• 25 mai 2012 - 10H50  

    Santé : La sclérose en plaques
     

    La sclérose en plaques (SEP) est une altération du système nerveux central. Elle se caractérise par la destruction progressive de la myéline, la gaine protectrice des nerfs du cerveau et de la moelle épinière. Cette dégradation provoque alors des sortes de "courts circuits" qui entravent le passage de l'influx nerveux. Elle touche environ 80.000 personnes en France. La Journée mondiale de la sclérose en plaques aura lieu le 30 mai prochain.

     
    La sclérose en plaques (SEP) est une altération du système nerveux central. Elle se caractérise par la destruction progressive de la myéline, la gaine protectrice des nerfs du cerveau et de la moelle épinière. Cette dégradation provoque alors des sortes de "courts circuits" qui entravent le passage de l'influx nerveux. Elle touche environ 80.000 personnes en France. La Journée mondiale de la sclérose en plaques aura lieu le 30 mai prochain.

    AFP - La sclérose en plaques (SEP) est une altération du système nerveux central. Elle se caractérise par la destruction progressive de la myéline, la gaine protectrice des nerfs du cerveau et de la moelle épinière ce qui entrave le passage de l'influx nerveux. La Journée mondiale de la SEP aura lieu le 30 mai.


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  • 28 mai 2012 - 18H18  

    Banques européennes: les objectifs de recapitalisation inchangés malgré le contexte en zone euro
     

    Les plans de recapitalisation des banques européennes, définis en décembre à l'échelle de l'UE, se poursuivent avec des objectifs inchangés malgré la détérioration de la situation dans la zone euro

     
    Les plans de recapitalisation des banques européennes, définis en décembre à l'échelle de l'UE, se poursuivent avec des objectifs inchangés malgré la détérioration de la situation dans la zone euro

    AFP - Les plans de recapitalisation des banques européennes, définis en décembre à l'échelle de l'UE, se poursuivent avec des objectifs inchangés malgré la détérioration de la situation dans la zone euro, a-t-on appris lundi auprès de l'Autorité bancaire européenne (EBA).

    "L'exercice de recapitalisation se poursuit. La recommandation adoptée par l'EBA le 8 décembre dernier et la date limite du 30 juin 2012 pour atteindre les objectifs fixés restent inchangées", a affirmé un porte-parole du régulateur européen interrogé par l'AFP.

    "L'EBA reste en contact étroit avec les superviseurs nationaux afin de s'assurer de la bonne mise en oeuvre des plans de recapitalisation et pour suivre les derniers développements dans le secteur bancaire européen", a-t-il ajouté.

    L'EBA avait fixé en décembre à 114,7 milliards d'euros les besoins en recapitalisation des banques européennes. L'objectif pour les 30 établissements concernés est de porter à 9% le ratio de leurs fonds propres "durs" avant la fin juin 2012.

    La situation a toutefois fortement évolué depuis cette date, avec l'aggravation de la crise en Grèce et les récentes difficultés du secteur bancaire espagnol.

    Bankia, la quatrième banque espagnole, a ainsi affirmé vendredi avoir besoin de 19 milliards supplémentaires, soit un total de 23,5 milliards d'euros en ajoutant une aide publique annoncée le 9 mai, pour assurer son sauvetage par l'Etat.

    L'EBA avait estimé en décembre les besoins de recapitalisation de Bankia à 1,33 milliard d'euros.

    Le décalage entre les deux chiffres peut notamment s'expliquer par le fait que l'Autorité européenne avait avant tout évalué l'exposition des banques testées à la dette souveraine dans la zone euro.

    Or, depuis, le gouvernement espagnol a exigé des banques du pays qu'elles fassent des provisions supplémentaires pour tenir compte de leurs actifs risqués dans l'immobilier, un secteur où Bankia est particulièrement exposée.

    Interrogé sur ce cas précis, le porte-parole a répondu que l'EBA ne faisait pas de commentaire "sur des cas individuels".


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  • 28 mai 2012

    LET’S GO TO THE MALL – Une Saoudienne tient tête à la police religieuse

    La police religieuse a demandé à la Saoudienne de quitter le centre commercial parce qu'elle portait du vernis à ongles. Photo Fahad Shadeed/Reuters

    Dernier ramdam de la Toile : une Saoudienne n'a pas hésité à tenir tête à la police religieuse qui patrouillait dans un centre commercial, comme en témoigne la vidéo qu'elle a postée sur YouTube.

    VIDEO

    La vidéo montre des membres de la police religieuse prenant à partie une femme et lui demandant de sortir d'un centre commercial de Ryad, en raison de son vernis à ongle, et la voix de la femme répondant violemment. "Je ne partirai pas. Je veux savoir ce que tu peux me faire. (...) Le gouvernement a interdit vos patrouilles et votre rôle est uniquement de conseiller les gens", hurle la femme à l'adresse du chef de la patrouille.

    "Vous n'êtes pas responsable de moi, et le fait que je mette du vernis à ongle ne vous concerne pas", crie-t-elle dans la vidéo de trois minutes et demie, alors qu'habituellement les gens ne discutent pas avec les membres de cette police, crainte par la population.

    Des avis partagés

    Près de 1,150 million de personnes ont déjà visionné la vidéo en quelques jours, laquelle a suscité une vive polémique. La vidéo a provoqué quelque 7 000 commentaires négatifs de personnes jugeant l'attitude de la femme "éhontée", alors qu'environ 1 500 l'ont soutenue.

    Reconnaissables à leur barbe et leur robe s'arrêtant au-dessus de la cheville, les membres de la police religieuse sont chargés de veiller au respect de la morale islamique. Ils patrouillent souvent dans les centres commerciaux et autres lieux publics à la recherche de femmes qui ne sont pas dûment voilées, de couples non mariés ou de magasins qui ne ferment pas à l'heure de la prière.

    Mais ils ont adopté un profil bas depuis la nomination, en janvier, d'un modéré, cheikh Abdel Latif ben Abdel Aziz Al-Cheikh, à la tête de cette puissante instance. Ce nouveau chef a décidé de renoncer à la contribution de "volontaires", souvent accusés d'abus et de violences, et de mettre fin à l'utilisation par cet organisme de voitures banalisées lors de patrouilles. Cheikh Al-Cheikh est connu pour ses positions modérées concernant la mixité, qu'il ne prohibe pas lorsqu'elle n'enfreint pas les règles islamiques, alors que le royaume impose une stricte ségrégation des sexes.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Quarante sites antiques découverts en Irak

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2012-05-28T19:35:02+02:00" itemprop="datePublished">28.05.2012 à 19h35</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-05-28T19:35:02+02:00" itemprop="dateModified">28.05.2012 à 19h35</time>

     
    <figure class="illustration_haut"> Quarante sites antiques des périodes sumérienne, akkadienne et babylonienne, allant de 6 000 à 1 000 ans avant Jésus-Christ, ont été découvert dans le sud de l'Irak. </figure>

    Quarante sites des périodes sumérienne, akkadienne et babylonienne, allant de 6 000 à 1 000 ans avant Jésus-Christ, ont été découverts dans le sud de l'Irak par des équipes d'archéologues, a annoncé, lundi 28 mai, Amer Al-Zaidi, qui dirige l'inspection des antiquités dans la province de Dhi Qar.

    Les sites, qui n'ont pas encore été fouillés dans leur totalité, sont situés dans les zones d'Al-Chatra, d'Al-Diwaya, d'Al-Rifai, d'Al-Nasr et d'Al-Fajr, dans la province de Dhi Qar. Ces nouvelles découvertes portent à douze cent quarante le nombre de sites archéologiques de cette province, la plus dotée du pays, a-t-il ajouté.

    Depuis l'invasion américaine de 2003 et la chute de Saddam Hussein, la recherche archéologique est loin de figurer parmi les priorités du gouvernement en dépit des douze mille sites recensés dans le pays.

    En 2006 et 2007, l'Irak a été déchiré par de violents combats confessionnels qui ont fait des dizaines de milliers de morts. L'intensité de ces violences a nettement diminué depuis, mais les tensions restent fortes et les morts encore nombreux.

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  • 28 mai 2012 - 18H18  

     

    Banques européennes: les objectifs de recapitalisation inchangés malgré le contexte en zone euro
     

    Les plans de recapitalisation des banques européennes, définis en décembre à l'échelle de l'UE, se poursuivent avec des objectifs inchangés malgré la détérioration de la situation dans la zone euro

     
    Les plans de recapitalisation des banques européennes, définis en décembre à l'échelle de l'UE, se poursuivent avec des objectifs inchangés malgré la détérioration de la situation dans la zone euro

    AFP - Les plans de recapitalisation des banques européennes, définis en décembre à l'échelle de l'UE, se poursuivent avec des objectifs inchangés malgré la détérioration de la situation dans la zone euro, a-t-on appris lundi auprès de l'Autorité bancaire européenne (EBA).

    "L'exercice de recapitalisation se poursuit. La recommandation adoptée par l'EBA le 8 décembre dernier et la date limite du 30 juin 2012 pour atteindre les objectifs fixés restent inchangées", a affirmé un porte-parole du régulateur européen interrogé par l'AFP.

    "L'EBA reste en contact étroit avec les superviseurs nationaux afin de s'assurer de la bonne mise en oeuvre des plans de recapitalisation et pour suivre les derniers développements dans le secteur bancaire européen", a-t-il ajouté.

    L'EBA avait fixé en décembre à 114,7 milliards d'euros les besoins en recapitalisation des banques européennes. L'objectif pour les 30 établissements concernés est de porter à 9% le ratio de leurs fonds propres "durs" avant la fin juin 2012.

    La situation a toutefois fortement évolué depuis cette date, avec l'aggravation de la crise en Grèce et les récentes difficultés du secteur bancaire espagnol.

    Bankia, la quatrième banque espagnole, a ainsi affirmé vendredi avoir besoin de 19 milliards supplémentaires, soit un total de 23,5 milliards d'euros en ajoutant une aide publique annoncée le 9 mai, pour assurer son sauvetage par l'Etat.

    L'EBA avait estimé en décembre les besoins de recapitalisation de Bankia à 1,33 milliard d'euros.

    Le décalage entre les deux chiffres peut notamment s'expliquer par le fait que l'Autorité européenne avait avant tout évalué l'exposition des banques testées à la dette souveraine dans la zone euro.

    Or, depuis, le gouvernement espagnol a exigé des banques du pays qu'elles fassent des provisions supplémentaires pour tenir compte de leurs actifs risqués dans l'immobilier, un secteur où Bankia est particulièrement exposée.

    Interrogé sur ce cas précis, le porte-parole a répondu que l'EBA ne faisait pas de commentaire "sur des cas individuels".


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