:

    Retaillau (LR): 42,3% 

    Clergeau (PS): 37,1% 

    Gannat (FN): 20,6% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Auvergne-Rhône-Alpes: le parti LR donné vainqueur

    Auvergne-Rhône-Alpes :

    Wauquiez (LR): 40,5% 

    Queyranne (PS): 36,8% 

    Boudot (FN): 22,7% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    ALPC: le PS donné vainqueur

    Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes:

    Rousset (PS): 44,1% 

    Calmels (LR): 34,2% 

    Colombier (FN): 21,7% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    LRMP: le PS donné vainqueur

    Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées

    Delga (PS): 44,6% 

    Aliot (FN): 33,8% 

    Reynié (LR): 21,6% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Nord: le parti LR donné vainqueur

    Nord-Pas-de-Calais-Picardie

    Bertrand (LR) : 57,7% 

    Marine Le Pen (FN) : 42,3% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Bretagne: le PS donné vainqueur

    Bretagne:

    Le Drian (PS) : 51.3% 

    Le Fur (LR) : 29.5% 

    Pennelle (FN) : 19.2% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    ALCA: le parti LR donné vainqueur

    Alsace-Champagne-Ardennes-Lorraine

    Richert (LR) : 47,9% 

    Philippot (FN) : 36,3% 

    Masseret (PS) : 15,8% 

    (estimations Ipsos Sopra Steria) 

    </article><article class="exp_item_live">

    Aucune région pour le FN?

    Pour l'heure, les estimations ne donnent aucune région au FN. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Sur dix régions, le parti LR en obtient 5, le PS 5

    RESULTATS - Selon les premières estimations sorties des urnes à 20 heures IPSOS, sur dix régions, le parti Les Républicains et ses alliés remportent 5 régions, le PS et ses alliés 5 régions et le FN aucune.

    Lire >> La participation a eu raison du FN

    <figure class="exp_img">Selon les premières estimations données par les instituts de sondage, Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen seraient battues.<figcaption class="live_content_padding">

    Selon les premières estimations données par les instituts de sondage, Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen seraient battues.

    L'Express

    </figcaption></figure>
    </article><article class="exp_item_live">

    Les premiers résultats à 20 heures

    RESULTATS - Selon les estimations OpinionWay, la droite obtient 39,7% des voix, la gauche 31,9% et le FN 28,4.

    </article>

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    Régionales 2015 - Ile-de-France, Nord, Paca... :

    les cinq questions du second tour

    À deux jours du scrutin, le suspense est à son comble dans cinq régions où personne ne pourrait se hasarder à un pronostic. Revue de détail.

    Publié le <time datetime="2015-12-11T08:34" itemprop="datePublished">11/12/2015 à 08:34</time> | Le Point.fr    lien
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    Après avoir durci encore son discours avant le premier tour, Christian Estrosi pourra-t-il convaincre les électeurs de gauche de voter pour lui ?
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    Après avoir durci encore son discours avant le premier tour, Christian Estrosi pourra-t-il convaincre les électeurs de gauche de voter pour lui ? © AFP/ BORIS HORVAT

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  • Elections régionales

    Manuel Valls: "Le programme du FN est une arnaque"

    <figure class="image"><figcaption>

    Manuel Valls (photo d'illustration) © REUTERS/Regis Duvignau
    Le 11 décembre 2015 | Mise à jour le 11 décembre 2015    lien
    </figcaption></figure>

     

    Le Premier ministre Manuel Valls a déclaré ce vendredi matin sur France Inter que le Front national dont le programme est "une arnaque" peut conduire à la "guerre civile".

    Le Front national peut conduire à la "guerre civile" et son programme est une "arnaque" qui "trompe les gens", a déclaré vendredi Manuel Valls sur France Inter. "Il y a deux options pour notre pays. Il y a une option qui est celle de l'extrême droite qui, au fond, prône la division. Cette division peut conduire à la guerre civile et il y a une autre vision qui est celle de la République et des valeurs, qui est le rassemblement", a dit le chef du gouvernement, à deux jours du second tour des régionales.

    "L'extrême droite est au fond dans l'arnaque, parce que son projet, c'est une arnaque, (le Front national) trompe les gens, (est) toujours dans l'outrance, tient des propos insupportables", a-t-il accusé peu après, en fustigeant "le clan Le Pen qui, en plus, est poursuivi par la justice".

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    40% des Français voteraient-ils pour une arnaque?, interroge la journaliste. "Oui, oui, il faut leur dire", répond le Premier ministre avant d'ajouter: "Les Français qui font ce choix, bien sûr, je les respecte, parce que quand il y a un vote de colère, il faut l'entendre, mais il votent pour un parti antisémite, raciste, qui n'aime pas la République... et qui en plus trompe les Français", a poursuivi le Premier ministre. "Si l'extrême droite l'emportait dans le Nord-Pas-de-Calais, dans le Grand Est ou en Paca, mais aussi en Franche-Comté-Bourgogne (...), l'image de ces régions serait détruite, beaucoup d'entreprises partiraient, on supprimerait en plus des projets et des programmes, là pour les femmes, je pense au planning familial, là le soutien à un certain nombre de projets pour les lycées", a développé Manuel Valls.

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    "A tous ceux qui sont tentés aujourd'hui par le vote extrême parce qu'ils en ont assez, je leur dis, pour ces petits retraités, ces ouvriers, ces citoyens dans la précarité, cette jeunesse qui ne voit pas l'avenir, Ca serait un désastre, ça serait pire. Le programme du FN, c'est la division", a-t-il dit encore.

    Pour un front républicain

    Manuel Valls avait appelé lundi soir sur TF1 à voter pour les listes de droite face au FN en Provence-Alpes-Côte d'Azur et Nord-Pas-de-Calais-Picardie où le PS s'est retiré, ainsi qu'en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, où le candidat socialiste se maintient contre le mot d'ordre de son parti.

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    "Moi, j'assume mes responsabilités, c'est la grande différence avec Nicolas Sarkozy (...) Quand on est un responsable public, on assume ses responsabilités et on choisit, il n'y a pas de ni ni+", avait affirmé le Premier ministre, sur le plateau du journal de 20 heures.

    "Donc en région PACA, j'appelle à voter pour Christian Estrosi face à l'extrême droite. Dans la région NPDCP, j'appelle à voter pour Xavier Bertrand face à l'extrême droite. Et dans la grande région Est, j'appelle à voter pour Philippe Richert face à l'extrême droite qui ne peut pas l'emporter !", avait-t-il poursuivi.


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