• Neymar mis en examen pour évasion fiscale

    par la justice brésilienne

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2016-02-02T22:34:29+01:00" itemprop="datePublished">02.02.2016 à 22h34   lien </time>

    L'attaquant brésilien Neymar quitte le tribunal de Madrid où il a été entendu concernant des irrégularités dans la signature de son contrat avec le Barça, le 2 février 2016.

    Le parquet brésilien a mis en examen, mardi 2 février, l’attaquant star du club de Barcelone et étoile du football mondial Neymar da Silva Santos pour évasion fiscale et falsification de documents entre 2006 et 2013.

    « Le ministère public fédéral de Santos a mis en examen le joueur de football Neymar da Silva Santos Junior, son père, Neymar da Silva Santos, et les dirigeants liés au club de football de Barcelone, Alexandre Rosell Feliu et Josep Maria Bartomeu Floresta, pour évasion fiscale et falsification », a annoncé le parquet dans un communiqué.

    Lire aussi : Le prodige brésilien Neymar dans le viseur de la justice

    Neymar était déjà dans le collimateur du fisc brésilien qui s’intéresse à son transfert, en mai 2013, du club de Santos, au Brésil, pour celui de Barcelone, en Espagne. Le départ du joueur fait l’objet de polémiques, notamment du fait du versement préalable de 10 millions d’euros par le Barça à la famille Neymar. Le 25 septembre 2015, la justice fédérale a gelé 188 millions de reais (42 millions d’euros) de ses biens. Le capitaine de la Seleçao aurait omis de déclarer aux autorités la bagatelle de 63,6 millions de reais (14,3 millions d’euros), entre 2011 et 2013.

    L’annonce de sa mise en examen par la justice brésilienne est survenue quelques heures après que Neymar a témoigné devant la justice espagnole, à Madrid, au sujet d’irrégularités dans la signature de son contrat avec le Barça.


     

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    REVIVEZ - Barcelone-Atlético : le Barça s'impose et prend une option sur le titre (2-1)

    Mis à jour : 30-01-2016 18:10   lien
    - Créé : 30-01-2016 15:18

    FOOTBALL - L'Atlético Madrid a bien démarré et a mené au Camp Nou grâce à Koke, avant de céder par deux fois devant Messi puis Suarez. Les Colchoneros ont ensuite perdu deux joueurs sur carton rouge et n'ont jamais pu revenir. Revivez la rencontre comme si vous y étiez.

     
    Suarez a placé Barcelone en tête.

    Suarez a placé Barcelone en tête.

    LLUIS GENE / AFP

    Photo:

    SCORE, FC Barcelone - Atlético de Madrid : 2-1 

    Après sa victoire à l'aller à Madrid, le FC Barcelone s'est à nouveau imposé face à l'Atlético, ce samedi, et sur le même score (2-1). Les Catalans ont pourtant été malmenés pendant 20 grosses minutes de pressing intense des Madrilènes, qui menaient grâce à un superbe but de Koke (0-1, 10e). Dès que les Colchoneros ont baissé d'intensité, la furia blaugrana a parlé et Messi a égalisé dès la demi-heure, avant que Suarez plante le deuxième sur un bon pointu entre les jambes d'Oblak (2-1, 38e). 

    Griezmann manque le 2-2, l'Atlético finit à 9

    Mené, l'Atlético s'est rendu les choses encore plus difficiles quand Filipe Luis a écopé d'un rouge direct pour une semelle sur Messi juste avant la pause. Par la suite, Griezmann a manqué l'égalisation à 2-2, stoppé par une parade exceptionnelle de Bravo (56e), puis tout suspense s'est évanoui quand les visiteurs se sont retrouvés à 9, suite à l'expulsion de Godin (deuxième jaune, 66e).

    Le FC Barcelone s'envole donc en tête de la Liga. Désormais, les hommes de Luis Enrique comptent trois points d'avance sur l'Atlético, avec un match de plus à jouer, et sept sur le Real qui joue dimanche.

     
     
     
    FC Barcelone - Atlético Madrid
    (Relire)
     
     
    15h49

    Bonjour à tous !  

    Ça y est, la sieste est terminée, on se réceille pour ce choc entre le FC Barcelone et l'Atlético Madrid. Ça démarre à 16 heures et c'est à suivre avec nous.  

     
     
    15h49
    On commence avec les compositions d'équipe. A Barcelone, pas de surprises, c'est du lourd qui est aligné.
     
     
    15h50
    This is how Barça's XI today will look for #FCBAtleti #fcblive pic.twitter.com/YAF33W6ixl
    15h51
    A Madrid, une remarque : au côté de Griezmann, c'est Ferreira-Carrasco, l'ancien Monégasque, qui fera la paire en attaque. Un dévoreur d'espaces aligné par Diego Simeone.
     
     
    15h51
    Estos son los elegidos. #AtléticosPorElMundo, ¡¡es el momento de enviarles vuestros mensajes de ánimo!! #FCBAtleti amp.twimg.com/v/7b90a8cd-2d6…
    15h58
    Les joueurs pénètrent sur la pelouse alors que l'hymne du Barça est lancé.
     
     
    15h59
    Et le Camp Nou est plein à craquer !!
     
     
    16h00
    L'Atlético se présentera en 4-1-4-1, avec Griezmann seul en pointe. Ferreira-Carrasco prendra plutôt le couloir gauche.
     
     
    16h01
    ET C'EST PARTI !!
     
     
    16h03
    1e : première faute du match, signée  Rakitic. Coup-franc à venir pour l'Atlétiuco, à 40/45m plein axe.
     
     
    16h03
    Gabi enroule, ça ne donne rien.
     
     
    16h04
    2e : et la première frappe madrilène !  
    Dans la continuité du coup-franc, Griezmann glisse à Saul à l'entrée de la surface. Du coin droit, le gaucher enroule une frappe claquée en corner par Bravo.
     
     
    16h04
    La défense barcelonaise se dégage en deux temps.
     
     
    16h07
    Le Barça fait tourner la balle, stérilement pour le moment. L'Atlético de Madrid est bien en place.
     
     
    16h08
    Charge de Godin dans le dos de Suarez? Coup-franc intéresasnt à venir pour Barcelone, sorte de corner ouvert sur la droite.
     
     
    16h08
    Messi le frappe... c'est court et c'est repoussé par la défense.
     
     
    16h10
    Long ballon de Jimenez vers Griezmann, trop long. Début de match équilibré entre les deyx équipes, le pressing madrilène gênant énormément le Barça.
     
     
    16h11
    10e : But Koke pour l'Atlético ! (0-1)
     
     
    16h12
    Sur le côté droit, Saùl prend le meilleur sur Jordi Alba et centre. Griezmann ne peut reprendre mais le ballon arrive au point de pénalty jusqu'à Koke, seul, qui frappe aussitôt hors de portée de Bravo. Superbe but de l'Atlético !
     
     
    16h13
    12e : Griezmann et Carrasco combinent à l'entrée de la surface, le second frappe... Trop à gauche.
     
     
    16h15
    Le FC Barcelone a du mal à réagir depuis l'ouverture du score. Les Madrilènes ne relâchent pas leur pression.
     
     
    16h16
    Une stat : l'Atlético n'a perdu qu'une fois cette saison après avoir ouvert le score (14 victoires et un nul). Cette défaite, c'était face... à Barcelone, au match aller.
     
     
    16h17
    Le Barça enchaîne quelques passes, Jordi Alba tente un centre côté gauche, dévié en corner.
     
     
    16h18
    Belle combinaison catalane, Messi décale Alvès sur la droite qui reprend de volée. Ça partait bien mais c'est contré par la défense.
     
     
    16h19
    13' | 0-1 | Gran trabajo colectivo en los primeros minutos presionando la salida del balón en campo contrario. #FCBAtleti #AúpaAtleti
    16h20
    Carrasco réussit un bon premier quart d'heure, avec un gros pressing et un travail de conservation de balle sur la gauche précieux.
     
     
    16h21
    20e : le tiiiir d'Augusto !!!
    Sublime séquence des Colchoneros à l'entrée de la surface. Ils multiuplient les passes, Augusto réussit un crochet et frappe à l'entrée de la surface. C'est trop croisé et ça passe à gauche.  
     
     
    16h22
    C'est la moitié de cette première période, avec une domination claire de l'Atlético. Les joueurs de Simeone sont plus rapides, plus au pressing et plus justes techniquement.
     
     
    16h24
    Messi est victime d'une faute de Filipe Luis. L'Argentin est transparent en ce début de match, à l'image de ses coéquipiers en attaque...
     
     
    16h26
    Timide réaction barcelonaise. Gabi accroche Rakitic par derrière pour couper l'attaque. Coup-franc catalan à 30 mètres légèrement sur la droite.
     
     
    16h26
    Et la biscotte pour Gabi.
     
     
    16h26
    [VIDEO] Début de match parfait pour l'Atletico qui a ouvert le score grâce à Koke po.st/axp9pA #FCBATM pic.twitter.com/IiWqikBBdd
    16h27
    26e : Messi brosse le coup-franc. Trop enroulé, ça passe à droite...
     
     
    16h28
    Le Barça a remis un peu le pied sur le ballon depuis quelques minutes. Sans inquiéter le bloc rouge et blanc, extrêmement bien placé, mais il y a du mieux.
     
     
    16h30
    29e : L'occasion de Suarez !!
    Alvès envoie un saucisson au 4e poteau, le Barça garde la balle, combine et Suarez est lancé en profondeur sur la gauche. Il tente un bon pointu bien repoussé par Oblak. Première belle action des locaux !  
     
     
    16h31
    30e : et but de Messi ! (1-1)
     
     
    16h32
    On le disait, ça va mieux au Barça. L'action est construite sur la gauche, Neymar travaille et décale Alba sur la gauche. Le latéral temporise et centre en retrait vers Messi, plus rapide que tout le monde. La frappe de l'Argentin au premier poteau transperce Oblak.
     
     
    16h33
    Et voilà, l'Atlético recule 5 minutes et la sanction est immédiate. En deux accélérations, les Blaugrana reviennent dans le match par Messi...
     
     
    16h34
    Coup-franc très dangereux pour l'Atlético sur la droite. C'est bien frappé au point de pénalty mais dégagé par la défense.
     
     
    16h34
    GOALLLLL! Leo Messi brings Barça level!!!! 1-1 #FCBAtleti #FCBlive pic.twitter.com/VfJN0S2myR
    16h36
    Les débats sont à nouveau équilibrés depuis l'égalisation, même si le Barça conserve un peu plus la balle. On est reparti comme au début.
     
     
    16h38
    37e : encore une belle action madrilène, Carrasco trouve Griezmann qui se met sur son pied gauche et frappe. Au-dessus.
     
     
    16h39
    Lionel Messi and Cristiano Ronaldo have now scored 1000 career goals between them: UNBELIEVABLE. pic.twitter.com/c2VPUMVUqR
    16h39
    38e : but de Suarez pour Barcelone (2-1) !
     
     
    16h40
    Alvès lance en profondeur Suarez sur la droite de la surface. L'Uruguayen résiste au retour de Gimenez et, au premier poteau, frappe entre les jambes d'Oblak, pas impeccable sur le coup. Et ça fait 2 pour le Barça !
     
     
    16h42
    Un nouveau conp-franc catalan est repoussé par l'Atlético. Les Blaugrana ne reculent plus désormais et demeurent dans la moitié de terrain adverse.
     
     
    16h43
    Juanfran va mettre une balayette sur Neymar au niveau de la ligne médiane. Le jaune pour le Madrilène.
     
     
    16h43
    ⚽⚽ ¡GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOL DEL BARÇA! ¡GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOL DE SUÁREZ! (1-2) pic.twitter.com/THVYZYdslh
    16h45
    L'Atlético tente de réagir par Filipe Luis puis Carrasco côté gauche. Le Belge est bien bloqué par la défense.
     
     
    16h45
    Carton rouge pour Filipe Luis !

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    Handball : Espagne et Allemagne

    en finale de l’Euro

    Le Monde.fr | <time datetime="2016-01-29T22:50:40+01:00" itemprop="datePublished">29.01.2016 à 22h50</time> • Mis à jour le <time datetime="2016-01-30T00:24:29+01:00" itemprop="dateModified">30.01.2016 à 00h24</time> | Par

    L'ailier espagnol Victor Tomas, le 29 janvier 2016 face à la Croatie.

    Ça valait le coup de réussir l’un des plus grands exploits de l’histoire du handball... Deux jours après leur inoubliable victoire de quatorze buts sur la Pologne qui les envoyait en demi-finale (37-23), les Croates y ont sombré contre les Espagnols, vendredi à Cracovie (33-29). Après 1996, 1998 et 2006, l’Espagne se qualifie pour la quatrième fois de son histoire en finale du tournoi européen, qu’elle n’a encore jamais remporté.

    Dimanche (17h30), les joueurs de Manolo Cadenas, champions du monde en 2005 et 2013, tâcheront d’inaugurer leur palmarès européen face à l’Allemagne, sortie vivante un peu plus tôt d’une étouffante demi-finale à prolongation (34-33) face à la Norvège, qui avait éliminé la France mercredi. Un match fou, qui a vu l’Allemagne égaliser à vingt secondes de la fin du temps règlementaire (27-27), puis s’imposer grâce à un but à cinq secondes de la fin de ladite prolongation.

    Espagne-Allemagne : les deux équipes se sont déjà affrontées au tour préliminaire de l’Euro 2016, la première s’était imposée 32-29, et le haut fait du match avait été le carton rouge direct infligé au barbu Jorge Maqueda, coupable d’un geste technique aussi spectaculaire qu’interdit au handball : le tir en pleine tronche.

    En gros plan, la délicatesse de Maqueda fait encore plus mal. 😥😥😥 pic.twitter.com/BePzQASZPs

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    L’Espagne partira forcément favorite en finale, si tant est qu’un tel statut signifie encore quelque chose dans ce tournoi si étonnant. En tout cas, il ne garantit rien, comme la France ou le Danemark ont pu s’en apercevoir. Les Ibères savent qu’ils devront se méfier d’une sélection allemande certes jeune (24 ans de moyenne, la plus jeune du tournoi) et inexpérimentée (36 sélections par joueur, seul le Monténégro fait moins), mais terriblement enthousiaste et portée, vendredi soir, par un Tobias Reichmann parfait (10/10, dont 7/7 aux jets de 7 mètres).

    Le « miracle » allemand

    Pour les Allemands, champions d’Europe en 2004 et plus ou moins invisibles sur la scène internationale depuis leur titre mondial en 2007, il s’agit d’une inattendue cerise sur le gâteau. Privée de cinq joueurs majeurs, la Mannschaft n’imaginait pas éliminer le Danemark au second tour (25-23). A vrai dire, elle n’imaginait pas grand-chose en débarquant en Pologne : « On aurait aussi bien pu sortir dès le premier tour, sourit Dagur Sigurdsson, son entraîneur islandais. Se retrouver en finale n’est pas loin d’être un miracle. »

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">

     

    Benoît Kounkoud face au Danemark, le 29 janvier 2016. </figure>

    Pendant ce temps à Vera Cruz, pardon, à Wroclaw, l’équipe de France a remporté face au Danemark le match-qui-n’intéresse-personne, pas même les joueurs, et qui lui offre la 5e place de l’Euro (29-26). Les Bleus ont pris un départ-canon (4-0), avant de gérer leur avance (15-13 à la pause), de se faire rejoindre en fin de match (26-26 à la 53e), puis de se détacher en sa toute fin.

    La rencontre a au moins été l’occasion pour certains de découvrir Vincent Gérard, doublure de Thierry Omeyer, qui a bloqué 20 des 43 tirs danois pendant l’heure qu’il a passée sur le terrain ; et surtout l’ailier droit Benoît Kounkoud (18 ans), auteur de huit buts en l’absence de Luc Abalo, dont il est le sosie handballistique, et qui, s’il continue comme ça, pourrait bien être la surprise de la sélection de 14 joueurs que Claude Onesta emmènera aux Jeux olympiques de Rio dans six mois.

    </article>

     

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    Foot

    Ligue 1 Nice Ligue 1 : L'arrivée d'un Prince saoudien à Nice n'a «rien à voir avec le PSG version QSI»

    Le <time datetime="2016-01-29T19:19+01:00" itemprop="datePublished">29/01/2016 à 19:19:55   lien </time>
    Le président de Nice, Jean-Pierre Rivère, a confirmé vendredi l'arrivée de deux nouveaux investisseurs, dont l'un était présent à ses côtés en conférence de presse. Il a assuré que le projet établi par le club azuréen ne changerait pas.
     
    Jean-Pierre Rivère a tenu à rassurer les supporters niçois. (L'Equipe)

    Jean-Pierre Rivère a tenu à rassurer les supporters niçois. (L'Equipe)

    Jean-Pierre Rivère, le président de l’OGCN, a annoncé dans l’après-midi, au cours d’une conférence de presse, que les quatre actionnaires minoritaires du club - MM. Stellardo, Governatori, Bessis et Bacchialoni - avaient vendu les actions qu’ils détenaient dans l’OGCN à un duo d’hommes d’affaires composé d’un Anglais et d’un Prince Saoudien.

    Pour un montant resté confidentiel, les deux hommes ont racheté 49% des actions du club, M. Rivère restant provisoirement majoritaire avec ses 51%. Présent à la conférence de presse, l’Anglais se nomme Edward Blackmore (36 ans), il vit à Londres, est passionné de sport, supporter de Manchester United et s’est spécialisé dans la recherche d’investisseurs saoudiens. Il n’a pas précisé la hauteur de son investissement personnel dans le club, mais il est nettement inférieur à celui de son partenaire saoudien.

    Son identité n’a pas été dévoilée et il devrait devenir, à terme, le vrai propriétaire du club. «Il veut rester discret», a expliqué le président Rivère, lequel a dévoilé la deuxième étape du projet. Au plus tard le 30 juin, M. Rivère devrait céder 31% de ses parts au duo anglo-saoudien, qui détiendra alors 80% du capital du club. Si tout se passe comme prévu, Nice devrait donc être détenu à 80% par des capitaux étrangers, à compter du 1er juillet au plus tard.

    Rester dans la continuité du projet

    Mais M. Rivère, arrivé au club en 2011, en restera le président, et Julien Fournier son directeur général, pour une durée contractuelle de «plusieurs saisons». Ce pourrait être trois ans, jusqu'en juin 2019. La motivation de ce Prince saoudien, propriétaire d’une résidence secondaire sur la Côte d’Azur ? Se faire plaisir avec un club de football européen. Ses ambitions, ses moyens et son projet ? Les nouveaux actionnaires et futurs propriétaires disent vouloir rester dans la continuité du projet niçois, axé sur le développement et la formation des jeunes, avec l’envie d’accélérer les choses et d’injecter l’argent suffisant pour pouvoir se permettre de garder leurs meilleurs jeunes.

    Ce duo n’a pas vocation à faire passer le Gym dans une dimension parisienne - «ça n’a rien à voir avec le PSG version QSI», insiste Rivère-, mais à tenter de l’installer dans le top 5 du Championnat. Néanmoins, Nice pourrait consentir des efforts visibles dès l’intersaison.

    Les dossiers Hatem Ben Arfa et Claude Puel, dont les prolongations de contrat sont souhaitées par le club, resteront les dossiers de Jean-Pierre Rivère. Mais l’arrivée des nouveaux actionnaires ne peut être qu’un plus dans l’espoir d’un dénouement positif.

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  •  22e j. Ligue 1 : Lyon et Marseille ne sont pas plus avancés après leur duel

    Le <time datetime="2016-01-24T23:02+01:00" itemprop="datePublished">24/01/2016 à 23:02:00</time> | Mis à jour le <time datetime="2016-01-25T09:57+01:00" itemprop="dateModified">25/01/2016 à 09:57:26</time> |  lien
    Le choc de la 22e journée entre l'OL et l'OM, dimanche, a débouché sur un nul (1-1) logique en regard des insuffisances de chaque équipe. Pour les deux, ce n'est pas une bonne affaire dans la course à l'Europe.
     
    Alexandre Lacazette n'a pas réussi à tromper Steve Mandanda. (L'Equipe)

    Alexandre Lacazette n'a pas réussi à tromper Steve Mandanda. (L'Equipe)

    Le match : 1-1

    Voici donc les deux Olympiques à neuf points de la deuxième place, la seule qui vaille vraiment quand on vise la Ligue des champions, objectif affiché de Lyon comme de Marseille en début de saison. Il faut reconnaître aux deux équipes d’avoir honorablement animé le choc de la 22e journée, y compris dans une fin de match où l'OL a eu deux fois en deux minutes l’occasion de plier l’affaire. Mais personne ne saura se contenter de ce surplace au classement.

    La lecture de la soirée aurait été différente si la reprise acrobatique de Lacazette (88e), puis la frappe de Tolisso (89e) avaient fini dans le but de Mandanda, mais c’est un mal récurrent à Lyon de ne pas marquer pendant ses temps forts. Au bout du compte, son égalisation à onze minutes de la fin, sur un coup franc de Valbuena repris par Tolisso (79e), est logique au regard des efforts fournis en deuxième période pour pousser sur le but marseillais. Elle aurait même pu venir plus tôt sur la grosse frappe de Valbuena, sortie par Mandanda (63e).

    Mais avec beaucoup moins de possession, l’OM a réussi à être bien plus dangereux, se procurant en première période deux occasions très nettes par la tête de Rolando (sauvée sur sa ligne par Darder, 6e) et une frappe de Nkoudou détournée par Lopes dans un angle fermé (17e). La tendance de Lyon à se compliquer la vie contrastait avec le jeu des Marseillais, direct à défaut d’être très imaginatif. Ainsi, le but de Cabella (centre de Sarr, remise de Batshuayi) était-il un modèle de simplicité. Alors que Lyon est toujours en quête d’une victoire significative depuis l’arrivée de Bruno Genesio, Marseille est maintenant invaincu à l’extérieur depuis sept matches. Rien de très nouveau, finalement.
     
     

    Steve Mandanda a brillé, dimanche, au Parc OL, et n'a pas été perturbé par les jets de boulettes.

    (A. Martin) (L'Equipe)


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