• Arbitrage Tapie: Maurice Lantourne mis en examen

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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-06-28T23:01" itemprop="datePublished" pubdate=""> 28/06/2013 à 23:01</time>

    L'avocat de Bernard Tapie a à son tour été mis en examen ce vendredi pour "escroquerie en bande organisée" .

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    Maître Maurice Lantourne, avocat de Bernard tapie, mis en examen vendredi 28 juin pour "escroquerie en bande organisée"

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    Maître Maurice Lantourne, avocat de Bernard tapie, mis en examen vendredi 28 juin pour "escroquerie en bande organisée" © NIVIERE / SIPA

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    Maître Maurice Lantourne, avocat de Bernard Tapie, a été mis en examen vendredi soir pour "escroquerie en bande organisée" à l'issue de sa garde à vue dans l'enquête sur l'arbitrage controversé entre l'homme d'affaires et le Crédit Lyonnais, a annoncé le parquet de Paris dans un communiqué. Les magistrats soupçonnent cet arbitrage, grâce auquel l'homme d'affaire s'était vu octroyer en 2008 403 millions d'euros en règlement du vieux litige sur la vente d'Adidas en 1993, d'avoir été truqué au profit de l'homme d'affaires, qui a également été mis en examen. Il avait été placé en garde à vue le 28 mai pendant quelques heures, puis à nouveau le 25 juin. Les enquêteurs le soupçonnent d'avoir eu des relations professionnelles avec Pierre Estoup et de ne pas en avoir fait état lors de l'arbitrage.

    Après quatre jours de garde à vue, Bernard Tapie a été mis en examen quelques heures auparavant pour "escroquerie en bande organisée" dans l'enquête sur l'arbitrage controversé de son litige avec le Crédit lyonnais. L'ex-ministre, 70 ans, qui a connu la gloire puis la prison avant de revenir aux affaires grâce à cette décision polémique qui lui avait octroyé plus de 400 millions d'euros en 2008, a dans la foulée été libéré sous contrôle judiciaire, avec interdiction de communiquer avec certains des protagonistes du dossier. De son côté, le Consortium de réalisation (CDR), organisme sous tutelle de l'Etat chargé du passif du Crédit Lyonnais, a déposé un recours devant la cour d'appel de Paris contre cette sentence arbitrale qui avait mis fin au contentieux sur la vente d'Adidas en 1993.


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