•  

    Retour le 21 septembre

    "Les Guignols" vont louper la rentrée

    <figure class="image"><figcaption>

    PPD des "Guignols de l'info". © Canal+
    Le 26 août 2015 | Mise à jour le 26 août 2015
    </figcaption></figure>

    Pour découvrir la nouvelle formule des «Guignols», il va falloir patienter un peu plus. Canal+ a annoncé dans une communiqué que les marionnettes les plus célèbres du PAF reviendraient à l'antenne plus tard que prévu. 

    A partir du 7 septembre prochain Canal+ fait sa rentrée. Enfin presque toute la maison Canal+. Les «Guignols de l'info» devront patienter deux semaines de plus. La chaîne cryptée a annoncé dans un communiqué lundi que les marionnettes ne seraient pas de retour à l'antenne avant le 21 septembre. La nouvelle formule des «Guignols de l'info» prendrait-elle plus de temps que prévu à se mettre en place ? En attendant, l'émission satirique qui a bien failli tout bonnement disparaître sera remplacée par le «Zapping» à 20h50 et en clair jusqu'au 18 septembre. 

    Reste à savoir ce qu'il restera des célèbres «Guignols» lors de cette rentrée retardée. «Le Parisien» avait révélé il y a quelques semaines que les quatre auteurs des sketches des «Guignols» avaient tout simplement été remerciés par le groupe audiovisuel. «Ils sont virés. Tous les quatre. Lionel Dutemple, Julien Hervé, Philippe Mechelen et Benjamin Morgaine, les quatre plumes des marionnettes depuis, respectivement, seize ans pour les deux premiers, sept ans pour le troisième et trois ans pour le dernier», avait écrit le quotidien. Les quatre hommes auraient été victimes des coupes budgétaires amorcées au sein du groupe Canal+ par Vincent Bolloré. Selon «Le Parisien», les plus vieilles plumes pouvaient être payées jusqu'à 35 000 euros par mois. Yves Lecoq, qui prête sa voix notamment à PPD, Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy, est l'un des derniers survivants de l'émission.


    votre commentaire
  • <header>

    Fin des "Guignols" : Pierre Lescure

    claque la porte de Havas

    L'ancien président de Canal+ a démissionné du conseil d'administration du groupe publicitaire dont Vincent Bolloré est le principal actionnaire.

    Publié le <time datetime="2015-07-02T18:08" itemprop="datePublished">02/07/2015 à 18:08</time> - Modifié le <time datetime="2015-07-03T11:47" itemprop="dateModified">03/07/2015 à 11:47</time> | Source Le Point.fr
    <figure class="man full-width-img" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="art-caption" itemprop="copyrightHolder">

    "J'ai démissionné de Havas en apprenant la nouvelle qu'il y avait une menace de suppression de l'émission", explique Pierre Lescure au sujet des rumeurs selon lesquelles Vincent Bolloré aurait décidé de mettre les marionnettes de Canal+ à la retraite.AFP©Loic Venance

    </figcaption></figure></header> <aside class="like-aside-left mw100 sticky" data-sticky="top:90px" id="aside-left" style="top: 49px;"> </aside>

    L'ancien président de Canal+ Pierre Lescure a démissionné du conseil d'administration du groupe publicitaire Havas pour protester contre le souhait prêté à Vincent Bolloré de supprimer l'émission satirique Les Guignols de l'info de Canal+, a-t-il indiqué dans un entretien accordé jeudi aux Échos et diffusé en ligne. "J'ai démissionné de Havas en apprenant la nouvelle qu'il y avait une menace de suppression de l'émission", explique Pierre Lescure au sujet des rumeurs selon lesquelles le patron de Vivendi, Vincent Bolloré,  qui goûterait peu la liberté de ton des marionnettes de Canal+, aurait décidé de les mettre à la retraite.

    Cette éventualité, non confirmée pour l'instant, a été évoquée par plusieurs médias mercredi et a provoqué depuis de nombreuses réactions de soutien, tant sur les réseaux sociaux que de la part du monde politique. "Hier (mercredi), j'ai commencé à retweeter des tweets parlant du possible arrêt de l'émission et puis je me suis dit que je ne pouvais pas décemment le faire, et donc j'ai démissionné", révèle Pierre Lescure, qui a été PDG de Canal+ entre 1994 et 2002, avant d'être débarqué par Jean-Marie Messier, alors patron de Vivendi.

    "C'est aussi pour avoir, le cas échéant, la liberté de m'exprimer. J'espère que je n'aurai pas à le faire..." ajoute l'actuel président du Festival de Cannes au sujet de sa démission du conseil d'administration de Havas, groupe dont Vincent Bolloré est le principal actionnaire et le président du conseil de surveillance. Le groupe Bolloré possède également 60 % du capital de Havas. Pierre Lescure était également un proche de l'ancien directeur des programmes de Canal+, Alain de Greef, décédé lundi, qui était à l'origine de la création des Guignols de l'info en 1988. Diffusée du lundi au vendredi, en clair et en public, pendant sept minutes (avec un résumé hebdomadaire le dimanche), l'émission satirique emploie 300 personnes.


    4 commentaires
  • <header>

    Clap de fin pour "Le Grand Journal"

    EXCLUSIF. Selon nos informations, la première décision du nouveau numéro deux de Canal+ sera d'arrêter l'émission présentée par Antoine de Caunes.

    Publié le <time datetime="2015-07-03T18:11" itemprop="datePublished">03/07/2015 à 18:11</time> - Modifié le <time datetime="2015-07-03T20:15" itemprop="dateModified">03/07/2015 à 20:15</time> | Source Le Point.frlien
    <figure class="man full-width-img" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="art-caption" itemprop="copyrightHolder">

    Le présentateur du "Grand Journal" Antoine de Caunes et son équipe ne sont pas reconduits pour la rentrée 2015-2016.AFP©BERTRAND GUAY

    </figcaption></figure></header> <aside class="like-aside-left mw100 sticky" data-sticky="top:90px" id="aside-left" style="top: 49px;"> </aside>

    Les choses vont (très) vite à Canal+ ! Rodolphe Belmer débarqué en milieu d'après-midi, Les Guignols de l'info confirmés, mais dans un format et à un horaire qui restent à définir, c'est maintenant au Grand Journal de faire les frais de la révolution de palais dans la chaîne cryptée. Maxime Saada, le nouvel homme fort de l'entreprise nommé directeur général à la place de Belmer, devrait, selon nos informations, annoncer dans les heures à venir à Renaud Le Van Kim et à ses équipes que l'émission ne sera pas reconduite l'année prochaine. Le rendez-vous, facturé 120 000 euros par jour, ne répond plus aux attentes des abonnés ni à celle des téléspectateurs en clair. Le talk-show a dévissé sous le million de téléspectateurs, et même parfois sous les 900 000, là où, il y a deux ans, il comptait plus de 1,2 million d'aficionados.

    Cette annonce permettrait, si elle est confirmée, à Canal de revoir substantiellement à la baisse son coût de grille et de justifier un déplacement (une déprogrammation) des Guignols. Antoine de Caunes et la quasi-totalité de son équipe ne retrouveront pas l'antenne l'année prochaine. En interne, Maïtena Biraben jouit d'une bonne cote pour relever le gant, mais le transfert d'un poids lourd venu d'une autre chaîne sera très attentivement étudié...

    Rodolphe Belmer rechignait à prendre ces décisions radicales. Passif devant l'érosion de l'audience et la baisse du taux de satisfaction des abonnés, il paye son attentisme. D'autant que, selon une source interne, les abonnés pointaient du doigt la baisse de qualité de la tranche 19 heures-20 h 30. Or, cet indicateur est crucial pour Canal+, car il préfigure les reconductions d'abonnements. Le Petit Journal présenté par Yann Barthès et produit par Laurent Bon semble aujourd'hui le grand vainqueur de cette journée mortelle pour les cadres et les programmes de la chaîne...


    votre commentaire
  • TELEVISION Vincent Bolloré l’a affirmé ce vendredi lors d’une réunion du comité de groupe de Vivendi…

    Les «Guignols» ne vont pas disparaître mais le format et l'horaire n'ont pas encore été décidés pour la rentrée

     

     

    <figure class="oembed oembed-photo" data-src-format="photo" role="group"> La marionnette "PPD" sur le plateau de l'émission satirique "Les Guignols de l'info", en 2009 <figcaption>La marionnette "PPD" sur le plateau de l'émission satirique "Les Guignols de l'info", en 2009 - Stephane de Sakutin AFP</figcaption> </figure>

     

     

    A.G. avec AFP

    Les Guignols ne vont pas partir à la retraite. Le patron de Vivendi, Vincent Bolloré, a affirmé vendredi qu’il ne voulait pas supprimer Les Guignols de l’info de l’antenne de Canal +, lors d’une réunion du comité de groupe de Vivendi, a-t-on appris de sources proches du dossier.

    Vincent Bolloré a assuré qu’il « n’était pas question de supprimer Les Guignols », a-t-on précisé de source syndicale, confirmant des informations de Télérama et de L’Obs. « Les Guignols font partie du patrimoine de Canal + qui a été, je le rappelle, créé par Havas il y a 30 ans » et « il est hors de question de se priver de cet atout qui est la propriété du groupe », affirme l’homme d’affaires breton. Vincent Bolloré a toutefois indiqué que le format et l’horaire n’avaient pas encore été décidés. Si beaucoup se réjouissent de retrouver les Guignols à la rentrée, les principaux intéressés quant à eux semblent s’inquiéter du futur format du programme, comme en fait part un journaliste du Monde sur Twitter :

    Forte mobilisation contre la disparition des marionnettes

    L’hypothèse d’une disparition des Guignols a provoqué ces derniers jours une forte mobilisation sur les réseaux sociaux, ainsi que dans les médias et le monde politique. En marge de son déplacement en Afrique, François Hollande a jugé vendredi que « le temps où le président de la République disait ce qu’il y avait dans les programmes est révolu, mais la dérision, la caricature, ça fait partie du patrimoine ».
     
    Selon plusieurs médias, Vincent Bolloré apprécierait peu la liberté de ton des marionnettes de Canal + et envisageait l’arrêt de l’émission. L’homme d’affaires aurait proposé à plusieurs humoristes, dont Florence Foresti, de se produire à la place des Guignols.


    votre commentaire
  • Canigou

    La Saint-Jean est une fête unique. Pourquoi ?

    Pourquoi, en effet, dire que la Saint-Jean est différente des autres, alors qu'on en trouve des traces dans le monde entier et à toutes époques?   lien

    Et pourtant , la Saint-Jean ici a une empreinte, une "aura" différente parce que chargée d'émotions.

    C'est une fête de l'âme où tout sentiment et où chaque geste est pétri de symboles: Symboles de Paix et de Fraternité, symboles d'attente et de ferveur, sens du rite et du cérémonial par lequel l'homme se bâtit et le coeur se gorge. Nous avons voulu faire espérer au même rythme près de 10 millions de personnes. En cette nuit unique, de par cette manifestation, des millions de coeurs, battent en harmonie avec une petite flamme.

    Dans chaque commune, dans chaque village, au même instant, sur des milliers de kilomètres, le 23 juin au soir, la flamme du Canigo' embrase les foyers de toute  communauté: Communauté d'espoir, d'âmes de vie et d'esprit .

     

     

    Son message,porté par les ondes transmet à tous et en sept langues, la force pacifique qui émane de cette fête. Manifestation unique parce qu'elle est profondément humaine, à l'image de nos espoirs et de nos rêves, elle concrétise ce que peu de "fêtes de notre époque " réalisent: Faire partie d'un tout, animé de la même  ferveur, agir en harmonie et se sentir réuni par la force de la flamme, voilà le sens fraternel de la chaîne  des Feux de la Saint-Jean, chaîne légère qui nous relie au passé et nous prolonge dans l'avenir.

    Faire partager cette émotion, c'est nous donner les moyens de nous perpétuer .


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique