• <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Un versement de 500 000 euros découvert

    sur un compte de Claude Guéant

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-04-29T20:02:15+02:00" itemprop="datePublished">29.04.2013 à 20h02</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-04-29T20:57:30+02:00" itemprop="dateModified">29.04.2013 à 20h57</time>

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    <figure class="illustration_haut">

    En 2007, Claude Guéant, alors secrétaire général de l'Elysée, avait accompagné l'ancien président Nicolas Sarkozy en Libye.

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    Des juges s'interrogent, selon Le Canard enchaîné à paraître mardi 30 avril, sur le versement de plus de 500 000 euros depuis l'étranger sur un compte de l'ex-ministre de l'intérieur Claude Guéant. Ce dernier a immédiatement démenti tout lien entre cet argent et un éventuel financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.

    L'hebdomadaire révèle que les enquêteurs ont découvert ces versements lors d'une perquisition en février dans le cadre de l'enquête, alors conduite par le parquet de Paris, sur les accusations de financement libyen de cette campagne. L'ex-ministre justifie ce demi-million d'euros par une vente de tableaux en 2008. "Il n'y a strictement aucun lien avec des financements libyens et je continue à contester de façon catégorique qu'il y ait eu des financements libyens de campagne ou de personnes", a déclaré à l'AFP l'ancien ministre de l'intérieur.

    Lire aussi : Nouvelles accusations sur un financement libyen de la campagne de Sarkozy

    M. Guéant a expliqué avoir cédé "un bien" acquis il y a "une vingtaine d'années", à savoir des œuvres du peintre hollandais Andries van Eertvelt. Il affirme pouvoir apporter la preuve de ces transactions : "Au moment des perquisitions j'ai dit, je l'ai fait inscrire au procès-verbal, que j'avais les justificatifs." "Je trouve tout à fait anormal que des éléments qui sont couverts par le secret de l'instruction sortent ainsi avant même d'avoir pu être examinés", a-t-il ajouté. Il a par ailleurs justifié l'origine des liquidités pour acquitter des factures par des "primes de cabinet dont j'avais bénéficié au ministère de l'intérieur quand j'y officiais". Selon lui, il s'agit de "petites sommes".

    Lire noe explications Sarkozy et la Libye : si vous n'avez rien suivi

    "NOMBREUX ET CONSÉQUENTS PAIEMENTS DE FACTURES EN LIQUIDE"

    Le Canard enchaîné, qui ajoute que les policiers ont par la même occasion repéré des traces de "nombreux et conséquents paiements de factures en liquide", établit un lien entre ces découvertes et la décision prise le 19 avril par le parquet de Paris d'ouvrir une information judiciaire. Contacté par l'AFP, le parquet n'a fait aucun commentaire.

    A l'origine de l'instruction, les déclarations de l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine, qui avait affirmé en décembre au juge Renaud van Ruymbeke détenir les preuves d'un financement de la campagne de M. Sarkozy par la Libye. L'information judiciaire a été ouverte pour "corruption active et passive", "trafic d'influence", "faux et usage de faux", "abus de biens sociaux", "blanchiment, complicité et recel de ces délits". Les juges Serge Tournaire et René Grouman ont été désignés. "J'imagine qu'ils vont m'entendre, a déclaré M. Guéant, désireux de (s')expliquer là-dessus".

    Lire : Deux juges vont enquêter sur un financement libyen de la campagne de Sarkozy (lien abonnés)

    </article>

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Italie : "Il est peu probable que ce gouvernement tienne cinq ans"

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-04-29T18:54:04+02:00" itemprop="datePublished">29.04.2013 à 18h54</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-04-29T18:58:22+02:00" itemprop="dateModified">29.04.2013 à 18h58</time>
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    Le gouvernement d'union conduit par Enrico Letta est "le produit de l'irruption de Beppe Grillo sur la scène publique", estime dans un chat Philippe Ridet, correspondant du "Monde" à Rome.

    Bruno : Qu'a dit Enrico Letta dans son discours de politique générale ? Le sent-on déjà coincé par les assurances qu'il doit donner aux deux camps qui vont le soutenir ?

    Dans son discours, M. Letta a d'abord privilégié les principes. Il a rappelé l'attachement de l'Italie à la construction européenne. Il a également rappelé les conditions dans lesquelles il a été désigné et le blocage politique qui avait précédé sa nomination. Il a rappelé également que son action s'inscrirait dans le programme dicté par les commissions de "sages" installées par le président de la République.

    Mais il est aussi entré un peu dans le détail de certaines mesures. Il a annoncé par exemple que la taxe très controversée sur la résidence principale que les Italiens devaient payer à partir de juin était "gelée" le temps de trouver une réforme fiscale globale.

    Lire aussi Letta : L'Italie se meurt à cause de la seule austérité

    Berlusconi tenait particulièrement à cœur ces deux points, et en avait fait les axes principaux de sa campagne. Il a annoncé des aides pour les entreprises, des défiscalisations pour l'emploi des jeunes. Il a annoncé qu'il renonçait à une augmentation de la TVA. Enfin, il s'est engagé à suivre de près les travaux des parlementaires sur la rénovation de la vie politique : diminution des coûts de la démocratie, réforme du Sénat et réforme du mode de scrutin. Pour reprendre sa formule, il s'est engagé à rendre "l'Italie meilleure".

    Gianni007 : Quelle politique va mener Letta ? Finalement, une alliance gauche-droite n'est-elle pas l'équivalent du gouvernement centriste précédent ?

    On peut avoir effectivement l'impression que l'Italie est revenue à la case départ avec un gouvernement soutenu par trois des principaux partis politiques, comme c'était le cas avec le gouvernement de Mario Monti. La différence tient cependant au fait que les membres de ce gouvernement sont des élus, des responsables politiques et non pas des experts et des techniciens, comme l'étaient les ministres de M. Monti.

    Leur légitimité et leur responsabilité n'en sont donc que plus grandes.

    Romain Martin : Quelle est selon vous l'espérance de vie de ce gouvernement ?

    Il est peu probable que ce gouvernement tienne cinq ans, sa durée théorique. Il tiendra tant que les partis qui le soutiennent y ont intérêt. Cependant, même si un retour aux urnes ferait l'affaire de la droite, actuellement majoritaire dans le pays selon les sondages, il est peu probable que les Italiens "pardonnent" à la formation qui s'exclura de ce pacte de solidarité et de ce gouvernement "de service".

    Les Italiens en ont assez de vingt années de disputes politiques entre anti et pro-Berlusconi, d'immobilisme, de réformes annoncées et jamais faites, d'irresponsabilité des élus.

    Emeline : Qu'a pu négocier Silvio Berlusconi en échange de son soutien au gouvernement Letta ?

    Daniel : Quel rôle réel va jouer Silvio Berlusconi dans cette nouvelle "majorité" ?

    Berlusconi, que l'on disait politiquement mort il y a dix-huit mois au moment de sa démission en novembre 2011, est revenu au premier plan de la scène politique grâce à sa campagne électorale très agressive et aux promesses folles qu'il a faites aux Italiens.

    Il est aujourd'hui avec son parti l'actionnaire de référence de la majorité. Il suffira qu'il dise ou stop ou encore pour décider de son sort. A l'heure actuelle, il soutient qu'il n'a rien demandé à M. Letta en échange de son vote de confiance. Poursuivi dans trois affaires au tribunal de Milan, on peut supposer qu'il ait demandé des garanties sur son sort judiciaire, mais la personnalité de la ministre de la justice, une préfète réputée neutre, ne permet pas de tirer de conclusion hâtive.

    Son attitude et celle de son parti dépendront fortement des éventuelles condamnations définitives qu'il pourrait recevoir.

    Regarder la chronologie L'ingouvernabilité, problème chronique de l'Italie

    Moona : Peut-on dire que l'irruption de Beppe Grillo et de son mouvement sur la scène publique va durablement modifier les pratiques politiques italiennes ou est-ce un feu de paille ?

    D'une certaine façon, et paradoxalement, le gouvernement Letta est le produit de l'irruption de Beppe Grillo sur la scène publique. Rappelons que ce dernier, en refusant la main tendue par le Parti démocrate, a obligé mécaniquement celui-ci à se tourner vers la droite. Mais le profil de ce gouvernement, rajeuni, féminisé, et assez professionnel, est aussi une réponse à une demande de renouvellement des pratiques et du personnel politique portée par le vote en faveur de M. Grillo.

    La permanence du Mouvement cinq étoiles dépendra largement du succès ou de l'échec du gouvernement de M. Letta, notamment pour ce qui concerne des réformes de la vie politique.

    Visiteur : Ces deux mois d'incertitude ont-ils poussé l'Italie à une introspection, ou bien le pays est-il habitué de ces phases de crise ?

    On dit beaucoup que les Italiens ont trop de passé pour avoir de la mémoire. Il est vrai qu'ils ont tendance à oublier très vite les épreuves par lesquelles ils sont passés. Si M. Letta va au bout des réformes qu'il s'est fixées, on pourra dire que pour une fois, l'Italie a fait mentir les clichés.

    Didier : Sans les ex-PCI (Parti communiste) et les ex-Alliance nationale (Fratelli d'Italia), le gouvernement ne ressuscite-t-il pas la défunte démocratie chrétienne ?

    Effectivement, il n'y a dans cette coalition aucun représentant du parti post-fasciste Alliance nationale, rebaptisé aujourd'hui "Frères d'Italie", qui a annoncé qu'il ne voterait pas la confiance. Et sur les neuf ministres de gauche, seuls deux d'entre eux ont fait leurs classes dans les rangs du Parti communiste italien qui, jusqu'à présent, a été un des centres de formation des élites politiques.

    M. Letta, tout comme son vice-président du conseil, Angelino Alfano, viennent tous deux des rangs de la défunte démocratie chrétienne, disparue dans la tempête de l'opération "Mains propres" au début des années 1990. D'autres ministres peuvent être eux aussi rattachés à cette tradition de la démocratie chrétienne. Nombreux sont ceux qui se disent ouvertement catholiques. D'une certaine façon, le gouvernement Letta symbolise une forme de restauration.

    Gérard: Le Parti démocrate ne risque-t-il pas l'implosion à soutenir un gouvernement centriste?

    Le Parti démocrate est le grand vaincu de cette période alors même qu'il est le premier parti d'Italie, certes de justesse. Selon les sondages, les électeurs n'étaient pas du tout favorables à une alliance avec la droite. Le parti va désormais préparer son congrès. D'ores et déjà, deux tendances se font jour. Matteo Renzi, le maire de Florence, voudrait ancrer le parti au centre sur le modèle du Parti démocrate américain.

    De son côté, Fabrizio Barca, ancien ministre de la cohésion territoriale de Mario Monti, voudrait l'entraîner davantage sur sa gauche pour y inclure les partisans de Nichi Vendola, le leader de Gauche écologie et liberté. Les règlements de compte ont déjà commencé. Le congrès, qui devrait se dérouler avant ou après les vacances d'été, devra trancher entre ces deux positions a priori antagonistes.

    Rym : Le compromis trouvé entre la droite et la gauche ne risque-t-il pas de renforcer les électeurs de Grillo dans l'idée que la "caste" politicienne est irrécupérable ?

    C'est le risque de ce gouvernement. Les 8,5 millions d'Italiens qui ont voté Beppe Grillo ne peuvent pas se reconnaître dans ce gouvernement. "Ils ont été chassés comme des chiens dans une église", a dit Beppe Grillo. Le défi de celui-ci sera de traduire cette amertume et cette colère sur le long terme, afin d'espérer augmenter son score lors d'un prochain scrutin. Mais en a-t-il les moyens ?

    Piotr : Le pays sort-il affaibli de ces deux mois d'incertitude ? On n'a pas vu les marchés financiers devenir plus menaçants qu'à l'ordinaire...

    La Confindustria, le Medef italien, a calculé que cette période de blocage avait coûté un point de PIB à l'Italie. Les marchés, il est vrai, ont démontré beaucoup de patience, comme s'ils avaient pour l'Italie plus de mansuétude que vis-à-vis de la Grèce, par exemple.

    Cela tient au fait que les fondamentaux de l'économie italienne restent solides malgré la crise et l'énormité de la dette du pays (2 000 milliards d'euros). Sans le poids du service de la dette, le déficit de l'Italie serait très largement en deçà des 3 % permis par les critères de Maastricht. Cela tient aussi au fait que les rendements de la dette italienne sont intéressants pour les marchés, alors que les incertitudes sur l'avenir de la péninsule sont plutôt faibles.

    Scipion : Pourrait-on assister à une instrumentalisation des positions anti-austérité, face à Merkel et Barroso, ce sujet étant un des rares points de convergence de cette nouvelle majorité ?

    Enrico Letta a très clairement situé son action dans le cadre européen. Il a rappelé que l'Italie serait fidèle à ses engagements d'austérité pris devant la Commission européenne, le FMI et la Banque centrale européenne. Mais il a aussi précisé que l'on peut "mourir de la rigueur". Et appelé l'Europe à lancer des politiques de croissance. Enfin, dès demain, M. Letta sera à Berlin pour rencontrer Angela Merkel, puis à Paris où il verra probablement François Hollande, et pour finir à Bruxelles où il rencontrera José Manuel Barroso. Une tournée des capitales on ne peut plus symbolique.

    Phyz : Ce qui s'est passé en Italie préfigure-t-il ce qui pourrait arriver dans le reste de l'Europe : des populistes si puissants qu'ils forcent droite et gauche à s'entendre ?

    Oui. Une fois encore, l'Italie démontre sa réputation d'être un laboratoire politique de l'Europe. Elle l'a été avec la naissance du parti anti-immigrés, la Ligue du Nord, elle l'est encore avec l'irruption du Mouvement cinq étoiles dont le fonctionnement et le succès sont regardés de très près par Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen.

    Partout en Europe, la gauche et la droite sont en crise sous la pression des populismes ou tout simplement de la crise économique. La coalition italienne est exactement ce que demande François Bayrou en France.

    </article>

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Mali : un sixième soldat français tué

    au combat

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-04-29T20:23:17+02:00" itemprop="datePublished">29.04.2013 à 20h23</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-04-29T21:28:06+02:00" itemprop="dateModified">29.04.2013 à 21h28</time>
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    <figure class="illustration_haut"> Patrouille de soldats français, au sud de la ville de Tessalit (nord du Mali), le 20 mars. </figure>

    Le président de la République a annoncé, lundi 29 avril au soir, la mort d'un soldat français dans l'extrême nord du Mali. Le ministère de la défense a annoncé qu'il s'agissait de Stéphane Duval, caporal-chef du premier régiment de parachutistes d'infanterie de marine de Bayonne.

    C'est le sixième soldat français tué dans le cadre de l'opération "Serval" lancée le 11 janvier au Mali. François Hollande a salué  "avec émotion la détermination et le courage des forces françaises engagées au Mali aux côtés des forces maliennes et africaines." 

    Selon le ministère de la défense, l'incident est intervenu "lors d'une opération de reconnaissance et de fouille conduite (...) entre Tin Zaouaten et Boughessa". "Un véhicule léger de type VPS a sauté sur un engin explosif, provoquant la mort d'un soldat français et blessant deux autres soldats sérieusement", dont le pronostic vital n'est toutefois pas engagé.

    RETRAIT MILITAIRE ET COUP DE FILET

    Lundi, les forces de sécurité maliennes ont arrêté une dizaine de personnes soupçonnées de préparer un attentat dans la capitale, Bamako, pour le compte du Mouvement de l'unicité et de djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). Ce coup de filet est le premier signe que les islamistes, repoussés en début d'année par les forces françaises et africaines, ont activé des cellules dans Bamako, indiquent des responsables maliens. Selon un officier de haut rang, le groupe était composé d'une quinzaine de personnes qui ont suivi un entraînement à Gao. Au moins huit d'entre elles ont été arrêtées à Bamako, bien plus au sud.

    Alors que le Parlement a autorisé, le 22 avril, le gouvernement à prolonger l'opération militaire française au Mali, la France est en train d'organiser son retrait militaire, où 12 600 casques bleus vont être déployés pour venir relayer les forces française et panafricaine. La France a toutefois annoncé que, sur ses 4 500 soldats engagés au Mali, un millier resteront dans le pays au-delà de 2013, pour soutenir en cas de besoin les forces de l'ONU.

    Lire aussi : Mali, victoire ou enlisement ?

    </article>

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  • <header class="cf" id="headline">

    Météo Neige : conditions toujours très délicates

    dans la montagne catalane

    Le 27 avril à 10h55 par F. B. | Mis à jour le 28 avril    lien

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      Ce dimanche à Fontpédrouse

      <figcaption>Ce dimanche à Fontpédrouse(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche à Fontpédrouse

      <figcaption>Ce dimanche à Fontpédrouse(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa

      <figcaption>Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche matin. Une image envoyée par une internaute dans le col de Puymorens.

      <figcaption>Ce dimanche matin. Une image envoyée par une internaute dans le col de Puymorens.(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche matin. Une image envoyée par une internaute dans le col de Puymorens.

      <figcaption>Ce dimanche matin. Une image envoyée par une internaute dans le col de Puymorens.(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche matin. Une image envoyée par une internaute dans le col de Puymorens.

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      Ce dimanche matin. Une image envoyée par une internaute dans le col de Puymorens.

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      Ce dimanche matin. Une image envoyée par une internaute dans le col de Puymorens.

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      Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa

      <figcaption>Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa

      <figcaption>Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa

      <figcaption>Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa

      <figcaption>Ce dimanche dans la descente du Pas de la Casa(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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      La prudence reste de mise pour les déplacements en Cerdagne et Capcir ce dimanche matin.

      <figcaption>La prudence reste de mise pour les déplacements en Cerdagne et Capcir ce dimanche matin.(Photo par DIRSO)</figcaption> </figure>
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      Ce samedi matin d'avril à Egat

      <figcaption>Ce samedi matin d'avril à Egat(Photo par Annabelle Blanco)</figcaption> </figure>
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      Samedi à Saillagouse

      <figcaption>Samedi à Saillagouse(Photo par Frédérique Berlic)</figcaption> </figure>
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      Samedi dans le col du Puymorens.

      <figcaption>Samedi dans le col du Puymorens.(Photo par DIRSO)</figcaption> </figure>
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      Ce samedi matin d'avril à Egat

      <figcaption>Ce samedi matin d'avril à Egat(Photo par Annabelle Blanco)</figcaption> </figure>
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      Ce samedi matin d'avril à Egat

      <figcaption>Ce samedi matin d'avril à Egat(Photo par Annabelle Blanco)</figcaption> </figure>
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      Les équipements sont obligatoires ce samedi pour accéder à la Cerdagne et au Capcir.

      <figcaption>Les équipements sont obligatoires ce samedi pour accéder à la Cerdagne et au Capcir.(Photo par DIRSO)</figcaption> </figure>
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      La neige rendaitdifficile l'accès à l'Andorre samedi.

      <figcaption>La neige rendaitdifficile l'accès à l'Andorre samedi.(Photo par DIRSO)</figcaption> </figure>
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      Neige sur les fleurs samedi

      <figcaption>Neige sur les fleurs samedi(Photo par Frédérique Berlic)</figcaption> </figure>
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      Des arbres ont plié sous le poids de la neige samedi.

      <figcaption>Des arbres ont plié sous le poids de la neige samedi.(Photo par Frédérique Berlic)</figcaption> </figure>
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      Le chasse neige avait du mal à passer samedi.

      <figcaption>Le chasse neige avait du mal à passer samedi.(Photo par Frédérique Berlic)</figcaption> </figure>
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      Ce dimanche à Fontpédrouse

      <figcaption>Ce dimanche à Fontpédrouse(Photo par Laetitia Barre via lindependant.fr)</figcaption> </figure>
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    MIS A JOUR 12H50

    La circulation est difficile sur la N116 entre Fontpédrouse et Saillagouse et pour accéder en Andorre (N22), les équipements spéciaux sont obligatoires.

    La circulation est délicate pour franchir le col du Puymorens (N320) et sur l'ensemble des routes départementales de Haute Cerdagne, Capcir et Haut Conflent. Col de Jau (D14) et col de Mantet (D6) circulation difficile.

    D115 col d'Ares (20cm de neige) et D115A (10cm) La Preste après Prats de Mollo équipements obligatoires.  

    La prudence reste donc de mise dans la montagne catalane ce dimanche.

    Déjà, hier samedi, la circulation avait été rendue très difficile par la neige qui tombait dans les hauts-cantons. Circulation rendue d'autant plus difficile que le tunnel du Puymorens est fermé jusqu'en novembre pour la première tranche de travaux de remise aux normes.

    Ces mauvaises conditions météo en Cerdagne et Capcir ont coûté la vie à un automobiliste samedi. En descendant de la station d'Eyne où il venait passer le week-end, entre le carrefour de la départementale et l'Auberge, le malheureux automobiliste, voyant sa voiture glisser sur la neige et en porte à faux sur un talus, est descendu de son véhicule. La voiture s'est retournée et l'a écrasé. Le conducteur qui est décédé sur le coup.


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  • Défense : les cinq éléments marquants du Livre blanc

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      • Par
      • Mis à jour <time data-ago="il y a 1 heure" data-original="le 29/04/2013 à 13:10" datetime="2013-04-29T13:10:53+02:00" itemprop="dateModified">le 29/04/2013 à 13:10</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 1 heure" data-original="le 29/04/2013 à 12:45" datetime="2013-04-29T12:45:26+02:00" itemprop="datePublished">le 29/04/2013 à 12:45</time>
    <figure class="fig-photo"> Un groupe de soldats français en mission au Mali.<figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

    Un groupe de soldats français en mission au Mali. Crédits photo : Jerome Delay/ASSOCIATED PRESS

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    Le document, qui fixe l'ambition stratégique de la France et la trajectoire financière du budget des armées, prévoit la suppression de 34.000 postes.

     

    Pour ses auteurs, le Livre blanc se veut un exercice de «vérité et d'ambition». «Il faut sortir du déni de réalité», souligne le ministère de la Défense. En résumé: afficher un projet que la France peut financer. Ni plus, ni moins. Cela dans un budget contraint. Ce sera aux députés de trancher en votant la nouvelle Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019 qui sera présentée d'ici à la fin juillet. Elle sera le fruit de nombreux arbitrages. Là seulement seront connus les budgets par armée et la répartition de l'effort notamment en terme d'emploi.

    • Un budget de 179,2 milliards d'euros sur 6 ans (2014-2019)

    Hors pension, le budget est fixé à 179, 2 milliards (en euros constants 2013) sur la période. Facialement, la défense sauve l'essentiel: maintenir au même niveau qu'en 2013 et 2012, le niveau du budget des armées, soit à 31,4 milliards d'euros. La défense se maintiendra à 1,5 % du PIB (hors pensions et gendarmerie). Et à 1,76 %, selon le norme OTAN qui inclut les pensions, contre 1,9 % aujourd'hui.

    Mais en réalité, les armées auront moins - 29,1 milliards par an - car ce budget intègre 4,5 milliards d'euros de recettes exceptionnelles que l'État espère retirer de cessions de ses participations dans l'Industrie (par exemple le 1,2 milliard issus de la vente de titres EADS), de ventes de biens immobiliers ou encore de fréquences hertziennes. Tout l'enjeu pour les militaires sera d'obtenir de Bercy que le produit de ces ventes tombe bien dans les caisses du ministère de la défense et que ces opérations se réalisent en temps et en heure. Le précédent de la LPM (2008-2014) n'est pas vraiment encourageant: sur 3,47 milliards d'euros de recettes exceptionnelles attendues, 980 millions seulement ont bel et bien été réalisés.

    • 34.000 suppressions de postes

    L'effort sans précédent de «déflation des effectifs», selon l'expression du ministère de la défense, engagé par le précédent gouvernement (diminution de 54.000 postes de 2009 à 2015), va se poursuivre et même s'amplifier. Les armées vont perdre 5000 emplois par an, ce qui représente un effort supplémentaire (par rapport à ce qui était prévu sur la période) de 24.000 postes sur six ans. L'Hôtel de Brienne affirme que la répartition par armée n'est pas encore tranchée. Reste que l'armée de terre redoute d'en payer le plus lourd tribu. Au total, la défense perdra 34.000 postes.

    • La dissuasion nucléaire sanctuarisée

    Comme tous les présidents de la République avant lui, François Hollande a décidé de sanctuariser la dissuasion nucléaire qui consomme un budget de 3,5 milliards d'euros par an. Et de maintenir ses deux composantes: océanique et aéroportée. Logiquement, le Livre Blanc prône la poursuite des investissements avec le programme SN3G de sous-marins lanceurs d'engins (SNLE) destinés à prendre le relais des SNLE de type «le Triomphant», la poursuite du programme de missile M51, la rénovation des missiles ASMPA (mis en service en 2009) et le lancement d'études pour le renouvellement des systèmes d'armées ASMPA.

    <figure class="fig-photo fig-media-droite"> Au total, la défense perdra 34.000 postes.<figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

    Au total, la défense perdra 34.000 postes. Crédits photo : Ahmad Jamshid/ASSOCIATED PRESS

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    • Diminution de la cible de chasseurs Rafale et achat de drones américains

    Les forces aériennes devront faire durer un peu plus longtemps leur flotte de chasseurs Mirage les plus récents (Mirage 2000D) qui feront l'objet de retrofit (rénovation). L'équipement en Rafale va se poursuivre mais la cible sera réduite à 225 appareils au lieu de 286 prévus précédemment.

    En matière de drones, la France prévoit de s'équiper en Watchkeeper, le drone tactique développé par le groupe français Thales pour le compte de l'armée britannique. En revanche, la France renonce à financer le développement d'un drone (MALE) d'observation. «Devant l'urgence capacitaire», Jean-Yves Le Drian, le ministre de la défense, a entamé des négociations pour acheter sur étagère le drone américain Reaper fabriqué par General Atomics. La France entend «franciser» leur charge utile, principalement l'optique et le système de pilotage. Ce qui sonne l'arrêt des projets portés par EADS (Talarion) et Dassault (Voltigeur).

    • Cyberdéfense et renseignements sont prioritaires

    Surveiller, écouter, voir, se protéger… La France continuera à investir dans le renseignement électronique, spatial et humain. Plusieurs programmes devraient être réalisés comme MUSIS d'observation spatiale pour lequel la France construit deux satellites optiques ou encore CERES qui doit permettre, à partir de 2020, de doter les armées d'une «nouvelle capacité d'interception, de caractérisation et de localisation des émetteurs électromagnétiques depuis l'espace».

    Et la France lance un «nouveau champ stratégique» en décidant de s'armer en matière de cyberdéfense et de protection des systèmes d'informations.

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