• Un car de tourisme se renverse sur l'A85: 2 morts dont un adolescent

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    <aside>Pour une raison encore indéterminée, l'autocar, qui circulait dans le sens Vierzon-Tours, s'est déporté sur le bas-côté et a heurté une buse en béton.

    Pour une raison encore indéterminée, l'autocar, qui circulait dans le sens Vierzon-Tours, s'est déporté sur le bas-côté et a heurté une buse en béton. PHILIPPE HUGUEN AFP

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    Mis à jour le 22.06.14 à 12h40

    Un homme et un adolescent de 15 ans sont morts dimanche lors de la sortie de route d'un autocar sur l'A85 près de Romorantin (Loir-et-Cher), vers 5h15, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

    L'homme décédé est le second chauffeur, qui était en pause au moment de l'accident du car, qui transportait huit adolescents et un accompagnateur.

    Pour une raison encore indéterminée, l'autocar, qui circulait dans le sens Vierzon-Tours, s'est déporté sur le bas-côté et a heurté une buse en béton. Les autres passagers ont été légèrement blessés. Ils ont été hospitalisés pour des examens de contrôle à l'hôpital de Romorantin, où leurs familles devraient les rejoindre dans la journée.

    Le chauffeur qui était au volant au moment du choc était entendu dimanche matin par les gendarmes.

    L'autocar affrété par l'organisme de séjours sportifs UCPA avait quitté Lyon dans la nuit avant de faire étape à Clermont-Ferrand. Les passagers se rendaient à Bénodet (Finistère). L'adolescent qui a perdu la vie était originaire de Rodez.

    © 2014 AFP

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  • Des milliers des données bancaires suisses saisies dans un port allemand

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-06-21T16:30:15+02:00" itemprop="datePublished">21.06.2014 à 16h30</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-06-21T17:46:09+02:00" itemprop="dateModified">21.06.2014 à 17h46   </time>lien 

     

    Deux conteneurs remplis de 14 000 dossiers bancaires suisses, dont des données de comptes aux iles Caïman, ont été saisis par les douanes allemandes dans le port de Hambourg, rapporte samedi 21 juin le journal Die Welt. Une partie au moins des documents, qui devaient être acheminés à Genève, provient de la filiale dans les îles Caïman de la banque suisse Coutts, elle-même filiale de la Royal Bank of Scotland. Selon l'hebdomadaire Focus, divers documents concernant la famille saoudienne d'Oussama Ben Laden ont été également saisis.

    A Berlin, le ministère des finances a indiqué que cette affaire était liée à une procédure d'enquête menée par le Parquet de Düsseldorf avec les servicesfiscaux de l'Etat régional de Rhénanie du nord-Westphalie. Ce Land a acheté en 2012 des CD de données sur des Allemands soupçonnés d'avoir fraudé le fisc via des banques en Suisse.

    La banque a confirmé que des documents étaient en cours d'acheminement des îles Caïman à un centre de stockage d'archives de l'institut, selon le journal. La banque travaille « étroitement et de manière constructive avec les autorités pourtrouver une solution et poursuivre l'acheminement des documents », selon une porte-parole, qui a assuré qu'à sa connaissance aucune enquête n'était en cours. Plus de 1 000 cartons contenant des données sur les comptes offshore de fraudeurs fiscaux allemands avaient déjà été retrouvés par les douanes fin mai. 


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  • Tuerie de Bruxelles: Nemmouche sur la voie de l'extradition vers la Belgique

     

    4/6/14 - 08 H 56 - Mis à jour le 5/6/14 - 00 H 10      lien 


     

     

     
    Capture d'écran d'images de vidéosurveillance fournie par la police belge le 28 mai 2014 montrant...

    Police belge/Belga/AFP

    Capture d'écran d'images de vidéosurveillance fournie par la police belge le 28 mai 2014 montrant le suspect de la tuerie du musée juif de Bruxelles


     

    Muet en garde à vue sur la tuerie du musée juif de Bruxelles dont il est soupçonné, Mehdi Nemmouche s'est opposé mercredi à son extradition en Belgique, qui sera examinée jeudi par la justice française, décidée à aller vite.

    "Nous souhaitons qu'il soit jugé en France d'abord parce qu'il est Français, et qu'il est en France", a déclaré à la presse son avocat Apolin Pepiezep, devant la cour d'appel de Versailles où le mandat d'arrêt européen émis par Bruxelles a été notifié à son client.

    L'avocat a aussi fait valoir que le port et le transport illégal d'armes reprochés à son client sont présumés avoir été commis en France, mais ces faits ne sont pas visés par le mandat belge.

    La justice française semble décidée à ne pas perdre de temps. Alors que la procédure aurait pu durer plusieurs semaines, la chambre de l'instruction doit examiner dès jeudi à 11H00 la demande belge.

    La défense de Nemmouche, qui devrait être présent à l'audience, pourrait demander un renvoi de la décision qui, selon une source judiciaire, pourrait être accordé.

    Si l'extradition est confirmée, Me Pepiezep n'exclut pas un pourvoi en cassation. La haute juridiction aurait 40 jours pour statuer.

    Lundi, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve avait trouvé "logique" que l'extradition soit accordée à la Belgique.

    Le Français de 29 ans est soupçonné d'avoir tué le 24 mai un couple d'Israéliens et une retraitée française, et d'avoir laissé dans un état désespéré une quatrième victime, un jeune employé belge, en ouvrant le feu au musée juif de Bruxelles.

    Courtois et calme devant les enquêteurs, il est resté muet sur ces faits durant ses cinq jours de garde à vue -- durée exceptionnelle.

    "Nous ne sommes pas pour l'instant dans l'affirmation ou la confirmation des faits", a déclaré son avocat.

    Le suspect avait été arrêté vendredi à la gare routière de Marseille Saint-Charles, dans un autocar en provenance d'Amsterdam via Bruxelles. Dans ses bagages avaient été retrouvés un revolver et une kalachnikov avec de nombreuses munitions, armes similaires à celles de la tuerie, ainsi qu'une caméra portative de type GoPro.

    - Condamné pour braquage -

    L'enquête se poursuit dans les deux pays. En France, les enquêteurs tentent de déterminer quelle suite il voulait donner à son périple. Voulait-il retrouver une connaissance dans le Sud? Fuir en Algérie, d'où est originaire sa famille? Frapper encore?

    Selon le portrait qui en a été dressé, Mehdi Nemmouche, originaire du Nord, a connu une enfance difficile avant de plonger dans la délinquance, puis dans l'islam radical.

    Avant son départ pour la Syrie, fin 2012 au sortir de cinq années de détention, il avait été condamné à sept reprises par les tribunaux français, notamment pour braquage.

    Son radicalisme religieux avait été signalé lors de sa dernière détention et les enquêteurs français devraient creuser son réseau relationnel en prison. Il a fait l'objet de l'attention de la police dès sa libération, mais ayant quitté la France n'a pu être placé sous surveillance, selon les autorités.

    En Syrie, il y aurait intégré les rangs d'un groupe jihadiste particulièrement radical et violent, l'Etat islamique de l'Irak et du Levant (EILL), selon le parquet de Paris.

    C'est surtout en Belgique que l'enquête va se développer. Les enquêteurs belges vont se voir transmettre les éléments matériels saisis par leurs homologues français, notamment les armes et la caméra, selon une source française proche de l'enquête.

    Les Belges vont également se pencher sur les relations de Nemmouche dans ce pays, place forte des candidats au jihad en Syrie et où il s'était rendu après sa sortie de prison.

    Ce pan de l'enquête doit permettre de déterminer si le profil de "loup solitaire" dressé par le ministre français de l'Intérieur correspond bien au suspect.

    En France, une tante de Nemmouche a été entendue mercredi par la police de Lille pour "voir s'il y a eu des assistances logistiques ou autres", selon une source proche de l'enquête.

    Selon une source proche du dossier, en prison, Nemmouche a montré une "certaine fascination" pour ce qu'avait fait Mohamed Merah, qui a assassiné trois militaires puis trois enfants et un père juifs, en mars 2012, à Toulouse et Montauban.

     

     

    AFP


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    Publié le 4 juin 2014 à 13h57 par  dans ActualitéAlertes infoBuzzEnvironnementVidéos
     

    PAYS-BAS : Une usine hautement inflammable remplie de produits petro-chimiques a pris feu hier soir à Moerdijk, dans l’Ouest du pays. On dénombre des blessés et un mini-tremblement de terre s’est aussi produit. 

    Les riverains n’en reviennent toujours pas. L’usine Shell de Moerdijk, contenant des liquides petro-chimiques, s’est littéralement embrassé. Des flammes gigantesques se sont échappés à la suite de l’explosion du réacteur principal, causant par la même occasion une telle secousse que la terre aurait tremblé.

    On dénombre deux blessés, brulés par l’incendie, mais leurs jours ne seraient pas en danger. L’atmosphère était irrespirable aux alentours des lieux de l’accident, et du personnel se trouvait dans l’usine à ce moment-là, moment qui a coïncidé avec l’horaire du changement d’équipe.

    On ignore les circonstances exactes de l’explosion, mais les flammes qui s’en ont suivi sont impressionnantes. Le maire de la ville a recommandé aux habitants de fermer leurs fenêtres et d’attendre que ça passe, les fumées pouvaient entrainer de fortes irritations.

    Europe1 nous informe que le groupe Shell transforme sur ce site des dérivés pétroliers en matériaux utilisés dans la fabrication de peintures latex,  d’anti-gels mais aussi de fibres synthétiques.


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    Irlande: 800 bébés enterrés dans la fosse septique

    d'un ancien couvent

     - Publié le <time datetime="2014-06-04T15:50" itemprop="datePublished" pubdate="">04/06/2014 à 15:50</time>

     
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    Une historienne irlandaise affirme avoir établi que les ossements découverts dans une fosse septique d'un ancien couvent catholique irlandais de Tuam étaient ceux de quelque 800 bébés de mères célibataires, accueillies par des soeurs entre 1925 et 1961.

    Cette fosse, remplie à ras bord d'ossements, a été découverte en 1975 par les habitants de Tuam, lorsque les dalles de béton qui la couvraient se sont dissociées.

    Jusqu'à présent, les habitants croyaient que les os étaient principalement ceux de victimes de la grande famine qui a touché l'Irlande à partir de 1840. 

     "Quelqu'un m'avait mentionné l'existence d'un cimetière pour nouveau-nés, mais ce que j'ai découvert était bien plus que cela", a déclaré l'historienne Catherine Corless.

    C'est en réalisant des recherches sur les archives d'un ancien couvent de l'ouest de l'Irlande, aujourd'hui reconverti en lotissement, qu'elle a découvert les registres de décès suggérant que 796 enfants avaient été secrètement enterrés sans cercueil ni pierre tombale par les bonnes soeurs du Couvent de Bon Secours.

    Selon les registres de décès, ces enfants sont décédés de malnutrition et de maladies infectieuses comme la tuberculose.

    Wiliam Joseph Dolan, un proche d'un enfant ayant vécu dans cette institution, a déposé une plainte afin de comprendre ce qui s'est passé.

    L'archevêque de Dublin Diarmuid Martin s'est dit favorable "à des fouilles sur ce qui pourrait être des tombes anonymes", affirmant qu'il était nécessaire de revenir sur l'histoire de ces institutions en l'absence d'enquête publique.

    Ciaran Cannon, secrétaire d'Etat à l'Education, a quant à lui souhaité une enquête gouvernementale complète sur cette affaire, affirmant que "ne rien faire n'était simplement pas possible".

    Une levée de fonds a également été lancée pour construire un mémorial avec le nom de chaque enfant.

    Il s'agit d'un nouvel épisode incriminant l'institution catholique irlandaise après de multiples révélations d'abus et de négligences dans des écoles ou des établissements tenus par les catholiques au cours des dernières décennies.

    Au début du XXe siècle, des milliers de femmes célibataires enceintes, considérées à l'époque comme des "femmes déchues", ont été envoyées dans ce genre d'institutions pour accoucher discrètement de leurs bébés.

    Ostracisées par la société conservatrice catholique, elles ont souvent été forcées d'abandonner leur enfant pour qu'il soit adopté.

    Le film "Philomena" du britannique Stephen Frears retraçait l'histoire de l'une de ces mères à la recherche pendant des décennies de son fils adopté par des Américains.

    L'affaire de Tuam rappelle également un autre scandale impliquant des mères célibataires.

    Entre 1922 et 1996, plus de 10.000 jeunes filles et femmes avaient travaillé gratuitement dans des blanchisseries exploitées commercialement par des religieuses catholiques en Irlande.

    Les pensionnaires, surnommées les "Magdalene Sisters", étaient des filles ayant accouché hors mariage ou qui avaient un comportement jugé immoral dans ce pays à forte tradition catholique.


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