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    Les visites de la Maison Blanche annulées

    Avec AFP Mis à jour <time class="updated" datetime="05-03-2013T21:54:00+02:00;">le 05/03/2013 à 21:54</time> | publié <time datetime="05-03-2013T21:18:00+02:00;" pubdate="">le 05/03/2013 à 21:18</time> Réactions (3)

    Les visites de la Maison Blanche, populaires auprès des touristes séjournant à Washington, seront annulées à partir de ce week-end en raison de l'austérité entrée en vigueur la semaine dernière, selon le bureau des visites de la résidence exécutive.

    "En raison des réductions de personnel dues aux coupes budgétaires, nous regrettons d'informer (le public) que les visites de la Maison Blanche seront annulées à partir du samedi 9 mars, jusqu'à nouvel ordre", est-il indiqué sur le répondeur téléphonique du bureau, qui centralise habituellement les réservations.

    "Malheureusement, nous ne serons pas en mesure de reprogrammer les visites affectées" par ces annulations, précise ce bureau, assurant "beaucoup regretter de devoir prendre ces mesures, en particulier pendant la période du printemps", quand l'affluence des touristes grossit à Washington.

    La capitale fédérale, pendant les vacances scolaires de la fin mars, est en effet le théâtre du festival du "cherry blossom", quand les cerisiers plantés près du fleuve Potomac entrent spectaculairement en fleur et attirent des dizaines de milliers de touristes. La Maison Blanche, classée monument historique et gérée par le service des parcs nationaux, se visite sur réservation, un délai de deux mois étant la norme. Les visiteurs, lors de ces visites sans guide, peuvent voir certaines pièces du sous-sol de la résidence exécutive, ainsi que les salons d'apparat du rez-de-chaussée.

    LIRE AUSSI :

    » États-Unis : pas d'apocalypse budgétaire… dans l'immédiat


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  • Obama rappelle un ancien des Secret Service

    Mis à jour le 04.03.13 à 21h50     lien

    Barack Obama va faire appel à un ancien responsable du Secret Service (USSS) pour prendre la direction de cette agence chargée de la protection rapprochée du président des Etats-Unis, du vice-président et de leurs familles, de certaines hautes personnalités officielles et des hôtes étrangers et de leurs résidences officielles comme la Maison Blanche.

    Il s'agit, selon une information exclusive émanant d'une source autorisée, de David O'Connor, qui a pris sa retraite l'an dernier après avoir dirigé le service des enquêtes du Secret Service. Le Secret Service, composé d'agents d'élite, a été éclaboussé en avril 2012 par un scandale lors de la préparation de la visite du président Barack Obama en Colombie. Certains agents avaient fait monter dans leurs chambres d'hôtel des prostituées locales.

    La nomination de David O'Connor, qui a travaillé plus de 25 ans avec le Secret Service, devrait être officialisée dans les jours qui viennent. Elle n'a pas besoin de recevoir l'aval du Sénat. Il succèdera à Mark Sullivan, parti à la retraite en février à l'issue de près de 30 ans de service dans cette agence.

    Reuters

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Coupes budgétaires : un conseiller d'Obama espère éviter le pire

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-03-03T21:05:30+01:00" itemprop="datePublished">03.03.2013 à 21h05</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-03-03T21:07:37+01:00" itemprop="dateModified">03.03.2013 à 21h07</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Gene Sperling, le 3 mars. <figcaption data-caption="Gene Sperling, le 3 mars. | REUTER/HANDOUT" style="display: block; overflow: hidden; height: 1px; margin-top: 0px; margin-bottom: 0px; padding-top: 0px; padding-bottom: 0px;">Gene Sperling, le 3 mars. | REUTER/HANDOUT</figcaption> </figure>

    Le principal conseiller économique de la Maison Blanche, Gene Sperling, a estimé dimanche 3 mars que le pire des coupes budgétaires automatiques pourrait encore être évité, prédisant un assouplissement des républicains face au mécontentement de leur électorat.

    Lire : Obama : les coupes budgétaires "stupides" vont coûter des emplois"

    "Je pense que quand les effets douloureux de ces coupes vont commencer à graduellement affecter les communautés dépendant des programmes militaires ainsi que des services d'aides à la santé mentale des enfants, plus d'élus républicains préoccupés des conséquences néfastes sur leur électorat vont opter pour un compromis bipartite", a-t-il expliqué sur la chaîne ABC.

    Il a aussi discrédité la proposition des républicains de donner au président Obama plus de choix dans les coupes de 85 milliards de dollars entrées en vigueur vendredi faute d'accord au Congrès. "Cela revient un peu à demander à quelqu'un de choisir les trois doigts de la main qui doivent être coupés", a ironisé Gene Sperling. Cette proposition ne pourrait pas éviter d'éliminer 750 000 emplois dans un contexte de fragilité économique, a-t-il souligné.

    PAS DE SIGNES D'ASSOUPLISSEMENT DES RÉPUBLICAINS

    Pour s'attaquer au déficit, le président Barack Obama accepte l'idée de réformer des programmes sociaux, comme le demande les républicains, mais il insiste aussi sur la nécessité de nouvelles rentrées fiscales en éliminant des niches d'imposition dont bénéficient les entreprises et les riches Américains.

    Les ténors républicains n'ont pas donné dimanche de signes d'assouplissement dans leur opposition à toute nouvelle imposition, lui préférant une réduction drastique du train de vie de l'Etat fédéral. "La question est de savoir si nous allons respecter l'engagement bipartite pris envers le peuple américain il y a un an et demi et signé par le président Obama, selon lequel nous allons réduire les dépenses fédérales pour cette année fiscale sans augmenter les impôts", a lancé Mitch McConnell, chef de la minorité républicaine du Sénat, sur la chaîne CNN.

    "Il (Obama) a déjà eu sa hausse d'impôt, il est temps désormais de réduire les dépenses et tous les Américains le savent bien", a aussi déclaré dimanche sur la chaîne ABC le républicain John Boehner, président de la Chambre des représentants. Selon lui, aucun camp n'est prêt au compromis. "Je ne pense pas que quiconque ait une idée de comment en sortir", a jugé M. Boehner.

    </article>

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  • The White House Friday, March 1, 2013
     

     

    Starting today, our government will need to grapple with a set of arbitrary budget cuts that will hurt the economy, make life harder for middle-class families, and threaten our national security. That's what Washington means when it talks about the sequester.

    Not everyone will feel the consequences of these cuts immediately, but if sequestration is allowed to continue, it will make life more difficult for Americans all across the country. That's a fact that no one disputes.

    And the reason we are here is because some members of Congress have made a choice to prioritize these cuts over closing tax loopholes for the wealthy. But there is still time for them to make a different choice and undo this manufactured crisis.

    Today, President Obama discussed this situation and answered questions from the press. "This is not a win for anybody," he said. "This is a loss for the American people."

    Help us make sure your friends and neighbors know what's at stake. Share this video of President Obama on Facebook or Twitter -- or even just forward this email to your friends.

    Watch:

    Watch President Obama's statement from the Briefing Room

    http://www.whitehouse.gov/sequester-briefing

    PS -- We put a page together that outlines President Obama's solution for resolving the sequester, explains what these cuts will mean for communities across the country, and asks you to share your story. Check it out: WH.gov/Sequester.

    Stay Connected


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Discours sur l'état de l'Union : le tournant économique d'Obama

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-02-13T20:17:59+01:00" itemprop="datePublished">13.02.2013 à 20h17</time>

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    lien

    <figure class="illustration_haut"> Barack Obama, le 12 février au soir, lors du discours sur l'état de l'Union. </figure>

    Il a promis beaucoup. Dans son discours sur l'état de l'Union, prononcé mardi 12 février à Washington, Barack Obama a voulu séduire les classes moyennes, qu'il considère comme "le véritable moteur de la croissance économique américaine".

    Dans la presse américaine, le constat est mitigé : pour le Washington Post, le problème est qu'il a trop promis, beaucoup trop, à la fois du "politiquement possible et du politiquement invraisemblable". Pour d'autres, au contraire, à l'instar de USA Today, le président a prouvé qu'il était "prêt à se battre".

    • L'accord de libre-échange : l'annonce surprise

    Berlin en rêvait, Washington l'a fait. C'est la surprise du discours : le coup d'envoi des discussions sur une zone de libre-échange entre l'Europe et les Etats-Unis, "parce qu'un commerce libre et équitable de part et d'autre de l'Atlantique soutiendra des millions d'emplois américains bien payés", a fait valoir Obama

    Lire : Berlin favorable à une zone de libre-échange avec les Etats-Unis

    Pour le Financial Times, Obama "injecte de l'optimisme sur les négociations", alors que la partie est loin d'être gagnée. Le quotidien britannique rappelle que ce sujet est sensible aux Etats-Unis, bien qu'il y ait "beaucoup moins d'animosité au sein du Congrès envers l'Union européenne, comparé à la Chine ou aux économies émergentes". D'ailleurs, alors que la Chine cristallise le débat outre-Atlantique, le New York Times souligne que le flux commercial avec l'Europe est bien plus important qu'avec Pékin. Mieux encore, pour les entreprises américaines, l'Union européenne achète bien plus aux Etats-Unis que ne le fait la Chine.

    • L'augmentation du salaire minimum : un défi politique

    C'est la proposition retenue par le New York Times : l'augmentation de 25 % du salaire minimum, qui passerait de 7,25 dollars à 9 dollars d'ici à trois ans – projet auquel le quotidien oppose deux contre-arguments. Le premier est d'abord politique : cette mesure ferait face à "une forte opposition", que ce soit du côté des républicains, opposés en général aux dépenses sociales, ou du côté des chefs d'entreprise, qui constateraient une augmentation du coût du travail. Le second est économique : le journal affirme, études à l'appui, que l'augmentation du salaire minimum est contre-productive dans la lutte contre la pauvreté.

    Lire : Salaire minimum : maximum de risques pour Obama

    Pour le Wall Street Journal, ce n'est ni plus ni moins que de "l'activisme gouvernemental à l'époque des déficits béants". En effet, alors qu'Obama a "les mains liées" par un Congrès où il n'a pas la majorité, il ne peut se permettre de dépenser de l'argent qu'il n'a pas. D'où cette proposition, dont la facture "sera réglée, évidemment, pas par le gouvernement, mais par les entreprises", souligne ironiquement le journal.

    • Croissance uu réduction du déficit ?

    Le Washington Post relève qu'Obama s'est enhardi sur la question du budget. Selon le journal, le moment le plus fort du discours a été la remise en question du stéréotype selon lequel la réduction du déficit serait un bienfait pour l'économie. Au contraire, le président a plaidé pour des "investissements en faveur d'une croissance globale" – une idée forte pour le journal, et ce, même si elle a peu de chance de séduire le Congrès.

    Lire : Les défis économiques du nouveau Congrès américain

    USA Today se réjouit pour sa part de voir un président "plus combatif", qui "a adopté un 'agenda' plus marqué à gauche et un style plus agressif". Cette nouvelle stratégie à double-tranchant sera "testée presque immédiatement" avec l'arrivée imminente du "mur budgétaire", c'est-à-dire le déclenchement de coupes budgétaires automatiques dès le 1er mars, si un accord sur le budget n'était pas trouvé d'ici là.

    • Minimiser le débat sur la dette

    Pour Ezra Klein, chroniqueur au Washington Post, si Obama s'est montré si ambitieux, c'est qu'il "vient juste de gagner une élection et compte poser les conditions du débat". Pas question donc pour lui que le plafond de la dette monopolise les discussions, comme il l'a fait ces deux dernières années, élections de mi-mandat obligent, analyse le quotidien, pour qui il s'agit là d'une véritable "mise à distance des politiques d'austérité".

    Mais s'il y a bien un point sur lequel les républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, ne veulent pas céder, ce sont bien les coupes – et Obama le sait. C'est pourquoi, écrit le Los Angeles Times, le président a pris soin de confiner ses opposants dans le camp des personnes "déraisonnables", qui n'ont que pour seul "motto" la défense des exonérations d'impôt.

    Lire aussi : Economie américaine : dans quel état est l'Union ?

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