• 11 juillet 2013 - 22H52  

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    Microsoft refond son organisation pour mieux contrer Apple et Google

    Le groupe informatique Microsoft, qui cherche à regagner du terrain face aux rivaux Apple et Google, a annoncé jeudi une refonte de son organisation interne, censée le rendre plus efficace.

    Le groupe informatique Microsoft, qui cherche à regagner du terrain face aux rivaux Apple et Google, a annoncé jeudi une refonte de son organisation interne, censée le rendre plus efficace.

    AFP - Le groupe informatique Microsoft, qui cherche à regagner du terrain face aux rivaux Apple et Google, a annoncé jeudi une refonte de son organisation interne, censée le rendre plus efficace.

    "Nous nous regroupons derrière une stratégie unique en tant qu'entreprise unique. Pas une collection de stratégies dans des divisions", a indiqué le directeur général Steve Ballmer, dans un courriel à tous les salariés rendu public par le groupe.

    Microsoft comptait jusqu'ici une série de divisions structurées autour de ses produits (le système d'exploitation Windows, la suite de bureautique Office, le moteur de recherche Bing, la console de jeux vidéo Xbox...), avec chacune ses équipes d'ingénierie, de marketing, de finance...

    Il veut "davantage de collaboration" et s'organisera désormais autour de 8 grandes fonctions transversales avec une seule division financière, une seule pour le marketing, une pour la recherche ou encore une d'ingénierie. Les produits seront regroupés dans cette dernière en quatre catégories: systèmes d'exploitation, applications, informatique dématérialisée (cloud) et appareils.

    La transformation s'étalera sur les douze prochains mois.

    L'objectif est d'avoir "un message plus cohérent" envers les clients et les développeurs d'applications, selon Steve Ballmer, qui appelle à "voir la ligne de produits de manière globale, et pas comme une série d'îlots".

    Ce "réalignement de grande portée" doit permettre "d'innover avec davantage de vitesse, d'efficacité et de compétence dans un monde changeant rapidement", a-t-il expliqué.

    Interrogé lors d'une conférence téléphonique, M. Ballmer a assuré qu'il n'y avait "pas de licenciements prévus".

    Les fonctions des hauts dirigeants du groupe ont en revanche été redistribuées. Parmi les quelques uns pour lesquels aucun poste exact n'est annoncé, l'actuel responsable de la recherche et de la stratégie Craig Mundie va jusqu'à fin 2013 "consacrer 100% de son temps à un projet spécial pour moi", indique M. Ballmer sans plus de précisions.

    Il a aussi expliqué que l'initiative entrait dans le cadre du recentrage du groupe vers les services et les appareils électroniques.

    Microsoft, dont les logiciels restent très associés à l'univers du PC, souffre de la crise profonde de ce marché..

    Il avait totalement remanié fin octobre son système d'exploitation Windows pour l'adapter aux écrans tactiles des smartphones et des tablettes, deux créneaux où il s'est fait largement distancer par Apple et Google (via son logiciel Android utilisé par de nombreux fabricants).

    M. Ballmer a encore souligné jeudi que le mobile était une des priorités.

    "Le succès dans les appareils mobiles, Windows, Office 365 et (la plateforme dématérialisée) Azure sera fondamental", écrit-il, ajoutant que "Xbox et Bing seront aussi des contributeurs clés dans l'avenir au succès financier".

    L'action Microsoft a clôturé sur un gain de 2,84% à 35,69 dollars.

    "La nouvelle stratégie est très sensée, étant donné les demandes des consommateurs pour une expérience plus unifiée à travers les appareils" différents, a commenté la banque Barclays.

    Le succès d'Apple ou d'Android repose ainsi sur l'écosystème qu'ils ont bâti autour de leurs produits, qui fidélise aussi leurs clients.

    Vu l'ampleur des changements, Barclays craint toutefois un ralentissement des performances du groupe à court terme et une perte de transparence à plus long terme sur les résultats financiers des différentes activités, qui pourrait représenter une "frustration" pour les investisseurs.


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    Apple et Amazon renoncent aux poursuites

    sur le nom "app store"

    Edité par
    le 09 juillet 2013 à 22h20 , mis à jour le 09 juillet 2013 à 22h25.
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    <figure class="figure underline"> L'App Store, d'Apple <figcaption class="degrade-une"></figcaption></figure>
    L'App Store, d'Apple / Crédits : DR
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    C'est la juge Phyllis Hamilton d'Oakland en Californie qui a ordonné mardi le classement de l'affaire sur le nom "app store" à la demande des deux sociétés concernées : Apple et Amazon. Le procès initialement prévu le 19 août est donc annulé et les deux groupes peuvent continuer à utiliser le terme "app store".

    Alors qu'Apple commercialisait des applications pour terminaux mobiles sur son service en ligne App Store depuis juillet 2008, Amazon avait lancé son Amazon Appstore pour le système d'exploitation Android en mars 2011. Apple avait engagé des poursuites quelques jours plus tard. Le groupe à la pomme accusait Amazon de violation de marque déposée et de publicité mensongère. Le géant du commerce en ligne répliquait que l'appellation "app store" était tellement répandue que son utilisation ne risquait pas de tromper les clients.

    En janvier, la juge Hamilton avait rejeté le chef de publicité mensongère. "Nous ne jugeons plus nécessaire de continuer à défendre ce dossier", a déclaré mardi une porte-parole d'Apple. "Avec plus de 900.000 applications et 50 milliards de téléchargements, les clients savent où ils peuvent acheter leurs applications favorites." De son côté, Martin Glick, un avocat d'Amazon, a déclaré à Reuters qu'il s'agissait d'"une décision unilatérale d'Apple de renoncer aux poursuites et de laisser Amazon libre d'utiliser le terme app store".


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    New York

    L'avion Solar Impulse achève sa traversée

    des Etats-Unis

    Par , publié le <time datetime="2013-07-07 09:25:36" itemprop="startDate" pubdate="">07/07/2013 à 09:25</time><time datetime="2013-07-07 09:25:36" itemprop="dateModified">, mis à jour à 09:25   </time>
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    New York - L'avion expérimental propulsé par l'énergie solaire, Solar Impulse, piloté par deux Suisses, s'est posé dimanche soir à New York mettant un terme à sa traversée des Etats-Unis.

    <figure class="ouverture"> L'avion Solar Impulse achève sa traversée des Etats-Unis <figcaption>

    Solar Impulse au décollage le 3 mai 2013 à Montain View en Californie

    afp.com/Josh Edelson

    </figcaption> </figure> </header>

    L'avion s'est posé sur une piste de l'aéroport John Fitzgerald Kennedy de New York à 03H11 GMT plus tôt que prévu. Cette avance, par rapport à l'horaire estimé est due à une déchirure de 2,5 mètres sur la partie inférieure de l'aile gauche. 

    L'avion avait décollé à 04H46 (08H46 GMT) de l'aéroport international Washington-Dulles mais il n'avait pas la permission d'atterrir à l'aéroport John Fitzgerald Kennedy de New York avant 02H00 du matin (06H00 GMT) afin ne pas déranger le trafic commercial aérien intense dans la région. 

    Le pilote suisse André Borschberg a été contraint de prendre son mal en patience et a tourné en rond au-dessus de l'Atlantique à quelques encablures de "Big Apple", avant de pouvoir survoler la ville dans la soirée et se poser finalement plus tôt en raison de son avarie. 

    "Le problème est le trafic aérien dense dans ce couloir très fréquenté entre Washington et New York. Solar Impulse vole à environ 70 km/h et est très sensible aux turbulences, ce qui veut dire qu'il peut aisément déranger le trafic commercial", a ajouté son équipe. 

    Le pilote suisse, qui durant son périple à travers les Etats-Unis a alternativement pris les commandes de cet engin monoplace avec son compatriote Bertrand Piccard, a volé samedi après-midi à faible allure au-dessus de l'eau, par un ciel clair, en attendant de pouvoir se rapprocher de New York. 

    Chargées à la moitié en début de matinée, ses batteries étaient sous le soleil de l'Atlantique pleines à 100% de leurs capacités, selon les données communiquées en ligne par son équipe (solarimpulse.com). 

    Survoler New York de jour 

    "C'est notre plus courte étape, mais c'est aussi celle qui va durer le plus longtemps", avait relevé André Borschberg, interrogé en vol peu après le lever du jour. 

    Pour autant celui-ci n'avait pas peur de s'ennuyer au long de ce périple de plus de 21 heures : "Je pensais à cette dernière étape depuis le début de notre projet : comment intégrer notre avion dans la zone qui a le trafic aérien le plus dense du monde' On espère aussi pouvoir survoler la statue de la Liberté ce soir, ce qu'on devrait réussir à faire entre 22H00 et minuit (entre 02H00 et 04H00 GMT). Donc je suis très excité par ce que je fais et je ne vais pas trouver le temps long aujourd'hui", disait-il. 

    Sa traversée des Etats-Unis a débuté le 3 mai près de San Francisco, en Californie (ouest). L'avion s'est ensuite rendu successivement à Phoenix (Arizona), Dallas/Fort Worth (Texas), Saint Louis (Missouri), Cincinnati (Ohio) et Washington. 

    L'équipe de Solar Impulse a également dit espérer que les autorités donneraient à l'appareil l'autorisation de survoler New York pendant qu'il fera encore jour."Notre but n'est pas juste de traverser les Etats-Unis, ce projet doit être utile à la société, pour montrer aux gens combien le monde peut être efficace en utilisant des technologies propres", a souligné de son côté Bertrand Piccard. 

    L'appareil de 1.600 kg en fibre de carbone a une envergure de 63,4 m, équivalente à celle d'un Boeing 747 et dépend de 12.000 cellules photovoltaïques capables de produire l'électricité suffisante pour charger sa batterie au lithium de 400 kilos, nécessaire à l'alimentation des quatre moteurs électriques à hélice de 10 chevaux chacun, de jour comme de nuit. 

    Solar Impulse, un projet lancé il y a dix ans par Bertrand Piccard et André Borschberg avait fait son baptême de l'air en juin 2009.En 2010, l'avion solaire avait effectué un vol sans escale de 26 heures, montrant ainsi sa capacité à accumuler suffisamment d'électricité durant le jour pour continuer à voler de nuit. 

    André Borschberg et Bertrand Piccard, prévoient un tour du monde en 2015 avec une version améliorée de cet appareil.


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    WiFi gratuit en gare, c'est bon pour le BYOD tout ça!

    Sommaire : Vendredi dernier, deux ministres ont lancé les services "gares digitales" pour faciliter les déplacements des voyageurs. Pour GreenSI ce type d'initiative pourrait booster le développement du BYOD en entreprise. Comment?

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    Vendredi dernier, deux ministres (Innovation & Économie numérique, Transports) ont lancé les services "gares digitales" avec un WiFi gratuit et des services pour faciliter les déplacements des voyageurs.

    Cela semble un peu tard pour aider les vacanciers qui se ruent hors de la capitale et partout en France ce week-end, mais c'est pile-poil pour leur prochaine rentrée professionnelle en septembre. Car la gare, c'est aussi le principal lieu de transit professionnel pour aller et revenir du bureau, bien avant les vacances.

    Le plan prévoit 100 gares d’ici la fin de 2013 (sur 3000 gares en France dont 230 TGV). Fin 2012 la SNCF qui est à la manœuvre, avait d'ailleurs signé un accord avec Gowex, une entreprise leader dans le développement du WiFi dans les villes, pour équiper la Gare de Marseille Saint-Charles. On imagine que les retours ont été positifs ou que le gouvernement a été particulièrement convaincant pour la généralisation. Et les villes numériques ont aussi besoin de ce type d'infrastructures pour connecter leurs citoyens.

    Quoi qu'il en soit, ce plan "Gares digitales" permet d'imaginer une plus forte proportion de salariés équipés en WiFi, sans 3G. Une technologie beaucoup plus abordable que la 3G ou la 4G car sans abonnement. Et donc certainement d'augmenter la part de salariés arrivant avec leur propre équipement Wifi dans les entreprises... en descendant du train tout simplement.

    La vision de GreenSI c'est que les tablettes 7" vont fleurir dans les gares. Avec certainement beaucoup plus d'Android que d'iOS.

    iPadMini, Nexus ou Kindle Fire comme sur la photo, ou l'une des nombreuses tablettes qui sont lancées en 2013. Un format bien adapté à la lecture, une des activités du voyageur qui prend les transports en commun. Mieux que le smartphone en 5" en tout cas. Mais surtout le 7" est un segment du marché des tablettes très concurrentiel où les offres low-cost permettent d'acheter des produits déjà performants entre 130€ et 250€. Au moins deux moins cher qu'un Smartphone dernier cri ou qu'une tablette 10".

    Une fois chargé en Wifi, un article ou un livre se lit sans connexion, car ces tablettes stockent entre 16Go et 32Go en standard.

    De plus la SNCF a bien perçu la course à l'accès internet pendant le déplacement, dans les avions et bientôt dans les voitures. Une consultation est donc lancée pour la connexion internet dans les TGV. Les TER et Transilien présentent aussi un potentiel de clients réguliers qui sont peut-être même prêt à payer pour accéder au WiFi pendant leur trajet. Alors à quand l'abonnement Navigo (en Ile-de-France) avec option WiFi en plus?

    D'autre part la France a aussi un retard a rattraper pour l'utilisation des livres numériques (0,5%). Un retard qui s'explique plus par un "manque d'enthousiasme" des grands acteurs du secteur, par une offre moins riche et plus chère que dans d'autres pays: 7% en Grande-Bretagne ou 20% aux États-Unis.

    Et quand on explique que le Français refuserait de lire en numérique et préfère le papier, GreeSI se demande pourquoi on ne communique par pour lui expliquer les avantages du numérique (moins de papier, d'encre, de diesel pour distribuer....). Après tout on apprend bien aux jeunes à fumer avec du marketing et de la communication. Ceci pour dire qu'il y a certainement un potentiel de développement de ces liseuses et que les tablettes 7" vont y contribuer et certainement remplacer les premières liseuses. Des alliances sont en train de se former pour résister comme Booken qui vise l'enseigne Relay (avec la femeture de Virgin)... justement très présente dans les gares.

    Le développement du Wifi en gare, et demain dans les trains, pourrait donc booster l'équipement des français avec des appareils sans 3G qu'il pourront aussi utiliser chez eux avec leur Box. 

    La question de GreenSI est :
    que va faire le salarié qui arrive dans l'entreprise avec sa tablette WiFi ?

    A priori il pourrait demander de la raccorder aussi au réseau de l'entreprise.

    C'est donc peut-être le moment de reposer sur la table les règles et les possibilités de raccordement WiFi au réseau de l'entreprise.

    Sur le plan technique, mais surtout sur le plan du management, pour définir les usages autorisés ou pas. Mais c'est aussi l'opportunité de développer l'accès à l'intranet ou aux outils de dialogues internes, pour ceux qui n'ont pas de poste de travail fourni par l'entreprise. Préparons-nous à cette arrivée...

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    Sujet: BYOD Tablette tactile Smartphone Smart grid

    A propos de

    Passionné de technologies et d'innovation, Frédéric Charles est responsable de la stratégie et de la gouvernance du SI dans un grand groupe. Il analyse la transformation des systèmes d'information qui préfigure l'entreprise et la ville numérique de demain.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Apple dépose la marque iWatch à travers le monde

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2013-07-02T07:53:08+02:00" itemprop="datePublished">02.07.2013 à 07h53</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-07-02T09:21:45+02:00" itemprop="dateModified">02.07.2013 à 09h21</time>

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    <figure class="illustration_haut"> La presse spécialisée et des analystes prêtent depuis plusieurs mois à Apple l'intention de lancer une "iWatch" pour élargir sa gamme de produits. </figure>

    Apple a déposé une demande d'enregistrement de la marque iWatch au Japon, à Taïwan, au Mexique, en Russie, une démarche qui alimente les spéculations sur le développement par le groupe d'une montre multifonctionnelle compagne d'un smartphone.

    La demande d'enregistrement de marque a été déposée le 3 juin et publiée le 27 juin sur le site de l'office japonais des brevets dans la catégorie des accessoires informatiques. "Cette requête est en cours d'examen aux fins d'approbation, une procédure qui requiert en général environ quatre à cinq mois", a expliqué un fonctionnaire de l'organisme concerné. Tim Cook, le PDG d'Apple, a déclaré en juin que de tels appareils portables méritaient d'être étudiés. Le New York Times avait rapporté en février qu'Apple procédait à des tests en vue du lancement d'une montre-bracelet équipée d'iOS, le système d'exploitation de l'iPhone et de l'iPad.


     

    PLUSIEURS COMPAGNIES SUR LE COUP

    Qu'il s'agisse du spécialiste nippon des montres numériques, Casio, de mastodontes de l'électronique comme le sud-coréen Samsung ou encore de géants de l'informatique comme les américains Google et Microsoft, plusieurs industriels développent actuellement des montres intelligentes englobant des fonctions proches de celles des smartphones et capables de communiquer avec ces derniers.

    Mais beaucoup attendent avec impatience une version Apple, hypothétique objet sur lequel courent de nombreuses rumeurs.

    Sony, a pour sa part dévoilé la semaine dernière la deuxième version de sa SmartWatch, montre étanche à écran tactile qui dialogue avec les smartphones sous système d'exploitation Android, de Google, pour recevoir les alertes des appels téléphoniques, consulter son agenda ou ses courriels, lire des mises à jour de réseaux sociaux ou encore écouter de la musique. Samsung travaille au développement d'un appareil comparable à une montre-bracelet, a-t-on appris de source proche du dossier.

    </article>

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