• François Hollande touche le fond dans les sondages

    Mis à jour à 09h25 lien

    Seuls 18% des Français approuvent l'action du président socialiste François Hollande dont la cote a baissé de trois points en un mois, atteignant son plus bas niveau depuis son élection en 2012, selon un sondage Ifop.

     

    La cote de popularité de François Hollande a atteint son niveau le plus bas depuis son élection, passant pour la première fois sous les 20%.

    A la question «approuvez-vous ou désapprouvez-vous l'action de François Hollande comme président de la République», seuls 18% des personnes interrogées répondent positivement. Elles étaient 21% en mai, selon ce baromètre mensuel.

    Et 81% des Français n'approuvent pas son action, soit 2 points de plus.

    La cote de François Hollande avait démarré à 63% d'approbation après son élection à la présidentielle en mai 2012. Depuis, elle s'est effritée constamment.

    Le président français perd du terrain sur tous les plans: par exemple - 3 points pour sa capacité «à défendre les intérêts de la France à l'étranger», mais surtout pour sa lutte contre la dette et les déficits (21% d'approbation, - 4 points) et sa politique économique (18%, - 4).

    Constance pour Manuel Valls

    Le Premier ministre Manuel Valls est pour sa part constant à 52% de bonnes opinions et 47% de mauvaises. Il perd cependant du terrain quant à sa capacité à bien diriger l'action du gouvernement (62% de oui, soit - 5) et sa capacité à sortir le pays de la crise (42%, - 3).

    L'opposition de droite ne prospère pas pour autant dans l'opinion: une forte majorité de 63% jugent qu'elle ne ferait pas mieux que l'exécutif actuel, contre 36% d'un avis inverse, des taux qui n'ont pas varié en un mois.

    Enquête réalisée par téléphone du 30 au 31 mai -- soit après les élections européennes du 25 mai, très mauvaises pour la majorité et aussi pour le principal parti de droite, l'UMP -- auprès d'un échantillon de 964 personnes représentatif de la population française de 18 ans et plus (méthode des quotas).(afp/Newsnet)

    Créé: 04.06.2014, 09h25


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    Sondage : les électeurs de droite veulent Sarkozy pour 2017 et Juppé pour la présidence de l'UMP

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-06-04T19:49" itemprop="datePublished" pubdate="">04/06/2014 à 19:49     </time>lien

    Les sondés de toutes tendances politiques préfèrent que la primaire à droite pour 2017 désigne Alain Juppé (21 %), devant Nicolas Sarkozy (17 %).

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Alain Juppé est dans la course à la présidence de l'UMP.<figcaption>Alain Juppé est dans la course à la présidence de l'UMP. © JEAN-PIERRE MULLER / AFP</figcaption></figure>
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    Les sympathisants de droite opteraient pour Alain Juppé pour diriger l'UMP, mais préféreraient Nicolas Sarkozy comme candidat à l'élection présidentielle de 2017, selon un sondage de Harris Interactive pour la chaîne TV parlementaire LCP publié mercredi. Alors qu'un congrès de l'UMP doit désigner en octobre un nouveau président du mouvement, 29 % des sympathisants de droite portent leur choix sur Alain Juppé, nettement devant Nicolas Sarkozy (13 %) et François Fillon (12 %).

    Viennent ensuite Laurent Wauquiez (9 %), Bruno Lemaire (8 %), Nathalie Kosciusko-Morizet (7 %), Xavier Bertrand (5 %), Valérie Pécresse (3 %), Jean-François Copé (1 %), le président démissionnaire. 11 % des sympathisants de droite ne veulent d'aucune de ces personnalités, 1 % ne se prononce pas.

    Nicolas Sarkozy en tête

    Les mêmes sympathisants placent en revanche Nicolas Sarkozy en tête, avec 32 %, lorsqu'ils sont interrogés sur la personnalité qu'ils souhaitent voir désignée lors de la primaire à droite pour choisir le candidat de la droite à la prochaine élection présidentielle. L'ancien président recule toutefois de 18 points par rapport à octobre 2013. Alain Juppé arrive en deuxième position, avec 25 % (+ 7 points), suivi de François Fillon (11 %, + 1). Laurent Wauquiez recueille 8 %, Bruno Lemaire 6 %, Nathalie Kosciusko-Morizet 4 %, Xavier Bertrand 3 %, Jean-François Copé 2 %, Valérie Pécresse 1 %. 8 % disent ne vouloir d'aucune de ces personnalités.

    Les sympathisants de droite ne représentent qu'une fraction de l'échantillon. Les sondés dans leur ensemble (de toutes tendances politiques) préfèrent quant à eux que la primaire à droite pour 2017 désigne Alain Juppé (21 %), devant Nicolas Sarkozy (17 %) et François Fillon (9 %). 

    Enquête réalisée en ligne du 28 au 30 mai auprès d'un échantillon de 1 471 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, extraites de l'Access panel de Harris Interactive. Méthode des quotas.

    </article>

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    Présidentielle 2017 : Valls préféré à Hollande comme candidat PS

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-05-29T18:37" itemprop="datePublished" pubdate="">29/05/2014 à 18:37</time> - Modifié le <time datetime="2014-05-29T21:08" itemprop="dateModified">29/05/2014 à 21:08</time>

    Le Premier ministre serait très largement préféré au président comme candidat du PS à la présidentielle de 2017, selon un sondage OpinionWay.    lien

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">François Hollande et Manuel Valls, le 14 mai 2014.<figcaption>François Hollande et Manuel Valls, le 14 mai 2014. © ALAIN JOCARD / POOL / AFP</figcaption></figure></header>

    Le Premier ministre, Manuel Valls, serait très largement préféré au président François Hollande comme candidat du PS à la présidentielle de 2017, selon un sondage OpinionWay pour Le Figaro Magazine. À la question "Parmi les personnalités suivantes, laquelle préféreriez-vous comme candidat du PS à la présidentielle de 2017 ?", 26 % des personnes interrogées répondent Manuel Valls, contre seulement 3 % qui répondent François Hollande.

    10 % préféreraient que ce soit la maire de Lille, Martine Aubry, qui représente le PS à l'élection, 6 % voudraient voir la ministre de l'Écologie, Ségolène Royal, et 4 % le ministre de l'Économie, Arnaud Montebourg. À noter toutefois que 50 % des sondés répondent "aucune de ces personnalités".

    S'agissant des seuls sympathisants PS, 40 % voudraient Manuel Valls comme candidat, 16 % Martine Aubry, 15 % François Hollande, 11 % Ségolène Royal, 3 % Arnaud Montebourg et 15 % "aucune de ces personnalités".

    La primaire plébiscitée

    Interrogés sur le fait de savoir si le PS doit organiser une primaire en cas de candidature Hollande en 2017, 65 % des sondés répondent par l'affirmative (41 % "oui tout à fait", 24 % "oui plutôt"). 34 % répondent par la négative et 1 % ne se prononcent pas. Du côté des seuls sympathisants PS, ils sont 81 % à pencher pour une primaire même en cas de candidature de Hollande (45 % "oui tout à fait", 36 % "oui plutôt"), contre 19 % à penser le contraire.

    Ce sondage a été réalisé du 21 au 23 mai auprès d'un échantillon de 2 502 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

     

     
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  • Européennes : l'UMP et le Front national

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      • Par Emmanuel GalieroService infographie du Figaro
      • Mis à jour <time data-ago="il y a 3 heures" data-original="le 16/05/2014 à 19:03" datetime="2014-05-16T19:03:51+02:00" itemprop="dateModified">le 16/05/2014 à 19:03</time>
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      • Publié <time data-ago="il y a 3 heures" data-original=" le 16/05/2014 à 18:29" datetime="2014-05-16T18:29:44+02:00" itemprop="datePublished">le 16/05/2014 à 18:29</time>
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    <figure>Marine Le Pen et Jean-François Copé.<figcaption itemprop="description">

     

    </figcaption></figure>

    SONDAGE - Une enquête OpinionWay pour Le Figaro confirme l'avance des partis de Jean-François Copé et Marine Le Pen.

    UMP 23 %, FN 22 %, PS 16 %. Selon le sondage OpinionWay réalisé pour Le Figaro, les intentions de vote aux élections européennes confirment une nouvelle fois la lutte en tête entre l'UMP et le Front national. À 7 points derrière le premier, le PS est suivi par le MoDem/UDI (10,5 %), les Verts (9 %) le Front de Gauche (8 %), Debout la République (2,5 %) et Nouvelle Donne (2,5 %).

    «Quand les écarts sont petits, il faut être très prudent», prévient Bruno Jeanbart. Le directeur des études politiques d'OpinionWay rappelle que 1 point de résultat aux européennes représente seulement 150.000 voix, soit environ deux fois moins qu'à la présidentielle (360.000 voix).

    «Cette élection s'annonce une nouvelle fois avec très faible participation, ce qui rend d'autant plus incertains les résultats», souligne l'analyste. Le chiffre de 63 % d'abstention (contre 62 % une semaine plus tôt) est le plus important enregistré par OpinionWay durant cette campagne.

    <aside>

    « Une partie de l'électorat de droite a envie de voter FN pour exprimer son mécontentement et son ras-le-bol  »

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    Bruno Jeanbart </aside>

    «Le PS subit la concurrence forte des autres listes de gauche. C'est ce qui le handicape le plus», poursuit Bruno Jeanbart en notant qu'une perte de 2 points représente un danger pour les socialistes à un moment où les petites listes entrent dans une séquence finale où elles seront mieux exposées. «On peut d'ailleurs se demander si ces listes ne risquent pas de lui grignoter encore des voix», estime Bruno Jeanbart. La troisième place serait-elle pour autant menacée? «Aucun élément ne semble le dire, mais, en 2009, à une semaine du scrutin, personne n'avait imaginé que les Verts arriveraient au niveau auquel le PS se trouve aujourd'hui.» Dans une élection abordée comme une échéance «nationale» par les électeurs, le politologue remarque un niveau de vote sanction «plus élevé qu'aux municipales».

    De son côté, l'UMP, qui maintient son socle électoral où dominent les personnes âgés, souffre surtout «de la concurrence directe du Front national». Selon Bruno Jeanbart, une «partie de l'électorat de droite a envie de voter FN pour exprimer son mécontentement et son ras-le-bol»

     

     

     

    Dans cette course entre l'UMP et le FN, le plus déterminant sera la capacité de mobilisation de chacun. En cas de faible participation, l'UMP peut avoir «un petit avantage» avec un électorat moins abstentionniste que celui du FN. Cependant, deux dynamiques se font jours depuis le début du mois de mai: «un Front national plutôt en hausse» et un «PS plutôt en baisse».

    Si le parti de Marine Le Pen arrivait en tête le 25 mai, Bruno Jeanbart estime que cela marquerait une «rupture sociologique», car cela indiquerait notamment une mobilisation inédite de personnes aisées (CSP +) et des électeurs âgés.

    Les appels à la mobilisation lancés régulièrement par le Front national sont d'ailleurs un signe que le parti mesure parfaitement le risque d'une forte abstention. Mais, selon Bruno Jeanbart, «quelle que soit sa position, celle-ci ne modifiera pas la réalité de son triomphe et de sa poussée. D'ailleurs, 18 % dans ces européennes vaut 25 % à la présidentielle, car ce scrutin européen est historiquement le plus défavorable pour le Front national, principalement à cause de l'abstention.»

    Sondage publié par LeFigaro

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    <figure>Marine Le Pen et Jean-François Copé.<figcaption itemprop="description">

     

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    SONDAGE - Une enquête OpinionWay pour Le Figaro confirme l'avance des partis de Jean-François Copé et Marine Le Pen.

    UMP 23 %, FN 22 %, PS 16 %. Selon le sondage OpinionWay réalisé pour Le Figaro, les intentions de vote aux élections européennes confirment une nouvelle fois la lutte en tête entre l'UMP et le Front national. À 7 points derrière le premier, le PS est suivi par le MoDem/UDI (10,5 %), les Verts (9 %) le Front de Gauche (8 %), Debout la République (2,5 %) et Nouvelle Donne (2,5 %).

    «Quand les écarts sont petits, il faut être très prudent», prévient Bruno Jeanbart. Le directeur des études politiques d'OpinionWay rappelle que 1 point de résultat aux européennes représente seulement 150.000 voix, soit environ deux fois moins qu'à la présidentielle (360.000 voix).

    «Cette élection s'annonce une nouvelle fois avec très faible participation, ce qui rend d'autant plus incertains les résultats», souligne l'analyste. Le chiffre de 63 % d'abstention (contre 62 % une semaine plus tôt) est le plus important enregistré par OpinionWay durant cette campagne.

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    « Une partie de l'électorat de droite a envie de voter FN pour exprimer son mécontentement et son ras-le-bol  »

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    Bruno Jeanbart </aside>

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    De son côté, l'UMP, qui maintient son socle électoral où dominent les personnes âgés, souffre surtout «de la concurrence directe du Front national». Selon Bruno Jeanbart, une «partie de l'électorat de droite a envie de voter FN pour exprimer son mécontentement et son ras-le-bol»

     

     

     

    Dans cette course entre l'UMP et le FN, le plus déterminant sera la capacité de mobilisation de chacun. En cas de faible participation, l'UMP peut avoir «un petit avantage» avec un électorat moins abstentionniste que celui du FN. Cependant, deux dynamiques se font jours depuis le début du mois de mai: «un Front national plutôt en hausse» et un «PS plutôt en baisse».

    Si le parti de Marine Le Pen arrivait en tête le 25 mai, Bruno Jeanbart estime que cela marquerait une «rupture sociologique», car cela indiquerait notamment une mobilisation inédite de personnes aisées (CSP +) et des électeurs âgés.

    Les appels à la mobilisation lancés régulièrement par le Front national sont d'ailleurs un signe que le parti mesure parfaitement le risque d'une forte abstention. Mais, selon Bruno Jeanbart, «quelle que soit sa position, celle-ci ne modifiera pas la réalité de son triomphe et de sa poussée. D'ailleurs, 18 % dans ces européennes vaut 25 % à la présidentielle, car ce scrutin européen est historiquement le plus défavorable pour le Front national, principalement à cause de l'abstention.»

    Sondage publié par LeFigaro

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