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  • SYNTHESE. Crash A320: stupeur après les révélations sur le copilote

    Publié le jeudi 26 mars 2015 à 22h40 lien 

     

     

    Ce qui semble être un bout de la carlingue, l'un des rares débris d'importance.Photo: EPA

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    Les raisons pour lesquelles le copilote allemand, Andreas Lubitz, aurait délibérément projeté l'avionau sol restent inconnues. Des perquisitions ont eu lieu aux deux domicile du jeune homme dans la soirée de jeudi.

    >> LIRE AUSSI. Crash A320: ce qu'il faut retenir de la conférence de presse du procureur

    Il a 28 ans et il s'appelle Andreas Lubitz. C'est ce qu'a révélé le Procureur de Marseille ce jeudi matin lors d'une conférence de presse. Depuis, des éléments ont peu à peu émergé sur la personnalité du jeune copilote.

    Jeune homme sportif, "très compétent", "rêvant de voler" et apparemment sans histoires, Andreas Lubitz avait effectué 630 heures de vol et avait été embauché en septembre 2013 par Lufthansa. Il y a 6 ans, le pilote avait brièvement interrompu sa formation, avant de la reprendre quelques mois plus tard. Le patron de la Lufthansa a précisé que le pilote avait "avait passé tous les tests psychologiques" au cours de son cursus.

    Des policiers ont procédé à des perquisitions jeudi soir aux deux domiciles du jeune homme. "Les perquisitions concernent aussi bien l'appartement du copilote à Düsseldorf que son logement à Montabaur, a indiqué à l'AFP le procureur Ralf Herrenbrück.

    >> LIRE AUSSI. Ce qu'on sait d'Andreas Lubitz, le copilote qui a crashé l'A320

    Les enquêteurs ont pu établir que le copilote a profité de l'absence du commandant de bord pour amorcer la descente de l'appareil. Il aurait refusé de rouvrir la porte au retour du pilote. Le copilote "a volontairement permis la chute de l'avion", a ajouté M. Robin. Le procureur a écarté toutefois l'hypothèse d'un acte terroriste, arguant qu'il n'était pas répertorié en tant que tel par les autorités allemandes.

    "Cette tragédie prend une dimension totalement inconcevable", a réagi la chancelière allemande Angela Merkel dans une courte déclaration à la presse: "Cela va au-delà de l'entendement".

    Dans la foulées de ces révélations, plusieurs compagnies aériennes comme EasyJet ont annoncé imposer la présence obligatoire de deux pilotes dans le cockpit. Les gouvernements canadien et allemand ont annoncé vouloir imposer cette procédure à toutes leurs compagnies aériennes.

    >> VIDEO. A quoi ressemble le cockpit d'un A320 et comment il est sécurisé

    Les familles des victimes se sont rendues jeudi près des lieux du crash, après avoir atterri à Marseille. En deux groupes distincts -familles des membres de l'équipage d'un côté, familles des passagers de l'autre- elles se sont recueillies dans les deux chapelles ardentes érigées dans les deux villages du Vernet et de Seyne-les-Alpes.

    <time title="2015-03-26 22:11:34">22:11</time>  Crash A320 : la fédération allemande du secteur aérien veut imposer la règle des deux personnes dans le cockpit

    La fédération allemande du secteur aérien (BDL) a annoncé jeudi soir vouloir à l'avenir imposer la règle des deux personnes dans le cockpit, à la suite du crash de l'A320 de Germanwings.

    Interrogée par l'AFP, une porte-parole de cette fédération qui représente les acteurs économiques du secteur aérien, a "confirmé" cette annonce faite par le président de la fédération, Matthias von Randow.

    <time title="2015-03-26 21:26:05">21:26</time>  Les dernières minutes avant le crash à bord de l'A320

    <time title="2015-03-26 20:30:54">20:30</time>  Crash A320 : deux personnes obligatoirement dans le cockpit pour toutes les compagnies canadiennes (gouvernement)

    Le gouvernement a annoncé que la présence de deux personnes dans le cockpit en permanence allait être étendue à toutes les compagnies aériennes canadiennes.

    Cette information intervient après que la compagnie Air Transat s'y était engagée plus tôt dans l'après-midi.

    <time title="2015-03-26 20:29:23">20:29</time>  Les autocars acheminant les familles de victimes ont quitté les environs du crash (journaliste AFP)

    Les autocars qui ont transporté les familles des victimes pour se recueillir à proximité des lieux du crash sont repartis peu après 20H00, ont constaté des journalistes de l'AFP.
    "L'immense majorité des familles des victimes est repartie", a précisé à l'AFP Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur.

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    les familles des victimes ont laissé aux pieds de la stèle, des bougies, des fleurs ...des photos


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  • Tunisie : 23 complices présumés arrêtés après l’attentat du Bardo

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    Le ministre tunisien de l'Intérieur, Najem Gharsalli, lors de la conférence de presse, à Tunis, le 26 mars 2015. REUTERS/Zoubeir Souissi

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    La Tunisie a révélé de nouveaux éléments de l'enquête sur l'attaque du Bardo qui a fait 21 morts la semaine dernière à Tunis. Le ministre de l'Intérieur, Najem Gharsalli, a tenu une conférence de presse, ce jeudi 26 mars, au cours de laquelle il a annoncé l'arrestation de 23 complices présumés. Parmi eux, une femme et un chef de groupe.

    Vidéos à l'appui, le ministre de l'Intérieur, Najem Gharsalli, décrit le déroulement de l'attaque. Entre les coups de feu, on y voit les forces de l'ordre entrer dans le musée ; des visiteurs évacués sous le choc ; certains blessés ; puis les dépouilles des deux assaillants. Ils portaient des ceintures d'explosifs et des grenades, non utilisées.

    « Les dégâts auraient pu être encore pires », précise-t-il.

    80% de la cellule terroriste impliquée dans l'attaque du musée aurait été arrêtée, c'est-à-dire 23 personnes, en tout, dont le chef du groupe qui a organisé l'attaque et une femme. Quatre suspects courent toujours, à savoir deux Marocains, un Algérien et un Tunisien accusé d'avoir fourni les armes automatiques des tueurs.

    L'Etat islamique a revendiqué l'attaque du Bardo, mais cette revendication est remise en question par le ministre de l'Intérieur.

    « Ce n’est pas encore vérifié que c’était l’Etat islamique. Ce qui a été vérifié, pour nous en tant que Services de sécurité, c’est la Katiba Okba ibn Nafaa », a indiqué le ministre.

    Il assure que l'opération a été dirigée par un chef jihadiste algérien de la Katiba Okba Ibn Nafaa, affilée à al-Qaïda. En deux ans, ce groupe armé a fait des dizaines de victimes au sein des forces de sécurité sur le mont Chaambi, à la frontière algérienne.
     

     

     


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Les cadeaux des cartels de la drogue aux « stups » américains

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2015-03-26T20:58:19+01:00" itemprop="datePublished">26.03.2015 à 20h58</time>

     
    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">Un policiers américain de l'Agence fédérale de contrôle des stupéfiants (Drug Enforcement Administration, DEA). </figure>

    Des policiers américains de l'Agence fédérale de contrôle des stupéfiants (Drug Enforcement Administration, DEA) recevaient des prostituées, de l'argent, des armes et d'onéreux cadeaux des cartels de la drogue lorsqu'ils étaient en enquête à l'étranger, révèle un rapport publié jeudi 26 mars.

    Ce rapport de l'inspecteur général du ministère de la justice a été réalisé après la révélation que des agents du gouvernement avaient passé des soirées avec des prostituées lors d'un voyage présidentiel en Colombie, en 2012. L'enquête a porté sur les agissements entre 2009 et 2012 des policiers de quatre agences fédérales, celle contrôlant les stupéfiants (DEA), celle contrôlant l'alcool et les armes (ATF), le FBI et les US Marshals chargés de la sécurité en vol, précise un communiqué accompagnant le rapport.

    Lire aussi (édition abonnés) : Les frasques des agents du Secret Service américain révélées au grand jour

    Il relate notamment comment une dizaine d'agents de la DEA en déplacement auraient participé à « plusieurs soirées bruyantes » avec des prostituées. Sept ont admis leur participation et ont été suspendus entre deux et dix jours. « Sur une période de plusieurs années », ces « orgies avec des prostituées étaient financées par les cartels de la drogue locaux pour ces agents de la DEA dans leurs quartiers loués par le gouvernement américain » où se trouvaient les ordinateurs portables et les Blackberry des agents, créant « un risque potentiel pour la sécurité », peut-on lire dans le rapport. Elles auraient eu lieu entre 2005 et 2008 mais n'auraient été connues qu'en 2010.

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      Le chef d'un des plus grands cartels mexicains arrêté

      Omar Treviño, surnommé " Z-42 " et chef du sanguinaire cartel des Zetas, a été arrêté dans l'Etat de Nuevo Leon (nord-est du Mexique), le 4 mars. Sa tête était mise à prix 30 millions de pesos (1,8 million d'euros) par les autorités mexicaines et 5 millions de dollars (4,5 millions d'euros) par l'Agence américaine antidrogue (DEA). Sa capture intervient cinq jours après celle d'un autre gros narcotrafiquant, Servando Gomez, chef du cartel des Chevaliers templiers. Créé en 1997, le gang des Zetas est le deuxième cartel le plus puissant du Mexique, après celui de Sinaloa. Images : Reuters - mercredi 4 mars 2015

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    Refus de collaborer

    « Bien que certains agents de la DEA participant à ces fêtes l'ont démenti, une information suggère qu'ils auraient dû savoir que les prostituées présentes étaient payées par les fonds d'un cartel », ajoute le rapport. En outre, trois agents spéciaux de la DEA auraient reçu de « l'argent, des cadeaux onéreux et des armes des cartels de la drogue ». L'inspecteur général se dit « préoccupé par la décision apparente de la DEA de retenir les informations » sur ce type d'agissements et de ne pas lui donner un accès avant plusieurs mois et seulement après que l'affaire soit close.

    D'une manière générale, le rapport épingle le FBI et la DEA pour leur refus de collaborer avec les enquêteurs, qui craignent du coup ne pas avoir obtenu l'intégralité des informations. Il relève des « faiblesses », un « manque de coordination », d'enquête ou de discipline des responsables des agences, concernant les dérives sexuelles, harcèlements sexuels et autres « mauvaises conduites » de leurs agents. Ce rapport de 132 pages émet en outre huit recommandations pour que les agences concernées « révisent » leurs procédures pour poursuivre les actes de « harcèlement sexuel et de mauvaise conduite sexuelle » de leurs personnels.

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  • Société  |  25/01/2015 - 13:17

    Jean-Bernard Lafonta mis en examen dans l’affaire Seillière

    Mise en examen dans l’affaire Seillière Sale temps judiciaire pour Jean-Bernard Lafonta, l’ex-bras droit du baron Seillière à la direction de Wendel, auteur d’un montage financier destiné à permettre à une dizaine de cadres un plan d’inté- ressement défiscalisé. Après Seillière, Lafonta vient d’être mis en examen pour fraude fiscale et pour "complicité par aide ou assistance", en facilitant "la soustraction frauduleuse de l’impôt reproché à tous les cadres salariés". Lafonta, qui a déjà écopé de 76 millions d’euros de redressement fiscal, risque de devoir rembourser les 110 millions reprochés à ses anciens cadres.


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