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    La Cour des comptes taille en pièces

    le budget de l'État

    en 2014

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-05-27T19:41" itemprop="datePublished" pubdate=""> 27/05/2015 à 19:41</time>

    Dans un rapport d'une sévérité rare, les magistrats dénoncent l'interruption de la réduction du déficit l'année dernière pour la première fois depuis 2011.

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    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Les ministres réaffirment dans un communiqué "l’engagement du gouvernement à poursuivre la dynamique de la réforme de l’État engagée depuis plusieurs années". <figcaption>Les ministres réaffirment dans un communiqué "l’engagement du gouvernement à poursuivre la dynamique de la réforme de l’État engagée depuis plusieurs années". © ERIC FEFERBERG / AFP</figcaption></figure>
     
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    C’est un rapport d’une rare sévérité que vient de publier la Cour des comptes sur l’exécution du budget 2014 de l’État. Rien ou presque n’a trouvé grâce aux yeux de ses magistrats. Le premier président de l’institution, Didier Migaud, a dressé un constat accablant, mercredi matin, devant les députés de la commission des Finances de l’Assemblée nationale. Le socialiste a dénoncé l’interruption de la réduction du déficit budgétaire pour la première fois depuis 2011, une dette en progression soutenue, des recettes inférieures aux prévisions et des dépenses « stabilisées moyennant des opérations budgétaires contestables » !

    En 2014, le déficit de l’État (hors collectivités locales et Sécurité sociale) s’est creusé de plus de 10 milliards d’euros par rapport à 2013, à 85,6 milliards. Et ce résultat n’est même pas lié aux dépenses exceptionnelles comme les "investissements d’avenir". Même en les excluant du calcul, l’écart entre les recettes et les dépenses de l’État s’est creusé de 5,5 milliards d’euros…

    "Les réveils peuvent parfois être douloureux"

    Résultat, la dette de l’État a continué à progresser de 71 milliards d’euros et dépasse désormais 1 528 milliards. Didier Migaud n'a pas hésité à rappeler qu’il aurait fallu limiter le déficit à 11 milliards, soit 7 à 8 fois moins que le chiffre constaté, rien que pour la stabiliser en pourcentage de la richesse annuelle créée…

    Fort heureusement, la faiblesse des taux d’intérêt réclamés à la France du fait du contexte international a tout de même permis de faire baisser le poids des intérêts de 1,7 milliard par rapport à 2013. Mais l’État a tout de même dû emprunter 179 milliards sur les marchés pour combler son besoin de financement ainsi que pour rembourser la dette arrivée à échéance, un chiffre supérieur aux prévisions initiales. Et cette année, ce besoin de financement va encore augmenter à 188 milliards d’euros, à cause des retombées de dette arrivée à échéance pendant la crise financière. « Il y a toujours le risque que les taux agissent comme des anesthésiants (…) les réveils peuvent parfois être douloureux », avertit Didier Migaud.

    Des recettes pas au rendez-vous

    L’État a beaucoup souffert de la chute inattendue de la croissance. Celle-ci a été nulle, selon les dernières prévisions révélées par l’Insee. L’inflation a aussi été largement inférieure aux prévisions, ce qui pèse sur les recettes. Si bien que celles-ci ont été inférieures à l’année précédente pour la première fois depuis 2009 : la mise en place du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) a pesé sur les comptes via une baisse du rendement de l’impôt sur les sociétés. Mais surtout, la croissance spontanée des recettes fiscales s’est révélée inférieure aux prévisions de la loi de finances pour la troisième année consécutive, ce qui montre la fragilité de ces chiffres.

    Contrairement aux promesses, la rapatriement des avoirs des évadés fiscaux, supérieurs aux prévisions de 300 millions d’euros (1,7 milliard au total), n’a pas permis de compenser la réduction d’impôt sur le revenu de 1,3 milliard votée en août.

    Des dépenses stabilisées au prix de quelques arrangements

    Face à la chute des recettes, « les ajustements en dépenses ont été tardifs, trop tardifs, et insuffisants pour contenir le dérapage du solde budgétaire », a constaté Didier Migaud. Certes, les dépenses de l’État ont été stabilisées en 2014, ce qui a été considéré par le premier président de la Cour des comptes comme « un net progrès par rapport aux tendances précédentes ». Mais ce bon résultat a surtout été obtenu grâce à la baisse de la charge de la dette de 1,7 milliard d’euros. Et pendant ce temps, les dépenses de personnel sont reparties à la hausse, tout comme la contribution de l’État pour les pensions des fonctionnaires.

    Si l’État a réussi à faire baisser les dépenses qu’il contrôle directement de 3,3 milliards d’euros, il a exclu de ce champ les décaissements faits pour son compte par des « opérateurs » au titre des deux programmes d’investissements d’avenir. Or ces décaissements de 3,1 milliards ont été utilisés pour combler le manque de crédits votés, notamment pour l’armée ! Une « opération de débudgétisation » qui déroge « aux principes fondamentaux d’annualité, d’universalité et d’unité budgétaire » et qui « fausse l’appréciation des résultats d’exécution », a asséné Didier Migaud.

    Pas d'économies structurelles

    Pire, les dépenses ont été contenues par des annulations de crédits au milieu de l’année plus que grâce à des mesures pérennes, s’inquiète la Cour. « Faute d’économies structurelles significatives, la régulation budgétaire de la dépense a, une nouvelle fois, été pleinement mobilisée, cependant que certaines charges étaient reportées sur les exercices suivants. »

    L’exécution budgétaire 2014 met donc « en évidence les limites des techniques traditionnelles visant à contenir la dépense : (...) les reports de charges s’accroissent et des opérations de l’État sont financées en dehors de son budget. Elle atteste, plus que jamais, d’une double nécessité : asseoir les prévisions de recettes fiscales sur des hypothèses prudentes, maîtriser la dépense par des choix explicites conduisant à des économies durables », résume la cour.

    Des sous-budgétisations régulières

    Les gardiens de la sincérité du Budget s’inquiètent particulièrement de la sous-budgétisation persistante », dans la loi de finances initiale, des aides personnalisées au logement, de l’allocation adulte handicapé, du RSA, de l’hébergement d’urgence ou de l’aide médicale d’État, mais aussi des opérations extérieures de l’armée !

    De quoi faire peser de sérieuses « incertitudes » sur l’exécution du budget 2015 dans un contexte de montée en charge du pacte de responsabilité qui menace le volume des recettes…

    </article>

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  • Le monde de la montagne dans le collimateur

    de la Cour des comptes

    Le Monde.fr | <time datetime="2014-11-21T09:09:19+01:00" itemprop="datePublished">21.11.2014 à 09h09</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-11-21T10:05:14+01:00" itemprop="dateModified">21.11.2014 à 10h05</time> | Par

     

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">  </figure>

    « Des structures protégées, échappant largement à l’effort général de réduction de la dépense publique et en faisant peu pour développer des ressources propres » : telle est la conclusion que tire la Cour des comptes, qui a rendu public, jeudi 20 novembre, un référé sur les comptes et la gestion de la Fédération française de ski (FFS) pour les exercices 2003 à 2011, et de l’Ecole nationale des sports de montagne (ENSM), pour les exercices 2007 à 2012. Les observations ont été adressées à Patrick Kanner, ministre de la ville, de la jeunesse et des sports et au secrétaire d’Etat Thierry Braillard.

    En relevant que la FFS et l’ENSM restent « excessivement » dépendantes des subventions étatiques, la Cour rappelle que, dans un rapport publié en janvier 2013, elle avait recommandé une réduction du soutien de l’Etat aux fédérations sportives, lorsque celles-ci bénéficient d’un environnement favorable au développement de ressources privées. Or c’est précisément le cas avec le « monde blanc », dont les acteurs et opérateurs participent pourtant bien modestement au financement de la FFS, alors qu’ils profitent de ses retombées sportives. 

    4,5 MILLIONS D’EUROS EN 2013

    En conséquence, la juridiction de la rue Cambon préconise une baisse des subventions versées à la FFS, qui perçoit l’aide la plus importante dans le cadre des conventions d’objectifs passées avec l’Etat. Vouée presque exclusivement au haut niveau et à la conquête de médailles, la FFS a perçu de la puissance publique une somme de 4,5 millions d’euros en 2013, à laquelle s’ajoutent 85 conseillers techniques sportifs placés par l’Etat – soit 5 % du total de ces personnels auprès de 77 fédérations sportives –, un nombre lui aussi excessif.

    Entre 2005 et 2012, la FFS a en outre bénéficié de 39 subventions du Centre national pour le développement du sport (CNDS) pour un montant global de 12,1 millions d’euros. La Cour des comptes rappelle au passage que le CNDS, dont l’objet est de participer au financement d’équipements collectifs, n’a pas à prendre en charge celui d’actions liées au haut niveau – en l’espèce « l’appui aux relations internationales », autrement dit le lobbying olympique, du nouveau Comité français du sport international.

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Les moniteurs de ski français sont visés par le rapport de la Cour des comptes. </figure>

    DES CONTRIBUTEURS DISPENSÉS

    La Cour note que les résultats du ski français ne « bénéficient que marginalement » à la fédération, d’une part parce que le ski est très majoritairement une pratique de loisirs, de l’autre parce que la formation appartient aux Ecoles du ski français (ESF), indépendantes de la fédération. Les retombées sont positives, en revanche, pour des acteurs, qui vont des moniteurs de ski aux exploitants de remontées mécaniques, en passant par les fabricants et loueurs de matériels.

    Le Syndicat national des moniteurs de ski français (SNMSF) a d’ailleurs contribué au financement de la FFS à hauteur de 400 000 euros en 2013, soit 2,44 % de l’ensemble des ressources de la fédération. La Cour s’étonne toutefois que les fédérations hôtelières ou les gestionnaires de domaines skiables et de transports échappent totalement à cette contribution.

    PROTÉGÉ DE LA CONCURRENCE EUROPÉENNE

    S’agissant de l’ENSM, qui a reçu en 2013 une subvention annuelle de fonctionnement de 7, 7 millions d’euros, la Cour relève que cette école « fait supporter par l'Etat les surcoûts et besoins de financement générés par son incapacité à mobiliser des ressources propres substantielles et par les spécificités de son organisation ».

    Regroupant l'Ecole nationale de ski et d'alpinisme (ENSA) et le Centre national de ski nordique et de moyenne montagne (CNSNMM), l’ENSM délivre notamment le brevet d'Etat d'éducateur sportif (BEES) option ski alpin, indispensable à l’exercice de l'activité de moniteur. Protégé de la concurrence européenne, ce professionnel peut « maintenir des tarifs élevés ».

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> L'ENSM protège ses moniteurs de la concurrence européenne. </figure>

    La Cour ajoute qu’« aucun des grands opérateurs du monde de la montagne ne verse la moindre contribution au titre de la taxe d'apprentissage à une école qui forme des personnels qui contribueront ultérieurement au développement des ressources de ces opérateurs. » Elle relève aussi l’anomalie que représente l’ENMS, « une des rares écoles nationales supérieures sur financement public à ne pratiquer aucun droit d'inscription forfaitaire, alors qu'elle donne accès à un emploi assuré. »

    TROUVER DES SOUTIENS FINANCIERS

    Cette école, qui « a échappé aux mesures de rigueur sur le plan de son financement », a vu son plafond d’emplois diminuer modestement (de 131 en 2010 à 125,5 en 2014) alors que « sa subvention est restée constante depuis sa création ».  

    La Cour recommande donc non seulement d’« augmenter sensiblement les tarifs de formation et d'hébergement pratiqués par I'ENSM » et d’instaurer un droit d'inscription forfaitaire, mais aussi de « réduire les effectifs salariés de l'école » tout en augmentant les recettes émanant de la taxe d’apprentissage.

    La FFS est, elle, conviée à développer des partenariats avec le Syndicat national des moniteurs de ski français (SNMSF) et Domaines skiables de France (DSF) et à rechercher un soutien financier des fabricants de matériels, fournisseurs de la fédération.


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  • La Cour des comptes dénonce la gabegie du TGV

     

    G.L. | Publié le 18.10.2014, 09h50 | Mise à jour : 11h17   lien 

     
    ILLUSTRATION. La Cour des comptes enjoint, dans un rapport à venir, la SNCF à «restaurer la marge opérationnelle de l’activité grande vitesse».

    ILLUSTRATION. La Cour des comptes enjoint, dans un rapport à venir, la SNCF à «restaurer la marge opérationnelle de l’activité grande vitesse». | (LP/AURELIE AUDUREAU.)

     
    Coûts exorbitants, études de rentabilité irréalistes, décisions discutables de l'Etat... C'est un bilan bien sombre de la politique de la grande vitesse ferroviaire que la Cour des comptes dresse dans un projet de rapport, qu'a consulté le site d'information sur les politiques publiques Contexte. <btn_noimpr> </btn_noimpr>

    Premier constat : des prévisions de trafic trop optimistes. Aucune des six lignes à grande vitesse citées dans le rapport n'a atteint les objectifs escomptés. Les taux de rentabilité de la LGV Nord et de la LGV Méditerranée, notamment, sont deux à quatre fois moindres que prévus.

    Une tendance qui perdurerait, à en croire la Cour des comptes : dans son étude menée pour évaluer la fréquentation de la ligne Poitiers-Limoges, Réseau Ferré de France«exagère significativement le niveau des trafics », juge-t-elle. Le taux de rentabilité maximum attendu, 3,3 %, impliquerait un apport massif de subventions, jusqu'à 80 %.

    La pression des élus locaux

    Les territoires seraient-ils tout puissants ? La pression exercée par les collectivités sur l'Etat débouche sur la poursuite de projets «non financés». «On constate que les annonces politiques, à haut niveau, confortent solidement les projets avant même que soient menées à bien les phases préliminaires », s’étonne la Cour des comptes.

    Ainsi, la recherche de financements pour la LGV Tours-Bordeaux est intervenue «douze ans après le lancement des études et seulement quatre ans environ avant le début des travaux».

    Une complaisance à l'égard des élus qui ferait perdre de vue à l'Etat la finalité de la grande vitesse, résume Contexte. Au lieu de faire du train un concurrent de l'avion crédible en terme de rapport «temps de trajet-prix», on utilise les LGV pour dynamiser les territoires. Les TGV desservent ainsi 230 gares en France. Un record européen.

    Restaurer la marge opérationnelle de la SNCF

    L'Union européenne n'est d'ailleurs pas exemptée de reproches, elle qui pousse pour le développement de projets à la rentabilité discutée, comme la LGV reliant Bordeaux à l'Espagne et la ligne Lyon-Turin.

    La Cour des comptes enjoint la SNCF à «restaurer la marge opérationnelle de l’activité grande vitesse», le taux de marge étant passé de 29 % à 12 % du chiffre d'affaires entre 2008 et 2013. La dette cumulée de l'entreprise atteint désormais 44 milliards d'euros.

    Les sages de la rue Cambon préviennent que «le risque est grand de voir le transporteur national aborder l’inéluctable ouverture à la concurrence de son activité voyageurs dans une position de faiblesse préjudiciable à son avenir».

     

    LeParisien.fr

     

     

     

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  • La Cour des Comptes suggère de revoir l'indemnisation chômage des emplois précaires

    La Cour des comptes estime dans un rapport adressé mardi au gouvernement qu'il faut revoir le système d'indemnisation chômage pour les emplois précaires, car il favorise trop les intérimaires par rapport aux CDD et privilégie les intermittents du spectacle.
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    La Cour des comptes estime dans un rapport adressé mardi au gouvernement qu'il faut revoir le système d'indemnisation chômage pour les emplois précaires, car il favorise trop les intérimaires par rapport aux CDD et privilégie les intermittents du spectacle. Thomas Samson AFP

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    Mis à jour le 26.11.13 à 19h50       lien

    La Cour des comptes estime dans un rapport adressé mardi au gouvernement qu'il faut revoir le système d'indemnisation chômage pour les emplois précaires, car il favorise trop les intérimaires par rapport aux CDD et privilégie les intermittents du spectacle.

    Dans ce «référé» rendu public à l'approche des négociations sur l'assurance chômage, la Cour note que l'indemnisation à l'issue des emplois précaires (CCD, intérim, intermittents) constitue une «composante importante du déficit de l'assurance chômage» (4,1 mds d'euros en 2013, selon l'Unédic).

    La Cour l'impute notamment à l'augmentation de la part des emplois de courte durée sur le marché du travail.

    Elle estime que le mode de calcul spécifique existant pour les intérimaires n'est «ni justifié, ni équitable au regard des règles appliquées aux CDD» qui relèvent du régime général, moins favorable.

    Dans d'autres pays européens, les règles d'indemnisation sont les mêmes pour les intérimaires et les autres contrats courts, relève la Cour, qui juge «souhaitable» leur «rapprochement». Selon elle, cela permettrait à l'assurance chômage de réaliser une économie d'au moins 300 millions d'euros.

    La Cour se penche ensuite sur le régime des intermittents. Elle ne remet «pas en cause l'existence d'un régime spécifique» et juge «inévitable» qu'il soit déficitaire, vu la nature de leur activité.

    Mais elle constate qu'il s'agit de la «catégorie des demandeurs d'emplois indemnisés bénéficiant de loin des règles les plus favorables». Alors que les intermittents, les CCD et les intérimaires sont tous «en situation de précarité».

    Ce constat pose la question, à ses yeux, du «bon niveau de solidarité interprofessionnelle».

    Elle remarque aussi que les intermittents quittent pour la plupart leur travail «quelques jours après avoir effectué le nombre de jours nécessaire pour être titulaires de droits et qu'ils retrouvent souvent une activité au moment où ils ont épuisé leurs droits».

    Elle préconise donc d'augmenter les cotisations des employeurs et de les rendre variables «en fonction du nombre d'heures d'intermittence» utilisées.

    Elle propose aussi de différencier les artistes des techniciens, «principaux bénéficiaires de ce régime». Etant souvent dans une situation moins précaire que les artistes, ils pourraient, selon la Cour, se voir appliquer des règles plus proches de celles des intérimaires.

    Les difficiles négociations sur la refonte des règles de l'assurance chômage doivent débuter en janvier avec les partenaires sociaux.

    En 2003, le conflit des intermittents contre la réforme de leur régime d'assurance chômage avait entraîné l'annulation du festival d'Avignon.

    © 2013 AFP

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