<section class="grid-620 d-inline" id="content-list-top" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 12px; vertical-align: top; display: inline-block; zoom: 1; width: 620px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Georgia; line-height: 12px; background-color: rgb(255, 255, 255);">
Burkina Faso : bataille pour le pouvoir entre les militaires
avec AFP
le 01 novembre 2014 à 07h36 , mis à jour le 01 novembre 2014 à 07h41. lien
<section id="articleFigure166889" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 12px; vertical-align: baseline;">
</section>
<section class="social-horizontal" id="player-social-bar171916" style="margin: 0px; padding: 14px 0px 11px 10px; border: 1px solid rgb(238, 238, 238); font-size: 12px; vertical-align: baseline; position: relative; min-height: 25px; background: rgb(248, 248, 248);">
Partager l'article
</section>
</section><section class="grid-200 fleft" id="content-list-left" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 12px; vertical-align: baseline; float: left; width: 200px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Georgia; line-height: 12px; background-color: rgb(255, 255, 255);"><section class="ombre1" id="sct175148" style="margin: 0px; padding: 12px; border: 1px solid rgb(238, 238, 238); font-size: 12px; vertical-align: baseline; box-shadow: none; width: 160px; background: rgb(248, 248, 248);">
A lire aussi
<article class="teaser sz14" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline;"><figure class="figure " style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline; width: 160px;">
</figure>
</article><article class="teaser sz14" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline;"><figure class="figure " style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline; width: 160px;">
</figure>
</article><article class="teaser sz14" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline;"><figure class="figure " style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 14px; vertical-align: baseline; width: 160px;">
</figure>
</article></section><aside class="sz12 tag c1 aside175148 ombre1" style="margin: 0px 0px 10px; padding: 12px; border-width: 0px 1px 1px; border-right-style: solid; border-bottom-style: solid; border-left-style: solid; border-right-color: rgb(238, 238, 238); border-bottom-color: rgb(238, 238, 238); border-left-color: rgb(238, 238, 238); font-size: 12px; vertical-align: baseline; box-shadow: none; color: rgb(102, 102, 102); width: 160px; background: rgb(248, 248, 248);">
burkina faso</aside></section><section class="grid-620" id="content-list-right" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 12px; vertical-align: baseline; width: 620px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Georgia; line-height: 12px; background-color: rgb(255, 255, 255);">
AFRIQUELe lieutenant-colonel Isaac Zida, numéro deux de la garde présidentielle, a déclaré dans la nuit de vendredi à samedi "assumer" désormais les responsabilités de "chef de l'Etat" de transition. Il a ainsi évincé le général Nabéré Honoré Traoré, qui s'était aussi placé à la tête du pays après le départ de Blaise Compaoré.
Révolte populaire ayant abouti au départ du président Blaise Compaoré ou coup d'Etat déguisé sous couvert de la protestation ?
La situation est toujours confuse ce samedi au Burkina Faso, où deux militaires se disputent le pouvoir.
Tirs
En pleine nuit de vendredi à samedi, le lieutenant-colonel Isaac Zida, numéro 2 de la garde présidentielle, a en effet annoncé dans une allocution retransmise par une télévision privée qu'il prenait la tête du pays.
"J'assume désormais (...) les responsabilités de chef de (la) transition et de chef de l'Etat pour assurer la continuité de l'Etat" en attendant de définir "de manière consensuelle" avec "l'ensemble des partis politiques et des organisations de la société civile" les "contours" et "contenus" d'une "transition démocratique apaisée", a-t-il dit.
Il a ajouté quelques minutes plus tard dans une interview que les déclarations du chef de l'état-major des armées, le général Nabéré Honoré Traoré, qui avait également annoncé vendredi qu'il assumerait les "responsabilités de chef de l'Etat", "conformément" à la Constitution, sont "caduques".
Quelques minutes avant cette allocution, des tirs nourris avaient été entendus dans le secteur du palais présidentiel, sans qu'il soit possible d'en déterminer avec précision la provenance.
Zida soutenu par la population ?
Ce rebondissement est la conséquence des dissensions fortes étaient apparues vendredi après-midi au sein de l'armée, désignée par la société civile et l'opposition comme la garante de la transition politique et institutionnelle au Burkina Faso après la démission de Blaise Compaoré.
Le colonel Zida a les faveurs d'une partie de la société civile tandis que le général Traoré est critiqué par le peuple pour sa trop grande proximité avec Blaise Compaoré. De son côté, l'opposition ne s'est pas ouvertement positionnée et demande simplement aux militaires de "s'entendre".
Selon le lieutenant-colonel Zida, Blaise Compaoré se trouve dans un lieu sûr.
Plus de vidéos
-
Burkina Faso : le président cède, l’armée prend le pouvoir
-
Burkina Faso : la démission de Campaoré accueillie par des scènes de liesse
-
Blaise Campaoré aura passé 27 ans au pouvoir
-
Zones à risque : de nombreux Français annulent leur voyage au Maroc
-
France-Algérie, "l’impossible divorce"
-
Blaise Compaoré : "Je transmettrais le pouvoir au président démocratiquement élu"
-
Burkina Faso : "La situation est calme" vendredi matin
-
L'auteur présumé d'une attaque anti-israélienne a été enterré en présence de 300 personnes
-
Mort du sergent-chef Thomas Dupuy : quelle est la situation au Mali ?
-
Manifestations au Burkina Faso : l'état de siège décrété
-
Ebola : qui sont les réservistes sanitaires qu’envoie la France ?
-
Le Maghreb déserté par les touristes
-
Le père Venard, un prêtre en treillis
-
Opération Barkhane : un soldat tué au Mali
-
Escalade de violences à Jérusalem : "La situation en Israël est un véritable baril de poudre"
</section>