-
Par marialis2.2 le 26 Janvier 2012 à 16:23
Un premier point avait déjà été fait voici quelques mois. Mais depuis lors, Corinne Sanchez et son équipe du CNRS ont repris leurs recherches au bord de l’étang de Bages, sur les traces du port antique de Narbonne. Avec, à la clé des découvertes passionnantes que nous avons rapportées au fur et à mesure, tout au long de cet été.
La commission archéologique propose, demain vendredi, d’en tirer une synthèse.
Succédant à Port-la-Nautique, les vestiges du Castélou et de Mandirac mettent en évidence l’aménagement d’un chenal permettant d’avoir un tirant d’eau important. En 2011, les fouilles des berges ont été réalisées jusqu’à 3 m de profondeur sans que le fond ne soit atteint.
Dans ces milieux marécageux, les matières organiques sont remarquablement conservées, permettant la découverte de constructions et d’objets en bois. Entre fleuve et lagunes, les travaux pour entretenir cette zone portuaire sont constants.
Durant l’antiquité tardive, les monuments à l’abandon de la ville servent de carrière pour construire des ouvrages de protection : colonnes en marbre, chapiteaux, frises, architraves mais également des fragments de sculptures sont entassés pour former un ouvrage de protection. Ainsi, le démantèlement de la parure urbaine se produit dès la fin de l’Antiquité alors que Narbonne est encore à cette période une ville prospère.
Les fouilles confirment l’importance des infrastructures mises en place sur le long terme pour assurer le rayonnement économique de la région.
Les interactions entre l’homme et le littoral au cours des deux derniers millénaires sont étudiées grâce à une équipe pluridisciplinaire et renvoient à des questions d’actualité sur l’interaction entre l’homme et son environnement (déplacements des cours d’eau, évolution des zones lagunaires, accès maritimes liés au développement économique et à la navigation sur les étangs).
Autant de thèmes qui seront développés par Corinne Sanchez mais aussi Marie-Pierre Jezegou, ingénieur au Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines.
Demain vendredi 27 janvier, à 17 h 30, salle des Synodes du Palais des Archevêques
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 26 Janvier 2012 à 01:36Le 26/01/2012 à 00:01:00
Foot - ESP - Coupe
Le Barça sort un bon Real
Auteur d'un bon match au Camp Nou, le Real Madrid a tenu le Barça en échec après avoir remonté deux buts (2-2). Défait lors de l'aller (1-2), le club de José Mourinho lâche le seul titre remporté la saison dernière.Physiquement, une fois n'est pas coutume, le Real a tenu le coup. Tactiquement, Mourinho a su répondre à l'équation proposée par Guardiola. Mais le club madrilène n'a rien pu faire face aux deux éclairs catalans qui ont vu Pedro et Alves marquer en seulement deux minutes, juste avant la pause (43e, 45e). Le premier but a été inscrit suite à une percée superbe de Messi plein axe, et d'une passe astucieuse de l'Argentin. Le second est venu d'un corner mal renvoyé par la défense merengue, et d'une frappe lumineuse en pleine lucarne du Brésilien. En deux actions, Barcelone a anéanti tout ce que le Real avait su montrer en première période.L'énervement de Ronaldo et de Casillas en dit long sur l'état d'esprit du Real : face au Barça, c'est infernal...Le Barça n'a plus perdu depuis sept matches contre le Real
Sans défaite lors des sept derniers clasicos, Barcelone a énormément souffert lors de cette rencontre. Fébriles, les Catalans ont même failli offrir à Higuain l'ouverture du score après... neuf secondes de jeu ! Mais l'Argentin, préféré à Benzema, a été d'une médiocrité affligeante ce mercredi soir. Il a notamment oublié deux partenaires bien placés plein axe à la 28e lorsqu'il a été mis en échec par un Pinto solide dans les buts. Le remplacement de l'Argentin par Benzema à l'heure de jeu a d'ailleurs tout changé pour Madrid. A la 68e, Ronaldo a réduit la marque, bien lancé par un Özil qui avait trouvé la barre en première période (26e). Quatre minutes plus tard, l'attaquant français a égalisé après une action personnelle pleine de classe dans la surface. Il a marqué trois buts lors des quatre derniers clasicos.En tout cas, le vingtième match de José Mourinho contre le Barça a été sacrément engagé. Son Real a d'ailleurs terminé la rencontre à dix, Ramos ayant été expulsé un peu durement. C'est la neuvième expulsion lors des dix derniers clasicos ! Pepe, lui, a terminé la rencontre on ne sait comment... Tout au long du match, les tacles ont été virils, les interventions spectaculaires. Les Barcelonais ont d'ailleurs dû montrer un visage qu'on leur connaît peu, puisque les mauvais coups ont été nombreux de la part de Puyol ou de Fabregas. L'arbitre, lui, n'a pas été à la hauteur d'une telle rencontre. Il aurait pu siffler trois penalties (main de Busquets à la 18e, faute de Pepe à la 35e, main d'Abidal à la 39e) et s'est souvent trompé dans ses décisions, notamment lorsqu'il aurait dû expulser Diarra à la 45e. Cela n'a pas empêché les joueurs de sortir un match palpitant. Madrid peut travailler sur ce 218e duel face à son meilleur rival (86 victoires chacun, 46 nuls). Barcelone, qui a perdu Iniesta et Sanchez sur blessure, entre dans le dernier carré comme Bilbao et Mirandés.Cyril OLIVES (@CyrilOlives)
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 26 Janvier 2012 à 00:34
S'acosten els sectors logístics de l'Empordà i de Perpinyà
Conferència Opencat "Saint-Charles i Vilamalla, complementaris o adversos?", Perpinyà, 20 de gener 2012 © Didier RosquellasSantiago Garcia Milà, Ricard Font, Vincent Dumas © DRRomain Grau, Georges Jordan, Léopold Médina © DREls ponents, amb Joan Amorós (associació FERRMED, a la dreta) © DR
26.01.12 / INFRAESTRUCTURES i TRANSPORTS
Els principals actors del sector logístic i dels transports de l'Empordà i del Rosselló, reunits divendres 20 de gener 2012 a Perpinyà a inciativa del think tank Opencat, han contraposat anàlisis, estratègies i interessos en un fòrum inèdit. La cita, que pretenia dissenyar nous marcs de cooperació propiciats pel futur Corredor ferroviari Mediterrani, s'ha celebrat sota la forma d'una conferència-debat amb el títol "Saint-Charles i Vilamalla, complementaris o adversos?”, organitzada a l'auditori de la mancomunitat de Perpinyà Mediterrània. Amb aquest plantejament s'ha tractat la dualitat entre la futura plataforma Logis Empordà i el Mercat Internacional Sant Carles de Perpinyà, líder europeu de la distribució de fruita i verdura.
El laboratori d'idees Opencat, amb l'òptica de descriure la competició europea del futur en un àmbit que el seu president, Vincent Dumas, anomena "eurocatalà", ha convidat cinc ponents. Aquests eren Ricard Font, director general de Transports i Mobilitat de la Generalitat de Catalunya, Santiago Garcia Milà, sotsdirector del Port de Barcelona, Romain Grau, vicepresident de Perpinyà Mediterrània delegat del sector logístic, Georges Jordan, president de la plataforma Grand Saint-Charles de Perpinyà i Léopold Médina, representant del Mercat Internacional Saint-Charles. Font i Grau han coincidit a declarar que la geoeconomia europea situa el Rosselló i l'Empordà en un escenari competencial, tot i que, segons Font, "les nostres plataformes poden complementar-se per competir plegades amb altres plataformes de més al nord i més al sud".
"Dir que no Perpinyà i Figueres no competeixen seria naïf"
El representant del govern de la Generalitat de Catalunya ha advertit, però, que "de moment, dir que no competim seria naïf", tot subratllant "necessitem un pla de negoci complementari". Romain Grau s'ha acostat a aquest posicionament, destacant "estem en un mercat intens, hi ha competència, però no adversitat. Hi ha fluxos de mercaderies per tothom, tant per les sis zones del Rosselló, sobretot Saint-Charles, a Perpinyà, que lidera a Europa la repartició de fruita i verdura, com per al projecte Logis Empordà de Vilamalla. Sumant, estem capaços de competir amb Bèlgica o el nord d'Alemanya". També ha posat de manifest les especialitzacions de cada plataforma, puntualitzant "A Perpinyà tenim una creixent obertura cap al Marroc, Vilamalla captarà fluxos del port de Barcelona, i resultarà natural entendre's". Com a representant del mateix port, Garcia Milà ha defensat una "posició al món que ens obliga a la complementarietat, ja que Perpinyà i Vilamalla es troben en el mateix corredor europeu, el número 3, segons el defineix la Comissió europea. Ens toca gestionar-lo, a través de les nostres plataformes".
El fòrum, que s'ha desenvolupat amb nodrida assistència empresarial nord i sud-catalana, ha inclòs una intervenció de Joan Amorós, secretari general de l'associació europea FERRMED, que coordina arguments i sinèrgies a favor del Corredor ferroviari Mediterrani. Amb tot s'ha pogut dissenyar les primícies d'uns guions de cooperació per al decenni actual, tot palesant voluntats compartides d'aproximació, amb un "pla de negocis complementari i competitiu", segons ha ressaltat Ricard Font.
Revista de premsa
L'Indépendant
Espaces Transfrontaliers
El Punt Avui
El Punt Avui
El Punt Avui
Agència Catalana de Notícies
Vilaweb
Tramuntana TV
9 Diari
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 25 Janvier 2012 à 23:49
Comme elle l’a fait pour l’épouse du sénateur, la juge envisage de le mettre en examen et de le placer sous contrôle judiciaire.
Après madame, monsieur. La juge Sabine Leclerq, chargée d’enquêter sur d’éventuelles malversations au sein de la fédération socialiste de l’Hérault concentre ses investigations sur le couple Navarro. Hier matin, elle a mis en examen Dominique Navarro, actuelle attachée parlementaire du sénateur socialiste François Rebsamen, pour "abus de confiance".
L’épouse de Robert Navarro venait de passer 24 h en garde à vue à la division économique et financière de la PJ : elle a retrouvé sa liberté à la mi-journée, mais doit payer une caution de 30 000€, réglable en deux fois à partir de la mi-février. Elle devra également pointer chaque semaine au commissariat.
100 000 € de billets commandés à Air France ?
Principal grief fait par la justice : avoir commandé à Air France de nombreux billets d’avions que payait la fédération PS 34 et qui concernaient soit des déplacements personnels, soit des voyages de son mari et de ses proches au titre de son mandat de député européen.
Selon la plainte déposée par le PS, à l’initiative de Martine Aubry, le montant des billets concernés avoisinerait les 100 000 €. "Elle conteste le principe même de cette infraction", précise Me Patrick Maisonneuve, son avocat parisien, qui a trouvé sa cliente "confiante et combative dans ces moments toujours difficiles".
Selon lui, "il y a des billets qui ont été remboursés en 2010, bien avant la plainte déposée par le PS en avril 2011. Son contrat de chargée de mission pour la fédération prévoyait le défraiement de ses déplacements : elle a très bien pu travailler à Strasbourg pour le PS."
"Les rapprochements comptables risquent d’être difficile à faire"
Parmi les proches du couple Navarro entendus lundi, certains bénéficiaires des voyages concernés ont expliqué ignorer qu’ils étaient payés par le PS héraultais. Mais ont confirmé avoir donné les billets à leur arrivée à Bruxelles ou à Strasbourg, pour qu’ils soient remboursés par le Parlement européen.
"Les rapprochements comptables risquent d’être difficile à faire, l’essentiel de la comptabilité de la fédération héraultaise ayant disparu après le départ de Robert Navarro", relève une source judiciaire.
L’ancien premier secrétaire fédéral, actuel sénateur et vice-président du conseil régional du Languedoc-Roussillon, est désormais clairement dans le collimateur de la juge d’instruction : "Elle a pris la décision de me saisir d’une demande de levée de l’immunité parlementaire de M. Navarro, indique Brice Robin, le procureur de la République de Montpellier. Cela signifie qu’elle estime avoir suffisamment d’éléments à charge pour envisager sa mise en examen et un placement sous contrôle judiciaire."
Le procureur, qui avait ouvert l’information judiciaire pour "abus de confiance", doit donner un avis sur le dossier et le transmettre au parquet général, qui saisit ensuite la Chancellerie : la décision est ensuite prise par le bureau du Sénat. Elle pourrait intervenir dans plusieurs semaines.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 24 Janvier 2012 à 15:34
Perpignan, les soldes: Jean-Paul Alduy reçoit le prix Joan Blanca par Nicolas Caudeville
Aujourd'hui à 18heures , les affaires catalanes ( comme il y a un bureau des affaires indiennes qui gèrent les réserves aux états-unis où l'on a cantonné ceux-ci. Les Catalans auront-ils droit à des territoires franchisés pour faire des casinos?), remettent le prix Joan Blanca.
Mais qui est Joan Blanca me direz-vous. Sur le site de la mairie de Perpignan, voilà ce qu'on peut lire : « Pour l’historienne Alicía Marcet-Juncosa, la catalanité de Perpignan est incarnée par Joan Blanca. Ce consul de la ville se trouve au coeur d’un événement qui s’inscrit dans « une espèce d’hagiographie des héros catalans », a-t-elle déclaré. En 1475, alors que le roi Louis XI assiège Perpignan, Joan Blanca est sommé d’ouvrir les portes de la ville en échange de la vie de son fils fait prisonnier par les troupes françaises. Joan Blanca ayant refusé, son fils a été exécuté sous les remparts de Perpignan qui a continué à résister. Et la capitulation n’a été envisagée qu’à la condition que le comte de Barcelone roi d’Aragon en donne l’autorisation. Jean II attribue alors parallèlement le titre de « Fidelíssima vila » à Perpignan conservant à ses yeux le statut de ville catalane. Les dés étaient alors jetés. Au-delà des aléas de l’Histoire qui devaient faire ballotter son destin entre plusieurs royaumes, Perpignan revendiquait là son identité profonde, son âme, « nos racines indéfectibles » pour Jordi Barre, qu’il n’était pas question pour elle de s’aliéner. »
On peut donc déduire que ceux qui reçoivent ce prix, ont résisté face à la France et l'invasion de sa culture en Catalogne Nord. C'est donc plus qu'un prix culturel ?
Qui donc sont les lauréats de cette année, que l'ont qualifier de « rebelles » à l'autorité jacobine, voir son « autoritarisme » : le président du club de rugby à XIII (interdit sous Vichy), les dragons, Bernard Guasch, et l'ex maire sénateur de Perpignan, actuel président de l'agglo PMCA, Jean-Paul Alduy.
Passons sur le président du XIII dont le travail ici et à l'international à eu un impact fort pour l'image de la catalanité. Mais l'homme qui a failli donner son nom au quatrième pont sur la Têt, à part des discours...et une politique du faire comme-ci (voir ce qu'il en fut lorsque Perpignan fût désigné « capitale de la culture catalane » voir article). Notez que le titre de « Fidellissime » pour Jean-Paul Alduy , qui n'a jamais été fidèle qu'à lui-même, et rarement à ses engagements, c'est assez cocasse.
Et puis, un prix donné par les siens: cela met toujours du baume sur un cœur encore récemment meurtrit par une série d'échecs; de la sénatoriale perdue à une gare dont les TGV internationaux ne prendront même pas la peine de ralentir pour y faire étape...Mais après tout, nous sommes en période de solde. Et par conséquent : tous les prix sont à la baisse !
voir aussi
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique