• <header>

    L'élection du Président de l'UMP se fera par vote électronique fin novembre

    Réuni, mardi soir, à Paris, le bureau politique de l'UMP a dessiné les contours de l'élection et engagé une procédure d'exclusion de Jérôme Lavrilleux.

    lien lien Si un second tour est nécessaire pour désigner le successeur de Jean-François Copé, il aura lieu le samedi 6 décembre.

    <figure id="image_730425">

     

    <figcaption>

    Si un second tour est nécessaire pour désigner le successeur de Jean-François Copé, il aura lieu le samedi 6 décembre. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)

    </figcaption></figure></header>
    <section>Par Francetv info avec AFP

    Mis à jour le <time datetime="2014-06-24T22:07:53+02:00" itemprop="dateModified">24/06/2014 | 22:07</time> , publié le <time datetime="2014-06-24T22:07:45+02:00" itemprop="datePublished">24/06/2014 | 22:07</time>

    </section><section>
    •  
    </section>

    Les adhérents de l'UMP peuvent noter la date sur leur agenda. L'élection du président de l'UMP se déroulera le samedi 29 novembre par vote électronique, a décidé le bureau politique du parti, mardi 24 juin, à Paris. Si un second tour est nécessaire pour désigner le successeur de Jean-François Copé, il aura lieu le samedi suivant, le 6 décembre, précise un journaliste de France 2.

    Guillaume Daret @GuillaumeDaret
    Suivre
    #UMP: 1er tour le 29 nov, 2nd tour le 6 décembre, congrès le 7 décembre. #BPUMP
    8:26 PM - 24 Juin 2014Pour voter, conformément aux statuts de l'UMP, il faudra adhérer ou renouveler son adhésion au parti avant le 30 juin. Il y a actuellement plus de 130 000 adhérents. La Haute Autorité pourrait toutefois décider d'étendre le corps électoral à tous les inscrits au 31 décembre 2013 (251 000 personnes environ), auxquels s'ajouteraient les nouveaux adhérents inscrits au 30 juin.

     

    L'exclusion de Jérôme Lavrilleux se précise

    En pleine affaire Bygmalion, le bureau politique a sans surprise décidé d'entamer une procédure pouvant conduire à l'exclusion de Jérôme Lavrilleux, ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé quand il était président de l'UMP. En attendant, il est suspendu du parti.

    Le bureau politique a voté à main levée. Sur une trentaine de présents (sur la cinquantaine que compte le bureau politique), une dizaine environ s'est abstenue, dont Alain Juppé, Michèle Alliot-Marie, Claude Goasguen, Brice Hortefeux, Nadine Morano et Geoffroy Didier. Michèle Tabarot, ex-secrétaire générale, a été la seule à voter contre. Jean-François Copé est parti avant le vote.

    <section>
    </section>

    votre commentaire
  • Affaire Bygmalion : l'UMP lance une procédure d'exclusion contre Jérôme Lavrilleux

    Le Monde.fr | <time datetime="2014-06-24T21:57:06+02:00" itemprop="datePublished">24.06.2014 à 21h57</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-06-24T22:05:38+02:00" itemprop="dateModified">24.06.2014 à 22h05</time>

     

    <figure>Jérôme Lavrilleux, ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé.</figure>

     

    L'ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, est sous le coup d'une procédure d'exclusion de l'UMP, engagée à son encontre mardi 24 juin en raison de son implication dans l'affaire Bygmalion. Le bureau politique du parti a voté à main levée. Sur une trentaine de présents, une dizaine environ s'est abstenue, dont Alain Juppé et Michèle Alliot-Marie. M. Copé n'était pas présent au moment du vote.

    M. Lavrilleux – qui compte garder son adhésion à l'UMP – avait affirmé au Mondeque si son exclusion était votée, il serait prêt à se défendre devant la justice : « Je me battrai jusqu'au bout contre cette décision, en allant au bout de la procédure contradictoire. Je porterai plainte contre mon exclusion, qui ne repose sur rien car les statuts de l'UMP ne prévoient pas d'exclure une personne citée dans une affaire. Si mon exclusion était prononcée, ce serait donc un procès politique. »

    « Cela fait vingt-cinq ans que je me dévoue pour ma famille politique. Je n'accepte pas qu'en dehors de tous les usages fondamentaux du droit, on fasse de moi une victime expiatoire, alors que je ne me suis pas enrichi dans cette histoire », dit-il encore.

    Lire : Affaire Bygmalion : Lavrilleux refuse d'être « le type qui paiera pour tous »

    Jérôme Lavrilleux, fraîchement élu député européen, a démissionné de sesfonctions de directeur de cabinet de M. Copé, ex-président de l'UMP, dans une lettre datée du 13 juin et adressée à Luc Chatel, secrétaire général du parti. Mais il n'a pas l'intention de démissionner de son poste de député UMP. « Pourquoi moi, demande-t-il, alors que pour l'instant, il n'y a pas d'information judiciaire à mon encontre et que je ne suis pas mis en examen ? »

    Vidéo suggérée sur le même sujet

    • Bygmalion à Levallois-Perret : "Portez plainte!" s'énerve Balkany - 24/06

      La société de communication Bygmalion, protagoniste principal dans l'affaire des frais de la campagne de Nicolas Sarkozy, a également travaillé à Levallois-Perret. La socialiste Anne-Eugénie Faure a interrogé le maire UMP lundi Patrick Balkany sur les près de 200.000 euros alloués à cette société pour des conseils en communication très basiques et qu'elle accuse d'être politiquement orientés. "Vous venez me parler d'un dossier dont vous ne connaissez strictement rien [...] Si vous avez quelque chose à dire, portez plainte. Portez plainte et je vous attaquerai immédiatement en diffamation et en négociation (sic) calomnieuse!", lui a répondu le maire.

      0:55

    « DÉRAPAGES » DANS LE FINANCEMENT DE LA CAMPAGNE DE SARKOZY

    L'ancien bras-droit de Jean-François Copé est au cœur de l'enquête sur l'affaire Bygmalion, après voir décrit un système de fausses factures pendant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, dont il a été le directeur adjoint, en 2012.

    M. Lavrilleux a reconnu des « dérapages » dans le mode de financement de la campagne de Nicolas Sarkozy, dont les dépenses ont largement dépassé le plafond autorisé, impliquant l'invalidation des comptes de campagne de l'UMP, confirmée l'été 2013 par le Conseil constitutionnel.

    D'après le système décrit par M. Lavrilleux, l'UMP a demandé à Event & Cie, la filiale de Bygmalion chargée d'organiser les meetings, de réaliser de fausses factures afin de masquer une partie du surplus de dépenses, pour un montant de 17 millions d'euros, selon Mediapart, imputées à des événements organisés par le parti qui n'ont en fait jamais eu lieu.

    Dans ses déclarations, Jérôme Lavrilleux épargne cependant ses deux supérieurs hiérarchiques, MM. Sarkozy et Copé, affirmant qu'ils n'étaient pas au courant de la manœuvre. Il a réitéré cette version auprès des enquêteurs qui l'ont entendu lors d'une garde à vue de douze heures, mardi 17 juin.

    Voir aussi l'infographie : Affaire Bygmalion-UMP : Qui savait quoi ? Qui accuse qui ?


    votre commentaire
  • UMP: Jérôme Lavrilleux devrait être exclu du parti mardi

     

    Créé le 20/06/2014 à 18h56 -- Mis à jour le 21/06/2014 à 21h22
    <aside>L'ex-directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, Jérôme Lavrilleux, le 22 novembre 2012 à Paris

    L'ex-directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, Jérôme Lavrilleux, le 22 novembre 2012 à ParisKENZO TRIBOUILLARD AFP

    </aside>

    AFFAIRE - Le parti ne le rémunère plus et lui a signifié sa mise à pied en vue d’un possible licenciement...

    Il ne devrait plus faire très longtemps partie de l’UMP. Le bureau politique du parti devrait se réunir le 24 juin prochain et de l’aveu de sources proches de la direction provisoire, la question de l’exclusion de Jérôme Lavrilleux devrait être inscrite à l’ordre du jour, indique RTL ce vendredi.

    Il s’accroche à son mandat européen

    Même si la nouvelle direction de l’UMP aimerait bien qu’il démissionne de son poste de député européen, Jérôme Lavrilleux n’a vraisemblablement pas l’intention de démissionner de son mandat, qui représente aujourd’hui sa seule source de revenus. Le parti ne rémunère plus l’ancien bras droit de Jean-François Copé et lui a signifié, il y a huit jours, sa mise à pied en vue d’un possible licenciement.

    Une démission qui tarderait

    Toujours selon RTL, Jérôme Lavrilleux n’aurait pas démissionné de son poste de directeur de cabinet de Jean-François Copé, alors que ce dernier n’occupe plus les fonctions de président de l’UMP depuis le 15 juin dernier. «Nous n’avons trouvé aucune lettre», révèle un cadre du parti. «La logique voudrait qu’il parte de lui-même. Il est en CDI. Mais pour le moment, il n’en a rien fait.»

     Anissa Boumediene

    votre commentaire
  • UMP: Un emprunt secret de 3 millions d'euros

     

    Créé le 21/06/2014 à 21h35 -- Mis à jour le 21/06/2014 à 22h08
    <aside>Christian Jacob, en mai 2014.

    Christian Jacob, en mai 2014. WITT/SIPA

    </aside>

    POLITIQUE - Le groupe parlementaire UMP a prêté à son parti 3 millions d'euros tirés de sa dotation à l'Assemblée nationale, selon Christian Jacob...

    Le groupe parlementaire UMP a prêté à son parti 3 millions d'euros tirés de sa dotation à l'Assemblée nationale, peu après les élections législatives de 2012, a indiqué samedi soir son président Christian Jacob, confirmant une information de Mediapart.

    A la suite de ces révélations, le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone a annoncé dans un communiqué une prochaine révision des statuts des groupes parlementaires «pour permettre l'exercice d'un contrôle sur l'utilisation qu'ils font des dotations qui leur sont versées».

    Un prêt «complètement» légal

    «Au lendemain des élections législatives, en attendant la dotation de l'Etat, le parti avait un trou de trésorerie et comme les finances du groupe le permettaient, on a fait un prêt de 3 millions d'euros au parti, avec une convention, un échéancier, un taux d'intérêt», a expliqué Christian Jacob.

    Le chef du groupe parlementaire, proche de Jean-François Copé qui vient de quitter l'UMP à la suite de l'affaire Bygmalion, a également confirmé qu'il n'avait pas informé les autres députés UMP de l'existence de ce prêt, qui est «complètement» légal selon lui.

    540.000 euros remboursés par l'UMP

    «Non, parce que j'ai pris mes responsabilités de président de groupe. On n'est pas sur un don, on est sur un prêt », a-t-il dit, «je ne vois pas ce qu'il y a d'illégal là-dedans».

    A l'heure actuelle, environ 540.000 euros ont été remboursés par l'UMP au groupe, a-t-il indiqué.

    Dans un communiqué diffusé quelques heures après les révélations de Mediapart, le président de l'Assemblée nationale, le socialiste Claude Bartolone, a annoncé son intention de mettre fin à l'absence de contrôle sur la façon dont les groupes parlementaires utilisent leurs moyens financiers. Ceux-ci sont tirés du budget de l'Assemblée nationale, et donc de fonds publics, pour un montant de 10,1 millions d'euros au total en 2014, «pour leur permettre de disposer de personnels et d'organiser leurs travaux», a rappelé Claude Bartolone.

     20 Minutes avec AFP

    votre commentaire
  • Bygmalion : deux nouvelles suspensions à l'UMP, Lavrilleux mis à pied

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-06-18T22:13:16+02:00" itemprop="datePublished">18.06.2014 à 22h13</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-06-18T22:26:30+02:00" itemprop="dateModified">18.06.2014 à 22h26     </time>lien 

     

    Les sanctions se multiplient à l'Union pour un mouvement populaire (UMP) à mesure que les soupçons sur la production de fausses factures pendant la campagne présidentielle de 2012 s'alourdissent.

    Après Eric Cesari, directeur général de l'UMP, évincé du parti lundi 16 juin, deux autres cadres ont été suspendus depuis le début de la semaine par la nouvelle direction de la formation politique.

    Fabienne Liadze, sa directrice administrative et financière, a été mise à pied, mercredi 18 juin, dans l'attente de son licenciement, tandis que Pierre Chassat, qui était à la fois directeur de la communication du parti et directeur adjoint de cabinet de l'ancien président Jean-François Copé, s'est vu signifier lui sa suspension, mardi. Ils font partie des personnes qui, avec M. Lavrilleux, qui avait été aussi directeur de cabinet de M. Copé, pouvaient signer les factures de l'UMP pendant la campagne présidentielle.

    Lire : A l'UMP, « il faut que ceux qui ont fauté paient »

    LAVRILLEUX SUR LA SELLETTE

    Le parti a par ailleurs annoncé, mercredi, qu'il examinerait « prochainement »l'appartenance de Jérôme Lavrilleux à ce mouvement, dont il est depuis le 25 mai l'un des élus européens.  L'ancien directeur de cabinet de Jean-François Copé, et ex-directeur adjoint de la campagne de M. Sarkozy , a été entendu par la policelors d'une garde à vue de douze heures, mardi.

    Premier protagoniste à s'être confessé publiquement, il a affirmé qu'il comptaitassumer ses responsabilités, mais qu'il attendait que chacun fasse de même, visant l'ancien directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, Guillaume Lambert.

    Lire : En garde à vue, Lavrilleux évoque les responsabilités des proches de Copé

    « M. Lavrilleux est pour l'instant membre de l'UMP. Le bureau politique aura àstatuer de cette situation lors d'une de ses prochaines réunions », a déclaré Luc Chatel à la presse. « La direction provisoire, compte tenu des révélations mais surtout des déclarations de Jérôme Lavrilleux à la presse, a décidé de le mettre à pied à titre conservatoire puisqu'il était encore à ce jour membre de l'effectif de l'UMP. Une procédure est engagée », a ajouté le nouveau secrétaire général de l'UMP.

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique