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    Fisc, attaque de Benghazi : Obama face aux critiques

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-05-13T21:17:32+02:00" itemprop="datePublished">13.05.2013 à 21h17</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-05-13T21:17:33+02:00" itemprop="dateModified">13.05.2013 à 21h17</time>
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    <figure class="illustration_haut">

    Barack Obama

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    Barack Obama répond aux attaques. Le président américain a affirmé lundi 13 mai qu'il serait "scandaleux" que le fisc américain ait visé spécifiquement des groupes conservateurs, une affaire qui provoque la colère des républicains et s'ajoute à leurs critiques sur l'attaque en septembre du consulat de Benghazi, en Libye.

    Les deux affaires sont les deux dossiers politiques les plus brûlants du moment et ont fait l'objet de la première question posée au président lors d'une conférence de presse commune avec le premier ministre britannique, David Cameron, à la Maison Blanche.

     TEA PARTY

    "Si des employés de l'IRS (Internal revenue service) ont eu recours au genre de pratiques qui ont été rapportées et ciblaient à dessein des groupes conservateurs, alors c'est scandaleux", a déclaré M. Obama. "Nous allons attendre de connaître tous les faits et les détails. Mais je n'ai aucune patience pour cela, je ne le tolérerai pas et nous ferons en sorte de comprendre exactement ce qu'il s'est passé", a-t-il promis.

    Le fisc a annoncé vendredi, en s'excusant, que des fonctionnaires avaient sélectionné des groupes dont le nom comportait les mots "Tea Party" ou "patriote" pour un examen approfondi de leur demande de statut spécial.

    Pour profiter d'un régime fiscal de non-imposition, comme les ONG ou les Eglises, les groupes dits "501(c)4" doivent avoir comme objectif l'intérêt général ("social welfare") et ne peuvent pas être de nature politique.

    "UN ABUS DE POUVOIR SCANDALEUX"

    Certains évoquant l'ancien président Richard Nixon, les républicains ont dénoncé une tentative du pouvoir d'intimider le mouvement politique le plus virulent à l'égard de M. Obama.

    Mais même les démocrates ont fait part de leur choc. Des enquêtes parlementaires vont être lancées au Congrès, y compris au Sénat, contrôlé par les alliés de Barack Obama.

    "Les actions des services fiscaux sont un abus de pouvoir scandaleux et une rupture de la confiance du public", a déclaré Max Baucus, président démocrate de la commission des finances du Sénat. "Les services fiscaux doivent se préparer à une enquête complète de la commission des finances. Les services fiscaux vont désormais être ceux qui sont soumis à un examen complémentaire".

    Le Tea Party est une mouvance informelle composé d'une myriade de groupes. Des dizaines d'entre eux se plaignaient depuis le printemps 2012 du caractère extrêmement poussé des questions du fisc.

    L'ATTAQUE DE BENGHAZI

    Lundi, le président a aussi nié les accusations selon lesquelles son administration aurait essayé de cacher des informations à propos de l'attaque de Benghazi, le jour anniversaire des attentats du 11-Septembre, lors de laquelle l'ambassadeur en Libye, Christopher Stevens, et trois Américains furent tués.

    Lire :  L'attaque de Benghazi contre l'ambassade américaine continue d'agiter Washington

    M. Obama a accusé ses adversaires républicains de vouloir faire "diversion". "Le lendemain de cette attaque, j'avais reconnu qu'il s'agissait d'un acte terroriste", a-t-il dit. "Le fait qu'on continue à en parler, franchement, a beaucoup à voir avec des motivations politiques".

    Rapports et auditions à l'appui, les républicains de la Chambre des représentants estiment que le plus haut niveau du département d'Etat, alors dirigé par Hillary Clinton, possible prétendante à la Maison Blanche en 2016, est responsable des failles de sécurité à Benghazi.

    Des courriels révélés vendredi par la chaîne ABC semblent aussi indiquer que le département d'Etat et la Maison Blanche sont intervenus, dans les jours suivant l'attentat islamiste, pour supprimer une référence à Al-Qaida dans un document sur lequel devait s'appuyer Susan Rice, ambassadrice à l'ONU, pour rendre compte à la télévision des débuts de l'enquête.

    Elle avait alors dit, en pleine campagne présidentielle, que l'attaque semblait avoir été spontanée et inspirée des manifestations autour de l'ambassade du Caire contre une vidéo islamophobe diffusée sur YouTube, et que des éléments extrémistes s'étaient ensuite joints aux violences.

    </article>

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  • VIDEO. Devant la présidente sud-coréenne, Obama dit maîtriser «Gangnam Style»

    Publié le 07.05.2013, 23h16 | Mise à jour : 08.05.2013, 00h28  lien

    WASHINGTON (ETATS-UNIS), 7 MAI 2013. Le président des Etats-Unis Barack Obama s'est vanté de maîtriser la danse «Gangnam Style» popularisée par le chanteur sud-coréen Psy, lors d'une conférence de presse avec son homologue de Séoul Park Geun-Hye.

    WASHINGTON (ETATS-UNIS), 7 MAI 2013. Le président des Etats-Unis Barack Obama s'est vanté de maîtriser la danse «Gangnam Style» popularisée par le chanteur sud-coréen Psy, lors d'une conférence de presse avec son homologue de Séoul Park Geun-Hye. | AFP / Brendan Smialowski

    Zoom

    Le des Etats-Unis s'est vanté mardi de maîtriser la danse «Gangnam Style» popularisée par le chanteur sud-coréen Psy, lors d'une conférence de presse avec son homologue de Séoul Park Geun-Hye.

    «Dans le monde entier, les gens sont entraînés par la culture coréenne, la vague coréenne, a-t-il affirmé après avoir salué les «progrès extraordinaires» de Séoul en matière politique et économique ces dernières décennies.

     

      «Et comme je l'ai dit à la présidente Park, mes filles m'ont appris (à danser, Ndlr) plutôt bien «Gangnam Style», a ajouté le président démocrate, provoquant quelques rires dans l'assistance. Les filles Obama, Sasha et Malia, ont respectivement 11 et 14 ans.

    «Psy», de son vrai nom Park Jae-Sang, a mis en 2012 la musique populaire sud-coréenne sur orbite mondiale grâce à sa chanson «Gangnam Style», dont le clip montrant sa technique de danse déjantée a battu tous les records de vues sur le site de partage de vidéos YouTube: près de 1,6 milliard.

    Le jour même de sa réélection, le 6 novembre 2012, Barack Obama avait confié à une radio qu'il venait de découvrir cette chorégraphie très particulière. «Je pense que je peux danser comme ça. Mais je ne sais pas si les bals d'investiture seront le bon moment pour me lancer (...) Je le ferai peut-être en privé pour Michelle», son épouse, avait-il plaisanté.

    VIDEO. Obama : la Corée du Nord «plus que jamais isolée»

    http://www.leparisien.fr/international/devant-la-presidente-sud-coreenne-obama-dit-maitriser-gangnam-style-07-05-2013-2786485.php


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    A Mexico, Obama salue l'émergence d'un "nouveau Mexique"

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-05-03T20:19:19+02:00" itemprop="datePublished">03.05.2013 à 20h19</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-05-03T20:35:20+02:00" itemprop="dateModified">03.05.2013 à 20h35</time>
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    <figure class="illustration_haut"> Barack Obama salue la foule lors de son arrivée à l'aéroport de Mexico, le 3 mai 2013. </figure>

    Lors de son déplacement à Mexico, le président américain Barack Obama a salué, vendredi 3 mai, l'émergence d'un "nouveau Mexique", appelé ses compatriotes à dépasser les "stéréotypes" sur ce pays et promis aux Mexicains une relation entre "partenaires égaux".

    "Certains Mexicains pourraient penser que les Etats-Unis ne respectent pas le Mexique, que nous essayons de nous ingérer dans les affaires intérieures mexicaines, ou que nous essayons de nous isoler", a reconnu M. Obama. "Certains Américains ne voient que le Mexique, décrit dans de gros titres à sensation, de la violence ou de traversée de la frontière", a remarqué le président, dans ce discours au musée anthropologique de Mexico.

    "Et dans les deux pays, de telles distorsions peuvent donner naissance à des mythes et à une incompréhension qui rendent plus difficile de progresser ensemble", a assuré M. Obama, qui a ponctué son discours d'expressions en espagnol, saluées avec enthousiasme par la foule réunie dans la cour intérieure du musée.

    "Nous sommes deux partenaires égaux, deux pays souverains qui doivent travailler ensemble pour l'intérêt commun, et dans le respect mutuel", a-t-il poursuivi, estimant qu'il était temps pour chaque pays de reconnaître ses "responsabilités".

    "Aux Etats-Unis (...), nous comprenons que la cause fondamentale de la violence ici est la demande pour la drogue, émanant notamment des Etats-Unis", a-t-il dit. Et "nous reconnaissons que la plupart des armes utilisées pour commettre des violences ici au Mexique proviennent des Etats-Unis", allusion à la guerre pour le contrôle des circuits de la drogue qui a fait quelque 70 000 morts en six ans.

    DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LIÉ À L'IMMIGRATION

    Mais son discours était empreint d'optimisme, particulièrement quand il a estimé qu'il était "évident qu'un nouveau Mexique est en train d'émerger". "Je vois un Mexique qui est en train d'approfondir sa démocratie", a poursuivi le président. Il concluait vendredi une visite de vongt-quatre heures, la quatrième depuis son installation à la Maison Blanche, chez son voisin du sud. Il avait salué la veille l'"audace" réformatrice de son nouvel homologue Enrique Peña Nieto.

    "Je vois un Mexique qui crée une nouvelle prospérité (en) faisant du commerce avec le monde, en devenant une place forte du secteur manufacturier", a encore dit M. Obama, qui avait insisté la veille sur le développement prometteur des relations commerciales entre le Mexique et son pays, déjà liés depuis près de vingt ans par un accord de libre-échange.

    Il avait lié le développement économique à l'immigration, un sujet sur lequel il est revenu vendredi. "Il n'y a pas de raisons d'aller à l'étranger à la recherche d'une vie meilleure. Il y a des opportunités (de réussir) ici", a-t-il déclaré.

    Au moment où le Congrès américain se penche sur une réforme concernant l'immigration, un serpent de mer aux Etats-Unis où plus de 11 millions de personnes habiteraient illégalement, en majorité des Mexicains, M. Obama s'est dit "optimiste" sur l'issue des débats.

    Enfin, il a retrouvé des accents de campagne électorale lorsqu'il a affirmé aux jeunes Mexicains que c'était à eux de déterminer leur destin. "Vous êtes votre propre rêve", s'est-il exclamé en conclusion de son discours, après lequel il devait rencontrer des hommes d'affaires. Il devait quitter Mexico en début d'après-midi, direction le Costa Rica pour la deuxième et dernière étape de sa tournée en Amérique latine.

    Lire aussi : Barack Obama au Mexique pour défendre une réforme migratoire ambitieuse (lien abonnés)

    </article>

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    Pourquoi Barack Obama s'engage (de nouveau)

    à fermer Guantanamo

    Le président avait promis en 2008 de fermer ce camp de détention, touché depuis février par une vague de grèves de la faim.

    </hgroup> </header> <figure id="image_338677"> Des soldats américains se tiennent devant un camp de détenus chinois, le 28 octobre 2009, au centre de détention américain de Guantanamo, à Cuba. <figcaption>Des soldats américains se tiennent devant un camp de détenus chinois, le 28 octobre 2009, au centre de détention américain de Guantanamo, à Cuba. (JOHN MOORE / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)</figcaption> </figure> <section class="byline"> Par

    Mis à jour le <time datetime="2013-04-30T20:25:31+02:00" itemprop="dateModified">30/04/2013 | 20:25</time> , publié le <time datetime="2013-04-30T18:03:46+02:00" itemprop="datePublished">30/04/2013 | 18:03</time>

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    "Il faut le fermer." Barack Obama s'est engagé, mardi 30 avril, à œuvrer de nouveau en faveur de la fermeture du camp de détention de Guantanamo, une promesse jamais appliquée de sa campagne électorale victorieuse de 2008. Le président américain a précisé que son administration allait reprendre contact avec le Congrès, afin d'examiner les obstacles à cette fermeture. Voici pourquoi ce camp controversé, installé par l'ex-président George W. Bush en 2002, revient sur le devant de la scène.

     

    "Il faut le fermer." Barack Obama s'est engagé, mardi 30 avril, à œuvrer de nouveau en faveur de la fermeture du camp de détention de Guantanamo, une promesse jamais appliquée de sa campagne électorale victorieuse de 2008. Le président américain a précisé que son administration allait reprendre contact avec le Congrès, afin d'examiner les obstacles à cette fermeture. Voici pourquoi ce camp controversé, installé par l'ex-président George W. Bush en 2002, revient sur le devant de la scène.

    Une image ternie pour Washington

    "Je continue à croire que nous devons fermer Guantanamo. C'est important pour nous de comprendre que Guantanamo n'est pas nécessaire pour la sécurité de l'Amérique", a expliqué Barack Obama lors d'une conférence de presse. Selon le président américain, "cela coûte cher" et "c'est inefficace". Le Figaro explique ainsi que la prison de Guantanamo coûte chaque année 800 000 euros par détenu au gouvernement américain. Ce qui en fait la plus chère des Etats-Unis. 

    Pour Barack Obama, l'existence de cette prison, très critiquée dans le domaine des droits de l'homme, affecte l'image des Etats-Unis à l'étranger, "entrave la coopération antiterroriste avec nos alliés" et constitue un "outil de recrutement pour les extrémistes". Et de confier qu'il n'est pas surpris des problèmes que "nous avons" à Guantanamo.

    Une grève de la faim sans précédent

    Depuis février, le camp attire en effet les regards en raison d'une grève de la faim, qui est entrée lundi dans sa douzième semaine. Elle est désormais suivie par 100 des 166 détenus, selon un décompte effectué samedi par l'armée américaine. Le président s'est dit "pas surpris" par les problèmes à Guantanamo, et a ajouté ne pas vouloir que les détenus en grève de la faim meurent. 

    Les avocats des grévistes expliquent que le mouvement a été déclenché quand des corans ont été examinés d'une façon jugée blasphématoire par les prisonniers. Il s'est depuis durci, d'autant que les autorités du camp ont décidé, samedi, de nourrir de force 20 grévistes, par des tubes reliés directement à l'estomac via la cloison nasale.

    Des détenus en souffrance

    Nabil Hadjarab, un des grévistes détenu à Guantanamo depuis 2002, explique, dans une lettre publiée par L'Express, les raisons de sa mobilisation et de celle de ses codétenus. Par leur geste, tous entendent désormais dénoncer leur détention illimitée, parfois depuis onze ans, sans inculpation ni procès. Un état de fait critiqué aussi par de nombreuses associations, dont Amnesty International et Human Rights Watch, qui ont récemment instauré une "journée d'action contre Guantanamo"

    Dans sa lettre, Nabil Hadjarab explique : "Je suis ici en détention indéfinie, sans charges retenues contre moi. Je n'en peux plus de voir mes droits constamment violés. (...) Je n'ai jamais rien fait de mal. Je n'ai jamais même eu l'intention de commettre quelque crime que ce soit. (...) Il est temps de nous laisser sortir d'ici."

    Samir Naji al Hasan Moqbel, un autre prisonnier lui aussi gréviste, ne dit pas autre chose dans une tribune publiée dans le New York Times (en anglais) et intitulée "Guantanamo est en train de m'achever". "Je ne mangerai pas tant qu'on ne me rendra pas ma dignité. Je suis emprisonné depuis onze ans et trois mois. Je n'ai jamais été inculpé. Je n'ai jamais eu de procès." Il dénonce encore les traitements de la part des autorités du camp, notamment des gardes, et dépeint une situation "désespérée". "J'espère seulement que la souffrance que nous endurons amènera le monde à regarder une nouvelle fois Guantanamo, avant qu'il ne soit trop tard."

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Barack Obama confirme avec prudence l'utilisation

    d'armes chimiques en Syrie

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2013-04-30T17:34:26+02:00" itemprop="datePublished">30.04.2013 à 17h34</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-04-30T17:48:49+02:00" itemprop="dateModified">30.04.2013 à 17h48</time>
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    <figure class="illustration_haut">

    Barack Obama, lors de sa conférence de presse du mardi 30 avril.

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    Le président américain Barack Obama a assuré mardi 30 avril détenir la preuve de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, mettant toutefois en garde contre toute "décision hâtive" d'intervention. "Nous avons maintenant des preuves que des armes chimiques ont été utilisées en Syrie, mais nous ne savons pas par qui, ni quand, ni comment", a expliqué le président américain lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche.

    Barack Obama a également assuré que Washington reverrait sa position sur le conflit syrien s'il était établi que le régime de Bachar Al-Assad a effectivement utilisé des armes chimiques contre les rebelles. Le président américain a cependant mis en garde contre la prise de décisions hâtives sur ce dossier en l'absence de faits précis et concrets : "Je dois être certain d'avoir tous les éléments. C'est ce que le peuple américain est en droit d'attendre."

    Lire : Les armes chimiques, ligne rouge d'une intervention en Syrie

    La semaine passée, la Maison Blanche avait confirmé pour la première fois mais avec prudence l'usage d'armes chimiques par Damas, dans une lettre rendue publique : "La communauté américaine du renseignement, avec différents degrés de certitude, est parvenue à la conclusion que le régime syrien a utilisé des armes chimiques à petite échelle, en Syrie, en particulier du gaz sarin", écrivait la présidence.

    Lire en édition abonnés : Les Etats-Unis confirment l'usage d'armes chimiques par Bachar Al-Assad

    Pressé d'intervenir militairement en Syrie pour prendre le contrôle de ces armes chimiques, Barack Obama s'est jusqu'alors montré prudent, attendant des faits "crédibles et confirmés" pour mettre en cause le régime de Damas sur ce dossier.

    </article> "Redoubler d'efforts pour fermer Guantanamo"

    Barack Obama a également assuré lors de sa conférence de presse qu'il redoublerait d'efforts pour fermer la prison de Guantanamo, sur l'île de Cuba, où un nombre croissant de détenus observent une grève de la faim. "Ce n'est pas une surprise pour moi si nous avons des problèmes à Guantanamo. [...] Je continue à croire que nous devons fermer Guantanamo. C'est important pour nous de comprendre que Guantanamo n'est pas nécessaire pour la sécurité de l'Amérique. Cela coûte cher. C'est inefficace", a-t-il déclaré.


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