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    Publié le <time datetime="2015-10-29T17:07:00+01:00" itemprop="datePublished" pubdate="">jeudi 29 octobre 2015 à 17h07</time>  - lien

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    A8 peage accident
    <figcaption class="wpr_lgd" id="legende">

    (Photo E.G.)

    </figcaption></figure>

    Un motard est décédé ce jeudi après-midi, dans un spectaculaire accident impliquant un poids-lourd au péage Saint-Isidore à Nice et une quinzaine de véhicules.

    Accident péage St Isidore A 8 Nice par nice-matin

    On déplore également dix blessés dont trois en urgence absolue pour cet accident survenu peu avant 17 heures dans le sens Italie-France. 

    Deux hélicoptères font des rotations sur l'autoroute, afin de porter secours aux victimes et les évacuer.

    Problème de freins

    Selon les premiers éléments de l'enquête, le camion immatriculé en Roumanie a eu un problème de freins, et en tentant une manoeuvre d'évitement, il s'est encastré dans le péage, endommageant trois barrières et de nombreux véhicules dont une moto.

    Relire. >> Faut-il déplacer le péage de Saint-Isidore?

    "Sa course a pris fin plusieurs mètres après le péage", précise le colonel Vinot, de la gendarmerie des A.-M.

    Le camion transportait des voitures sur sa remorque.

    Gros dispositif de secours

    Sur place, un important dispositif de secours est déployé, avec 79 pompiers, deux équipes médicales et un hélicoptère.

    L'entrée de l'autoroute Nice Saint-Isidore en direction d'Aix est fermée depuis 17 heures. 

    Des bouchons comment à se former dans les deux sens de circulation à Saint-Isidore, le secteur est à éviter.

    (Photos Eric Galliano et Romane Idres)

    (Photos Eric Galliano et Romane Idres)

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    Suite accident, échangeur de Nice Saint-Isidore (n°52) fermé en direction d'Aix. Secours sur place. @Radio1077

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  • DIRECT. Agression au tribunal de Melun : le pronostic vital du bâtonnier "n'est plus engagé"

    C'est ce qu'a annoncé le procureur adjoint de Melun Daniel Atzenhoffer, lors d'une conférence de presse.    lien

    <figure id="image_1233249">Le tribunal de Melun (Seine-et-Marne), jeudi 29 octobre 2015.<figcaption>Le tribunal de Melun (Seine-et-Marne), jeudi 29 octobre 2015. (YOAN VALAT / EPA)</figcaption></figure><section class="byline clearfix"> Par

    Mis à jour le <time datetime="2015-10-29T20:14:51+01:00" itemprop="dateModified">29/10/2015 | 20:14</time> , publié le <time datetime="2015-10-29T10:41:12+01:00" itemprop="datePublished">29/10/2015 | 10:41</time>

    </section>

    Le pronostic vital du bâtonnier de Melun (Seine-et-Marne), grièvement blessé par balles, jeudi 29 octobre, "n'est plus engagé", a annoncé le procureur adjoint de Melun Daniel Atzenhoffer, lors d'une conférence de presse. Sa mort avait dans un premier temps été annoncée par des sources proches du dossier à l'AFP, information reprise par francetv info.

    • La garde des Sceaux Christiane Taubira a déclaré avoir appris "avec effroi la terrible agression" du bâtonnier de Melun, jugeant inconcevable "que nos juridictions et maisons de l'ordre des avocats deviennent pour eux des lieux dangereux".

    Les coups de feu qui ont retenti dans le tribunal ont été entendus par une équipe de France 3. Selon Le Parisien, c'est Joseph Scipilliti, avocat du barreau de Melun, qui a fait feu à trois reprises sur le bâtonnier, Henrique Vannier. Le tireur a retourné l'arme contre lui et s'est suicidé.

    Il y avait un contentieux entre les deux hommes, a expliqué le bureau du bâtonnier joint par francetv info "Une procédure disciplinaire était en cours, pour des cotisations et des charges non réglées", contre Joseph Scipilliti. "Monsieur Scipilliti considérait que monsieur Vannier en faisait une affaire personnelle", précise le cabinet. L'auteur présumé des tirs était l'avocat de Riposte laïque, un site d'extrême droite. Il avait également défendu une militante islamophobe en août 2014.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Corse : un avocat blessé par balles dans sa voiture

    Le Monde.fr | <time datetime="2015-10-29T23:50:52+01:00" itemprop="datePublished">29.10.2015 à 23h50</time> | Par

     
    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Me Jean-Michel Mariaggi, avocat à Ajaccio, a été la cible d’une tentative d’homicide alors qu’il circulait en voiture sur une route près d’Ajaccio, jeudi 29 octobre. </figure>

    Me Jean-Michel Mariaggi, 58 ans, avocat à Ajaccio, a été la cible d’une tentative d’homicide alors qu’il circulait en voiture sur une route près d’Ajaccio, jeudi 29 octobre au soir, peu après 19 heures. Atteint de plusieurs décharges de fusil de chasse, il a été secouru par un automobiliste tandis que le véhicule supposé de ses agresseurs, « un utilitaire de couleur blanche » d’après une source proche de l’enquête, prenait la fuite.

    Evacué vers le centre hospitalier d’Ajaccio où il a été opéré en urgence, Me Mariaggi, touché au bras, était conscient et ses jours ne se trouveraient pas en danger. « C’est un miraculé, il a perdu beaucoup de sang mais devrait s’en tirer », a indiqué au Monde un de ses proches.

    Visé par des mencaces de morts en 2013

    Habitué des procès médiatiques, Me Mariaggi s’y est taillé une réputation de bretteur des prétoires, pugnace et offensif, au point de s’attirer de solides inimitiés, tant parmi ses confrères – une brouille durable l’avait opposé à Antoine Sollacaro, ancien bâtonnier d’Ajaccio exécuté en octobre 2012 – qu’au sein de la magistrature et du Milieu. Visé par des menaces de mort en 2013, il avait refusé toute protection policière.

    L’ordre des avocats d’Ajaccio doit se réunir vendredi pour un conseil extraordinaire.

    Lire la tribune cosignée par Jean-Michel Mariaggi : Et s’il fallait enregistrer les délibérés de Cour d’assises ?

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  • Violences à Moirans : les gens du voyage demandent la libération du détenu d'Aiton, les obsèques sont repoussées

    Alors que le calme est revenu à Moirans, une trentaine d'émeutiers est toujours en fuite. Tout se passe désormais au camp des gens du voyage. La famille demande toujours la libération du détenu d'Aiton pour qu'il assiste aux obsèques de son frère. Celles-ci ont été repoussées à jeudi.  

    • France 3 Alpes
    • Publié le 20/10/2015 | 18:02, mis à jour le 21/10/2015 | 00:06   lien

    Des policiers interviennent à Moirans, après les incidents. © Jordan Guéant/France 3 Alpes

    © Jordan Guéant/France 3 Alpes Des policiers interviennent à Moirans, après les incidents.

    Alors que la police enlève la dernière voiture et achève de nettoyer les deux barrages établis par les émeutiers ce mardi 20 octobre, à Moirans, tout se passe désormais dans le camp des gens du voyage. Il s'agit d'un terrain situé non loin de l'endroit où se sont déroulés les violents incidents. Une trentaine d'émeutiers était toujours en fuite mardi soir, alors que la situation est revenue au calme à la prison d'Aiton, où une émeute avait également éclaté.

    Dans ce camp habite la famille du détenu de la prison d'Aiton, dont la communauté demande la libération. D'après celle-ci, une permission avait été évoquée "oralement" pour le mercredi 21 octobre ainsi que le jeudi, afin que le détenu puisse assister aux obsèques de son frère. Mais, ce matin, l'avocat du détenu (voir notre interview ci-dessous) leur avait appris que la libération n'était pas accordée. 

    Le préfet et le maire étaient présents dans le camp des gens du voyage mardi soir. Reste à savoir, à présent, si la permission de sortir sera accordée au détenu, comme cela avait été le cas, fin août, après le blocage de l'autoroute A1, dans la Somme, par des gens du voyage réclamant que le fils d'une victime d'une fusillade, incarcéré, puisse assister aux funérailles de son père.

    Les images des violences à Moirans :
    Les images des violents incidents de Moirans

    De violents incidents débutés dans l'après-midi 

    Les gendarmes étaient mobilisés à Moirans, mardi soir, où une trentaine de personnes, issues de la communauté des gens du voyage, a brûlé des voitures et bloqué des voies SNCF en fin d'après-midi. Elles réclament une permission de sortir pour un détenu de la prison d'Aiton (Savoie), pour qu'il puisse assister aux obsèques de son frère, mort à Saint-Joseph-de-Rivière le week-end dernier.

    Les émeutiers ont brûlé des palettes et des voitures sur la chaussée ainsi qu'à proximité de la voie ferrée, perturbant le trafic ferroviaire. Simultanément, des incendies, liés aux violences de Moirans, ont également été allumés par des détenus dans l'enceinte de la prison d'Aiton.

    La situation à Moirans :
    En direct de Moirans

    Les explications de Jordan Guéant / France 3 Alpes


    "La situation est sous contrôle" à Moirans, a indiqué dans la soirée la préfecture de l'Isère, dans un communiqué. "Il n'y a pas de blessés, les incendies ont été éteints par les sapeurs pompiers, la circulation sur la RD 1085 est en cours de rétablissement et la SNCF prend en charge l'évacuation des 218 passagers qui se trouvent dans les deux rames de trains à proximité de la gare de Moirans", précise-t-elle.

    © Jordan Guéant/France 3 Alpes

    © Jordan Guéant/France 3 Alpes


    Une permission de sortir refusée à un détenu

    Ces actions sont revendiquées par des membres de la communauté des gens du voyage sédentarisés à Moirans depuis de nombreuses années, proches de l'une des victimes de l'accident de la route qui a fait trois morts le week-end dernier à Saint-Joseph-de-Rivière, dans l'Isère. Dans la nuit du vendredi 16 octobre au samedi 17, trois jeunes gantés et cagoulés, dont certains mineurs, sont morts en rentrant d'un cambriolage à Saint-Joseph-de-Rivière dans une collision contre un arbre à bord d'une voiture qu'ils venaient de voler. Un quatrième occupant a survécu.

    Incarcéré, le grand frère de 24 ans de l'une des victimes n'aurait pas eu la permission d'assister aux obsèques de son petit frère, qui auront lieu demain après-midi en l'église de Moirans. "Ils étaient en négociation avec leur avocat et la juge d'application des peines pour demander la libération du frère" afin qu'il puisse assister aux obsèques, rapporte la mairie dans un communiqué. Mais "la justice semble refuser d'accéder à leur demande", poursuit-elle. "Leur avocat a fait appel de la décision. N'ayant pas eu de réponse, ils ont engagé vers 16 heures un bras de fer qui a commencé" sur la RD 1085 (...) où, "ayant pillé la casse voisine, ils ont bloqué" ensuite la route et "mis le feu aux véhicules", ajoute la mairie.

    A la prison d'Aiton, en Savoie, où le grand frère de 24 ans est incarcéré, des incendies ont été allumés dans l'après-midi par une quarantaine de détenus. D'après nos informations, ces incendies seraient en lien avec les violences de Moirans.

    © Jordan Guéant/France 3 Alpes

    © Jordan Guéant/France 3 Alpes


    La circulation était toujours coupée, mardi soir, au niveau du rond-point Centr’Alpes et déviée en direction de Voiron. Dans le sens Lyon-Grenoble, la circulation était coupée au carrefour 592 et déviée en direction de Tullins. Un feu de palettes et de pneus a également été allumé à proximité de la voie ferrée, perturbant la circulation des trains entre Lyon et Grenoble ainsi qu'entre Grenoble et Valence.

    Des voitures brûlées sur les chemins de fer

    "Une centaine de personnes avec des barres en fer" bloquaient la gare, d'après Franck Longo, directeur du cabinet du maire de Moirans. "Autour, il y a eu de lourds saccages, notamment le restaurant attenant à la gare. Sur les voies SNCF, ils ont fait brûler des voitures", a-t-il ajouté. Moirans est un noeud ferroviaire où convergent trois voies en étoile. Certains trains peuvent être détournés vers le nord via Chambéry, et la SNCF travaille à la mise en place de transport de substitution par autocar.

    Dans la soirée, la police a procédé au nettoyage de l'un des barrages. © Jordan Guéant/France 3 Alpes

    © Jordan Guéant/France 3 Alpes Dans la soirée, la police a procédé au nettoyage de l'un des barrages.


    Le premier ministre, Manuel Valls, s'est exprimé sur Twitter dans la soirée au sujet de ces violences :

     


     

    « Une décision de justice inhumaine »

    Incarcéré pour vol depuis trois ans à la prison d’Aiton, en Savoie, le grand-frère de l’une des victimes décédées dans l’accident de la route survenu ce week-end à Saint-Joseph-de-Rivière n’a pas obtenu de permission pour assister aux obsèques de son petit frère, demain après-midi à Moirans. Son avocat, Me Gallo, a fait appel de la décision du juge d’application des peines. Une nouvelle décision devrait être rendue ce mercredi.

    "La décision du juge d’application des peines est irrationnelle et inhumaine, donc on peut concevoir qu’elle entraîne une réaction inhumaine de la part des proches de mon client", a confié Me Gallo ce mardi soir. "On stigmatise les événements mais on ne stigmatise pas assez la décision qui a été prise", a-t-il ajouté.

    "Il n’y avait aucune raison de refuser une permission à mon client. En trois ans, il n’a eu qu’un seul incident banal", explique l’avocat qui précise que son client est éligible à la libération conditionnelle depuis février dernier. "Dans quel pays sommes-nous ?", s’est indigné Me Gallo.


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    Etats-Unis : le pilote d'un Airbus A320

    meurt en plein vol

    Le pilote d'un A320 d'Américan Airlines est mort en plein vol lundi entre Phoenix et Boston. C'est le copilote qui a posé l'avion avec à son bord 147 passagers et 5 membres d'équipage. 

    • Par Fabrice Valery
    • Publié le 06/10/2015 | 10:21
    • lien
    Un A320 d'American Airlines © Airbus

    © Airbus Un A320 d'American Airlines

    Le pilote d'un Airbus A320 d'American Airlines, âgé de 57 ans, est mort lundi alors qu'il était aux commandes de l'appareil en plein vol entre Phoenix et Boston, selon une information de CNN.

    Le pilote a eu un malaise et c'est le copilote qui a pris les commandes de l'appareil, le personnel de bord indiquant aux 147 passagers qu'en raison d'un problème de santé du pilote l'avion devait faire un atterrissage d'urgence à Syracuse. L'atterrissage s'est déroulé sans incident. Un peu plus tard, l'avion a pu redécoller pour sa destination finale.

    Les décès de pilotes de ligne en plein vol sont très rares. La présence d'un copilote est dans ces cas-là... essentielle !

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