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    Syrie. L'État islamique fusille 20 hommes

    sur le site antique de Palmyre

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    L'État islamique a exécuté, mercredi, dans le théâtre romain de la ville antique de Palmyre, 20 hommes accusés d'avoir combattu avec le régime syrien.

    Les djihadistes de l'État islamique (EI) ont fusillé mercredi une vingtaine d'hommes dans le théâtre antique de Palmyre, dans le centre de la Syrie, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). 

    « L'EI a tué par balles devant une foule rassemblée dans le théâtre romain de Palmyre 20 hommes qu'il accusait d'être des chiites et des Nossairi (terme péjoratif donné aux Alaouites) ayant combattu avec le régime », a affirmé Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

    Des partisans de l'EI ont confirmé sur Twitter que des exécutions avaient eu lieu dans le monument antique.


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    Fabienne Dulac nommée à la tête d'Orange France

    <time>Publié le 27-05-2015 à 18h50  lien </time>

     

    PARIS (Reuters) - L'opérateur télécoms Orange a annoncé mercredi la nomination de Fabienne Dulac, choisie en interne, à la tête d'Orange France, la principale division du groupe.

    Elle remplacera Delphine Ernotte-Cunci, qui quitte Orange pour présider France Télévisions.

    Fabienne Dulac, 48 ans, actuellement directrice de la communication d'Orange France, devient directrice exécutive en charge d'Orange France et prendra ses fonctions le 22 août.

    Elle rejoindra à ce titre le comité exécutif du groupe, précise Orange dans un communiqué.

    Entrée en 1997 à France Télécom, devenu depuis Orange, Fabienne Dulac a notamment été directrice des ventes et de la relation client en ligne chez Orange France, avant de prendre la direction d'Orange Nord de France. Elle dirige la communication d'Orange France depuis septembre 2013.

    (Dominique Rodriguez, édité par Matthieu Protard)


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  • La Super League et les Dragons Catalans

    à Newcastle pour la promotion

    L'an passé, les Dragons de Pomeroy avaient battus les Broncos.

    Le 26 mai à 6h00 par Bruno Onteniente | Mis à jour le 26 mai  lien

    L'an passé, les Dragons de Pomeroy avaient battus les Broncos. PHOTO/© D.R

    La RFL a décidé de changer d'air après trois Magic week-end organisés à Manchester.

    C'est l'événement du printemps en Super League. Le Magic week-end et ses six matches sur deux jours investira, à partir de samedi, pour la toute première fois Newcastle et son prestigieux Saint-James Park. Une pelouse que les Dragons fouleront, le dimanche à 13 h (heure anglaise), face à Huddersfield. En terme d'affluence, le record établit l'année dernière à l'Etihad Stadium de Manchester avec ses 64 552 fans réunis sur les deux jours sera difficile à battre. Les supporters vont devoir faire de la route contrairement aux trois dernières éditions.

    Cap au Nord

    Le directeur de la Super League, Blake Solly explique pourquoi cette migration dans le Nord de l'Angleterre : "Nous sommes très satisfaits des trois années passées à Manchester et de notre partenariat avec les responsables de la ville et de l'Etihad. Mais d'autres alternatives se sont offertes à nous à Newcastle". "Il y a d'excellentes conditions d'organisation et nous allons rencontrer un public qui n'a pas l'habitude d'aller au stade pour voir de la Super League. Nous avons souhaité nous ouvrir davantage", poursuit-il.

    Le Magic week-end c'est aussi des déguisements plus improbables les uns que les autres. Des milliers de supporteurs qui se déversent dans les pubs de la ville au milieu des agents de joueurs venus faire leur marché. Blake Solly est optimiste quant à la réussite de ce neuvième Magic week-end : "Nous avons vendu plus de 45 000 tickets, un quart des ventes vient du Nord-Est du pays. Ça fait des années qu'autour de Newcastle plus personne ne parlait de rugby league".

    La RFL part donc prêcher la bonne parole à Newcastle, là ou le XV est bien implanté, puisque Saint-James Park qui accueillera trois matches de la prochaine Coupe du monde à XV.


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  • Grèce: ébauche d'accord, mais Athènes blâme

    les divergences entre créanciers

    AFP le <time datetime="2015-05-27T16:53:16+02:00" itemprop="datePublished">27/05/2015 à 16:53</time>, mis à jour à 18:57  lien

     

    Le Premier ministre grec Alexis Tsipras au Parlement le 30 mars 2015
    Le Premier ministre grec Alexis Tsipras au Parlement le 30 mars 2015 ( AFP/Archives / Aris Messinis )

    Athènes a annoncé unilatéralement mercredi que les équipes techniques de négociation sur la Grèce avaient commencé à rédiger un accord, tout en se plaignant des divergences persistantes entre ses créanciers, qui retarderaient la conclusion de cet accord.

    "De grands pas ont été accomplis, nous sommes près d'un accord", a assuré le Premier ministre Alexis Tsipras à Athènes.

     
     

    Du côté de l'UE, on ne confirmait pas le début de rédaction d'un accord, d'autant que doit encore se tenir jeudi un "euro working group", réunion des experts techniques de l'Eurogroupe, au sujet de la Grèce.

    Mercredi midi, le vice-président de la Commission européenne en charge de l'euro, Valdis Dombrovskis, avait seulement évoqué "un progrès graduel" dans les discussions techniques, notamment sur la TVA.

    Dans l'après-midi, une source gouvernementale grecque a pourtant annoncé que les équipes techniques du groupe de Bruxelles (qui réunit des représentants de la Grèce et de ses créanciers) avaient "commencé aujourd'hui le travail de rédaction d'un accord".

    Le cadre du texte comprendrait une obligation d'excédent budgétaire primaire (c'est-à-dire hors charge de la dette) pour la Grèce, mais à des niveaux bas dans les prochaines années, une réforme des taux de TVA.

    Il porterait aussi sur "des solutions à long terme pour alléger la dette" de la Grèce, actuellement à près de 180% du PIB, et pour favoriser la croissance.

    Sur le thème des retraites, cher au FMI, mais qui constitue une des "lignes rouges" du gouvernement de gauche radicale, celui-ci accepterait de limiter les départs à la retraite anticipés, et d'engager une étude sur la pérennité du système des retraites grec actuel.

     

    - Trois institutions, des approches différentes -

     

    Athènes insiste sur le fait qu'il n'y aura pas dans cet accord de nouvelles coupes sur les salaires et les retraites.

    Un homme marche le 25 mai 2015 devant un graffiti montrant une pièce de "0 euro" dessiné sur le mur d
    Un homme marche le 25 mai 2015 devant un graffiti montrant une pièce de "0 euro" dessiné sur le mur d'un parking d'Athènes ( AFP / LOUISA GOULIAMAKI )

    L'annonce d'un début de rédaction d'accord a satisfait les Bourses européennes qui ont terminé nettement en hausse (+3,55% à Athènes).

    Mais Athènes a teinté son annonce d'amertume devant "le problème des différentes positions défendues par les créanciers. Si le FMI avait donné son aval, l'accord aurait déjà été conclu", assure cette source.

    "Cette divergence de position, a-t-elle assuré, s'observe alors que les Européens (Commission européenne et BCE) demandent un accord rapide d'ici fin mai, alors que le FMI, par l'intermédiaire de ses représentants (est favorable à) un accord global, et non à une solution provisoire obtenue rapidement".

    Un peu plus tard, M. Tsipras lui-même a repris cet argument. "Nous avons à faire à trois institutions différentes, ayant souvent des idées opposées. Et à d'autres pays qui ont des approches différentes, et des motivations politiques différentes".

    Ainsi, a-t-il prévenu, "il pourrait y avoir dans la période finale des pressions, d'autres pourront aussi vouloir créer une image fausse de danger".

    Athènes a souligné que les salaires et pensions de mai seraient payés, alors que chaque mois depuis avril monte un immense suspense sur la capacité du pays à payer à la fois ces derniers et ce qu'il doit mensuellement au FMI.

    Des responsables grecs, en général de l'aile gauche de Syriza, ont assuré la semaine dernière que le FMI ne serait pas payé en juin. Les membres du gouvernement engagés concrètement dans les négociations se sont toujours gardés d'être aussi affirmatifs.

    La Grèce doit verser près d'1,6 milliard d'euros au FMI le mois prochain, en quatre étapes, les 5, 12, 16, et 19.

    Valdis Dombrovskis a souligné la nécessité "d'atteindre un accord très rapidement, car nous avons déjà dépassé de plusieurs mois le schéma initial. La situation des liquidités devient serrée et il y a toutes les raisons d'aller vite", a-t-il dit.

    Mercredi cependant, pour la première fois depuis février, la BCE n'a pas eu à augmenter le plafond de l'aide d'urgence qu'elle accorde aux banques grecques victimes de forts retraits bancaires depuis décembre, le maintenant à 80,2 milliards d'euros, ce qui pourrait traduire une stabilisation dans ces retraits.

     


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  • Monfils, parce qu’il le vaut bien

    <figure class="main-photo slideshow" id="123456789"> <figcaption> (Reuters)</figcaption>

    Compte-rendu
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    Par
    Publié le <time datetime="2015-05-27T18:27:00+02:00" pubdate="">27 mai 2015 à 18h27</time>
    Mis à jour le <time datetime="2015-05-27T19:05:06+02:00">27 mai 2015 à 19h05</time>
    </aside>

    Gaël Monfils a eu chaud. Porté par le public du central, le Parisien, tombeur lundi de son compatriote Edouard Roger-Vasselin, s’est extrait des griffes de l’Argentin Diego Sebastian Schwartzman (4-6, 6-4, 4-6, 6-2, 6-3), mercredi, au deuxième tour de Roland-Garros.

    A l’instar de Jo-Wilfried Tsonga, Benoît Paire et Nicolas Mahut, tous à la fête ce mercredi sur la surface ocre parisienne, Gaël Monfils, tête de série numéro 13, aura franchi l’écueil du deuxième tour. Mais la tâche n’aura pas été simple pour le Parisien, poussé au cinquième set par son adversaire, Diego Sebastian Schwartzman (4-6, 6-4, 4-6, 6-2, 6-3), qu’il affrontait pour la première fois sur le circuit, et qui lui aura mené la vie dure tout le match durant. Qu’importe, Monfils, quart-de-finaliste de la dernière édition, est au troisième tour des Internationaux de France pour la huitième fois de sa carrière. C’est bien là l’essentiel.

    "Je voudrai remercier tout le monde parce que vous m’avez bien poussé. Vous ne m'avez jamais lâché. On l'a eu ensemble", savourait la "Monf" à chaud sur le central devant un public totalement acquis à la cause. "Je m’attendais à un gros match de la part de Schwartzman mais pas à un si gros match. Heureusement que j'étais à Paris pour gagner ce match", enchaînait le chouchou du public parisien, débarqué dans ce French Open avec une préparation un peu tronquée, du fait d’une blessure à un genou qui l’a amené à faire l’impasse sur le dernier Masters 1000 de Rome, mais désireux de bien faire sur l’une de ses terres de prédilection qui l’a tant fait briller par le passé (quarts de finale en 2009, 2011 et 2014, et demie en 2008).

    Alors qu'il a achevé la rencontre avec 21 aces au compteur et un plus grand nombre de coups gagnants que son adversaire (68 contre 49), pour un ratio d’erreurs quasiment similaire (39-42), Monfils, mené 1 set à 0, puis 2 sets à 1, est apparu sur courant alternatif tout le match durant puisque capable de bien faire et de se montrer agressif comme de déjouer et de jouer à l'envers. Sûr qu'il devra hausser son niveau de jeu pour se défaire de Pablo Cuevas, 23e joueur mondial, au troisième tour. Un adversaire que Monfils a eu l'occasion de croiser une seule fois par le passé sur le circuit, pour une victoire à l'US Open en 2008. "Ne vous inquiétez pas, je serai prêt", a-t-il lâché à son public, alors qu'il a signé un 100e succès sur terre battue ce mercredi. Bientôt 101 ?


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