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    Rallye de Finlande: Neuville comme un grand,

    Ogier tout près

    <time datetime="2013-08-01T21:21:25+02:00" itemprop="datePublished">1 août 2013 à 21:21</time> (Mis à jour: <time datetime="2013-08-01T22:03:13+02:00" itemprop="dateModified">22:03</time>) lien

    Le pilote belge Thierry Neuville lors du rallye de Finlande, épreuve du Championnat du monde WRC, le 31 juillet près de Jyvaskyla

    Le pilote belge Thierry Neuville lors du rallye de Finlande, épreuve du Championnat
    du monde WRC, le 31 juillet près de Jyvaskyla (Photo Mikko Stig. AFP)

    Le Belge Thierry Neuville (Ford Fiesta RS), 25 ans, était en tête du rallye de Finlande, 8e manche du Championnat du monde (WRC), devant le Français Sébastien Ogier (VW Polo-R), jeudi soir à Jyväskylä, après les six épreuves spéciales de la 1re journée.

    Ogier, leader du championnat, a signé deux temps scratch (ES1, ES3) et Neuville deux autres (ES2, ES6), notamment la super-spéciale du soir sur l’hippodrome de Killeri. Le pilote VW a aussi et surtout évité de faire une erreur, comme son coéquipier Jari-Matti Latvala dans l’ES2, car «on a une belle avance au championnat, ce serait dommage de tout gâcher», a-t-il expliqué.

    «Je n’étais pas bien dedans, ces conditions ne me convenaient pas vraiment. c’était un peu piégeux, un peu cassant, surtout dans l’ES2 et l’ES5, où il y avait des rails. Le vrai départ, ce sera demain matin, il faudra être bien réveillé», a dit Ogier en fin de journée, alors qu’il venait de rentrer à l’assistance de Jyväskylä avec cinq secondes de déficit sur le Belge.

    Les deux pilotes, longtemps soutenus par Citroën, se sont rendu coup pour coup tout tout au long des 43 km chronométrés de cet apéritif un peu arrosé. «C’est une belle bagarre», disait Neuville au regroupement de Padasjoki, après l’ES4. Le natif de Saint-Vith a aussi évoqué le «travail énorme» réalisé en amont de ce rallye, en visionnant «pendant quatre ou cinq jours», avec son copilote Nicolas Gilsoul, les vidéos de sa première participation, en 2012.

     

    Ogier «pas surpris»

    «Belle journée»

    «C’était une belle journée pour nous. Je n’aurais pas cru que ça marche aussi bien. Avec la pluie, j’ai évité de prendre des risques, ça montre bien qu’on était à l’aise», a estimé Neuville, en reconnaissant que cette journée était «assez courte» et qu’il «connaissait bien ces spéciales».

    «Moi je m’attendais à ce que Thierry soit avec nous. Il est sur une bonne série, il est en confiance et je ne suis pas surpris», a aussi dit Ogier au sujet de Neuville qui reste sur deux podiums consécutifs en Grèce et en Sardaigne.

    Côté finlandais, Latvala, dans l’autre VW officielle, a abîmé sa suspension arrière gauche sur une pierre dès l’ES2. Après une réparation de fortune, il a fait quelques kilomètres au ralenti puis a décidé d’en rester là, aucune assistance n’étant prévue avant le retour à Jyväskylä. Il repartira vendredi matin avec dix minutes de pénalité.

    Mikko Hirvonen, le leader de Citroën Racing, avait fait le meilleur temps de la spéciale qualificative mercredi soir et choisi de passer le dernier des pilotes prioritaires, pour éviter de balayer la piste. C’était le mauvais choix car il a été victime de la météo, notamment la pluie. Il entamera la deuxième journée, vendredi, à la 4e place, en embuscade derrière Neuville, Ogier et le Norvégien Mads Ostberg.


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    Europa league: Saint-Etienne a bien fait le travail

    <time datetime="2013-08-01T22:32:14+02:00" itemprop="datePublished">1 août 2013 à 22:32          </time>lien

    L'attaquant brésilien de Saint-Etienne Brandao célèbre le premier de ses deux buts contre les Moldaves de Milsami Orhei, le 1er août 2013, lors du 3e tour préliminaire de l'Europa League, au stade Geoffroy-Guichard

    L'attaquant brésilien de Saint-Etienne Brandao célèbre le premier de ses deux buts contre les Moldaves de Milsami Orhei, le 1er août 2013, lors du 3e tour préliminaire de l'Europa League, au stade Geoffroy-Guichard (Photo Philippe Desmazes. AFP)

    Vainqueur 3-0 du club moldave du FC Milsami Orhei, en match aller du 3e tour préliminaire de l’Europa League, jeudi au stade Geoffroy-Guichard, l’AS Saint-Etienne a quasiment assuré sa qualification pour les barrages de l’épreuve au terme d’une rencontre marquée par le retour de Jérémy Clément.

    Ce dernier, victime le 2 mars, d’une double fracture ouverte tibia-péroné, a remplacé Josuah Guilavogui, à la 75e minute, salué par une énorme ovation.

    Les Verts, qui auraient dû l’emporter plus largement, ont rapidement pris un avantage de deux buts.

    Le premier a été inscrit par le Brésilien Brandao, à la réception, au 2e poteau, d’un centre délivré de la gauche par Franck Tabanou, dernière recrue du club arrivé lundi (3e min).

    Le second a été marqué de la tête par Renaud Cohade après une passe de Brandao (21e min), lequel a beaucoup pesé sur le front de l’attaque et auteur d’un doublé après avoir repris, de la tête, en fin de partie, un centre adressé de la droite par Fabien Lemoine (82e min).

    Les Stéphanois, qui ont dominé sans partage un adversaire de faible niveau, réduit à dix après l’exclusion de Denis Rassulov (67e min), ont également touché les montants à deux reprises, par Guilavogui (23e min) puis Brandao, encore lui, juste avant la mi-temps (44e min).

    Bien que l’opposition n’ait pas été trop farouche, l’ASSE, qui sort d’un stage au Portugal (20-24 juillet) paraît monter en puissance, affichant de bonnes dispositions dans l’animation offensive malgré le départ de Pierre-Emerick Aubameyang.

    En revanche, elle n’a pas été trop sollicitée défensivement hormis sur un coup franc de Guihlerme repoussé par Stéphane Ruffier (90+3).


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Wall Street : le S&P 500 bat son record historique

    Le Monde.fr avec Reuters | <time datetime="2013-08-01T17:36:56+02:00" itemprop="datePublished">01.08.2013 à 17h36</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-08-01T17:43:14+02:00" itemprop="dateModified">01.08.2013 à 17h43</time>

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    <figure class="illustration_haut"> L'indice élargi Standard & Poor's 500 s'adjugeait près de 1 % et a dépassé 1 704 points, évoluant au-dessus du seuil symbolique de 1 700 points pour la première fois de son histoire. </figure>

    Saluant de bonnes nouvelles sur le front national et rassuré par le maintien du soutien de la Réserve fédérale américaine (Fed) à l'économie, le Dow Jones gagnait 0,85 % et le Nasdaq 0,99 % jeudi 31 juillet, à l'ouverture (17h35, heure française).

    De son côté, l'indice élargi Standard & Poor's 500, basé sur 500 grandes sociétés cotées sur les bourses américaines, s'adjugeait près de 1 % et a dépassé 1 704 points, évoluant au-dessus du seuil symbolique de 1 700 points pour la première fois de son histoire.

    La Bourse de New York avait terminé la veille sur une note contrastée : le Dow Jones avait cédé 0,14 % à 15 499,54 points, tandis que le Nasdaq avait gagné 0,27 % à 3 626,37 points, un nouveau plus haut depuis septembre 2000.

    LA FED SCRUTÉE

    Les indices boursiers new-yorkais ont gagné de la vigueur peu avant l'ouverture, avec l'annonce d'un net recul des nouvelles inscriptions au chômage aux Etats-Unis pour la semaine achevée le 27 juillet.

    Il s'agit du plus bas niveau de nouvelles demandes d'allocations chômage depuis janvier 2008, une annonce bien reçue à la veille d'un rapport mensuel très surveillé sur l'emploi et le chômage aux Etats-Unis.

    Quant à la Fed, elle "n'a donné aucun signe d'un ralentissement imminent de son programme de soutien à la reprise américaine" dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion de politique monétaire de deux jours, note Karee Venema, de Schaeffer's Investment Research.

    Destinées à apporter des liquidités aux marchés financiers, ces mesures de relance ont largement participé à l'embellie des indices depuis le début de l'année.

    Lire : "Le président de la Fed rassure les marchés"

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  • Monde

    Espagne : accusé de corruption, Rajoy contre-attaque

    <time datetime="2013-08-01T18:15:28+02:00" itemprop="datePublished">1 août 2013 à 18:15       </time>lien

    Le Premier ministre Mariano Rajoy au Sénat, à Madrid, le 1er août 2013.

    Le Premier ministre Mariano Rajoy au Sénat, à Madrid, le 1er août 2013. (Photo Susana Vera. Reuters)

    Récit Le Premier ministre, entendu jeudi au Parlement dans le cadre de l'affaire Barcanas, a exclu de démissionner.

    Comprenant que c’était là la meilleure manière de se défendre, Mariano Rajoy est passé à l’attaque. Frontalement. Sommé depuis des mois de s’expliquer sur une affaire de corruption qui éclabousse son parti et le met en cause directement, poussé à la démission et menacé d’une motion de censure par l’opposition, le chef du gouvernement espagnol, d'ordinaire placide, a changé radicalement de stratégie au cours d’une audition très attendue au Parlement jeudi.

    Relire Rajoy, Premier ministre en sursis

    Au lieu de louvoyer sur l’affaire Barcenas, sans même citer le nom de celui qui a eu pendant vingt ans la haute main sur les comptes du Parti Populaire, au pouvoir depuis fin 2011, le leader conservateur a fustigé ses «mensonges et manipulations». Mariano Rajoy n’a reconnu qu’une erreur : «Je me suis trompé en faisant confiance à quelqu’un qui ne le méritait pas.»

    Trésorerie parallèle et financements illégaux

    En prison depuis mai pour fraude fiscale et blanchiment d’argent, Luis Barcenas a fourni au juge Pablo Ruz des documents attestant que le Parti Populaire (PP) dispose depuis la fin des années 90 d’une trésorerie parallèle, bénéficiant de financements illégaux – au moins 7,5 millions d’euros. Toujours selon l’ancien «ami intime» de Rajoy, une partie de cet argent non déclaré finissait dans des «enveloppes» remises à tous les dirigeants du PP. Selon les calculs de quotidien El Mundo, le chef du gouvernement aurait ainsi touché 343 700 euros entre 1997 et 2009.

    «Je ne démissionnerai pas, ni ne convoquerai d’élections anticipées», a rétorqué Mariano Rajoy. Ces «enveloppes» correspondant à des rémunérations supplémentaires? «Le paiement de travaux, déclarés au fisc, tout ce qu’il y a de plus normal et légal.» Les dizaines de documents comptables parus dans la presse incriminant son parti? «De la paperasse». En somme, à ses yeux, le Parti Populaire est une formation «propre, respectable et au-dessus de tout soupçon», et ce que raconte Luis Barcenas n’est qu’un «tissu de mensonges».

    Une façon de séparer le bon grain de l’ivraie, d’un côté son parti et lui-même, «irréprochables», de l’autre l’ancien trésorier, «un délinquant qui m’a menti», et qui selon la justice a possédé jusqu’à 46 millions d’euros sur des comptes en Suisse. La presse a cependant révélé un récent échange de SMS entre les deux hommes, où Rajoy assurait Barcenas de «faire tout ce qu’il pouvait» pour l’aider. En outre, des documents montrent que le trésorier a été choyé par le parti (chauffeur, bureau et salaire royal) jusqu’à janvier 2013, lorsque Barcenas a été obligé de comparaître devant le juge pour s’expliquer sur ses comptes en Suisse. Dès lors, il est devenu un ennemi pour le Parti populaire. 

    Popularité dans le rouge

    Histoire de se faire plus mordant, Mariano Rajoy a joué jeudi sur la fibre patriotique pour tirer à boulets rouges sur l’opposition. Pour lui, les appels à la démission et à des élections anticipées de la part du leader socialiste Perez Rubalcaba sont «irresponsables», alors que l’économie espagnole, atone et minée par un chômage à 26%, «connaît un moment spécialement délicat». Autrement dit, une possible instabilité gouvernementale salirait l’image du pays, et compliquerait le retour de la confiance des marchés financiers. «Le message de Rajoy, dit le commentateur Antoni Gutierez, est que remettre en question sa propre honorabilité revient à mettre en danger l’Espagne.»

    Malgré sa plaidoire musclée et sa majorité absolue au Parlement, Mariano Rajoy n’est pas pour autant sorti d’affaire. L’ensemble des partis d’opposition réclament toujours sa démission, estimant que ses «relations troubles» avec l’ancien trésorier le rendent «indigne» de diriger le pays. Sa popularité, qui n’a jamais été très élevée, est dans le rouge. Seule consolation pour le chef du gouvernement, qui déteste rendre des comptes et donner des explications : après la bronca de ce 1er août, c’est l’heure des vacances parlementaires. Il a donc gagné une trêve. A l’automne, la bataille devrait reprendre de plus belle.


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  • 01 août 2013 - 21H25  lien

    Médicaments en ligne : dépôt d'un recours devant le Conseil d'État

    L'association 1001Pharmacies a déposé jeudi un recours devant le Conseil d?État pour lever l'interdiction faite aux e-pharmacies françaises de se regrouper sur le web, a indiqué son conseil à l'AFP.

    L'association 1001Pharmacies a déposé jeudi un recours devant le Conseil d?État pour lever l'interdiction faite aux e-pharmacies françaises de se regrouper sur le web, a indiqué son conseil à l'AFP.

    AFP - L'association 1001Pharmacies a déposé jeudi un recours devant le Conseil d?État pour lever l'interdiction faite aux e-pharmacies françaises de se regrouper sur le web, a indiqué son conseil à l'AFP.

    Le recours a été déposé par Maître Bernard Geneste, du cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre, contre l'arrêté ministériel du 20 juin 2013 relatif à la vente en ligne des médicaments délivrés sans ordonnance.

    Les 4.000 médicaments d'automédication peuvent être vendus via internet depuis le 12 juillet dernier sur des sites d'e-pharmacie, chaque site devant être adossé à une seule pharmacie réelle.

    "C'est l'interdiction faite en France aux pharmaciens de se regrouper sur internet qui est contesté, d'autant que cette interdiction n'a aucune légitimité de santé publique", commente auprès de l'AFP Cédric O'Neill, pharmacien, co-fondateur de 1001Phamarcies (site dédié actuellement à la parapharmacie).

    "Le regroupement permettrait de mutualiser les coûts - maintenance du site, mise en conformité avec la réglementation, présentation des produits - tout en permettant à la personne intéressée de choisir une pharmacie au préalable", dit-il.

    Mais surtout M. O'Neill, émet la "crainte" que "les particuliers se retrouvent noyés sous plus de 22.000 e-pharmacie et aient du mal à distinguer les sites légaux de ceux qui ne le sont pas ou ne le sont plus".

    En effet, explique-t-il, "les sites doivent avoir une autorisation; mais un site peut être laissé à l'abandon et des gens mal intentionnés pourraient en profiter pour s'emparer du nom de domaine et vendre, par exemple, des médicaments contrefaits". Car, il faut des moyens et du personnel pour contrôler ce système, relève-t-il.

    L'Ordre des pharmaciens a, pour l'instant, recensé 42 sites d'e-pharmacies françaises.


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