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    La justice force les Pays-Bas à réduire ses émissions

    de gaz à effet de serre

    <figure class="fig-photo"> Quelque 900 citoyens avaient entamé une action en justice en avril avec l'aide de l'ONG Urgenda, active dans la défense de l'environnement. <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

     

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    Dans le cadre des réductions d'émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2020, la justice néerlandaise a exigé mercredi, après une action juridique intenté en avril par un groupe de citoyens, un effort plus important de la part de l'État.

     

    C'est une décision historique. Un tribunal néerlandais a ordonné mercredi à l'État de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le pays de 25% d'ici à 2020 après des poursuites engagées par des citoyens contre leur gouvernement pour combattre le réchauffement climatique. «Le tribunal ordonne à l'État de limiter son volume total de gaz à effet de serre de manière à le réduire d'au moins 25% en 2020 par rapport à 1990», a déclaré le juge Hans Hofhuis lors d'une audience publique au tribunal de La Haye, alors que des applaudissements retentissaient dans la salle.

    Quelque 900 citoyens avaient entamé une action en justice en avril avec l'aide de l'ONG Urgenda, active dans la défense de l'environnement. Ils demandaient que La Haye prenne des mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre des Pays-Bas de 40% d'ici à 2020, par rapport aux niveaux de 1990. Tout le monde est d'accord pour dire que la gravité et l'ampleur du problème climatique rendent nécessaire la prise de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre», a indiqué le tribunal dans son jugement.

    «Sur base de la politique actuelle de l'État, les Pays-Bas auront réduit leurs émissions de 17% en 2020: un chiffre sous la norme des 25 à 40% que les scientifiques et les politiques internationales estiment nécessaire pour les pays industrialisés», a assuré le tribunal de La Haye, faisant référence à l'objectif de limiter à 2°C la hausse des températures à l'horizon 2100. L'Etat doit donc «faire plus pour contrer le danger imminent causé par le changement climatique, étant donné son devoir de protection de l'environnement», a indiqué la même source. Le contrôle des émissions est l'une des tâches de l'État, a assuré la justice, soulignant que les coûts de ces réductions ne seraient pas «inconcevablement élevés».

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    Yes! Op naar http://www.klimaatzaak.be 

    Une grande première

    Selon l'ONG et les médias néerlandais, il s'agissait de la première fois qu'une organisation et des citoyens essayaient de faire en sorte que leur État soit tenu responsable de son inaction face au réchauffement climatique. Les plaignants avaient demandé aux juges de qualifier un réchauffement climatique de plus de 2°C de «violation des droits de l'homme». En vue du prochain accord sur le climat espéré en décembre à Paris, les États sont ainsi invités à rendre publics des engagements nationaux en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

    «C'est une grande première, il y a une forte symbolique derrière cette décision qui est le fruit d'une action citoyenne», réagit auprès du Figaro Me Laurence Lanoy, avocat spécialiste en droit de l'environnement. «Ce pourrait être le début d'une prise en compte par les juridictions d'un phénomène citoyen pour le climat. Ce type d'initiative est envisageable en France, par exemple, par le biais d'une association ou d'une ONG car les actions de groupe ne sont pas reconnues en droit de l'environnement en France», explique l'avocate avant d'ajouter: «ce n'est pas une décision qui restera isolée».

    Toutefois, des questions subsistent quant au moyen d'appliquer ce jugement. La cour a habituellement la possibilité d'infliger des amendes pour «manquement» mais ne requiert jamais une telle décision contre le gouvernement. Comme le permet la procédure, le gouvernement pourra faire appel de ce jugement.

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  • Lagarde prête à "considérer" un deuxième

    mandat, si les membres du FMI le souhaitent

    24 Juin 2015, 17h44 | MAJ : 24 Juin 2015, 17h44
     
    <figure> La présidente du FMI, Christine Lagarde (D), face à Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, le 24 juin à Bruxelles <figcaption class="articleChapeau ">La présidente du FMI, Christine Lagarde (D), face à Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, le 24 juin à Bruxelles (AFP/VIRGINIA MAYO)</figcaption> </figure>

    La directrice générale du FMI Christine Lagarde indique "considérer" un deuxième mandat si les membres du FMI "souhaitent que je continue à servir", dans un entretien au magazine Challenges à paraître jeudi.
    "Tout dépendra de la volonté des membres du FMI", souligne-t-elle dans cette interview réalisée le 18 juin dernier.

     

    S'ils "souhaitent que je continue à servir, c'est certainement quelque chose que je considérerai",
    Son mandat à la tête de l'institution de Washington, qu'elle qualifie de "belle maison", s'achève en juillet 2016.
    La directrice générale du FMI, ancienne ministre des Finances de Nicolas Sarkozy, était jusqu'ici toujours restée très évasive sur ses intentions. Sa forte popularité dans les sondages a pu nourrir des spéculations sur un possible retour en politique en France.
    A la tête du FMI, elle est critiquée depuis plusieurs semaines par la Grèce, asphyxiée financièrement et qui lui reproche d'adopter une ligne trop dure vis-à-vis d'elle.
    Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a déjà reproché au FMI sa "responsabilité criminelle" dans l'échec jusqu'ici des négociations entre Athènes et ses créanciers.
    Il l'a encore accusé mercredi de bloquer les discussions, alors que se tiennent des réunions cruciales à Bruxelles.
    Le FMI, qui a participé aux plans de sauvetage du pays, négocie aux côtés de la BCE et de la Commission européenne avec Athènes. La Grèce doit faire valider par ces trois institutions un programme d'efforts budgétaires avant de toucher une aide de quelque 7 milliards d'euros.
    Sans cette aide, la Grèce ne pourra notamment pas rembourser le 30 juin une somme de 1,5 milliard d'euros qu'elle doit au FMI.


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  • Attentats de Boston : Tsarnaev condamné à mort, s'excuse auprès de ses victimes


    le 24 juin 2015 à 22h58 , mis à jour le 24 juin 2015 à 23h01. lien
     
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    <figure class="figure underline"> Attentats de Boston : le suspect a repris conscience (22/04/2013) <figcaption class="degrade-une"></figcaption></figure>

    Attentats de Boston : le suspect a repris conscience (22/04/2013) / Crédits : TF1/LCI

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    Amériques

    L'auteur des attentats de Boston Djokhar Tsarnaev a été formellement condamné mercredi à mort par un juge américain, lors d'une audience chargée d'émotion où il s'est pour la première fois excusé auprès de ses victimes.

    L'auteur des attentats de Boston Djokhar Tsarnaev a été formellement condamné mercredi à mort par un juge américain, lors d'une audience chargée d'émotion où il s'est pour la première fois excusé auprès de ses victimes.  "Je voudrais présenter mes excuses aux victimes, aux survivants", a déclaré d'une voix calme, en anglais avec un léger accent russe, Djokhar Tsarnaev, 21 ans, avant que le juge fédéral George O'Toole ne lui impose formellement la sentence de mort décidée le 15 mai par un jury populaire. "Je suis désolé pour les vies que j'ai prises, pour les souffrances que j'ai créées, pour les dégâts que j'ai commis", a ajouté le jeune musulman d'origine tchétchène, ajoutant qu'il espérait la miséricorde d'Allah pour lui, son frère et sa famille. C'était la première fois que Djokhar Tsarnaev s'exprimait publiquement depuis les attentats du 15 avril 2013, qui avaient fait trois morts et 264 blessés, dont 17 ont été amputés.
     
    Debout dans la salle d'audience du tribunal fédéral de Boston complètement silencieuse, maigre et pâle, il a aussi salué "la force, la patience et la dignité" de victimes dont, a-t-il dit, il avait appris à connaître le nom durant son procès. "Je suis musulman, ma religion est l'islam. Je prie pour qu'Allah ait pitié des décédés dans ces attentats", a-t-il aussi ajouté. Le juge O'Toole l'a ensuite condamné à mort "par exécution". Durant l'audience, 24 victimes dont plusieurs amputées ont raconté, certaines en larmes, leurs souffrances, parfois leurs problèmes financiers, et comment leur vie avait changé à jamais depuis les attentats.   Plusieurs ont pris Tsarnaev à partie, l'accusant d'être un lâche sans remords. "La vie est dure. Mais les choix que tu as faits étaient ignobles. Ce que tu as fait à ma fille était répugnant", a lancé Patricia Campbell la mère d'une jeune femme tuée dans les attentats, Krystle Campbell, 29 ans, s'adressant directement à l'accusé, la voix nouée par l'émotion.  "Au moins, tu ne feras plus de mal à personne", a ajouté le père de Krystle, Bill Campbell.
     
    Le condamné, vêtu d'une veste noire, écoutait la tête baissée, assis entre ses deux avocates.  "Il aurait pu arrêter son frère, il aurait pu changer d'avis", a aussi déclaré le père de la plus jeune victime tuée, Martin Richard, 8 ans.  "Il aurait pu parler à la police. Mais il n'a rien fait pour éviter ça. Il a choisi la haine, la destruction, la mort (...) Nous avons choisi l'amour, nous avons choisi la gentillesse, nous avons choisi la paix. C'est ce qui nous fait différents de lui", a déclaré Bill Richard, rappelant qu'il aurait préféré la réclusion à perpétuité, pour que Tsarnaev ait le temps de "se réconcilier" avec ce qu'il a fait. "C'est un lâche et il va maintenant mourir pour ce qu'il a fait", a déclaré une autre victime, Elizabeth Bourgault en exprimant l'espoir que Tsarnaev ne soit à jamais "hanté" par ses actes.
      


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    630.000 chômeurs de plus trois ans

    après l’élection de Hollande

    Leïla de Comarmond / Journaliste | <time datetime="2015-06-24T18:00:41+02:00">Le 24/06 à 18:00, mis à jour à 19:44lien </time>
     
     
    En mai, Pôle emploi a compté 16.200 demandeurs d’emploi de plus en catégorie A. - SIPA
     
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    Le nombre de chômeurs de catégorie A a encore grimpé de 16.200 en mai pour atteindre 3.552.200. François Rebsamen relativise la contre-performance.

    Les Français ne croient pas à une inversion rapide de la courbe du chômage et ce ne sont pas les dernières statistiques publiées par le ministère du Travail ce mercredi qui vont les faire changer d'avis. Elles montrent en effet qu’il a encore progressé le mois dernier. Certes, la contre-performance est moins mauvaise que celle d’avril , où ont été enregistrés 26.000 demandeurs d’emploi de catégorie A de plus en France métropolitaine. Mais en mai, Pôle emploi en a encore compté 16.200 supplémentaires, portant le total à 3.552.200 (3.811.200 DOM compris). Si l’on intègre également les chômeurs qui ont en partie travaillé sur la période (catégories B et C), la progression atteint même 69.600.

    Le cap du million supplémentaire

    François Hollande n’a décidément pas de chance. L’an dernier à la même époque, il avait déjà reçu un cadeau empoisonné sur le front de l’emploi pour le deuxième anniversaire de son arrivée à l'Elysée, avec le franchissement du seuil des 5 millions de chômeurs en cumulant A, B et C. Cette année, sur ces mêmes catégories, c’est le cap du million de demandeurs d’emploi supplémentaires qui a été franchi. Sur la seule catégorie A, le compteur affiche 629.000 chômeurs de plus.

    Deux relances de réactualisation

    Dès la publication des chiffres du chômage publiés, les pouvoirs publics se sont attachés à relativiser la contre-performance de mai. La nouvelle poussée des inscriptions à Pôle emploi s’explique en partie par ce que certains appelleraient un excès de zèle de Pôle emploi et d’autres un souci de bien faire du service public : le mois dernier a connu un record de jours fériés et ponts qui a abouti à ce qu'il n'y ait que 17 jours ouvrés, du jamais-vu depuis 1970, selon Pôle emploi. De nombreux chômeurs ont oublié de pointer et l’établissement public a fait deux relances supplémentaires qui ont eu l’effet paradoxal de conduire plus de chômeurs que d’ordinaire à s'actualiser.

    « Ces particularités de la période d'actualisation de mai 2015 ont contribué à la baisse inhabituellement forte des sorties des catégories A, B, C pour défaut d'actualisation », note le ministère du Travail. Pôle emploi en a enregistré 160.000 contre 202.500 en mai 2014 et 211.400 en mai 2013. «  Par comparaison avec les évolutions passées, on estime que cet impact serait de l’ordre de 28.000 à 38.000 sur le nombre de sorties de catégories A, B et C », note l’étude.

    Statistique « non interprétable »

    « La statistique mensuelle des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi a été affectée ce mois-ci par un événement inhabituel : la forte baisse inexpliquée du nombre des demandeurs d’emploi actualisés suivie, après relances multiples, d’une hausse d’une ampleur exceptionnelle », a souligné François Rebsamen dans un communiqué. «  Il en a résulté une chute des sorties de Pôle emploi pour défauts d’actualisation qui rend la donnée (...) non comparable aux mois précédents et donc non interprétable », ajoute-t-il, précisant que «  selon les estimations de la Dares, si les comportements d’actualisation des demandeurs d’emploi avaient été identiques à ceux habituellement observés, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A aurait augmenté de + 7 000 à + 10 000 ».

    C’est moins. Mais cela reste encore positif. Et ce qui frappe à l’examen des statistiques, c’est qu’encore une fois, les plus jeunes et les plus vieux paient le prix le plus fort, avec une croissance de 0,9 % sur le mois du nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A de moins de 25 ans comme de 50 ans ou plus. Les 26-49 ans connaissent, eux, une hausse limitée à 0,2 %. Quant au nombre de chômeurs de longue durée, il a continué à grimper, pour atteindre 2.365.800, dont désormais plus de la moitié depuis deux ans ou plus.

    Point positif, le nombre d’entrées au chômage a baissé de 5,1 % sur un mois (2,6 % sur un an). Compte tenu du caractère atypique du mois de mai, la performance de juin sera d’autant plus attendue.

    </section>
     

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  • Un camion de pompiers attaqué par des hommes armés en Haute-Savoie

    Des hommes armés ont pris d'assaut et brûlé un camion de pompiers dans la nuit de mardi à mercredi près du lac d'Annecy. Le blessé à bord a pu être sauvé mais les gendarmes recherchent toujours les agresseurs.

     

    Une embuscade totalement incroyable a été menée dans la nuit de mardi à mercredi contre des pompiers en Haute-Savoie. Un centre de secours a tout d'abord été appelé vers 2h du matin pour secourir un homme blessé de plusieurs coups de cutter. Les pompiers se déplacent alors à Duingt sur les bords du lac d'Annecy et constatent sur place que l'état de santé de la victime nécessite un transfert vers l'hôpital. Prenant en charge le blessé dans leur véhicule de secours et d'assistance aux victimes, l'équipage de trois pompiers volontaires est pris à ce moment-là dans un véritable guet-apens.

    L'ambulance a vraisemblablement été prise en chasse sur une route départementale par une Clio qui l'a doublée plusieurs fois. Le conducteur de la voiture finit par simuler un accident pour forcer le camion des pompiers à s'arrêter. Ces derniers s'arrêtent alors pour vérifier si le choc a fait des victimes et deux à trois hommes, dont certaines sources affirment qu'ils étaient cagoulés, ont alors surgi, arme au poing rapporte Le Dauphiné Libéré. Ils ont ouvert la porte arrière de l'ambulance, et ont tiré «un ou plusieurs coups de feu» en direction des pompiers et du blessé allongé sur son brancard.

    Le blessé sauvé mais dans un état critique

    Le véhicule a pris feu et le blessé transporté, «incapable de sortir tout seul», a été extrait de justesse par plusieurs chauffeurs de camions, qui passaient par là et qui ont alors porté secours à la victime. Les malfrats ont alors pris la fuite à vive allure dans leur voiture tandis que le camion des pompiers a fini par exploser. Selon le président du conseil départemental de Haute-Savoie, Christian Monteil, également président du conseil d'administration du Service départemental d'incendie et de secours (SDIS), les agresseurs auraient jeté un produit incendiaire dans le véhicule des pompiers et les bouteilles d'oxygène qu'il contenait auraient explosé sous la chaleur.

    Le blessé, dont le pronostic vital est engagé, a été conduit à l'hôpital en hélicoptère, et était toujours «en train d'être soigné» en fin de matinée. «Il ne peut pas encore être entendu» a déclaré le Procureur de la République d'Annecy. L'enquête a été confiée à la Gendarmerie nationale et devra permettre d'établir les circonstances précises et les motifs de cette agression. Pour le moment, il n'a été établi aucun lien entre l'agression de l'homme transporté par les pompiers et l'assaut du camion de secours. Aucune piste n'est donc pour l'heure confirmée par les enquêteurs. Un important dispositif de gendarmerie a été mis en place dans la matinée pour tenter de retrouver les agresseurs et semble être maintenu pour l'après-midi de mercredi.

    Une agression «barbare» fermement condamnée

    Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué, «condamne avec la plus grande fermeté l'agression». Selon le ministre de l'Intérieur, les sapeurs-pompiers n'ont pas été blessés mais ils sont très choqués et bénéficient à ce titre d'un soutien psychologique. Bernard Cazeneuve les a assurés de son «soutien». Fustigeant ce qu'il s'est passé, il a enfin assuré les pompiers de son respect pour leur travail déclarant que «les agressions dont ils sont parfois victimes en sont d'autant plus insupportables». Le président du conseil d'administration du SDIS (Service Départemental d'Incendie et de Secours) a également réagi et s'est déclaré «choqué par la violence de cette agression exceptionnelle et inédite» tandis que le colonel Eric Faure, président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) qui compte 266.000 membres, a, lui, dénoncé «un acte barbare».


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