• UMP: règlements de compte en famille sur fond de dette abyssale

     

    Publié le 09.07.2014, 20h29     lien 

     
    L'ex-président de l'UMP Jean-François Copé à Aulnay-sous-Bois, près de Paris le 27 mai 2014

    L'ex-président de l'UMP Jean-François Copé à Aulnay-sous-Bois, près de Paris le 27 mai 2014 |Eric Feferberg

     
    Billets d'avions, abonnements téléphoniques, salaires et emplois controversés... L'heure est au grand déballage à l'UMP, lestée d'une dette abyssale, au point de pousser l'ex-président Jean-François Copé à rompre son voeu de silence médiatique pour dénoncer "des règlements de comptes personnels".
    Mardi soir, le bureau politique a rendu public le montant exact de la dette qui plombe le parti: 74,5 millions d'euros. 
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    </btn_noimpr>Une situation très critique pour l'UMP qui devra réduire la voilure pour pouvoir tenir jusqu'à 2017 et répondre à "des exigences fortes" pour continuer à fonctionner, selon Alain Juppé. 
    Mais l'audit financier s'est surtout accompagné d'une série de fuites dans la presse et d'accusations sur le train de vie de l'UMP, essentiellement depuis 2010 et l'arrivée de Jean-François Copé aux manettes. 
    Les accusations sur les billets d'avion de Nadia Copé, qui accompagnait très souvent son mari en déplacement, ou celles sur les abonnements téléphoniques de l'ancienne ministre Rachida Dati, parues dans le Canard Enchaîné mercredi, ont fait sortir Jean-François Copé du silence auquel il s'était astreint depuis mi-juin.
    Dans Facebook, il a dénoncé "vengeances", "rancoeurs personnelles" et "règlements de compte personnels qui rendent l'UMP inaudible". Poussé vers la sortie mi-juin en raison de l'affaire Bygmalion, il n'avait pas pris la parole publiquement depuis. 

    Quelques heures plus tard, Mediapart révélait que Nadia Copé, psychologue pour enfants de formation, était rémunérée sur l'enveloppe des collaborateurs de l'Assemblée dont dispose son mari. L'entourage de l'ancien président a confirmé et précisé qu'elle jouait un rôle de "conseil" tant à Meaux qu'à Paris. 
    Fidèles parmi les fidèles de l'ancien patron de l'UMP, la députée Michèle Tabarot a dénoncé "un niveau de haine rarement atteint touchant notamment Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy". 
    Accusés par les "copéistes" de distiller les révélations et d'être dans une "logique de destruction", notamment pour empêcher le retour de Nicolas Sarkozy, les "fillonistes" réfutent en bloc. 

    - Audit du groupe UMP -

    Le député Eric Ciotti a même appelé mercredi Jean-François Copé à "un peu de décence" car il "porte une très lourde responsabilité dans cette situation" du fait de l'affaire Bygmalion. Et de poursuivre d'un cinglant: "Aujourd'hui, je pense que le silence serait à tout le moins bienvenu". 
    Luc Chatel, secrétaire général intérimaire de l'UMP et agacé depuis plusieurs jours par ce grand déballage selon un cadre du parti, a qualifié d'"insupportables" les "boules puantes" distillées dans la presse par ceux qui veulent "déstabiliser l'UMP". 
    "Ca suffit", a tonné Xavier Bertrand, qui a démenti en début de semaine s'être fait payer un réveillon familial à Center Parcs par l'UMP.
     
    Pointée du doigt par Le Canard Enchaîné, notamment au sujet de 10.000 euros de factures téléphoniques et d'une collaboratrice payée par l'UMP à hauteur de 7.000 euros mensuels, l'ancienne ministre Rachida Dati a démenti et dénoncé dans des tweets et des SMS à l'AFP des "voyous" et des "délateurs qui +balancent+ de manière calomnieuse des mensonges pour salir et détruire". 
    "Ce n?est pas de ma faute, ni celle de quiconque, si @FrancoisFillon a accepté d?être humilié pendant 5 ans par Nicolas Sarkozy!", a-t-elle aussi tweeté.
     
    Candidat à la présidence de l'UMP au prochain congrès, Bruno Le Maire s'est dit lui "stupéfait et inquiet de voir les déchirements" de sa famille politique" lors de l'émission Question d'Info, AFP/LCP/Le Monde/France Info mercredi. 
    De son côté, le député Lionel Tardy a réclamé la publication de la liste de tous les collaborateurs de l'UMP pour "éviter les emplois de complaisance". Mais la tourmente semble loin d'être terminée. 
    Le groupe des députés UMP, pris dans l'affaire Bygmalion avec un prêt de 3 millions d'euros consenti au parti, et qui va se doter de nouvelles règles de fonctionnement, devrait lui aussi faire l'objet d'une démarche d'audit.
     

     

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  • L'UMP, parti de la droite française,

    est au bord du gouffre financier

    08.07.2014 22:42     lien
     En France, l'UMP, criblée de dettes, devra réduire la voilure pour tenir jusqu'en 2017. [Kenzo Tribouillard - AFP]

    En France, l'UMP, criblée de dettes, devra réduire la voilure pour tenir jusqu'en 2017. [Kenzo Tribouillard - AFP]
    Un audit dévoilé mardi révèle que le parti de la droite française, l'UMP, est au bord du gouffre depuis la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012 et accuse une dette de 74,5 millions d'euros.

    L'Union pour un Mouvement Populaire (UMP), au bord du gouffre depuis la défaite de Nicolas Sarkozy, accuse une dette de 74,5 millions d'euros. Le parti de la droite française devra réduire son activité s'il veut fonctionner jusqu'à la prochaine présidentielle en 2017,  selon un audit dévoilé mardi.

    Après plusieurs mois d'une grave crise morale et financière de l'UMP, concrétisée le mois dernier par la démission de son président Jean-François Copé, les ténors de l'UMP se sont réunis mardi pour un bureau politique à huis clos afin de faire le point sur les finances du parti.

    Guerre des ambitions avant l'élection du président

    Le trou est de 75,5 millions, "en grande partie lié aux dépenses importantes réalisées en 2012 pendant l'élection présidentielle", a noté Alain Juppé, membre du triumvirat à la tête du parti.

    En proie à de graves difficultés de trésorerie depuis plusieurs années, l'UMP est désormais au bord du gouffre, avec des tensions avivées par la guerre des ambitions à quelques mois de l'élection du nouveau président, prévue fin novembre.

    afp/gchi


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  • UMP : un bureau politique pour solder l'ère Copé

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      • Par Marion Joseph
      • Mis à jour <time data-ago="il y a 31 minutes" data-original="le 08/07/2014 à 09:24" datetime="2014-07-08T09:24:00+02:00" itemprop="dateModified">le 08/07/2014 à 09:24</time>
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      • Publié <time data-ago="il y a 4 heures" data-original=" le 08/07/2014 à 06:00" datetime="2014-07-08T06:00:34+02:00" itemprop="datePublished">le 08/07/2014 à 06:00</time>
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    VIDÉO - Un audit des comptes de l'UMP, demandé par la direction provisoire du parti, sera présenté mardi après-midi lors d'un bureau politique. Plusieurs éléments ont déjà fuité sur la gestion de l'ancien président, Jean-François Copé.

     

    • Ce qui est attendu du bureau politique

    Assainir les finances de l'UMP. C'est la volonté du triumvirat Fillon-Juppé-Raffarin, qui dirige le parti depuis le 15 juin, date de la démission de son président Jean-François Copé, acculé par l'affaire Bygmalion. Après les révélations portant sur un système présumé de fausses factures, la direction provisoire a exigé un audit des comptes du parti. Mené par le cabinet Advolis, ses résultats seront dévoilés mardi à 18 heures lors d'un bureau politique. Ils devraient permettre d'y voir plus clair sur le trou dans les finances de l'UMP, estimé à«80 millions d'euros» par l'ancien premier ministre François Fillon.

    La dette du parti a explosé après les campagnes et défaites électorales de l'année 2012, ainsi que l'achat du siège du parti rue de Vaugirard, dans le XVe arrondissement de Paris. Chaque année, l'UMP consacre autour de 11 millions d'euros au remboursement de ses dettes, pour des recettes s'élevant à environ 30 millions d'euros, ce qui dépasse la limite d'endettement à hauteur d'un tiers des revenus habituellement autorisée aux particuliers.

    Avant ce bureau politique, le secrétaire général du parti, Luc Chatel, a rendez-vous avec les banques mardi matin. Objectif: faire un point sur la santé financière du parti et sa solvabilité.

    • Ce que l'on sait déjà des dépenses de l'UMP sous Copé

    Pour la deuxième année consécutive, l'UMP ne serait pas en mesure d'honorer ses échéances bancaires, selon Le Journal du dimanche. D'après l'hebdomadaire, sa dette se répartit entre trois foyers: 44 millions dus aux banques, 3 millions prêtés par le groupe UMP de l'Assemblée nationale et 28 millions à rembourser pour l'achat du siège du parti et ses travaux.

    Depuis le lancement de l'audit par la direction collégiale, quelques détails sur la comptabilité et les dépenses sous l'ère Copé ont déjà fuité. Le JDD révélait dimanche que l'UMP avait réglé pour 24.000 euros de billets d'avion à l'épouse de l'ancien patron, Nadia Copé. Des dépenses «assumées» par l'entourage de l'ex-président, qui évoque un «rôle de représentation». Le JDD a aussi fait état du salaire de certains cadres du parti, comme le directeur général Éric Cesari (12.500 euros mensuels brut) ou le «collaborateur» de Brice Hortefeux, Geoffroy Didier (8500 euros brut). C'est aussi l'UMP qui a réglé l'amende infligée à Nicolas Sarkozy après l'invalidation de ses comptes de campagne 2012. Un arrangement qui leur vaut aujourd'hui l'ouverture d'une enquête préliminaire.

    Ces informations ne figureraient cependant pas dans l'audit réclamé par le triumvirat, selon Europe 1. En place des situations personnelles, le rapport présenterait les grands équilibres financiers du principal parti d'opposition, ainsi que des préconisations pour assainir ses comptes. Aucun plan social n'y serait évoqué, au grand soulagement de l'UMP.

    • Ceux qui aiguisent leurs couteaux

    Face à cette ambiance de règlements de compte interne, plusieurs barons de l'UMP ont déjà sortis leurs couteaux. Interrogé sur la situation financière du mouvement, le maire de Nice, Christian Estrosi, juge que le parti «est déjà mort» dans Le Parisien de lundi. «Ce n'est pas une restructuration avec un congrès a minima qu'il faut, mais une véritable révolution!», estime-t-il, avant de se dire prêt à quitter le parti «si l'UMP est à nouveau le théâtre des ego» après le congrès de novembre.

    Dans cette course qui s'organise pour le renouvellement des instances du parti à l'automne, le sarkozyste Henri Guaino s'en est lui pris directement à Alain Juppé, qui laisse encore planer le doute sur ses intentions. Le député des Yvelines n'a pas supporté les réactions du maire de Bordeaux après la mise en examen de Nicolas Sarkozy pour «corruption active», «trafic d'influence» et «recel de violation du secret professionnel». «Je croyais que les épreuves de la vie avaient enfin débarrassé Alain Juppé de cette épouvantable arrogance, de cet épouvantable mépris dont il accable depuis toujours tous ceux qui sont en désaccord avec lui», a accusé Guaino sur iTélé, en faisant référence au passé judiciaire de l'ex-premier ministre.

    Dans ce climat délétère, l'ancien ministre Xavier Bertrand s'est vu accusé d'avoir fait financer un de ses réveillons en parc d'attractions par l'UMP, lorsqu'il en était secrétaire général. Le candidat à la primaire de 2016 a démenti, allant jusqu'à retrouver les factures de l'époque pour se dédouaner, selon Europe 1. L'opération mains propres a bel et bien commencé à droite.

    • Le parti peut-il imploser?

    Pour Frédéric Dabi, le directeur général adjoint de l'Ifop, si «le pire est toujours sûr, peu ont intérêt à ce que l'UMP explose». Pour autant, «l'attitude des barons de l'UMP est en décalage total avec ce qu'attendent les sympathisants de l'UMP, traumatisés par trente ans de haine à droite (Chirac-Giscard, Chirac-Barre, Chirac-Balladur, Sarkozy-Villepin, etc)», juge le politologue. «Les militants veulent une UMP qui soit une machine de guerre et qui sache s'opposer au pouvoir en place. Pas un parti autocentré et incapable de s'appliquer les principes d'exemplarité qu'il prône», poursuit-il. Avant de prédire: «Ce climat délétère risque de durer jusqu'au congrès de novembre».


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  • Comptes de l'UMP: Bertrand dément un réveillon payé à Center Parcs... Copé «assume» les dépenses pour sa femme...

    Créé le 06/07/2014 à 19h48 -- Mis à jour le 06/07/2014 à 20h05

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    Jean-François Copé et Xavier Bertrand le 29 avril 2014 à l'Assemblée nationale à Paris

    Jean-François Copé et Xavier Bertrand le 29 avril 2014 à l'Assemblée nationale à Paris JACQUES DEMARTHON AFP

     

    POLITIQUE - Certains pontes du parti réagissent aux accusations du JDD...

    En trois petits tweets, l’ancien secrétaire général de l’UMP a balayé toutes les accusations dont il était l’objet. «Je conteste absolument les allégationsrapportées par le JDD de ce jour. Evidemment, jamais l’UMP n’a payé un quelconque réveillon à Center Parcs pour moi ou pour ma famille.»

    3/3 Les frais incombant à l'UMP concernaient les personnes chargées de la sécurité du secrétaire général.

    2/3 Evidemment, jamais l'UMP n'a payé un quelconque réveillon à Center Parcs pour moi ou pour ma famille.

    Selon le Journal du Dimanche, qui cite une source anonyme, les dépenses n’étaient pas du tout contrôlées du temps de la présidence de Xavier Bertrand, entre 2008 et 2010: «La masse salariale était de 8 millions d’euros. Mais à l’époque on payait aussi aussi le réveillon au président et de sa famille… dans un Center Parcs». Alors qu’un audit sur les comptes de l’UMP sera rendu lundi, l’ancien ministre du Travail a précisé que «les frais incombant à l’UMP concernaient les personnes chargées de la sécurité du secrétaire général». A savoir ses gardes du corps.

    Un rôle de représentation pour Nadia Copé

    Par ailleurs, Jean-François Copé n’aurait jamais caché les dépenses concernant son épouse. Selon l’entourage de l’ancien secrétaire général du parti, celui-ci «assume» ces dépenses. «Madame Copé se déplaçait dans des visites officielles, en application de la doctrine mise en place par les prédécesseurs» de Jean-François Copé. Nadia Copé remplissait donc un rôle de représentation». Selon le JDD, elle s’était notamment fait payer 24.000 euros de billets d’avion par l’UMP. Une largesse dont Jérôme Lavrilleux se serait occupé, toujours selon le journal.

     20 minutes avec AFP

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     Sarkozy : "C'est encore le temps de la réflexion"Le Nouvel Observateur avec AFP

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    <time>Publié le 25-06-2014 à 22h33</time>

    L'ancien président de la République a reçu le "prix de l'appel du 18 juin" décerné par l'Union des Jeunes pour le progrès. L'occasion pour lui de se faufiler dans les pas du général de Gaulle.

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    Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre avec Juan Carlos à Madrid le 27 mai 2014. (Paul White/AP/SIPA).
    Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre avec Juan Carlos à Madrid le 27 mai 2014. (Paul White/AP/SIPA).
    <aside></aside>

    Nicolas Sarkozy, qui a montré de plus en plus de signes d'un désir de revenir en politique, a assuré mercredi 25 juin à Paris être "encore" dans le "temps de la réflexion".

    "C'est encore le temps de la réflexion", a lancé l'ancien président de la République qui recevait dans une salle de la questure de l'Assemblée nationale le "prix de l'appel du 18 juin" décerné par l'Union des Jeunes pour le progrès. Cette association relancée en 2010 est l'héritière de celle qui avait été créée en 1965 quand le général de Gaulle était à l'Elysée.

    Ma conception du gaullisme, c'est une certaine forme de fidélité", a lancé Nicolas Sarkozy, quatrième lauréat de cette récompense, après lesUMPNathalie Kosciusko-Morizet, Hervé Gaymard etFrançois Baroin.

    "La première qualité pour s'engager en politique, c'est d'être passionné", a-t-il dit devant plusieurs dizaines de membres de l'UJP.

    On s'engage passionnément ou pas du tout, à mille pour cent ou pas du tout, avec le coeur, les tripes, les sentiments. Ce n'est pas une question de calcul, la politique, mais de passion."

    Pour l'ex-chef de l'Etat dont la campagne victorieuse de 2007 avait été axée sur la "rupture", "le gaullisme a toujours porté la volonté de rupture. A chaque instant, le système a voulu se venger de lui [le général] parce qu'il n'était pas des leurs, il les dominait".

    "Le gaullisme, c'est se tourner vers l'avenir"

    "La première famille à laquelle j'ai adhéré, c'est la famille gaulliste, je n'ai jamais changé de famille politique", a-t-il assuré. "Le gaullisme est imperméable aux modes et surtout étranger à ceux qui suivent les modes."

    "Ceux qui le couvrent de fleurs aujourd'hui le couvraient d'injures à l'époque ; cela n'a aucune importance puisque le souvenir du général de Gaulle demeure et que le souvenir de ceux qui le couvraient d'injures est passé depuis longtemps", a-t-il ajouté.

    "L'aventure de la famille gaulliste, c'est une immense armée passionnée, qui peut se déchirer, qui peut s'affronter mais qui ne ressemble à aucune autre parce qu'elle porte un engagement qui est viscéral et pas simplement cérébral", selon le responsable de droite. "La famille gaulliste, c'est aussi une famille, une pensée, des racines qui s'inscrivent dans une succession de ruptures.

    Pour lui, "il n'y a pas de phrase plus contradictoire que celle qui consiste à invoquer au nom du gaullisme le retour aux sources. Il n'y a pas de retour aux sources. Le gaullisme, c'est se tourner vers l'avenir en rupture avec les habitudes, avec les sectarismes avec les conservatismes, les frilosités et même la lâcheté'."

    "Tous les coeurs sont à gagner"

    "Toute l'idée du gaullisme, c'est l'idée du rassemblement et de l'unité", a dit celui dont la famille politique se déchire.

    Le gaullisme porte l'idée d'un rassemblement le plus large possible."

    "Celui qui est gaulliste considère que tout le monde est à convaincre, qu'aucune citadelle n'est imprenable, que tous les coeurs sont à gagner", a encore lancé Nicolas Sarkozy.

    Lui qui avait été critiqué pour des propos hostiles aux corps intermédiaires a encore évoqué "le peu d'appétence du gaullisme pour les corps intermédiaires".

    Le gaullisme, c'est le rapport direct avec le peuple", a-t-il résumé
    .
    </article>

    Sur le web : Sarkozy reçoit le prix de l'Appel du 18 juin à l'Assemblée - 25/06
     

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