• Tunisie : des responsables limogés, l'état d'urgence décrété

     

     

     

     

     

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    Tunisie : des responsables limogés,

    l'état d'urgence décrété

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    le 04 juillet 2015 à 15h37 , mis à jour le 04 juillet 2015 à 20h13.
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    Afrique

    Une semaine après l'attentat sanglant dans un hôtel de Sousse, le président tunisien a décrété ce samedi, l'état d'urgence dans le pays. Le gouverneur de Sousse a également été limogé.

    Le chef de l'Etat tunisien Béji Caïd Essebsi a décrété ce samedi l'état d'urgence après l'attentat sanglant qui a tué 38 touristes le 26 juin. "Le président s'adressera à la nation à 17h", a indiqué la présidence tunisienne.

    L'état d'urgence renforce à titre temporaire les pouvoirs de l'armée et des forces de sécurité tout en restreignant le droit  de rassemblement sur la voie publique.
    Il avait été levé en
    Tunisie en mars 2014, après avoir été sans cesse renouvelé depuis janvier 2011 et la fuite du président Zine El Abidine Ben Ali, dans la foulée du soulèvement qui avait lancé "le Printemps arabe".
    Le gouvernement a par ailleurs annoncé qu'il allait fermer 80 mosquées considérées comme illégales ou accusées de diffuser des discours extrémistes.

     

    Des responsables limogés

    Plusieurs responsables tunisiens, dont le  gouverneur de Sousse, ont été limogés a indiqué également un conseiller du Premier  ministre. Tout "comme il y a eu des défaillances sécuritaires, il y a eu des  défaillances politiques", a déclaré Dhafer Néji, conseiller en communication  auprès du chef du gouvernement, en ajoutant que le gouverneur de Sousse, région  où a été perpétré l'attentat, avait été démis de ses fonctions, ainsi que des  responsables policiers.

     

    Une semaine après l'attentat de Sousse
      
    Trente-huit touristes étrangers, britannique pour la majeure partie d'entre eux, ont été tués le 26 juin sur la plage de l'hôtel Imperial Marhaba, avant que l'auteur de l'attaque soit abattu. Jeudi, le gouvernement a annoncé l'arrestation de 12 personnes soupçonnées d'être liées à cette attaque, précisant que deux autres suspects étaient encore recherchés.

    Dans une interview vendredi à la BBC, le Premier ministre Habib Essid a reconnu que la police avait été trop lente lors de l'attentat de Port El Kantaoui, premier aveu officiel de défaillances sécuritaires.


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