• <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Elections tchèques : victoire étriquée des sociaux-démocrates

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-10-26T19:19:00+02:00" itemprop="datePublished">26.10.2013 à 19h19</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-10-26T20:01:53+02:00" itemprop="dateModified">26.10.2013 à 20h01</time> | Par

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    Le chef du parti social-démocrate tchèque (CSSD) Bohuslav Sobotka, le 26 octobre 2013.

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    Le chef du Parti social-démocrate tchèque (CSSD), Bohuslav Sobotka, 41 ans, espérait obtenir un tiers des voix de ses concitoyens, qui élisaient, vendredi 25 et samedi 26 octobre, leur Parlement afin de former un gouvernement stable. Il n'a finalement obtenu que 20,5 % des suffrages des 59 % de Tchèques qui se sont rendus aux urnes.

    Il devance d'à peine deux points l'ANO (Alliance des citoyens mécontents, mais aussi "oui" en tchèque), la formation populiste du milliardaire tchèque d'origine slovaque Andrej Babis, qui a réussi, avec 18,7 % des voix, son pari de devenir la deuxième force politique du pays. Le Parti communiste (KSCM), traditionnel réceptacle du vote protestataire, a recueilli 14,9 % des suffrages.

    PAS D'UNION DE LA GAUCHE

    L'ambition de M. Sobotka de constituer un gouvernement d'union de la gauche, avec ou sans participation de ministres communistes, sera irréalisable, faute d'une majorité suffisante de sièges au Parlement. M. Babis (59 ans), principale fortune tchèque, s'en est d'ailleurs réjoui en commentant les résultats provisoires. "C'est une excellente chose que nous ayons empêché ainsi la possibilité d'un retour de la gauche au pouvoir", a-t-il déclaré samedi après-midi, en ajoutant qu'il "ne soutiendrait en aucun cas un gouvernement auquel participerait des communistes".

    Lire le portrait : Andrej Babis, le milliardaire slovaque qui séduit les Tchèques

    PARTIS DE DROITE LAMINÉS

    M. Babis a aussi écarté toute collaboration avec les deux partis "synonymes de corruption et de gabegie" de l'ex-gouvernement de droite, dont la chute en juin pour des affaires de malversations et d'espionnage ont provoqué les élections anticipées. L'ODS (Parti démocratique civique) de l'ex-premier ministre Petr Necas et TOP 09 du ministre des finances honni, Miroslav Kalousek, ont été laminés lors du scrutin en n'obtenant respectivement que 7,7 % et 11,9 % des voix.

    Une autre formation populiste, Usvit (Aube de la démocratie directe), de l'entrepreneur tchéco-japonais Tomio Okamura, fait aussi son entrée au Parlement avec une quinzaine d'élus (6,9 % des suffrages). Déjà élu sénateur l'an dernier, M. Okamura (41 ans), très populaire, défend l'introduction du référendum populaire à la Suisse dans le droit tchèque et la possibilité de révoquer les élus.

    Lire : Les partis antisystème dominent la campagne législative tchèque

    COALITION INCERTAINE

    Le septième parti à entrer au Parlement qui, depuis le retour de la démocratie en novembre 1989, n'a jamais été aussi fragmenté, est l'Union chrétienne-démocrate (KDU-CSL), qui a obtenu 6,8 % des voix et pourrait, comme dans le passé, jouer un rôle-clé dans la constitution d'un gouvernement de coalition. Plus vieux parti du pays – il a été fondé en 1919 et a même existé sous le communisme –, il n'avait pas franchi, lors des élections précédentes en 2010, le seuil des 5 % nécessaires pour avoir des élus, affaibli par la scission qui avait donné naissance à TOP 09.

    Si, comme prévu par les sondages, les "Pirates" (2,6 %) et les Verts (3,2 %) resteront aux portes de la Chambre des députés, le cuisant échec du Parti des droits des citoyens – les Zemaniens (SPOZ), la formation du chef de l'Etat, Milos Zeman –, sonne comme un avertissement. Malgré le soutien ouvert de M. Zeman pendant la campagne et la présence de plusieurs ministres de l'actuel "gouvernement d'experts" provisoire sur ses listes, le SPOZ n'a totalisé que 1,5 % des voix.

    Les négociations pour la formation d'une coalition gouvernementale s'annoncent difficiles et ne commenceront pas avant quelques jours, voire semaines, selon le président Zeman, qui compte jouer un rôle actif dans sa constitution.

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  • L'Etna entre en éruption en Sicile

    Le Monde.fr avec Reuters | <time datetime="2013-10-26T19:53:14+02:00" itemprop="datePublished">26.10.2013 à 19h53</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-10-26T20:20:42+02:00" itemprop="dateModified">26.10.2013 à 20h20</time>

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    L'Etna est entré en éruption samedi 26 octobre.

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    L'Etna, plus haut volcan d'Europe, est entré en éruption samedi 26 octobre, projetant des coulées de lave sur ses flancs et un vaste nuage de fumée dans le ciel de Sicile.

     

     

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    Les villages alentour n'ont pas été évacués.

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    L'éruption, précédée de quelques secousses telluriques vendredi, n'est pas jugée suffisamment importante par les autorités pour entraîner une évacuation des villages alentour. L'espace aérien de la Sicile a été brièvement fermé samedi matin, a annoncé l'aéroport de Catane.

    L'Etna est en activité quasiment constante. Sa dernière éruption majeure date de 1992.


    Les images de l'Etna toujours en éruption par lemondefr


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  • Des milliers de manifestants anti-austérité

    défilent au Portugal

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-10-26T18:13:29+02:00" itemprop="datePublished">26.10.2013 à 18h13</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-10-26T19:22:29+02:00" itemprop="dateModified">26.10.2013 à 19h22</time>

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    Manifestation contre l'austérité au Portugal, un des pays les plus affectés par la politique d'austérité prônée par les bailleurs de fonds internationaux.

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    Plusieurs milliers de manifestants sont descendus dans les rues de Lisbonne, samedi 26 octobre, pour protester contre la politique de rigueur menée au Portugal en échange de l'aide financière accordée par la troïka des créanciers – qui rassemble l'Union européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international (FMI).

    Lire : La "troïka" observe à la loupe l'économie portugaise

    Des rassemblements se déroulaient également à Porto et dans une douzaine d'autres villes du pays, à l'appel du mouvement citoyen "Que la troïka aille se faire voir", issu de la mouvance des Indignés.

    "Il y a une issue : gouvernement à la rue", "l'euro coule le pays, référendum tout de suite", "non à la troïka, non à la faim", pouvait-on lire sur les banderoles et les affiches brandies par la foule réunie à Lisbonne. Les manifestants se sont rassemblés dans le centre historique de la capitale portugaise avant de défiler dans le calme en direction du Parlement.

    NOUVELLES MESURES D'AUSTÉRITÉ

    Les protestataires entendaient dénoncer les nouvelles mesures d'austérité annoncées pour l'an prochain dans le cadre du programme de rigueur négocié par le Portugal avec l'Union européenne et le FMI, en échange d'un prêt de 78 milliards d'euros accordé en mai 2011.

    Pour atteindre les objectifs fixés par ses bailleurs de fonds et ramener le déficit public à 4 % du PIB en 2014, le gouvernement de centre droit avait présenté le 15 octobre un projet de budget prévoyant des économies et des recettes supplémentaires de 3,9 milliards d'euros.

    Au départ du cortège, la mobilisation semblait nettement moins importante que lors des manifestations organisées par ce même mouvement le 15 septembre 2012 puis le 2 mars, auxquelles avaient participé des centaines de milliers de personnes.

    La tension sociale devrait néanmoins continuer de monter au cours des prochaines semaines, les syndicats ayant déjà annoncé de nouvelles manifestations et une série de grèves dans le secteur public.


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  • Le Barça bien payé

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    Les Barcelonais peuvent souffler. (Reuters)

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    Les Barcelonais peuvent souffler. (Reuters)

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    Compte-rendu
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    Par
     
    Publié le <time datetime="2013-10-26T19:51:00+02:00" pubdate="">26 octobre 2013 à 19h51</time>
    Mis à jour le <time datetime="2013-10-26T19:51:23+02:00">26 octobre 2013 à 19h51</time>
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    Le Barça s'est montré plus fort que le Real Madrid samedi lors du Clasico de la 10e journée de Liga, en s'imposant 2-1 (10e journée de Liga). Neymar et Alexis Sanchez sont les deux buteurs blaugrana - contre le jeune Jesé pour le Real - et les Madrilènes peuvent nourrir des regrets.

    C’était chaud, c’était beau, c’était Clasico. Oui, l’immense choc du championnat d’Espagne, du football européen et même mondial justifie toujours son rang. Ça n’a peut-être fait que 2-1, mais chaque équipe a eu sa période et l’intensité a encore été folle au Camp Nou. Le Real ne mérite sans doute pas une défaite aussi sèche, surtout à cause de deux faits de jeu: une main très discrète dans la surface en première période d’Adriano, et évidemment cette faute incontestable mais non signalée de Mascherano sur Cristiano Ronaldo en deuxième période.

    Il y avait alors 1-0 et l’arbitre aurait dû accorder un penalty aux Madrilènes. Ce n’est pas que le Barça ne mérite pas sa victoire. Ce serait asséner une vérité terriblement injuste au vu de la première période, délaissée par la Maison blanche. Lionel Messi, Andrés Iniesta et surtout Neymar ont régné avant le repos, quand les hommes de Carlo Ancelotti ne mettaient globalement pas un pied devant l’autre. Mais tout a changé au retour des vestiaires. Et avant le deuxième but salvateur, ce sont les Catalans qui ne faisaient plus les fiers.

    Plus d'informations à suivre...


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  • 26 Octobre 2013 - 19H16  lien

    Rallye de Catalogne: Latvala en tête devant Sordo

    Le Finlandais Jari-Matti Latvala (Volkswagen) était en tête du rallye de Catalogne, 12e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), samedi soir à Salou, au terme de la 2e journée, devant l'Espagnol Dani Sordo (Citroën) et le Belge Thierry Neuville (Ford).

    Le Finlandais Jari-Matti Latvala (Volkswagen) était en tête du rallye de Catalogne, 12e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), samedi soir à Salou, au terme de la 2e journée, devant l'Espagnol Dani Sordo (Citroën) et le Belge Thierry Neuville (Ford).

    Array - Le Finlandais Jari-Matti Latvala (Volkswagen) était en tête du rallye de Catalogne, 12e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), samedi soir à Salou, au terme de la 2e journée, devant l'Espagnol Dani Sordo (Citroën) et le Belge Thierry Neuville (Ford).

    Le Français Sébastien Ogier (Volkswagen), déjà assuré du titre de champion du monde 2013 des rallyes, est remonté à la 4e place samedi soir, à 46 secondes de son coéquipier Latvala, alors qu'il avait chuté à la 6e place en fin de matinée à la suite d'une crevaison dans l'ES6.

    Classement provisoire du rallye de Catalogne au terme de la 2e journée:

    1. Jari-Matti Latvala-Miikka Anttila (FIN/VW Polo-R) 2 h 06:08.9

    2. Dani Sordo-Carlos del Barrio (ESP/Citroën DS3) à 1.6

    3. Thierry Neuville-Nicolas Gilsoul (BEL/Ford Fiesta RS) à 29.3

    4. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (FRA/VW Polo-R) à 46.5

    5. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (FIN/Citroën DS3) à 57.8

    6. Evgeny Novikov-Ilka Minor (RUS-AUT/Ford Fiesta RS) à 57.9

    7. Mads Ostberg-Jonas Andersson (NOR-SWE/Ford Fiesta RS) à 2:28.4

    8. Martin Prokop-Michal Ernst (CZE/Ford Fiesta RS) à 3:06.7

    9. Hayden Paddon-John Kennard (NZL/Ford Fiesta RS) à 3.08.6

    10. Robert Kubica-Maciek Baran (POL/Citroën DS3 RRC) à 4:07.6

    (1er catégorie WRC-2)

    ...

    Meilleurs temps dans les épreuves spéciales: Ogier 4 (ES1, ES2, ES3, ES7), Sordo 2 (ES4, ES5), Latvala 2 (ES6, ES9), Neuville 1 (ES8)

    Classement de la Power Stage (ES8, Colldejou 2, 26,48 km):

    1. Thierry Neuville-Nicolas Gilsoul (BEL/Ford Fiesta RS) 3 points

    2. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (FRA/VW Polo-R) 2 points

    3. Jari-Matti Latvala-Miikka Anttila (FIN/VW Polo-R) 1 point


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