• <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Dilma Rousseff promulgue une loi sur les violences sexuelles

    très critiquée par l'Eglise

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-08-02T00:48:56+02:00" itemprop="datePublished">02.08.2013 à 00h48</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-08-02T00:50:46+02:00" itemprop="dateModified">02.08.2013 à 00h50</time>

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    <figure class="illustration_haut"> La président brésilienne DIlma Rousseff, le 31 juillet, à Sao Paulo. </figure>

    La présidente brésilienne Dilma Rousseff a promulgué jeudi 1er août une loi visant à protéger les victimes de violences sexuelles. Très critiqué par l'Église catholique qui y voit un premier pas à une légalisation plus ample de l'avortement, le texte rend obligatoire le traitement d'urgence dans les hôpitaux publics (et gratuits) et l'accès à des médicaments pour empêcher une grossesse non désirée, comme la pilule du lendemain.

    L'avortement est seulement autorisé au Brésil en cas de viol, jusqu'à huit semaines de grossesse, ou quand la vie de la mère est en danger. La question d'une dépénalisation élargie fait débat dans le pays, qui compte le plus grand nombre de catholiques au monde (123 millions).

    Certaines églises évangéliques avaient annoncé qu'elles se mobiliseraient contre Dilma Rousseff lors de la campagne pour l'élection présidentielle d'octobre 2014 si elle n'opposait pas son veto aux aspects les plus controversés de la nouvelle loi. Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2010, l'héritière de Luiz Inacio Lula da Silva, pressée par les chrétiens conservateurs, s'était engagée par écrit à ne pas dépénaliser l'avortement, à la déception des féministes et d'une partie de la gauche.

    En mars 2009, l'archevêque d'Olinda et Recife, José Cardoso Sobrinho, avait excommunié la mère d'une enfant de 9 ans ayant avorté de jumeaux à la suite d'un viol. Une position défendue par le Vatican à l'époque.

    </article>

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  • Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-07-31T06:55" itemprop="datePublished" pubdate=""> 31/07/2013 à 06:55</time>

    Le dispositif consiste en une aide versée à une entreprise qui embauche en CDI un jeune de moins de 30 ans résident d'une zone urbaine sensible.

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    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Le déplacement de François Hollande intervient dans la foulée d'une réunion ministérielle sur la politique de la ville. <figcaption>

    Le déplacement de François Hollande intervient dans la foulée d'une réunion

    ministérielle sur la politique de la ville. © CHARLES PLATIAU / AFP

    </figcaption> </figure>
     

    Le président François Hollande sera mercredi à Clichy-sous-Bois pour une visite consacrée à la politique de la ville avec la signature d'un "emploi franc", dispositif de soutien à l'emploi des jeunes, a annoncé l'Élysée mardi dans un communiqué. Ce déplacement interviendra dans la foulée d'une réunion ministérielle sur la politique de la ville conduite par le chef de l'État à l'Élysée, a précisé la présidence. Après la signature du contrat d'"emploi franc", François Hollande qui sera accompagné du ministre délégué à la Ville, François Lamy, participera à une table ronde avec des créateurs d'entreprise et visitera une nouvelle agence de Pôle emploi ainsi que "Clichy plage", des animations estivales, a encore indiqué l'Élysée.

    Le premier contrat d'emploi franc, dispositif créé pour soutenir l'emploi des jeunes originaires des zones urbaines sensibles (ZUS), avait été signé le 10 juillet à Marseille en présence de François Lamy. Ce dispositif, l'une des propositions du candidat François Hollande lors de la campagne présidentielle, consiste en une aide de 5 000 euros versée en deux fois à une entreprise qui embauche en CDI un jeune de moins de 30 ans résident d'une zone urbaine sensible.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Kerry : l'armée égyptienne a déposé Morsi pour "rétablir la démocratie"

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-08-01T20:43:38+02:00" itemprop="datePublished">01.08.2013 à 20h43</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-08-01T20:55:10+02:00" itemprop="dateModified">01.08.2013 à 20h55</time>

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    <figure class="illustration_haut"> John Kerry a cependant exprimé des inquiétudes à propos des violences dont est accusée l'armée égyptienne au cours des dernières semaines. </figure>

    Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a jugé jeudi 1er août que l'armée égyptienne avait déposé le président Mohamed Morsi début juillet dans le but de rétablir la démocratie. M. Kerry est en visite au Pakistan et était interrogé par une télévision privée pakistanaise sur la position ambiguë des Etats-Unis face à la crise politique en Egypte depuis que le président Morsi, élu au printemps 2012, a été renversé par l'armée le 3 juillet.

    "Des millions et des millions de gens ont demandé à l'armée d'intervenir. Tous avaient peur d'une descente dans le chaos et la violence, a assuré M. Kerry sur la télévision Geo. Et l'armée n'a pas pris le pouvoir, d'après ce que nous pouvons en juger jusqu'à présent. Pour conduire le pays, il y a un gouvernement civil. En fait, elle rétablissait la démocratie."

    "NOUS SOMMES TRÈS, TRÈS INQUIETS"

    Le journaliste pakistanais interroge alors M. Kerry sur les allégations de violences de militaires égyptiens contre des manifestants. "Oh, non. Cela n'est pas rétablir la démocratie et nous sommes très, très inquiets [...]. Nous avons dit clairement que c'était absolument inacceptable, a réagi le ministre. L'histoire de l'Egypte n'est pas encore terminée. Nous devons voir comment les choses se déroulent dans les prochains jours."

    Mercredi, le département d'Etat avait appelé les autorités égyptiennes à respecter la liberté de rassemblement après qu'elles eurent ordonné à la police de mettre fin aux sit-in des partisans du président déchu Mohamed Morsi. Les Etats-Unis restent dans l'embarras vis-à-vis de l'intervention de l'armée, une action qu'ils n'ont pas qualifiée de "coup d'Etat". Cela les aurait obligés à interrompre l'aide militaire et économique conséquente qu'ils versent à l'Egypte.

    </article>

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Foot : la France battue par la Serbie en finale

    de l'Euro des moins de 19 ans

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-08-01T22:41:50+02:00" itemprop="datePublished">01.08.2013 à 22h41</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-08-01T22:59:45+02:00" itemprop="dateModified">01.08.2013 à 22h59</time>

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    L'équipe de France des moins de 19 ans s'est inclinée en finale de l'Euro face à la Serbie (1-0), jeudi à Marijampole en Lituanie, échouant ainsi à emboîter le pas des moins de 20 ans français, sacrés champions du monde en Turquie le 13 juillet.

    Au coup de sifflet final, les mini-Bleus voyaient leur rêve de bel été voler en éclats quand les Serbes exultaient, à l'image de Mitrovic, impressionnant et passeur décisif pour Lukovic, ces deux joueurs ayant été les bourreaux des Français.

    Tout n'est pas à jeter et le parcours de Benzia et ses partenaires reste honorable. Les joueurs de Francis Smerecki ont tout de même écarté l'Espagne, double tenante du titre, en demi-finale (2-1 en prolongations). Mais comme dit l'adage, cruel : après une finale, on ne retient que le nom du vainqueur. Les mini-Bleus l'ont appris à leurs dépens.

    LA DISCIPLINE DES SERBES

    La France avait remporté l'Euro des moins de 19 ans deux fois, en 2005 et 2010. La dernière fois, c'était d'ailleurs avec le même coach, Smerecki. Cette fois, la recette n'a pas fonctionné.

    Dans le petit stade de Marijampole (6 000 spectateurs), tout a basculé en deuxième période après une première mi-temps décevante. Les mini-Bleus, empruntés, ont trop rarement réussi à construire des mouvements. Ils pourront méditer sur la discipline, l'organisation des Serbes et leur concentration intacte pour saisir la moindre opportunité.

    Alors que Martial (Monaco), décevant, venait d'être remplacé par le Toulousain Rodrigues (56e), la Serbie ouvrait le score avec ce surplus d'agressivité qui manquait aux mini-Bleus. Golubovic récupérait un ballon, transmettait à son capitaine Pavlovski, qui servait Mitrovic, attaquant excentré remisant intelligemment pour Lukovic, buteur (1-0, 57e). Ce but avait au moins le mérite de réveiller les Français. Mais Hunou trouvait le gardien (61e), tout comme Benzia (64e).

    La première mi-temps ne laissera pas un grand souvenir. Les deux équipes avaient peut-être laissé trop d'énergie en demi-finale (prolongations pour les Français contre l'Espagne, tirs au but pour les Serbes contre le Portugal). Mais les Serbes furent meilleurs dans le pressing et le quadrillage du terrain. C'est la première fois que la Serbie remporte l'Euro dans cette catégorie d'âge.

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