• L'ex-premier ministre israélien Ehud Olmert

    ira en prison pour corruption

    Publication: <time datetime="2015-12-29T06:56:51-05:00"> 29/12/2015 12h56 CET </time> Mis à jour: <time datetime="2015-12-29T06:56:51-05:00"> il y a 4 heures lien </time>
    EHUD OLMERT

    INTERNATIONAL - La cour suprême d'Israël a condamné mardi définitivement Ehud Olmert à 18 mois de prison ferme pour corruption, faisant de cette figure de la politique israélienne le premier ex-premier ministre à se retrouver derrière les barreaux dans l’État hébreu.

    En mai 2014, cet ancien avocat d' affaires de 70 ans, grand amateur de costumes chics et de cigares, avait été condamné en première instance à six ans de prison ferme pour deux chefs d'accusation de corruption, l'un lié à un projet immobilier pharaonique à Jérusalem, ville dont il fut maire de 1993 à 2003, l'autre lié à ses comptes de campagne.

    Le complexe Holyland, un alignement de tours d' habitations qui domine la Ville sainte est vue par de nombreux Israéliens comme l'incarnation concrète de la corruption des élites.

    Mardi, les cinq juges de la cour suprême ont toutefois décidé d'"acquitter Olmert de l'accusation d'avoir reçu 500.000 shekels (117.150 euros ) de pots -de-vin" pour permettre à des promoteurs , en sa qualité de maire, de contourner des obstacles légaux.

    En revanche , il a été "condamné à l'unanimité pour avoir reçu un pot-de-vin de 60.000 shekels (14.060 euros)" d'une entreprise dans le cadre du financement d'une de ses campagnes électorales.

    De six ans ferme, la peine de celui qui fut Premier ministre de 2006 à 2009 est donc passée à 18 mois. Il devra se présenter le 15 février aux autorités afin d'entamer sa période de détention.

    Premier chef de gouvernement en prison

    Malgré cette condamnation qui fera de lui le premier ex-chef de gouvernement israélien à se retrouver sous les verrous --l'ancien président Moshé Katzav purge actuellement une peine de sept ans pour viols--, Olmert s' est dit "libéré d'un poids énorme" à la sortie de l' audience.

    "La Cour suprême a levé la principale accusation contre moi", a-t-il affirmé, les traits tirés. "On ne m'a jamais proposé de pot-de-vin et je n'en ai jamais accepté", a-t-il martelé.

    L'ancien maire de Jérusalem Uri Lupolianski, également jugé dans cette affaire a vu sa peine de six ans de prison ramenée à six mois de travaux d' intérêt général , pour raison de santé.

    Le chef de l'opposition de centre gauche, Isaac Herzog, a salué la justice israélienne qui "a prouvé que personne , pas même un Premier ministre, n'est au- dessus des lois". "Que cela serve de leçon aux dirigeants : n'utilisons jamais le pouvoir qui nous est donné (...) pour des profits personnels ", a-t-il ajouté, selon des propos rapportés par son porte- parole.

    Ehud Olmert visé par des enquêtes depuis des années , avait un temps semblé échapper à toute condamnation. Mais l' ascension de cet ancien membre du Likoud, le parti de droite de l'actuel Premier ministre Benjamin Netanyahu a finalement été stoppée net par la justice.

    Affaire Holyland

    Ce fidèle d'Ariel Sharon lui avait succédé à la tête du gouvernement en 2006 quand une attaque cérébrale foudroya l'ex-Premier ministre, fondateur du parti Kadima.

    Mais inculpé dans "l'affaire Holyland", Ehud Olmert avait dû renoncer à se présenter aux primaires de Kadima, ouvrant la voie à l' accession au pouvoir de Netanyahu, qui dirige Israël depuis.

    Avant de rejoindre sa cellule mi-février, Olmert devra de nouveau se présenter le 19 janvier devant la cour suprême pour un jugement en appel . En mai, il avait été condamné à huit mois de prison pour fraude et reconnu coupable d'avoir reçu des versements en liquide d'un homme d'affaires américain alors qu'il était ministre du Commerce et de l' Industrie .

    Plusieurs fois ministre, Olmert porte pour de nombreux Israéliens, la responsabilité des ratés de la guerre contre le Hezbollah au Liban en juillet -août 2006.

    Il est aussi le dernier Premier ministre à s'être autant investi dans des négociations intensives, mais infructueuses, pour tenter de résoudre le conflit israélo-palestinien.

    Favorable à la création d'un État palestinien, il était prêt à un retrait israélien de la plus grande part de la Cisjordanie occupée.


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  • Raïf Badawi, le prix Sakharov qui embarrasse l'Arabie Saoudite

    Par <time datetime="2015-12-16T12:17:15" itemprop="datePublished">16 décembre 2015 à 12:17    lien </time>
     
     
     
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    Ensaf Haidar, la femme de Raif Badawi, reçoit en son nom prix Sakharov, mercredi au

    Parlement européen. Photo Patrick Hertzog. AFP

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    Défendu par l'Union européenne, le blogueur saoudien condamné à mille coups de fouet met à mal le régime de Riyad, à l'heure où le royaume monte une coalition contre l'Etat islamique.

    L’Arabie Saoudite a deux façons de combattre ce qu’elle appelle «le mal», c’est-à-dire l’Etat islamique (EI). L’une est de se montrer, à l’intérieur du royaume, intransigeante pour tout ce qui concerne l’islam, ne tolérant ni la moindre critique à son égard, ni la remise en cause de l’omnipotence des religieux. L’autre est de bâtir un grand axe sunnite pour combattre sur tous les fronts l’organisation jihadiste. Cet axe a pris la forme d’une coalition militaire, dont la naissance a été annoncée mardi à Riyad.

    .C’est dans ce contexte qu’est intervenue, fin 2014, la condamnation à mille coups de fouet (répartis sur vingt semaines), à dix ans de prison et 260 000 dollars (238 000 euros) d’amende d’un jeune blogeur saoudien de 31 ans, Raïf Badawi. Depuis, il a reçu le prix Sakharov des droits de l’homme qui, du fait de sa détention, sera remis à son épouse, mercredi à Strasbourg, par le Parlement de l’Union européenne.

    Allié indispensable

    Bien que l’Arabie Saoudite demeure un allié indispensable dans la lutte contre l’EI, les parlementaires européens n’entendent pas relâcher la pression sur le cas du jeune dissident, qui fut aussi nominé pour le prix Nobel de la paix en 2015. Lorsque la décision avait été prise de lui remettre le prix, les députés s’étaient levés pour applaudir longuement le choix des chefs de file de leurs groupes politiques.

    Le jeune journaliste a été arrêté le 17 juin 2012 pour une série de «crimes» : cybercrime, désobéissance à son père, critiques faites à l’islam et apostasie. En fait, il est simplement l’animateur du site internet Liberal Saudi Network, un blog qui dénonce l’emprise des religieux sans remettre directement en cause la monarchie. Ce n’est donc pas un opposant dangereux mais une personnalité libérale, qui pourrait même être utile au régime s’il voulait se confronter au pouvoir des oulémas.

    «Comment pouvons-nous, avec de tels individus, bâtir une civilisation humaine, et avoir des relations normales avec 6 milliards de personnes, dont plus de 4 milliards et demi ne sont pas de confession musulmane ?» plaide-t-il. Pour lui, musulmans, chrétiens, juifs et athées sont tous égaux. Il dénonce également l’oppression infligée aux non-musulmans, aux femmes, aux libre-penseurs, et témoigne de son rejet de toute forme d’islamisme politique. A propos de la Palestine, il a écrit : «Je ne suis pas pour l’occupation d’un pays arabe par Israël, mais, en revanche, je ne veux pas remplacer Israël par une nation islamique qui s’installerait sur ses ruines, et dont le seul souci serait de promouvoir une culture de mort et d’ignorance parmi ses fidèles, à une époque où nous avons désespérément besoin de ceux qui en appellent à une culture de vie et de développement, propre à cultiver l’espoir dans nos âmes.»

    Cercle de l’enfer

    Comme la charia exige l’obéissance totale d’un fils envers son père, celui-ci le conduit dès 2009 devant un tribunal saoudien pour l’obliger à mettre fin à ses activités. C’est le premier cercle de l’enfer qui s’ouvre : interdiction de sortir du territoire, retrait de permis, interdiction de travailler… Sa femme et ses trois enfants quittent le pays pour se réfugier au Québec. Raïf Badawi, lui, résiste et fonde le site web Free Saudi Liberals. S’ouvre alors le second cercle : prison, condamnation en première instance et par la cour d’appel qui, en mai 2014, le déclare coupable pour «insultes envers l’islam», renonçant à valider l’accusation d’apostasie, ce qui lui aurait valu la peine capitale.

    Le blogeur subit, le 9 janvier, une première séance de flagellation devant la mosquée Djufali, à Jeddah, en présence d’une foule nombreuse. Mais la séance du vendredi suivant est repoussée, le médecin de la prison faisant savoir que ses «blessures n’étaient pas encore cicatrisées correctement et qu’il ne serait pas capable de supporter d’autres coups de fouet». Elles n’ont depuis pas repris. Aucune raison n’a été avancée pour justifier leur report, ce qui laisse supposer que Riyad cherche à aménager la peine du supplicié, voire à le gracier. Les vidéos tournées sur le lieu du supplice qui montrent un bourreau retenant ses coups plaident en faveur de cette hypothèse.

    Embarras des autorités

    L’affaire témoigne de l’embarras des autorités, soucieuses de l’image du royaume à un moment où elle se détériore, en particulier aux Etats-Unis et en Europe. Or, les dirigeants saoudiens ont besoin d’être en phase avec eux à un moment où la lutte contre l’EI monte en puissance. Or, ils voient bien que l’actuelle administration américaine ne leur accorde plus la même confiance que la précédente. D’où la décision de former une coalition militaire de 34 pays musulmans pour lutter contre le terrorisme. Dix-huit des Etats participants sont arabes, 16 autres sont d’Asie et d’Afrique, dont l’Egypte, la Turquie, le Pakistan, la Malaisie ou le Sénégal. Sous la conduite de l’Arabie Saoudite, cette nouvelle coalition disposera d’un centre de commandement à Riyad, afin de coordonner les opérations militaires et «combattre le terrorisme dans plusieurs lieux du monde islamique», selon le ministre de la Défense et prince héritier Mohammed Ben Salman. Elle s’ajoute à celle, aérienne, dirigée par les Etats-Unis et à laquelle participe l’aviation saoudienne. En réalité, c’est plutôt un axe des pays sunnites qui se met en place et permet à Riyad d’affermir son leadership sur ceux-ci, en prenant bien soin d’exclure l’Iran chiite, lui aussi en guerre contre l’EI, en Irak et en Syrie. On ne voit pas cette alliance fonctionner avant des mois.

    Jean-Pierre Perrin

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  • Donald Trump, Bill Gates, Larry Page...Sheldon Adelson ?

    Ses fans sont plus nombreux chez les hommes, les vétérans, les militaires, employés gouvernementaux, professionnels de santé. Moins nombreux chez les enseignants. Il semble s'adresser à la majorité silencieuse, sur les peurs de laquelle il joue, ce qui fait craindre à certains qu'il soit le futur président.

    Il n'en rate pas une. Maintenant, fermer internet. En entier, tant qu'à faire. Dans sept jours, réunion pour un cinquième débat républicain à Las Vegas, dans un Casino du groupe Adelson. Trump s'en dit proche. C'est pourtant à Bill Gates qu'il pense quand il veut fermer internet, là où on penserait la non indexation des sites islamistes suffisante. Larry Page serait donc directement concerné. Quoique si Trump est sérieux dans ses projets, la case Adelson semble incontournable. S'il peut, seul, financer sa campagne, reste que le plus grand donateur en matière de campagne s'appelle Shelton Adelson. Il ne peut faire sérieusement l'impasse.

    En tête des sondages chez les républicains, il joue sur les effets d'annonce radicaux. Tout récemment fermer internet et interdire l'accès des Etats-Unis aux Musulmans. Les réactions ne se sont pas fait attendre, à la hauteur de la violence, du racisme du propos. On parle de pari sur le côté antidote/personnalité opposée à celui dont il prend la suite. Reste que jouer sur la peur a des conséquences, que parler de fermeture d'internet ne peut que rappeler Charlotte Iserbyt et son Deliberate Dumbing Down of America. Ancien, et toujours actuel. Internet est une source de connaissances, il suffit de se pencher sur son indexation. Le succès de Trump dans les sondages montre, s'il ne la révèle pas, la tendance à vouloir une solution rapide, voire expéditive, qui ne demande pas grand temps de réflexion, joue sur l'émotionnel.

    On le dit candidat anti système...à moins qu'il ne surfe à fond sur les peurs créées par le système, les entretienne, et leur apporte une solution radicale, extrémiste, comme les agressions récentes sont extrêmes. On notera qu'il parle bien peu de la Turquie, de Bilal Erdogan, des Saouds et des Qatari.

    Il a pu, certes, anticiper le déni du fils Erdogan...Ses deux dernières trouvailles, fermer internet et interdire l'accès des Etats-Unis aux Musulmans ne donnent pas à penser qu'il raisonne en termes de financement. On se demande pourquoi.

     

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    Syrie: Assad attend des "actes" après les déclarations de Kerry

    - Publié le <time datetime="2015-03-16T16:23" itemprop="datePublished" pubdate=""> 16/03/2015 à 16:23</time> - Modifié le <time datetime="2015-03-16T23:23" itemprop="dateModified"> 16/03/2015 à 23:23</time>

     
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    Le président syrien Bachar al-Assad a appelé lundi les Etats-Unis à joindre les actes à la parole tandis que des opposants s'offusquaient après les propos de John Kerry affirmant que Washington devait négocier avec le régime.

    Les propos de M. Kerry ont été rapidement nuancés par une porte-parole du département d'Etat, qui a démenti tout changement de la position américaine et précisé qu'il n'y avait "pas d'avenir pour un dictateur brutal comme Assad en Syrie".

    Déplorant l'absence de négociations de paix pour "mettre fin à la souffrance du peuple syrien", la porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki a rappelé que "comme nous le disons depuis longtemps, il faut que des représentants du régime d'Assad fassent partie du processus" de paix.

    Mais "ce ne sera pas et ce ne sera jamais Assad lui-même --et ce n'est pas ce que M. Kerry voulait dire", a-t-elle expliqué.

    Alliées des Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne se sont empressées de se démarquer des propos de M. Kerry.

    Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a averti que toute solution qui "remettrait en selle Bachar al-Assad serait un cadeau absolument scandaleux, gigantesque aux terroristes de Daech", acronyme désignant le groupe jihadiste Etat islamique.

    Londres a affirmé que le président syrien n'avait "pas sa place" dans l'avenir du pays, tandis que la Turquie jugeait "inutile" de négocier avec un régime qui a "tué 200.000 personnes".

    Mais la presse officielle syrienne a interprété les déclarations de M. Kerry comme un revirement de la politique américaine, même si M. Assad a souligné qu'il fallait attendre pour voir s'ils allaient être suivis d'une action concrète.

    "Nous écoutons toujours les déclarations. Nous devons attendre les actes et à ce moment-là on décidera", a affirmé M. Assad à une chaîne iranienne, selon des propos reproduits par l'agence officielle Sana.

    Depuis le début de la révolte en mars 2011, le pouvoir syrien a accusé les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, ainsi que les pays du Golfe et la Turquie de soutenir et de financer le "terrorisme" en Syrie, en référence à la rébellion.

     

    - 'Au final, il faudra négocier' -

    Lundi, M. Assad a réaffirmé que tout changement de politique devait entraîner la fin de ce soutien. "Tout changement international qui intervient à ce niveau serait une chose positive s'il est sincère et effectif", a-t-il dit.

    "Au final, il faudra négocier. Nous avons toujours été pour les négociations dans le cadre du processus (de paix) de Genève I", avait déclaré M. Kerry dans une interview diffusée sur la chaîne de télévision CBS dimanche.

    Le document de Genève, rédigé à l'été 2012 entre les grandes puissances, --notamment les Etats-Unis et la Russie, qui soutient Damas-- appelait à un gouvernement de transition ayant les pleins pouvoirs, sans évoquer clairement le sort de M. Assad.

    Le régime a toujours catégoriquement refusé tout départ d'Assad, alors que pour l'opposition affirme qu'il n'a aucun rôle à jouer dans l'avenir du pays.

    La presse syrienne n'a pas caché sa satisfaction. "C'est une nouvelle reconnaissance de la légitimité du président Assad, de son rôle clé, de sa popularité", selon le quotidien privé al-Watan proche du pouvoir.

    Le journal a estimé en outre que les propos de M. Kerry ouvraient "une nouvelle étape dans les négociations politiques", évoquant la possibilité qu'un "émissaire américain" se rende "à Moscou le 6 avril pour participer aux efforts russes visant à trouver une solution.

    Les propos de M. Kerry interviennent après ceux du directeur de la CIA John Brennan, selon qui les Etats-Unis craignaient un effondrement des institutions en Syrie qui laisserait le champ libre aux extrémistes islamistes.

    - 'Tueur d'enfants' -

    La consternation prédominait lundi du côté de l'opposition et des militants anti-régime.

    La coalition de l'opposition en exil a rappelé que "la chute du régime et de tous les responsables des crimes commis contre le peuple syrien" restait son "principal objectif".

    Des militants ont qualifié les propos de "bombe", accusant M. Kerry de proposer un dialogue avec un "tueur d'enfants". "Qui est Kerry pour décider de l'avenir du peuple syrien?", s'exclame un autre internaute syrien.

    Certains d'entre eux ont lancé lundi sur Twitter le mot-clé (Kerry pas de négociations avec le meurtrier)".

    16/03/2015 23:22:41 - Damas (AFP) - © 2015 AFP

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  • La tempête de neige qui s'est abattue mardi dans l'Himalaya, côté népalais, a tué au moins 24 randonneurs étrangers et guides népalais et les secours craignent la mort de cinq autres personnes dans une avalanche, ont annoncé jeudi les autorités.

    Tempête de neige dans l'Himalaya:

    au moins 24 personnes

    lien Des secouristes transportent un survivant blessé d'une avalanche à Manang le 15 octobre 2014

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    <figcaption>Des secouristes transportent un survivant blessé d'une avalanche à Manang le 15 octobre 2014 - NEPAL ARMY Nepal Army</figcaption></figure>

    © 2014 AFP

      • Créé le <time datetime="2014-10-16" pubdate="">16.10.2014 à 06:10</time>
      • Mis à jour le <time datetime="2014-10-16">16.10.2014 à 06:40</time>

    La tempête de neige qui s'est abattue mardi dans l'Himalaya, côté népalais, a tué au moins 24 randonneurs étrangers et guides népalais et les secours craignent la mort de cinq autres personnes dans une avalanche, ont annoncé jeudi les autorités.

    Les corps de 24 personnes ont été retrouvés sur le parcours du très populaire trekking du tour des Annapurnas, et les secours cherchaient encore à entrer en contact avec plus d'une centaine de personnes toujours injoignables, ont-elles précisé.


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