• Claude Sérillon à l'Elysée

    LE MONDE | 03.01.2013 à 11h41 • Mis à jour le 03.01.2013 à 19h56 lien

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    Claude Sérillon à l'Elysée, lors de la cérémonie d'investiture de François Hollande, le 15 mai 2012.

    Annoncée depuis plusieurs semaines, l'arrivée de Claude Sérillon dans l'équipe du président de la République est désormais officielle. L'ancien présentateur du JT de France2 et de TF1 assiste jeudi 3 janvier à 8h30 à sa première réunion dans le bureau du secrétaire général de l'Elysée.

    L'arrêté le nommant "conseiller" (chargé de la communication, de la stratégie et de la coordination avec Matignon) est publié le même jour au Journal officiel, précise l'Elysée.

    Claude Sérillon, 62 ans, travaillera avec Aquilino Morelle, conseiller politique du chef de l'Etat, ainsi qu'avec Christian Gravel et Claudine Ripert-Landler, chargés de la communication.

    Proche de François Hollande, l'homme de télévision a travaillé de façon officieuse pour le candidat pendant la présidentielle, notamment dans la préparation du débat d'entre-deux-tours. Depuis l'élection, il a aidé à préparer la conférence de presse tenue le 13 novembre 2012 par le président et, lundi 31 décembre, l'allocution des vœux aux Français, dans laquelle M. Hollande a cherché à montrer une part d'optimisme.

    Dans cette vidéo du 26 août 1999, François Hollande, alors premier secrétaire du Parti socialiste, répond aux questions de Claude Sérillon lors du 20 heures de France 2 :

     


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Emploi, compétitivité, jeunesse, social... la feuille de route du premier ministre

    LE MONDE | <time datetime="2013-01-03T11:29:41+01:00" itemprop="datePublished">03.01.2013 à 11h29</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-01-03T12:34:24+01:00" itemprop="dateModified">03.01.2013 à 12h34</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Jean-Marc Ayrault et son gouvernement, jeudi 3 janvier, à l'Elysée. </figure>

    Il s'était déjà prêté à l'exercice le 22 août 2012, lors du premier conseil des ministres qui avait suivi les vacances d'été. Jeudi 3 janvier, Jean-Marc Ayrault a de nouveau saisi l'occasion de la rentrée pour présenter, lors du premier conseil des ministres de l'année 2013, le "programme de travail du gouvernement" pour les prochains mois.

    • Emploi

    Au cœur de celui-ci figure la "bataille pour l'emploi", érigée au rang de "première priorité". Deux lois sont prévues. L'une concerne le "contrat de génération", dont l'"objectif final" est "500 000 embauches de jeunes en CDI et le maintien dans l'emploi de 500 000 seniors". Présenté en conseil des ministres le 12 décembre 2012, le projet de loi sera discuté "dès la rentrée parlementaire", fixée à la semaine du 14 janvier.

    L'autre loi concerne la "sécurisation de l'emploi". Dès la fin de la négociation entre les partenaires sociaux, prévue le 11 janvier et dont le premier ministre a redit jeudi son souhait qu'elle débouche sur un "accord ambitieux", le gouvernement "préparera un projet de loi". "Les dispositions législatives permettant aux salariés de siéger dans les conseils d'administration, de mettre fin à certains comportements en matière de rémunérations et de protéger les entreprises contre les OPA hostiles seront présentées en conseil des ministres avant la fin du premier trimestre", a indiqué M. Ayrault.

    • Compétitivité

    Pour "renforcer l'économie française", sans quoi cette "bataille pour l'emploi" ne saurait être gagnée, le premier ministre a insisté sur deux points. Le premier concerne la mise en oeuvre du "pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi" adopté le 6 novembre 2012. Le début de l'année sera consacré à la "mise en place d'une politique de filières", pour laquelle la conférence nationale de l'industrie sera "rénovée", ainsi qu'au lancement d'une "concertation préalable à la loi d'avenir sur l'agriculture, l'agroalimentaire et la forêt".

    • Financement de l'économie

    Le second point concerne le financement de l'économie. Parallèlement à l'installation de la Banque publique d'investissement, qui tiendra son premier conseil d'administration "dans les prochaines semaines", le projet de loi sur la réforme bancaire, présenté en conseil des ministres le 19 décembre 2012, sera débattu au Parlement "dès le mois de janvier", a indiqué M. Ayrault.

    • Jeunesse

    Après l'emploi, la "préparation de l'avenir" constitue le deuxième axe de la feuille de route gouvernementale des prochains mois. S'y rattache d'abord ce qui concerne la jeunesse, thème central de la campagne présidentielle de François Hollande. Deux projets de loi seront présentés en conseil des ministres : l'un sur la "refondation de l'école de la République", le 23 janvier ; l'autre sur l'enseignement supérieur, en février. En outre, M. Ayrault réunira un "comité interministériel de la jeunesse" le 21 février.

    • Environnement

    Concernant la "stratégie d'investissements à l'horizon 2020", second volet du chapitre consacré à l'"avenir" dans la feuille de route du gouvernement, le premier ministre a confirmé le calendrier de la "transition écologique" : poursuite du débat sur l'énergie et élaboration d'une loi-cadre sur la biodiversité au premier semestre, et organisation d'"états généraux sur la modernisation du droit de l'environnement" en mai.

    • Pouvoir d'achat, logement

    Troisième grand axe du programme gouvernemental des prochains mois : l'"amélioration de la vie quotidienne". En faveur du pouvoir d'achat, le premier ministre a évoqué trois mesures : un décret modifiant les règles de revalorisation du smic, qui "sera présenté avant fin janvier" ; l'adoption d'un "plan pluriannuel contre la pauvreté pour l'inclusion sociale", lors d'un comité interministériel prévu le 21 janvier ; enfin un "projet de loi relatif à la protection des consommateurs", présenté au conseil des ministres "au deuxième semestre".

    Concernant le logement, M. Ayrault a fixé au mois de juin la présentation d'un projet de loi destiné à "lever de nombreux freins à la construction, de mieux réguler les loyers de lutter plus efficacement contre l'habitat indigne".

    • Protection sociale

    Au sujet de la protection sociale, le premier ministre n'a guère donné de calendrier précis, au-delà de la remise, partir du printemps", des travaux du Haut Conseil chargé de son financement. Une "concertation" est simplement évoquée au sujet de la politique familiale ou des retraites, sans plus de détails. Aucune date n'est fixée non plus pour la future "loi d'adaptation de la société au vieillissement". Sur le handicap, un comité interministériel est prévu dans le courant du premier semestre.

    • Etat

    Au chapitre de l'"action publique", quatrième volet de la feuille de route, M. Ayrault a rappelé à chaque ministre qu'il devait "élaborer au premier trimestre 2013 un programme couvrant la période 2013-2015 pour simplifier l'organisation et le fonctionnement des administrations". C'est en mars, a-t-il par ailleurs indiqué, que sera présenté le "projet de décentralisation", tandis qu'un comité interministériel est prévu en février pour "redonner un nouveau souffle à la politique de la ville".

    • Institutions et justice

    Dernier axe du programme gouvernemental des prochains mois : "les libertés et les institutions". Pour la justice, "2013 sera une année de grandes réformes", a promis M. Ayrault, qui a évoqué la réforme constitutionnelle du conseil supérieur de la magistrature, la présentation d'un projet de loi sur les relations entre la chancellerie et les parquets, en février, et un autre concernant la lutte contre la récidive, en juin.

    Dans le prolongement des travaux de la commission Jospin, le gouvernement présentera au premier trimestre "les dispositions relatives au non-cumul des mandats ainsi qu'un projet de loi relatif au mode de scrutin des élections sénatoriales", a indiqué le premier ministre.

    • Société

    M. Ayrault a aussi précisé quelques éléments de calendrier. Sur le mariage et l'adoption pour tous les couples, les débats au Parlement, comme prévu, "débuteront fin janvier", tandis qu'un projet de loi sur la famille, qui reconnaîtra "la diversité des modèles familiaux", sera présenté en mars. En mai sera présenté un projet de loi-cadre relatif au droit des femmes ; et en juin, un autre relatif à la "fin de vie", dans le sillage du rapport du professeur Didier Sicard remis à M. Hollande avant Noël.

    • Transport

    Enfin, le premier ministre a annoncé qu'il allait proposer un "nouveau calendrier de réalisation du réseau des transports du Grand Paris", alors que de nombreux élus d'Ile-de-France se sont inquiétés, en décembre, du financement et des délais de réalisation du projet. "Le schéma national des infrastructures de transports, qui sera revu ce semestre, fixera le nouveau calendrier de réalisation des grands projet", a-t-il déclaré.

    Lire aussi : Rentrée tendue pour le gouvernement (abonnés)

    </article> Un mois de vœux et de déplacements en province pour le président

     

    L'agenda du président de la République pour le mois de janvier sera, comme c'est la tradition, jalonné par la présentation des vœux : au gouvernement, jeudi 3 janvier ; au Conseil constitutionnel, lundi 7 ; aux corps constitués et aux autorités religieuses, mardi 8; aux armées, le mercredi 9 janvier à Orléans; au corps diplomatique, jeudi 10; au monde de la culture, samedi 12 janvier à Marseille; aux acteurs de l'économie et de l'emploi, lundi 14 janvier ; au bureau de l'Assemblée nationale, au Conseil de Paris ainsi qu'à la presse, mercredi 16 ; à la jeunesse et aux associations, jeudi 17 janvier.

     

    François Hollande envisage aussi de se rendre samedi 19 janvier à Tulle, ville dont il fut maire de 2001 à 2008, pour présenter ses vœux aux Corréziens.

    Ce programme sera entrecoupé de déplacements en province, que le chef de l'Etat souhaite répéter désormais chaque semaine. Le premier aura lieu samedi 5 janvier à Louviers (Eure), où il visitera une exposition consacrée à Pierre Mendès France et rencontrera des élus; un autre le mènera à Bordeaux, jeudi 10 janvier.

     

    Enfin, deux déplacements à l'étranger sont prévus: le mardi 15 janvier, le chef de l'Etat doit se rendre à Abou Dhabi pour le "World Future Energy Summit", ainsi qu'à Dubaï ; le mardi 22 janvier, M. Hollande ira à Berlin pour le cinquantième anniversaire du traité de l'Elysée. Son déplacement en Argentine et au Chili, prévu fin janvier, pourrait en revanche être annulé.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Les otages du Sahel sont "vivants et en bonne santé" selon Fabius

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-01-03T20:40:53+01:00" itemprop="datePublished">03.01.2013 à 20h40</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-01-03T20:43:25+01:00" itemprop="dateModified">03.01.2013 à 20h43</time>

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    <figure class="illustration_haut">

    Image d'un otage français au Sahel extraite d'une vidéo diffusée par Sahara Médias, une agence de presse en ligne mauritanienne, le 10 août.

    </figure>

    Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a reçu jeudi 3 janvier les familles de quatre otages français enlevés il y a plus de deux ans dans le nord du Niger et a réaffirmé dans un communiqué qu'ils étaient "vivants et en bonne santé" malgré des conditions de détention "très dures".

    Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Ferret, tous collaborateurs du groupe nucléaire public français Areva et de son sous-traitant Satom (Vinci) enlevés le 16 septembre 2010 par Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit, sont "correctement nourris et [peuvent] avoir accès à un médecin" selon le ministre, ajoutant : "Nous avons à nouveau pu faire passer aux otages des produits d'hygiène et des médicaments. Les courriers préparés par les familles leur ont bien été transmis comme les fois précédentes."

    Laurent Fabius, qui recevra le 10 janvier les familles des cinq autres otages détenus en Afrique, a également fait part de la "détermination" des autorités et des entreprises françaises. "Beaucoup de ces informations sont confidentielles et n'ont donc pas à être rendues publiques. Aussi frustrant que cela puisse être, le traitement des affaires d'enlèvement exige en effet la plus grande discrétion, dans un souci d'efficacité", a-t-il rappelé, assurant que le centre de crise du ministère des affaires étrangères était entièrement mobilisé et disponible pour recevoir les familles.

    Le mois dernier, AQMI a accusé le gouvernement français de bloquer les négociations, affirmant que les otages étaient "jusqu'à présent vivants". Le lendemain, le 26 décembre, Paris a exigé "la libération sains et saufs" des Français. Neuf sont actuellement retenus en otages à l'étranger, tous sur le sol africain. Parmi eux, au moins six sont aux mains d'AQMI.

    </article>

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  • 03 janvier 2013 - 21H51  lien

    Malala, la Pakistanaise blessée par des talibans, va être opérée du crâne

    La jeune militante pakistanaise pour le droit à l'éducation, Malala Yousafzai, qui a survécu à un attentat des talibans, subira prochainement une opération du crâne au Royaume-Uni où elle est soignée, a annoncé jeudi l'ambassade pakistanaise à Londres.

    La jeune militante pakistanaise pour le droit à l'éducation, Malala Yousafzai, qui a survécu à un attentat des talibans, subira prochainement une opération du crâne au Royaume-Uni où elle est soignée, a annoncé jeudi l'ambassade pakistanaise à Londres.

    AFP - La jeune militante pakistanaise pour le droit à l'éducation, Malala Yousafzai, qui a survécu à un attentat des talibans, subira prochainement une opération du crâne au Royaume-Uni où elle est soignée, a annoncé jeudi l'ambassade pakistanaise à Londres.

    Malala Yousafzai, 15 ans, sera opérée pour une "reconstruction du crâne (...) fin janvier ou début février dans le cadre de son rétablissement", selon le communiqué de l'ambassade.

    Elle "continue à faire des progrès dans son traitement", a précisé dans le communiqué le docteur Dave Rosser de l'hopital Queen Elizabeth de Birmingham (centre de l'Angleterre), où elle est soignée.

    Malala Yousafzai avait été atteinte d'une balle à la tête lors d'une attaque des talibans contre son autocar scolaire le 9 octobre, dans la vallée de Swat (nord-ouest du Pakistan). Les talibans voulaient la punir pour son engagement en faveur du droit des jeunes filles à aller à l'école.

    Elle a miraculeusement survécu à l'attaque et a été transférée au Royaume-Uni pour être soignée.

    Par ailleurs, le père de l'adolescente, Ziauddin Yousafzai, a obtenu un emploi au consulat pakistanais de Birmingham, où il sera chargé d'éducation, a rapporté la presse britannique.


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  • Dernière modification : 01/01/2013 lien

    La Légion d'honneur pour les militaires tués par Mohamed Merah

    La Légion d'honneur pour les militaires tués par Mohamed Merah
    © AFP

    Les trois militaires abattus par Mohamed Merah, ainsi que les sportifs médaillés aux Jeux olympiques et paralympiques de Londres ont été promus à l'occasion du Nouvel An à l'ordre national de la Légion d'honneur ou du mérite.

    Par Dépêche (texte)
     

    La promotion du Nouvel An de la Légion d'honneur décore à titre posthume les trois militaires tués par Mohamed Merah et récompense les sportifs médaillés aux jeux Olympiques et Paralympiques.

    La traditionnelle promotion civile de la Légion d'honneur, parue mardi au Journal officiel, comprend 681 personnes.

    Parmi les personnalités récompensées, figurent l'ancien président d'Emmaüs et ex-Haut commissaire aux solidarités actives Martin Hirsch, le réalisateur et comédien Bruno Podalydès, l'acteur Jean-Pierre Léaud et le dessinateur Jacques Tardi, tous les quatre faits chevaliers.

    Dans le domaine économique, Yvon Gattaz, ex-patron du CNPF (ancien Medef), est élevé à la dignité de grand'croix, et l'ancien PDG de Renault Louis Schweitzer à celle de grand officier.

    Dans l'enseignement et la recherche, les scientifiques sont à l'honneur avec le mathématicien Jean-Pierre Serre, élevé à la dignité de grand'croix, et le physicien Prix Nobel 2012 Serge Haroche, promu commandeur.

    Dans la fonction publique, le préfet de Lorraine Nacer Meddah, ancien secrétaire général de la campagne de François Hollande, est fait chevalier.

    Dans l'univers de la santé, du social ou de l'humanitaire, sont notamment faites chevaliers Danièle Langloys, présidente d'Autisme France et Marie-Thérèse Labelle, dite soeur Bénédicte, responsable de la congrégation religieuse en charge du soutien aux détenus du Centre de rétention administrative de Paris.

    Par ailleurs, une promotion spéciale récompense 87 sportifs médaillés aux jeux Olympiques et Paralympiques.

    Sont notamment faits chevaliers les nageurs Camille Muffat (or, 400 m libre), Yannick Agnel (or, 200 m libre) Florent Manaudou (or, 50 m libre) ainsi que le judoka Teddy Riner (or, plus de 100 kg).

    Le champion de canoë-kayak Tony Estanguet, qui a reçu à Londres sa troisième médaille d'or en slalom canoë C1 (monoplace), est lui fait officier de la Légion d'honneur ainsi que l'athlète handisport Assia El Hannouni, double médaillée d'or à Londres en 200 et 400 mètres.

    Les sportifs recevant une médaille lors d'une première participation aux Jeux sont faits chevaliers de la Légion d'honneur pour l'or, et chevaliers de l'ordre du Mérite pour l'argent ou le bronze, rappelle le Journal Officiel.

    Les trois militaires tués en mars 2012 par Mohamed Merah ont été nommés chevaliers dans l'ordre de la Légion d'honneur par un décret paru mardi.

    Ces trois parachutistes - le caporal-chef Abel Chennouf, le caporal Mohamed Legouad et l'adjudant Imad Ibn Ziaten - avaient été les trois premières victimes de Mohamed Merah. Celui-ci avait ensuite abattu trois enfants et un enseignant le 19 mars dans une école juive à Toulouse avant de tomber sous les balles du Raid le 22 mars.

    Le gouvernement avait adopté fin 2012 un décret modifiant le Code de la Légion d'honneur pour permettre l'attribution de cette distinction à titre posthume.

    "Nous sommes maintenant pleinement satisfaits, c'est un très beau cadeau de début d'année après les très, très mauvais souvenirs de 2012", a déclaré à l'AFP Albert Chennouf, père d'un des soldats tués, qui avait longtemps réclamé un geste de reconnaissance symbolique de l'Etat en leur honneur.

    "L'essentiel a été fait le 27 novembre quand l'Etat a reconnu à ces enfants d'être +Morts pour le service de la Nation+, mais avec la Légion d'honneur, l'essai est transformé", a-t-il souligné.

    On note encore que Fred Moore, délégué national du Conseil national des communes "Compagnon de la Libération", a été élevé à la dignité de grand'croix et que le journaliste et écrivain Jean Daniel est élevé à la dignité de grand officier.

    Pascal Lamy, directeur général de l'OMC, l'avocate Gisèle Halimi, l'historien de l'éducation Antoine Prost, Paul Bouchet, membre du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées ou encore Loïc Le Bastard, secrétaire général du Conseil national des communes "Compagnon de la Libération", ont été promus commandeurs.

    AFP


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