• La lettre Y

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    La lettre Y

    la lettre y

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    Aujourd’hui mon âme est rêveuse, en parenthèse, tournée vers le lYrique et la mYthologie,

    Quelque part dans l’OlYmpe à côtoyer les dieux,  mon cœur va s’égarer, en marge de la Vie.

    De DYonisos humain accompagné de sa thYrse courtisant  Aphrodite  de ChYpre  la sublime Beauté,

    Ou Artémis, vierge aux Yeux farouches, sYmbole de chasteté qui de son arc tendu chasse avec cruauté,

    Rencontrer Apollon,  son jumeau qui jouait de la lYre, mais  qui se transformait en être  impitoYable

    Contre ceux qui le défiait, comme Niobé dont les enfants furent massacrés d’une manière effroyable.

    Puis je repars vers Zeus, régnant  sur tous  les dieux, maniant la foudre et l’égide par les Cyclopes fabriquée,

     Père d’Athéna, la fille préférée, maniant les mêmes armes pour protéger UlYsse le héros exalté,

    Ou protéger Athènes en affrontant Neptune  et son trident, tYpe de fourche, ennemi naturel, ardemment détesté.

    Tous ces dieux ont créé bien des bouleversements mais des villes sublimes sur tous les continents,

    CYrène en LYbie, sur la région côtière à l’est de la CYrénaïque, ou SYrtis Maior  dans le golfe de Gabès,

    BabYlone, phare de la Mésopotamie, aux mains de Nabuchodonosor, dont le  mYthe est porté par les récits

    bibliques

    Celui  rYthmé de la Tour de Babel ou  des Jardins suspendus qui titillent l’esprit de manière onirique.

    Athènes la grecque, raYonnant sur le Monde, de sa philosophie  éclairant notre pensée païenne

    Ou Mycènes, fondée par Persée, royaume du héros homérique  Agamemnon, chef des  Achéens

    Ville chère à Héra, ivre de son or rapporté par des mercenaires partis combattre les pharaons Hyksôs,

    Qui se désintégra sans raison apparente, soudainement : de sa disparition, l’Histoire ne dit rien…

    Il nous reste aujourd’hui  l’immense porte aux lionnes, fidèles protectrices régnant sur un tas d’os…

    Et BYsance la grande, aux milles et un visage, de Yerebatan, palais englouti, aux divines mosquées de dentelles

    anciennes,

    Et sa côte propice à la légèreté où le passé revient à travers les Hittites et  la contemplation  de ses tombeaux

    lYciens.

    C’est  compter sans l’EgYpte et ses majestueuses pYramides, mYstérieux édifices interrogeant  le ciel

    AYant pour pendant, sur un autre continent,  les temples incas, Cuzco, le temple du Soleil, un peu artificiel

     L’art architectural dans sa forteresse SaksaYwaman ou OllantaYtambo et ses impressionnantes ruines…

    Tout cela est si beau, défiant l’éternité et rappelant pourtant aux hommes qu’un jour, ils sont mortels,

    Que dans ce  court passage, ce qui importe est le message, le savoir faire, pour ceux qui vont venir se croYant

    immortels !


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