• Réactions au PS sur les mauvais sondages de la présidence Hollande

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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-03-04T13:18" itemprop="datePublished" pubdate=""> 04/03/2013 à 13:18</time>

    Les caciques du parti sont montés au créneau pour soutenir le chef de l'exécutif, au plus bas dans les sondages.

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    Réactions, au sein du PS, aux mauvais sondages de confiance auxquels est confronté le président François Hollande :

    - Harlem Désir, Premier secrétaire du PS, sur France Info : "Il faut écouter pour être entendu, c'est l'état d'esprit dans lequel est le président de la République, il va redonner le cap et en même temps il est à l'écoute des inquiétudes des Français. Mais la réponse qui doit être la nôtre à cette inquiétude, c'est de continuer à mettre en oeuvre tout l'arsenal des mesures pour l'emploi et la croissance."

    - Ségolène Royal, présidente PS de Poitou-Charentes, sur France Inter : "La crise est profonde, les Français attendent des mutations." "La principale promesse, c'est la lutte contre le chômage et la justice sociale. Il n'y a aucune raison de renoncer au volontarisme économique, la France est capable de saisir ses chances." "Il n'est jamais trop tard pour agir, c'est vrai qu'il faut accélérer le rythme, c'est ce que nous faisons avec la BPI, avec la réforme bancaire, le dialogue social. Mais le ressort principal de la sortie de crise, c'est donner les moyens aux PME de créer, d'embaucher..."

    - André Vallini, sénateur PS de l'Isère, sur Europe 1 : Le président Hollande "a fait la preuve depuis dix mois qu'il était un véritable homme d'État qui sait affronter l'impopularité, qui sait faire preuve de courage et qui ne gouverne pas aux sondages". "François Hollande a été élu en 2012, non pas pour être populaire en 2013, mais pour redresser le pays d'ici 2017. Donc c'est en 2017 qu'il faudra juger son action, pas avant." "Il n'y a pas d'autre politique possible pour redresser le pays donc il faut qu'il explique les mesures déjà prises." Pour lui, François Hollande parlera aux Français "courant mars".

    - Gaëtan Gorce, sénateur PS de la Nièvre, sur son blog : "La vraie source de déception tient à mon avis à un défaut de pédagogie." Il faut "cesser de biaiser et dire clairement aux Français la gravité de la crise et ses conséquences. En somme, les prendre au sérieux !" "Le président n'a, à aucun moment, cédé, ni pendant sa campagne, ni depuis, aux facilités de la démagogie." "Il est curieux (mais banal) d'observer combien l'humeur des élus d'une majorité peut épouser celle de l'opinion". "Critiquer publiquement certains choix économiques ou fiscaux ne peut qu'accentuer le trouble qui affecte déjà largement l'opinion".


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