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Par marialis2.2 le 2 Février 2016 à 23:50Mardi 2 février 2016
SONDAGES DE L'ELYSEE
L'ex-directrice de cabinet de Sarkozy
mise en examen
<figure class="mainImage"> <figcaption>Emmanuelle Mignon est l'ancienne directrice de cabinet de Sarkozy. AFP</figcaption> </figure>Emmanuelle Mignon a été mise en examen mardi pour favoritisme dans l’affaire des sondages et dépenses de communication de l’Elysée lors du dernier quinquennat.
Emmanuelle Mignon, ancienne directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy, a été mise en examen mardi pour des faits de favoritisme dans l’affaire des sondages et dépenses de communication de l’Elysée lors du dernier quinquennat.
L’enquête porte sur les contrats conclus par l’Elysée avec plusieurs instituts de sondage ou sociétés de conseil durant la présidence de Nicolas Sarkozy, notamment avec le cabinet de l’un de ses plus proches conseillers à l’époque, Patrick Buisson.
Trois personnes sont déjà mises en examen dans ce dossier : Patrick Buisson, Pierre Giacometti, président de la société Giacometti-Perron, et un ancien conseiller «opinion» de Nicolas Sarkozy, Julien Vaulpré.
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Par marialis2.2 le 15 Décembre 2015 à 16:30
Sarkozy choisit Wauquiez pour remplacer
NKM comme numéro 2 des Républicains
<figure class="fig-photo"> <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">LE SCAN POLITIQUE - La députée de l'Essonne, en rupture avec Nicolas Sarkozy, va quitter ses fonctions de vice-présidente du parti. Eric Woerth et Isabelle Le Callennec sont promus.
C'était attendu. En totale rupture de ban avec la ligne des Républicains (LR), Nathalie Kosciusko-Morizet semblait ne plus pouvoir occuper très longtemps ses fonctions de vice-présidente déléguée du parti. Mais si un remaniement prévu en janvier était initialement censé la démettre de ses fonctions, la multiplication de ses coups d'éclat médiatiques a finalement contraint Nicolas Sarkozy à accélérer son calendrier. Ainsi, un communiqué envoyé mardi en fin de matinée est venu sceller le sort de la députée de l'Essonne: le parti annonce le remplacement de la numéro 2 du parti par Laurent Wauquiez, actuel numéro 3.
À l'Agence France-Presse, l'entourage de l'ancien chef de l'État joue l'apaisement: «Nicolas Sarkozy s'est entretenu avec Nathalie Kosciusko-Morizet au téléphone dans un climat d'amitié. Il lui a proposé d'être nommée au bureau politique et à la commission nationale d'investiture, ce qu'elle a accepté». La direction du parti dément également être à l'origine des informations diffusées lundi sur «l'éviction» de la députée: «Certains ont alimenté le fait de dire qu'elle allait être évincée, or ça n'a pas été le cas. Je pense que ce sont des proches de Nathalie Kosciusko-Morizet qui ont pris un peu les devants pour éviter ce qui pouvait arriver…», assure sur RTL le porte-parole des Républicains Sébastien Huyghe.
Woerth et Le Callenec sont promus
«Le président des Républicains nomme Laurent Wauquiez vice-président délégué», apprend-on également dans le communiqué. Un choix logique, puisque le nouveau président de la région Auvergne-Rhône-Alpes était jusqu'à présent numéro trois dans l'organigramme, mais qui n'est pas dénué de sens: il témoigne du choix de l'ancien chef de l'État de durcir la ligne du parti. En effet, l'élu de Haute-Loire, ex-disciple de Patrick Buisson, est adepte d'une politique bien plus droitière que NKM, avec qui il est en concurrence sur de multiples tableaux.
Enfin, deux autres promotions sont officialisées par le communiqué: celle des députés de l'Oise et d'Ille-et-Vilaine, Éric Woerth et Isabelle Le Callenec, qui quittent leurs fonctions de délégués généraux au projet pour prendre respectivement celles de «secrétaire général au projet» et vice-présidente - un poste absent des statuts et qui sera semble-t-il créé pour l'élue bretonne. «D'autres nominations» restent encore à annoncer «au début de l'année prochaine», indique enfin le communiqué sans donner plus de précisions.
» VIDÉO - Les Républicains divisés sur l'éviction de NKM:
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Par marialis2.2 le 14 Décembre 2015 à 16:06<article><header>
NKM, évincée de la direction des Républicains, tacle Sarkozy
Celle qui est actuellement numéro deux du parti dirigé par Nicolas Sarkozy et qui avait fortement critiqué la ligne du "ni PS ni FN" défendue par l'ancien chef de l'Etat, ne fera pas partie d'une nouvelle direction qui sera annoncée en janvier.
</header>Nathalie Kosciusko-Morizet et Nicolas Sarkozy AFP<aside class="top-outils"></aside><aside class="inside-art" id="js-article-inside-art"><section class="social-buttons js-share-tools"></section></aside></article>Nathalie Kosciusko-Morizet, actuellement numéro deux des Républicains, va être évincée de la direction du parti, qui sera renouvelée en janvier, ont indiqué lundi 14 décembre des sources concordantes à l'AFP. NKM, qui a fortement critiqué la ligne du "ni PS ni FN" défendue par l'ancien chef de l'Etat entre les deux tours, avait été désignée numéro deux du parti après l'élection de Nicolas Sarkozy à la tête du parti d'opposition fin novembre 2014. S'agissant de son éviction, "Sarkozy ne l'a pas dit clairement mais c'était très clair", ont rapporté plusieurs sources LR.
"Evincer (quelqu'un) au moment où on lance un débat, c'est une vieille idée stalinienne", a réagi NKM en sortant du bureau politique du parti qui se tenait ce lundi matin.
NKM pressentie pour participer à la primaire
Nicolas Sarkozy a insisté sur "ceux qui marquent des buts contre leur camp" et sur le bien-fondé de la ligne "claire" qui a "payé", selon plusieurs sources. Ce dernier a ensuite confié à des journalistes qu'il souhaitait former "une nouvelle équipe" dirigeante du parti d'opposition, "avec un souci de fond et de cohérence". "On préfère que les responsables du mouvement expliquent les positions du mouvement et pas autre chose", a-t-il notamment déclaré après la tenue de ce bureau politique extraordinaire post-régionales
A l'issue du premier tour des régionales, NKM était la seule avec Jean-Pierre Raffarin à s'être opposée à la ligne "ni retrait, ni fusion". Dimanche soir après le second tour, elle s'en est prise de nouveau à ce principe, se disant "heureuse" que les électeurs "n'aient pas appliqué le ni-ni". NKM, qui revendique sa liberté de parole, est pressentie pour participer à la primaire de la droite et du centre qui doit se tenir en novembre 2016 en vue de désigner le/la candidat (e) à la présidentielle.
La députée de la 4e circonscription de l'Essonne a dores et déjà reçu le soutien d'Alain Juppé. "L'exclusion n'est jamais une bonne réponse", a déclaré lundi le maire de Bordeaux, en réaction à l'éviction de Nathalie Kosciusko-Morizet de la direction du parti qui sera renouvelée en janvier.
"Tout est question de savoir comment on conçoit le parti. Est-ce qu'il peut y avoir des opinions diverses ou est-ce qu'on doit être en colonne par un?", a ajouté Juppé, avant le début d'un conseil municipal. Alain Juppé n'a pas assisté à la réunion du bureau politique des Républicains organisée à Paris lundi matin.
Il y a plusieurs mois déjà, sa position lors d'une législative partielle dans le Doubs pour le front républicain avait fortement indisposé Nicolas Sarkozy. Depuis un an, la rumeur d'une éviction a régulièrement circulé à son sujet.
(Avec AFP)
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Par marialis2.2 le 9 Décembre 2015 à 00:52
<aside class="top-left">
</aside><article class="infos"><header>Régionales 2015 : ni fusion ni retrait ?
La décision
de Nicolas Sarkozy est irresponsable
</header><time datetime="2015-12-08T17:36:46" itemprop="datePublished">Publié le 08-12-2015 à 17h36</time><time datetime="2015-12-08T17:36:46" itemprop="datePublished"></time><time class="data-post" datetime="2015-12-08T19:12:59" itemprop="dateModified"> - Modifié à 19h12 lien </time>
LE PLUS. Ni fusion ni retrait. Telle est la position défendue par Nicolas Sarkozy et le parti des Républicains après le premier tour des régionales. Une ligne validée lundi matin en bureau national par la plupart des leaders de droite, y compris Alain Juppé. Une position irresponsable, juge en revanche Mohamed-Toubacher-Ter, militant du parti.
Édité par Sébastien Billard
<figure id="ultimedia_image" style="text-align: center;">Nicolas Sarkozy au siège des Républicains à Paris, le 6 décembre 2015 (VILLARD/SIPA).</figure>
"Ne composez jamais avec l'extrémisme, le racisme, l'antisémitisme ou le rejet de l'autre. Dans notre histoire, l'extrémisme a déjà failli nous conduire à l'abîme. C'est un poison. Il divise, il pervertit, il détruit. Tout dans l'âme de la France dit non à l'extrémisme."
Huit ans après, la déclaration du président Chirac a une résonance toute particulière, malheureusement. Flotte désormais dans notre magnifique pays un drapeau bleu marine. Le "carton jaune" du 21 avril 2002 se transforme, treize ans après, en "carton rouge".
Aujourd'hui, le score du FN atteint un niveau très haut qui fait naître en moi plusieurs sentiments : de l'écœurement, de la colère mais surtout de la tristesse. Ce premier tour des élections régionales voit le FN réaliser des scores historiques, alors que la gauche limite les dégâts et que ma famille politique subit un échec total. C'est le pire des scénarios : un FN sur-puissant, un PS stable.
Non, les sondages ne se sont pas trompés. Non, le vote FN n'était pas surévalué. Non, le vote pour la droite n'était pas sous-estimé. Nous ne sommes plus le premier parti de France, le FN est sur le point de nous faire perdre des régions. Ma famille politique est en effet devancée dans six régions par le FN et dans deux régions par le PS. Elle ne vire donc en tête que dans cinq régions.
Les Républicains sont en pleine impasse idéologique
Le FN qui fait jeu égal avec ma famille politique, c'est une triste réalité. Le scénario est terrible quand on sait dans quel état est pourtant le PS depuis 2012, alors que l'exécutif enchaîne depuis trois ans les couacs, sans obtenir la moindre amélioration sur le front du chômage.
Ma famille politique vit une période très complexe. Ces régionales montrent à quel point le flou idéologique est total. Que ma famille politique prenne en compte ce message du 1er tour. Qui sommes-nous ? Quelle ligne suivre ? Celle de Patrick Buisson ? NKM ? Juppé ? Le Maire ?...
En PACA, ma famille politique radicalisée est dominée voir martyrisée. En Languedoc, le néo-politique Dominique Reynié, copie conforme d'Emmanuel Macron, est troisième derrière Louis Aliot et Carole Delga. La radicalisation de ma famille politique profite indéniablement au FN. Nous assistons ainsi à la mort de cette fameuse ligne de la droite décomplexée. Mais quand la droite ressemble au PS, le FN devient la droite... incarnant le véritable vote utile contre le gouvernement.
Réveillons-nous. La logique d'alternance aurait dû jouer en faveur de ma famille politique, cette droite modérée dont je me réclame. Or la droite de gouvernement n'a pas été perçue par les Français comme plus compétente que la gauche pour résoudre les problèmes.
La droite n'est plus le meilleur rempart face au FN
Ayons le courage et la dignité de dire que nous avons perdu ce premier tour des élections régionales. Et interrogeons-nous. Comment le FN, un mouvement politique contraire aux valeurs de la République, peut apparaître comme un recours alors que ma famille devrait jouer ce rôle ? Sommes-nous toujours le premier parti d'opposition de ce pays ? Sommes-nous toujours un parti de droite républicaine ?
L'élection présidentielle de 2007 est désormais un lointain souvenir : aux yeux des Français, ma famille politique est en effet incapable d'apporter des réponses à la hauteur des enjeux et des dangers. Dans l'optique de 2017, ce résultat est d'une gravité exceptionnelle pour les dinosaures de ma famille politique.
Face à la défaite, ma famille politique ne doit pas sacrifier l'essentiel : faire barrage au FN est une exigence. Ma famille politique doit se reconstruire, nous avons besoin d'air, d'oxygène, et vite. Ma famille a échoué à mobiliser au-delà de son camp,
Regardons les choses en face avec beaucoup de sérénités: nous ne sommes plus le meilleur rempart face au FN. La reconquête sera pénible. La ligne Buisson, cette ligne droitière qui épouse les thèses nauséabondes du FN, ne fonctionne pas, elle est néfaste, elle est anti-républicaine, elle est incapable d'endiguer la montée du FN après la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012.
Oui, le Front républicain a encore un sens
La ligne choisie par ma famille politique pour le second tour m'attriste profondément. Elle est irresponsable ! Nous devons plaider pour un retrait des candidats arrivés en troisième position dans les régions où le FN peut l'importer, où le FN est un danger.
Le front républicain, ce n'est pas un gadget. Le front républicain, c'est une évidence, une obligation "républicaine" qui a pour objet de faire gagner nos valeurs, et faire gagner la France. La droite n'a pas le droit d'enterrer le front républicain.
Ma famille politique ne doit pas permettre la victoire de Louis Aliot en région Languedoc-Roussillon / Midi-Pyrénées. Se retirer est une obligation. Nous avons des valeurs communes avec Carole Delga, les valeurs républicaines. Nous n'avons rien en commun avec le compagnon de Marine Le Pen, absolument rien.
Si par malheur pour les habitants de cette région, Louis Aliot remporte dimanche prochain le scrutin, ma famille politique en sera la première responsable. Le militant, le passionné de politique et l'amoureux de la France que je suis, en aura honte. Nous avons l'occasion de faire honneur à notre appellation, alors soyons Républicains. Entièrement républicains.
Pensons à Jaurès, à Blum, au général de Gaulle. Pensons à la République dimanche prochain. Pensons à la France. De grâce, ne la lâchons pas.
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Par marialis2.2 le 7 Décembre 2015 à 11:17
Résultats régionales : divisions chez les Républicains avant le bureau politique
R.L. | 07 Déc. 2015, 09h14 | MAJ : 07 Déc. 2015, 10h21 lien
<figure> <figcaption class="articleChapeau ">Nicolas Sarkozy a déclaré qu'il n'y aurait «ni retrait ni fusion» pour le second tour des élections régionales dimanche prochain. (AFP/Eric Feferberg)</figcaption> </figure>La réunion s'annonce musclée. Ce lundi en fin de matinée, le parti les Républicains tient son bureau politique après le premier tour des élections régionales. Une fois de plus, les ténors du parti risquent de s'écharper sur la position vis à vis du FN et sur l'attitude à adopter au deuxième tour dimanche prochain.
<aside class="bloc m10t" id="complements">Sur le même sujet
<article class="article_list article76x45 img16-9"></aside><figure> </figure></article> <article class="article_list article76x45 img16-9"><figure> </figure></article> <article class="article_list article76x45 img16-9"><figure> </figure></article>
Dès dimanche soir, le président des Républicains Nicolas Sarkozy a affirmé qu'il refusait tout retrait ou fusion de liste, y compris dans les régions où le FN est bien placé pour l'emporter. «Non à je ne sais quel arrangement tactique», a martelé l'ancien président de la République. Mais d'ores et déjà, plusieurs voix du parti s'élèvent pour discuter sa ligne.
Ce lundi matin, sur France Inter, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a ainsi affirmé que, «quand on est troisième on se retire». Il a tout de même ajouté qu'il ne serait sans doute pas majoritaire lors de la réunion. Le sénateur de la Vienne a également au passage critiqué le positionnement des Républicains, ex-UMP, depuis quelque temps. Selon lui, le résultat du FN «est un échec pour tous. Pour le président de la République d'abord, mais c'est un échec global. Il faut tous se poser des questions sur notre stratégie vis à vis du FN». Et Jean-Pierre Raffarin de marteler : «Il ne faut pas courir après le FN».
Jean-Pierre Raffarin : "Les stratégies face au... par franceinter VIDEO. Raffarin : «Les stratégies face au FN ne sont pas bonnes»
Alain Juppé, qui n'avait pas prévu de se rendre à la réunion du bureau politique de son parti, a finalement décidé d'y aller. «Je réserve mes remarques à ce bureau, avec la volonté de trouver entre nous une ligne de conduite commune d'ici le deuxième tour», a expliqué dimanche soir le maire de Bordeaux. «Le constat est clair, nous enregistrons une forte progression du FN, il faut y réagir avec lucidité et sang-froid», a-t-il ajouté.
De son côté, Nathalie Kosciusko-Morizet a estimé qu'il fallait «tout faire» pour éviter qu'une région n'ait une présidence FN. Rachida Dati a, elle, ce lundi matin, donné raison à Nicolas Sarkozy. «On ne se retire pas et l'on ne fusionne pas avec des gens que l'on combat», a expliqué la maire du 7e arrondissement de Paris.
Les échanges vont donc être tendus. Surtout qu'Eric Woerth a eu des propos sur i télé qui devraient agacer Nicolas Sarkozy avant ce rendez-vous. «Nous n'avons pas de leader officiel, légitime qui porte les couleurs officielles de l'ensemble du parti», a lancé l'ancien ministre (voir encadré ci-dessous).
Une fois la réunion terminée, le parti aura un autre casse-tête à résoudre : ses alliances avec l'UDI et le Modem. Le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde a d'ores et déjà estimé que les listes arrivées en 3e position devraient se retirer devant le risque FN. Une ligne partagée par François Bayrou, patron du Modem.
La droite n'a «pas de leader officiel et légitime»
En charge du programme pour le parti Les Républicains, Eric Woerth ne ménage pas son président, Nicolas Sarkozy. «Les Républicains ne sont pas prêts, nous ne sommes pas en ordre de bataille nationale (...) notre projet n'est pas construit, il est en cours, la primaire n'a pas eu lieu, nous n'avons pas de leader officiel, légitime qui porte les couleurs officielles de l'ensemble du parti», déclare-t-il sur i>Télé. Nicolas Sarkozy «est le leader du parti politique ; la primaire va désigner un candidat pour l'élection présidentielle. C'est celui-là ou celle-là» qui sera le leader, a-t-il ajouté. Il prend toutefois soin de préciser que Nicolas Sarkozy «est un très bon président de parti».
QUESTION DU JOUR. Elections régionales : face au FN, croyez-vous à la constitution d'un front républicain ?
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