• Le Barça comme d'habitude

    Le <time datetime="2016-01-09T17:52+01:00" itemprop="datePublished">09/01/2016 à 17:52:00</time> | Mis à jour le <time datetime="2016-01-09T18:13+01:00" itemprop="dateModified">09/01/2016 à 18:13:29</time> | lien
     
    Vainqueur logique de Grenade (4-0) avec un triplé de Lionel Messi, le FC Barcelone a provisoirement repris la tête de la Liga à l'Atlético Madrid, qui se déplace dimanche soir chez le Celta Vigo.
     
    Messi a inscrit trois buts contre Grenade. (Reuters) (Reuters)

    Messi a inscrit trois buts contre Grenade. (Reuters) (Reuters)

    Le match : 4-0

    Quelques heures avant les grands débuts de Zinédine Zidane sur le banc de son rival madrilène, le Barça lui a déjà mis la pression en s’imposant très facilement face à Grenade avec un triplé de Lionel Messi (4-0). Toujours invaincu à domicile cette saison, le club catalan a repris provisoirement la tête de la Liga à l’Atlético, qui se déplace dimanche sur le terrain du Celta Vigo. Les Andalous, qui possèdent l’avant-dernière défense du Championnat, n’ont jamais pu faire illusion face à une équipe pourtant privée de Mascherano (au repos), Iniesta, Daniel Alves ou encore Busquets (qui étaient sur le banc).

    Il n’a fallu qu’un quart d’heure aux hommes de Luis Enrique pour plier la rencontre. Arda Turan, aligné pour la première fois en Liga, a donné un superbe ballon dans le dos de la défense pour Messi sur l’ouverture du score à la 8e. Six minutes plus tard, l’Argentin a encore marqué, à la suite d'un jeu en triangle initié par Neymar et relayé par Suarez. Messi a enfin marqué son 11e but en huit duels face à Grenade en prenant le meilleur sur l’ex-Marseillais Doria après avoir vu le poteau repousser un tir de Neymar (57e). En fin de match, Suarez a trouvé Neymar à la limite du hors-jeu pour le dernier but local (83e).

    L'homme : Messi en très grande forme

    Blessé de fin septembre à fin novembre, Lionel Messi est déjà à son meilleur niveau. Auteur d’un triplé, l’Argentin en est désormais à onze réalisations en huit rencontres face à Grenade. L’Argentin est d’ailleurs impliqué sur sept des huit buts inscrits par les Catalans en 2016 : cinq réalisations et deux passes décisives pour lui. Toujours aussi influent dans le jeu, il aurait aussi pu marquer à la 31e sur une passe d’Aleix Vidal, mais sa reprise du gauche a été captée par Andrés.

    Le fait : Suarez de nouveau altruiste

    L’Uruguayen, qui n’avait plus donné une passe décisive en Liga depuis deux mois, a été à l’origine de deux buts barcelonais contre Grenade et il a sorti un match plein. Il aurait pu obtenir un penalty puisqu'il a été crocheté par Mainz dans la surface à la 56e mais l'arbitre ne lui a pas accordé. En première période, il a cependant manqué une très grosse occasion : trouvé par Neymar à la 27e, il a dribblé le gardien adverse mais a ensuite manqué le cadre alors que le but était vide...

    votre commentaire
  • Vidéo FC Barcelone : Le magnifique coup franc

    inscrit par Lionel Messi face à l’Espanyol

    Voir le site Téléfoot

    Lionel Messi   FC Barcelone
    Par |Ecrit pour TF1|hier à 12:46, mis à jour hier à 12:46    lien
    Lionel Messi   FC Barcelonehttp://photos2.tf1.fr/1043/359/lionel-messi-fc-barcelone-14-95ccf6-0@1x.jpg
    Lionel Messi   FC Barcelone

    Le FC Barcelone a fait un grand pas vers les quarts de finale de la Coupe du Roi en dominant l’Espanyol

    Barcelone 4-1 mercredi soir. Lionel Messi a éclaboussé la rencontre de sa classe, avec un sublime coup-franc.

    Lionel Messi semble parti sur de très bonnes bases en 2016. Face à l’Espanyol Barcelone, l’Argentin a inscrit un doublé et délivré deux passes décisives. Pour son deuxième but, la Pulga a fait parler toute sa finesse. Placé aux 27 mètres, il a marqué un coup-franc qui fera date dans les annales de la Coupe du Roi. Découvrez-le en vidéo sur le site internet de la Gazzetta dello Sport en cliquant sur le lien suivant :

    â–º LE COUP-FRANC INSCRIT PAR LIONEL MESSI FACE A L’ESPANYOL BARCELONE (VIDEO)

    Messi, homme du match

    Quatre jours après son match nul 0-0 face à l’Espanyol Barcelone en Liga, le FC Barcelone a pris sa revanche en Coupe du Roi. Lionel Messi a livré un véritable récital, et a permis à son équipe de prendre une sérieuse option pour les quarts de finale. Pourtant, le match démarre mal pour les Catalans. A la neuvième minute de jeu, Caicedo trompe Ter Stegen après un contre rondement mené. Les supporteurs blaugrana pensent alors que la soirée va tourner au vinaigre, mais c’était sans compter sur le génie de la Pulga.
     



    Le génie argentin égalise à la 13ème minute de jeu, puis donne l’avantage aux Catalans peu avant la mi-temps. Placé aux 27 mètres, il est à la baguette au coup-franc. D’un enroulé magistral, il trompe le portier de l’Espanyol.  Au retour des vestiaires, Lionel Messi délivre une passe décisive à Piqué, avant d’en donner une autre à Neymar. Le FC Barcelone s’impose finalement 4-1 face à son voisin.



    Premières pour Turan et Vidal

    Recrutés cet été, Arda Turan et Aleix Vidal n’avaient pu prendre part à un match du FC Barcelone depuis. Le club avait en effet été sanctionné pour des transferts illégaux de joueurs mineurs. Cette interdiction a pris fin au début du mercato hivernal, et les deux joueurs ont pu faire leurs grands débuts avec la tunique catalane mercredi soir.

    Arda Turan est apparu en forme, et aurait même pu tromper les filets. A la 62ème minute de jeu, son tir croise a toutefois été repoussé par le gardien de l’Espanyol. Encore en manque de rythme, il est sorti cinq minutes plus tard. Sur le terrain, il avait pris la place de Rakitic, remplaçant. Aleix Vidal n’a pas eu l’opportunité de démarrer la rencontre, mais a quand même disputé 20 bonnes minutes, entré en jeu à la place de Dani Alves. Son impact dans l’équipe est difficile à juger, puisque l’Espanyol s’est retrouvé à neuf sur le terrain, après les expulsions de Hernan Lopez et Pape Diop.

    Diego Maradona pourrait bien être la clé de la réussite de Lionel Messi sur coup-franc

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • <article class="article-box top-line " data-url="/sports/2016/01/07/platini-renonce-a-la-course-a-la-presidence-de-la-fifa_1424972" itemprop="mainContentOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">
    <header class="article-header">
    A chaud

    Platini renonce à la course à la présidence

    de la Fifa

    Par <time datetime="2016-01-07T19:55:11" itemprop="datePublished">7 janvier 2016 à 19:55</time> (mis à jour à <time datetime="2016-01-07T19:56:15" itemprop="dateModified">19:56</time>)
     
    </header>
    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> </figure>
    </article>

    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="read-left-padding caption" itemprop="description">

    Michel Platini à la sortie du Tribunal arbitral du sport de Lausanne, le 8 décembre.

    Photo Fabrice Coffrini. AFP  lien 

    </figcaption> </figure>

    Le président suspendu de l’Union européenne de foot (UEFA) annonce qu'il abandonne la campagne pour la Fédération internationale.

    Michel Platini a renoncé à se présenter à la présidence de la Fédération internationale de football (Fifa), dont l’élection anticipée se tiendra le 26 février : le président suspendu de l’Union européenne de foot (UEFA), condamné à sept ans d’inéligibilité par le Comité d’éthique de l’instance dont il briguait la direction depuis l’officialisation de sa candidature fin juillet, laisse tomber une campagne qui lui aura valu un certain nombre de déboires. A commencer par la susdite condamnation dans le cadre d’une investigation relative à des travaux «prétendument effectués» (selon la terminologie de la justice suisse) pour la Fifa entre 1999 et 2002 et facturés 2 millions d’euros (1,8 million de francs suisses) en 2011 – pour peu qu’on fasse le lien entre sa candidature à la Fifa et la sortie de cette affaire, ce qui est un avis assez largement partagé dans les arcanes du foot mondial.

    Platini voit la suite en deux temps : recouvrer son honneur devant la justice des hommes – la Fifa l’avait condamné sur la foi d’une investigation lancée par la justice suisse – et sauver ce qui peut l’être, c’est-à-dire la présidence de l’UEFA, pour lequel il est également suspendu puisque la peine administrée par la Fifa porte sur «toutes les fonctions que Platini pourrait occuper dans le football».  «En me retirant, je fais le choix de me consacrer à ma défense par rapport à un dossier où on ne parle plus de corruption, de falsification, où il n’y a plus rien», dit-il dans un entretien à l'Equipe.

    Selon nos informations, le Français a dealé avec Gianni Infantino, le candidat de substitution de l’UEFA à la présidence de la Fifa qui s’était déclaré au regard des difficultés de Platini suite à l’affaire des 2 millions : Platini lui laisse le champ libre et en échange, Infantino l’appuiera dans le futur lors de ses divers recours à venir vis-à-vis du Comité d’éthique de la Fifa visant à rétablir l’innocence de l’ex-numéro 10.


    votre commentaire
  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Zinédine Zidane, nouvel entraîneur du Real Madrid

    Le Monde.fr | <time datetime="2016-01-04T20:04:54+01:00" itemprop="datePublished">04.01.2016 à 20h04</time> • Mis à jour le <time datetime="2016-01-04T21:49:10+01:00" itemprop="dateModified">04.01.2016 à 21h49   lien </time>

    | Par

    Zinédine Zidane le 19 décembre avec l'équipe réserve du Real, à Madrid.

    L’information avait été éventée par plusieurs médias espagnols, lundi 4 janvier, en milieu d’après-midi. La nomination de Zinédine Zidane comme entraîneur du Real Madrid a été officialisée par le président du club, Florentino Pérez, lors d’une conférence de presse organisée au stade Santiago Bernabéu dans la soirée. Zidane a brièvement pris la parole pour dire :

    « Je veux remercier le club de m’offrir la possibilité d’entraîner (....) le meilleur club du monde. Je vais tenter d’y mettre tout mon coeur.Je crois que tout va bien se passer ».

    A la tête de la « Castilla », l’équipe réserve du Real, depuis l’été 2014, l’ancien numéro 10 des Bleus et ancien milieu de la « Casa blanca » (231 matchs au compteur entre 2001 et 2006) remplace l’Ibère Rafael Benitez, en poste depuis juin 2015.

    La désignation du « sphinx » Zidane, 43 ans, a été décidée lors d’une réunion d’urgence organisée par la direction du club. Elle fait suite au match nul (2-2) concédé par les Merengue contre Valence, dimanche 3 janvier. Premier Français à occuper cette fonction au Real, le Marseillais prend les rênes d’une phalange classée troisième de Liga, à quatre points derrière son frère ennemi de l’Atlético, surprenant leader du championnat, et deux longueurs du FC Barcelone, qui avait humilié le Real 4-0 au Bernabeu le 21 novembre.

    Alors que les Galactiques ont changé vingt fois d’entraîneur en vingt ans, Zidane hérite d’un effectif traumatisé par une année 2015 sans titre et une litanie de scandales (affaire de la sextape de l’attaquant français Karim Benzema, élimination en Coupe du roi pour une erreur administrative). En prenant les commandes du club le plus titré (dix Ligues des champions) et le plus riche d’Europe depuis une décennie (549,5 millions d’euros de revenus à l’issue de la saison 2013-2014), le quadragénaire relève un défi de taille, lui qui gravite au sein de l’organigramme du Real depuis 2009. Soit trois ans après l’arrêt de sa carrière, ponctuée par un fameux coup de boule asséné à l’Italien Marco Materazzi, et une expulsion en finale du Mondial 2006.

    Ambassadeur du club

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">

     

    Zinédine Zidane avec l'équipe réserve du Real à Madrid le 19 décembre. </figure>

    Ambassadeur du club, conseiller de Florentino Pérez, puis éphémère directeur sportif des Galactiques (2011-2012), « Zizou » était devenu l’adjoint de l’entraîneur italien Carlo Ancelotti en juin 2013. Après le règne tumultueux et infécond (2010-2013) du Portugais José Mourinho, la nomination du technicien italien et de son illustre adjoint avait représenté un signal d’apaisement à destination de la communauté « madridiste ».

    « Avec son histoire personnelle, sa tranquillité, son intelligence, Zidane aurait pu choisir n’importe quel poste, sur le banc ou dans les bureaux », assurait en juin 2013 le Brésilien Roberto Carlos, ex-défenseur du Real (1996-2007). Du Marseillais, qui avait permis à sa formation, d’une reprise de volée fabuleuse, de remporter en 2002 son neuvième titre en Ligue des champions, les supporteurs conservent l’image d’un sportif resté loyal envers l’institution merengue. Car, depuis son recrutement en 2001 contre 75 millions d’euros, Zinédine Zidane n’a jamais quitté la capitale espagnole. Il y possède une vaste villa à colonnades, située à proximité du complexe de Valdebebas, le centre d’entraînement du Real.

    « Ce qui est certain, c’est que nous voulons que tout le projet sportif dans les quatre prochaines années soit mené par Zidane », avait déclaré, en juin 2013, Florentino Pérez, alors en pleine campagne pour sa réélection. D’octobre 2011 à janvier 2014, Zidane a multiplié également les séminaires pour obtenir le diplôme de manageur au Centre de droit et d’économie du sport de Limoges (CDES).

    « Son arrivée sur le banc était dans les tuyaux », assurait au Monde, en 2013, Jean-Pierre Karaquillo, cofondateur et directeur de l’établissement.

    « Zidane est un garçon prodigieusement intelligent. Il avance à petits pas et ne part pas à l’aventure. Chez nous, il a acquis des outils en marketing, gestion et management. En septembre, il doit encore présenter un projet devant un jury après avoir préparé quatre dossiers. Florentino Pérez a compris qu’il devait l’utiliser davantage que comme une icône. Il est plus que ça. »

    Accélération de sa carrière d’entraîneur

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">

     

    Zinédine Zidane, le 19 décembre en Espagne. </figure>

    En août 2014, la Fédération espagnole de football (RFEF) avait été saisie d’une plainte du Centre national de formation des entraîneurs (Cenafe), qui reprochait à l’icône d’entraîner la Castilla, en troisième division, sans les diplômes adéquats. Deux mois plus tard, Zidane avait été suspendu pour trois mois par la RFEF avant d’être blanchi par le Tribunal administratif du sport espagnol (TAD). Le champion du monde 1998 avait obtenu, en mai 2015, le diplôme d’entraîneur UEFA et sa licence professionnelle européenne. Il pourrait valider son DEPF (diplôme d’entraîneur professionnel de football) au printemps 2016.

    A la tête de l’équipe réserve du Real, il s’était distingué en dirigeant, à partir d’octobre 2014, son fils aîné Enzo (20 ans) avant de le nommer capitaine. Gardien de la Juvenil B (17 ans) du Real, son deuxième fils, Luca, avait remporté, en mai 2015, le championnat d’Europe des moins de 17 ans avec l’équipe de France.

    Nouveau guide des Galactiques, l’ex-numéro 5 de la « Maison blanche » aura, à terme, comme mission d’offrir à sa formation un énième titre en Liga. Il cherchera à imiter son prédécesseur Carlo Ancelotti — vainqueur du tournoi en 2014 — en décrochant un onzième triomphée en Ligue des champions. En février, l’ex-meneur de jeu des Bleus retrouvera sur sa route l’AS Roma en huitièmes de finale de la plus prestigieuse des compétitions européennes.

    L’avènement de « Zizou » à la tête des Merengue préfigure sans conteste l’accélération de sa carrière d’entraîneur. En octobre 2012, Zidane avait assuré qu’il aspirait à « devenir un jour sélectionneur de l’équipe de France ». « A partir du moment où il a décidé qu’il serait sur un banc de touche, il est susceptible d’être sélectionneur de la France ou d’un autre pays, confiait, en mars 2014, au Monde, le patron des Bleus, Didier Deschamps. Et avec l’histoire qu’il a avec ce maillot, il est possible que ça lui arrive. »

    </article>

    votre commentaire
  • Espagne: Le Real débouté par la justice sportive espagnole sur son exclusion de la Coupe du Roi

    FOOTBALL Le club espagnol avait aligné un joueur suspendu...

    <figure class="oembed oembed-photo" data-src-format="photo" id="main-illustration" role="group"> Le président du Real Madrid Florentino Perez en conférence de presse le 23 novembre 2015. <figcaption class="media-figcaption">Le président du Real Madrid Florentino Perez en conférence de presse le 23 novembre 2015. - Francisco Seco/AP/SIPA</figcaption> </figure>

    R.B. avec AFP

    Le tribunal du sport espagnol a rejeté lundi le recours du Real de Madrid contre son élimination de la Coupe du roi, pour avoir aligné un joueur suspendu lors d'un match remporté le 2 décembre contre le Cadix CF.

    Dans un communiqué laconique, le Tribunal administratif annonce «rejeter le recours» présenté par le club merengue, et précise que la décision est définitive. Le club madrilène dispose cependant encore de deux mois s'il veut saisir la justice ordinaire contre cette décision.

     

    Le Real avait présenté ce recours devant le tribunal du sport après avoir été éliminé de la Coupe du Roi pour avoir aligné le Russe Denis Cheryshev, suspendu après avoir reçu trois cartons jaunes quand il jouait pour Villareal, dans un match remporté 1-3 à Cadiz.

    Le comité d'appel de la Fédération espagnole de football avait confirmé cette sanction alors que le Real affirmait ne pas avoir été informé de la sanction qui pesait contre Cheryshev.

    «Chaque club est responsable de vérifier si ses joueurs ont la possibilité d'être alignés», avait justifié le comité d'appel.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique