• Bretagne: les "bonnets rouges"

    prêts à rencontrer Ayrault

    Les organisateurs de la manifestation de Quimper se sont dits prêts dimanche à répondre à l'invitation de Jean-Marc Ayrault pour élaborer un "Pacte d'avenir pour la Bretagne".

    L. B. avec AFP
    Le 03/11/2013 à 13:22

    De 15.000 à 30.000 personnes de tous horizons ont défilé samedi dans les rues de Quimper contre l'écotaxe et pour l'emploi en Bretagne. (BFMTV)

    De 15.000 à 30.000 personnes de tous horizons ont défilé samedi dans les rues de Quimper contre l'écotaxe et pour l'emploi en Bretagne. (BFMTV)

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    La grogne des "bonnets rouges" a été entendue par le Premier ministre. Les organisateurs de la manifestation de Quimper sont prêts à rencontrer Jean-Marc Ayrault pour élaborer un "Pacte d'avenir pour la Bretagne". Mais ils exigent des mesures immédiates et concrètes.

    Le Premier Ministre a invité samedi "toutes les parties prenantes à se retrouver" autour du "Pacte d'avenir pour la Bretagne", au cours d'une réunion qui pourrait se tenir dès mercredi.

    "Nous comptons nous rendre à cette réunion et on va avoir énormément de propositions à faire. Mais il y a urgence et il faut des mesures immédiates et concrètes", a déclaré Christian Troadec, élu DVG et porte-parole du comité organisateur de la manifestation.

    "Il y a le feu, on ne met pas autant de gens dans la rue par hasard", a ajouté Christian Troadec au nom de ce comité, qui regroupe notamment des syndicalistes FO, la FDSEA du Finistère et des artisans et chefs d'entreprise.

    Mettre fin au "dumping social"

    Parmi les mesures exigées à court terme figurent notamment la suppression définitive de l'écotaxe, l'ouverture par la France de négociations avec ses partenaires européens pour mettre "fin au dumping social" qui fragilise la Bretagne, et "l'interdiction pour une entreprise qui fait des profits de laisser ses salariés sur le carreau", a énuméré Christian Troadec.

    "Les dernières déclarations de Marylise Lebranchu (ministre de la Réforme de l'Etat, et élue bretonne, ndlr) selon qui le problème de l'écotaxe serait 'réglé', alors que cette taxe n'est que suspendue, font craindre que nous n'ayons pas été bien compris", a souligné l'élu.

    "Le dialogue est la seule issue possible, mais il y a une très forte demande des gens de se retrouver à nouveau dans la rue", a ajouté Christian Troadec, qui est maire de Carhaix (Finistère).

    De 15.000 à 30.000 personnes de tous horizons ont défilé samedi dans les rues de Quimper contre l'écotaxe et pour l'emploi en Bretagne, lors d'un rassemblement émaillé d'échauffourées qui ont fait cinq blessés.


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    Kepler-78b, la première exoplanète rocheuse de la même taille que la Terre

    Publié par Maxime Lambert, le <time datetime="2013-10-31T11:30:33+01:00" itemprop="datePublished">31 octobre 2013</time>
     
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    <figure class="pic-container right center w250">L'exoplanète Kepler-78b présente une masse équivalant à 1,7 fois celle de la Terre pour un diamètre légèrement supérieur</figure>

    Des astronomes ont découvert une exoplanète, Kepler-78b, qui possède une taille et une composition assez proches de celles de la Terre. Elle renforce l'espoir de pouvoir un jour trouver une planète habitable hors de notre système solaire.

    C'est encore le télescope spatial Kepler qui est à l'origine de la remarquable découverte. Dans la constellation de la Lyre, l'engin a repéré une nouvelle exoplanète et pas des moindres. Nommée Kepler-78b, celle-ci fait partie des milliers de planètes telluriques (ou rocheuses) que Kepler a identifiée comme candidate possible à l’apparition de la vie. Pour en savoir plus sur elle, deux équipes d'astronomes ont repris et étudié les données du télescope.

    Ceci leur a permis de constater que Kepler-78b est loin d'être inintéressante et pour cause, elle présente plusieurs similarités avec la Terre. En effet, d'après les résultats parus dans la revue Nature, la masse de l'exoplanète serait comprise entre 1,69 et 1,86 fois celle de la Terre pour un diamètre équivalent à 1,2 fois celui de notre planète. De même, sa densité est très proche de celle de la Terre et avoisine les 5,5 grammes par centimètre cube. Au vu de cette donnée, l'exoplanète est très certainement constituée de roches et de fer, estiment les chercheurs. 

    Un bon présage

    Peu de planètes présentant une masse ou une taille similaire à celle de la Terre ont été découvertes. Il est donc encore plus rare qu'une exoplanète cumule deux caractéristiques semblables. "La nouvelle est arrivée avec style et le message : Kepler-10b a un petit frère", a expliqué Natalie Batalha, scientifique de la mission Kepler au Ames Research Center de la NASA. Cette dernière a mené l'équipe qui a découvert Kepler-10b, une planète plus grande mais aussi rocheuse identifiée par le télescope.

    "Le message exprime la joie de savoir que la famille des exoplanètes de Kepler grandit. Cela évoque également un progrès. Les équipes atteignent une précision plus élevée et mesurent les masses de planètes toujours plus petites. C'est un bon présage dans la perspective de trouver un jour des traces de vie ailleurs que sur Terre", a ajouté Batalha citée dans un communiqué de la NASA. Kepler-78b a pu être étudiée car elle orbite suffisamment près de son soleil pour pouvoir être observée en détail.

    Une quasi-jumelle bouillante

    D'après les estimations, elle orbite autour de Kepler-78, un peu plus petite et moins massive que le Soleil, en 8 heures 30. Aussi, malgré ces nombreuses similitudes avec la Terre, il ne faut pas espérer retrouver de vie sous une forme connue sur Kepler-78b. En effet, du fait de la proximité avec l'étoile, sur cette exoplanète, la température varie de 1.500 à 3.000°C, soit une température bien trop élevée pour qu'une quelconque vie puisse s'y être créée ou qu'elle puisse être habitée.

    Selon Drake Deming, astronome à l'Université américaine du Maryland cité par l'AFP, Kepler-78b "a au moins le mérite de montrer que des planètes extrasolaires ayant une composition similaire à la Terre ne sont pas rares" dans la Voie Lactée. Elle renforce ainsi l'espoir de pouvoir un jour trouver une "Terre bis" parmi les milliards d'exoplanètes cachées dans notre galaxie. "Kepler-78b est un signe encourageant dans la quête de mondes habitables hors de notre système solaire", conclut Drake Deming.

    (crédits photo : David A. Aguilar - CfA)

     
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  • Gaia lutte contre l'extension du marché des visons

    SOCIETE | samedi 2 novembre 2013 à 8h36

     

     

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    Gaia défent les visons

    Gaia défent les visons - Photo d'illustration - Flickr (Phil Johson 2008)

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    Cliquez pour visionner

    Mobilisation pour le Vison: le point en direct avec Sylvia Falcinelli

     
    </aside> <header>La Belgique, ou plutôt la Flandre, compte aujourd'hui pas moins de 18 élevages de visons sur son territoire: des visons destinés à la fourrure. Un nouvel élevage d'une capacité de plus de 100 000 bêtes vient d'obtenir un permis en Flandre occidentale. Voilà qui fait réagir Gaïa: l'association de défense des animaux mènera une action ce samedi après-midi pour appeler les politiques à agir au plus vite contre l'extension du marché des visons.</header>

    Jusqu'à présent, c'est en Flandre que l'on trouve les élevages de visons.160 000 bêtes sont ainsi réparties dans 18 élevages pour approvisionner le marché de la fourrure.

    Le nouvel élevage de Wervik, en Flandre occidentale viendrait donc sérieusement gonfler ce nombre, avec 107 000 visons supplémentaires.Et c'est un éleveur néerlandais qui a obtenu ce permis.

    Gaia dénonce le risque que d'autres éleveurs arrivent des Pays-Bas.Anne De Greef, présidente de Gaia, rappelle que l'année passée, il y a eu une interdiction qui a été votée au parlement néerlandais. "Et donc, ils cherchent à s'implanter ailleurs. Et le plus près, c'est la Belgique", déplore-t-elle. "Il y a déjà eu des tentatives à Somme-Leuze mais là, la Wallonie a heureusement été très claire: ils ont dit non".

    Gaia espère maintenant que la Belgique suive l'exemple des Pays-Bas mais aussi de la Grande-Bretagne, de la Suisse, de l'Autriche, de la Bulgarie... et interdise l'élevage du vison sur son territoire. "Il y a eu plusieurs propositions de loi qui sont désormais sur la table de la Chambre et qui ont été débattues avant les vacances parlementaires mais qui n'ont pas encore été votées. C'est pourquoi la lutte continue", poursuit Anne De Greef.

    C'est pourquoi Gaia sera à Wervik ce samedi... pour une action pacifique.

    Odile Leherte

     

    </article>

     

     

    http://www.rtbf.be/video/detail_mobilisation-pour-le-vison-le-point-en-direct-avec-sylvia-falcinelli?id=1866450


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  • Violation du consulat d’Algérie à Casablanca : L’Algérie réfute la thèse de l’acte isolé

    Rappel de l’ambassadeur du Maroc à Alger : Un Réseau africain en France se dit « indigné »

    PUBLIE LE : 03-11-2013 | 0:00
    D.R

    Les éléments visuels de preuve, examinés par des experts  algériens, «ne donnent pas de crédit à la thèse de l’acte isolé» avancée par les autorités marocaines, à la suite de la violation du siège du consulat général d’Algérie à Casablanca, a indiqué  hier le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani. Interrogé par l’APS sur les circonstances de violation, vendredi, du  siège du consulat général d’Algérie à Casablanca et de la profanation de l’emblème national, M. Belani a affirmé que «les éléments de preuve, examinés par des experts algériens, ne donnent pas de crédit à la thèse de l’acte isolé et que  nous attendons des explications circonstanciées qui ont été exigées de la partie  marocaine». «Nous regrettons la poursuite de la mobilisation de foules autour de  notre ambassade à Rabat et de notre consulat à Oujda, car celle-ci est de nature à déboucher sur la répétition de ce genre de dérapages graves», a-t-il ajouté.

    Rappel de l’ambassadeur du Maroc à Alger
    Un Réseau africain en France se dit « indigné »
    Le Réseau africain en France solidaire du peuple sahraoui s’est dit hier «indigné» du rappel par le Maroc de son ambassadeur à Alger pour consultations, suite à la réaffirmation de la position algérienne vis-à-vis de la question sahraouie, affirmant que cette décision est «contraire» au droit international et au droit des peuples à l’autodétermination. Le Réseau africain en France, solidaire du peuple sahraoui, réuni ce jour à Paris, a exprimé son «indignation devant cette réaction marocaine qui va à l’encontre du droit international, du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et des droits de l’homme», écrit le Réseau dans un communiqué. Tout en réaffirmant leur soutien et attachement à la cause du peuple sahraoui, les membres du réseau africain se sont «réjouis» de la création à la conférence d’Abuja du «Comité africain de coordination de la solidarité avec la cause sahraouie». L’Algérie avait pris note avec «regret» de la décision «injustifiée» du gouvernement marocain relative au rappel pour consultations de son ambassadeur à Alger. «Cette décision injustifiée constitue une escalade malencontreuse qui s’appuie sur des motifs fallacieux et attentatoires à la souveraineté de l’Algérie, dont les positions de principe sur les questions régionales et internationales ne sont susceptibles d’aucune remise en cause sous l’effet d’interférences étrangères», avait souligné Alger, par la voie de son ministère des Affaires étrangères. Le réseau de citoyens français d’origine africaine solidaires de la République arabe sahraouie démocratique a été créé le 16 octobre 2012 à Paris, à l’initiative d’élus locaux, de responsables associatifs et de représentants de la société civile. Il s’assigne comme principaux objectifs de mobiliser les Conseils municipaux et les parlementaires français autour de la «justesse» de la cause sahraouie en proposant à des députés, sénateurs, représentants de la société civile et autres politiques d’aller dans les camps des réfugiés sahraouis pour «constater de visu leur vécu» et «leurs aspirations à l’autodétermination».

    ---------------------

    Réactions des partis

    RND
    « Un  comportement qui manque de maturité et de sérénité »
    Le secrétaire général par intérim M. Abdelkader Bensalah a condamné fermement, hier «les actes perpétrés contre le consulat algérien à Casablanca, notamment l’atteinte à la souveraineté et à la dignité algériennes en profanant l’emblème national et ce, dans un jour sacré pour les Algériens, en l’occurrence, le 1er Novembre, sous le regard des autorités marocaines ».  
    M. Bensalah, a qualifié cet acte d’«osé» tout en estimant que «pareils agissements ne sont pas souhaitables pour deux pays voisins et frères comme le Maroc et l’Algérie». Aussi, «J’éprouve une grande douleur pour ce qui se passe dans ce pays voisin, que nous respectons.  
    Depuis plus d’un mois nous avons constaté l’émergence d’un nouveau ton à travers le discours politique officiel. Nous avons cru au début,  qu’il s’agit juste des résultats du déroulement de la situation  du Sahara occidental.  Ces résultats positifs ont poussé les responsables marocains à sortir de leur cadre habituel.  Ce discours politique a encouragé la presse marocaine ainsi que les responsables des partis à outrepasser la bienséance, jusqu’à toucher notre dignité et notre intégrité territoriale et régionale», précise M. Bensalah tout en soulignant que «les discours nostalgiques des années 60  reviennent à la surface, et que ces actes viennent pour détourner le peuple marocain de ses problèmes actuels, un peuple pour lequel l’Algérie souhaite tout le bien». Allant plus loin, devant une assistance attentive à ses propos, Bensalah estimera que «Pour occuper  le peuple marocain, ils ont choisi le moyen d’attaquer l’Algérie tout en l’accusant d’être la responsable de tous les problèmes du Maroc. Les conflits politiques existent partout dans le monde mais faire bouger la rue est un grand danger dont on ne peut prévoir les résultats. L’attaque contre notre consulat avec l’atteinte à  notre emblème national lors d’une journée qui est sacrée pour les Algériens et dont  les officiels marocains connaissent bien l’importance qu’elle a pour nous, pour le peuple algérien et pour tous les Maghrébins et tous les Arabes en général, est un acte impardonnable. Ce qui vient de se dérouler au Maroc relève d’un  comportement qui manque de maturité et de sérénité et qui n’est pas censé exister entre les deux pays» a-t-il déclaré, en émettant le souhait «du peuple algérien ainsi que de son Etat,  de voir cette erreur corrigée et qu’un terme soit mis à ces campagnes montées contre l’Algérie». «Ces campagnes ne servent ni le Maroc, ni le Maghreb, ni le monde arabe et ni le monde d’une manière générale. Il y aura juste une grande nuisance qui touchera le Maroc en premier lieu. Donc pour l’intérêt de tout le monde, il est préférable de faire appel à la raison, la logique et la sagesse  pour régler les problèmes. L’Algérie à toujours œuvré pour l’apaisement des choses. Je dis aux Marocains «ne justifiez pas vos positions pour la défense d’une cause qui ne vous concerne pas, en faisant de l’Algérie le premier responsable. Il est conseillé aux Marocains de revoir leurs idées, notamment de revoir leurs calculs en comprenant que les problèmes du Maroc ne viennent pas de l’Algérie et que le seul problème auquel le Maroc doit faire face avec beaucoup de courage est l’indépendance du Sahara occidental»  a souligné M. Bensalah.
    K. A. A.

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    TAJ
    « Un acte abject et néfaste »
    Le président du parti TAJ (Tadjamouâ Amal Jazaïr), Amar Ghoul, a qualifié, hier à Constantine, l’arrachage du drapeau algérien du consulat général à Casablanca, perpétré vendredi, par un manifestant marocain, d’acte abject et néfaste et de provocation caractérisée : «Nous condamnons vivement cet incident et sommes conscients qu’il ne s’agit pas de mésentente entre les deux peuples voisins lesquels entretiennent des liens séculaires. S’en prendre à un symbole national, de surcroît le jour de l’anniversaire du déclenchement de notre glorieuse Révolution, en plus de la mauvaise image donnée au reste du monde et aux générations futures, peut s’avérer destructeur pour le rêve du grand Maghreb. » L’orateur ajoutera : « Nous ne voulons pas verser de l’huile sur le feu, mais cela ne nous empêche pas d’exiger des excuses officielles des autorités marocaines », tout en tenant à saluer particulièrement l’ensemble de la presse nationale pour sa prise de position sans concession par rapport audit incident. Présidant un meeting populaire de sa formation, M. Ghoul reviendra sur les principes fondamentaux de TAJ : « Le premier principe est la fraternité. Avoir des divergences d’ordre idéologique ou politique avec d’autres partis ne veut pas dire que nous sommes ennemis. Au sein de TAJ, nous prônons la moralisation de la vie politique en vue d’instaurer des traditions de bienséance. Le second, c’est la fidélité. Fidélité aux idéaux du 1er Novembre, aux symboles de la nation et aux hommes qui ont tout donné pour le pays.» Enfin, au sujet des élections présidentielles prévues l’année prochaine, le président de TAJ affirmera que son parti « engagera toutes ses forces pour faire de ce rendez-vous une véritable fête de la démocratie.»
    I. B.

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    PRA
    « Un dérapage inacceptable »
    Le Parti du renouveau algérien a  réuni, hier, ses cadres, au siège du parti pour commémorer le 59e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, et ce en présence de représentant de wilayas et du frère du  martyr Didouche Mourad.  Intervenant  à cette occasion, Mohamed Saïdani,  ancien moudjahid et avocat, est revenu sur la symbolique de cet événement  qui a balisé le chemin pour le recouvrement de la souveraineté nationale, arrachée au prix de sacrifices et de dévouement pour la patrie. Il abordera, au cours de son intervention que le fâcheux et regrettable incident de jeudi dernier où des manifestants marocains se sont attaqués au consulat d’Algérie à Casablanca et arraché le drapeau algérien. Un acte que dénonce fermement le parti. M. Saïdani estimera quand bien même, le Maroc présenterait des  excuses officielles, l’on ne saurait accepter un tel dérapage, d’autant plus qu’il coïncide avec une date si chère aux Algériens. Il affirmera que l’Algérie qui a tant donné pour son indépendance connait la valeur de la liberté et de l’unité, précisant qu’elle a toujours œuvré pour un Maghreb uni. Il ne manquera pas de souligner que  l’Algérie  a toujours était visée, d’où l’intérêt aujourd’hui, de rester vigilant pour déjouer toute tentative qui porterait atteinte à notre pays. Un autre cadre du PRA relèvera que  l’Algérie a connu les affres du colonialisme qui s’est attelé à effacer les traces de l’identité nationale,  interdisant l’enseignement de la langue arabe mais aussi la déportation de nombreux algériens.  Il parlera aussi des massacres du 8 Mai 1945 et de la  guerre de Libération nationale, avant d’inviter les jeunes à être conscients et fidèles, aux principes que l’Algérie a toujours défendus. S’exprimant pour sa part, M. Boulatika Hacène, président de la commission de préparation du congrès du PRA et chargé de l’organique, dans une conférence de presse, animée, en marge de la rencontre, a tenu à préciser que son parti n’a jamais été absent de la scène politique, enchaînant que la préparation du congrès, reste la préoccupation majeure.  Il ajoutera que le PRA n’a raté aucun rendez-vous électoral et il compte bien le faire pour la prochaine   présidentielle. Cette rencontre a été marquée par une remise d’attestations de reconnaissance à des moudjahidine et, à titre posthume, au martyr Didouche Mourad ainsi que certains organes de presse.
    Samia D.

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    Ahmed Betatache (ffs)  :
    « Une atteinte aux principes de la diplomatie internationale »
    À l’occasion du cinquantième anniversaire de la création du Front des Forces Socialistes (FFS), son Premier Secrétaire, Ahmed Betatache, a animé hier un meeting régional des cadres du parti à Constantine. Lors de son allocution, M. Betatache évoquera longuement la vision du FFS concernant les prochaines échéances politiques : «Ce qui nous importe plus que tout, c’est l’unité nationale. Le contexte régional actuel fait que le danger nous guette de toutes parts.
    C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le FFS avait décidé de prendre part aux dernières législatives. Concernant la prochaine élection présidentielle, nous estimons qu’il est encore tôt pour en parler. Cependant, nous sommes conscients que le plus important est de discuter avec toutes les parties».  C’est dans cette perspective que nous avons amorcé le dialogue avec des représentants de la société civile, de syndicats, et de certaines formations politiques. Nous restons convaincus que ces élections ne représentent qu’une partie de la solution aux problèmes politiques du pays.» dira-t-il en ajoutant : «Notre démarche n’est pas exclusive. Tous les partis, quelle que soit leur couleur politique peuvent y adhérer. L’essentiel est d’arriver à un consensus national. L’acte répréhensible dont a été coupable un manifestant marocain envers le drapeau national à Casablanca sera également au cœur des propos du premier secrétaire lequel condamnera vivement ces agissements, tout en souhaitant que ceux-ci ne soient pas la cause d’un nouveau coup de froid dans les relations entre les deux voisins : « Ce qui est arrivé est une atteinte aux principes de la diplomatie internationale.  A ma connaissance, le gouvernement marocain a présenté ses excuses, donc, cet incident ne doit pas constituer un frein aux relations fraternelles qu’entretiennent les deux pays.»
    I. B.

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    Plusieurs partis et organisations condamnent
    Plusieurs partis politiques et organisations ont condamné hier avec vigueur la violation vendredi des locaux du consulat général d’Algérie à Casablanca, qualifiant ce comportement d’‘‘inacceptable et d’immoral”. A cet effet, le membre du comité central du parti du Front de libération nationale (FLN), Sadek Bouguettaïa a affirmé que la campagne médiatique hostile menée par le régime marocain contre l’Algérie depuis quelques jours, la violation des locaux du consulat général d’Algérie à Casablanca et la profanation du drapeau national sont “des actes irréfléchis qui prouvent que le Maroc n’accorde pas d’importance au bon voisinage”. Dans une déclaration à l’APS, M. Bouguettaïa s’est interrogé sur le fait que le Royaume du Maroc ne s’est pris à aucun des 36 Etats ayant participé à la dernière rencontre africaine de soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination tenue à Abuja (Nigeria), à l’exception de l’Algérie, soulignant que “le régime marocain crée une crise avec l’Algérie, à chaque fois que l’étau se resserre autour de lui, en raison des problèmes politiques et économiques qu’il connaît depuis des années”. Il a également salué la politique étrangère et “la position sage” de l’Algérie face à l’‘‘odieuse campagne” menée par le Maroc.   
    Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Mokri a condamné cet acte, saluant la position de l’Algérie “qui n’a pas appliqué la politique de la réciprocité et n’a pas rappelé son ambassadeur au Maroc”. “Nous devrons rappeler à nos frères au Maroc que la Proclamation du 1er Novembre 1954 avait appelé à l’unité nord-africaine au sein du cadre naturel arabo-musulman”.
    Par ailleurs, le président du parti du Front de l’Algérie Nouvelle, Djamel Benabdeslam a appelé à “la retenue et à éviter l’entrée en conflit des deux pays frères”, affirmant que le “royaume marocain fut et reste un instrument au service des intérêts étrangers”, soulignant que ces parties étrangères “lui ont, cette fois-ci, donné l’ordre de déstabiliser la région du Maghreb arabe”. L’Algérie “gère cette campagne avec sagesse et retenue”, a-t-il dit, regrettant le choix de la célébration du 59e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale pour commettre cet acte ignoble”.
    Dans le même sens, la présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), Mme Naïma Salhi, estime qu’il ne faut pas céder “aux provocations et dépassements du régime marocain”, appelant les autorités marocaines à présenter “des excuses officielles pour ce comportement irréfléchi.
    Pour sa part, le secrétaire général de l’Alliance nationale républicaine (ANR), Belkacem Sahli, a condamné “l’agression manifeste et immorale” qui a ciblé le siège du consulat général d’Algérie à Casablanca, estimant que cette agression “s’oppose aux usages diplomatiques reconnus et aux politiques d’intégration et d’union maghrébine de tout temps prônées par les autorités marocaines”. Le peuple algérien, a-t-il martelé, “ne ménagera aucun effort pour soutenir les droits des peuples à l’autodétermination, avec à leur tête le peuple sahraoui frère, devenu un exemple de détermination et de défi”.
    De son côté, l’Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC) a dénoncé “cet acte criminel”, exhortant les autorités marocaines à infliger les sanctions les plus sévères à ses auteurs et à présenter leurs excuses au peuple algérien. L’ONEC a également affirmé son appui aux démarches de l’Etat algérien “sous la direction clairvoyante du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika” concernant “la position constante de l’Algérie en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément aux décisions de l’ONU, de l’Union africaine (UA) et bon nombre d’organisations internationales”.


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  • Actualité > TopNews > Tunisie: blocage sur le choix du Premier ministre le jour J  
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    Tunisie: blocage sur le choix du Premier ministre

    le jour J

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    <time datetime="2013-11-02T09:35:09" itemprop="datePublished">Publié le 02-11-2013 à 09h35</time> - <time datetime="2013-11-02T22:46:23" itemprop="dateModified">Mis à jour à 22h46</time>

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    L'opposition et les islamistes au pouvoir en Tunisie ne sont toujours pas parvenus à un consensus sur l'identité du futur Premier ministre indépendant qui doit être annoncé samedi et de nouveaux pourparlers sont prévus dans la journée.
(c) Afp

    L'opposition et les islamistes au pouvoir en Tunisie ne sont toujours pas parvenus à un consensus sur l'identité du futur Premier ministre indépendant qui doit être annoncé samedi et de nouveaux pourparlers sont prévus dans la journée. (c) Afp

    Tunis (AFP) - L'opposition et les islamistes au pouvoir en Tunisie peinent à s'accorder sur le nom du futur Premier ministre indépendant qui doit être annoncé samedi et aura la lourde tâche de sortir le pays d'une crise politique nourrie par les violences jihadistes.

    Après une première réunion dans la matinée entre opposants et islamistes au pouvoir ainsi que leurs alliés, une seconde rencontre à huis clos a débuté vers 16H30 GMT pour essayer de trancher la question du futur chef du gouvernement avant la fin de la journée.

    Vers 20H30 GMT aucune indication n'avait été donné sur l'état d'avancement des travaux.

    "Nous ne sommes pas arrivés à un consensus mais nous sommes sur le chemin", a affirmé un haut responsable du parti islamiste Ennahda, Ameur Larayedh, après l'échec des pourparlers dans la matinée.

    Selon des politiques interrogés par l'AFP, les négociateurs ne parviennent pas à départager deux candidats: Mohamed Ennaceur, 79 ans, soutenu par l'opposition et Ahmed Mestiri, 88 ans, soutenu par Ennahda et ses alliés.

    Il s'agit de vétérans de la vie politique qui ont été ministres du premier président et père de l'indépendance, Habib Bourguiba.

    "Nous considérons que Mestiri est l'homme de la situation. Il est à égale distance de tout le monde", a dit à l'AFP, le porte-parole d'Ennahda, Zied Laadhari.

    Une position rejetée par l'opposition qui le juge trop vieux et trop faible.

    "Mestiri n'est pas apte (physiquement) à accomplir la mission d'un Premier ministre", a jugé Mourad Amdouni, un élu de gauche.

    Le dialogue national entamé il y a une semaine doit déboucher sur la nomination de la personnalité appelée à succéder au Premier ministre islamiste Ali Larayedh et conduire la Tunisie vers des élections.

    M. Larayedh a cependant conditionné son départ à l'application stricte du calendrier des négociations, qui prévoit la mise en place d'une législation et d'un calendrier électoraux ainsi que le lancement de la procédure d'adoption de la Constitution, en cours de rédaction depuis deux ans.

    Sa démission formelle ne doit d'ailleurs pas intervenir avant la mi-novembre.

    Retard pour la commission électorale

    Et le calendrier des négociations a déjà pris du retard sur un autre front: l'élection des membres de la future commission électorale par l'Assemblée nationale constituante (ANC), prévue pour samedi, a été reportée.

    Un tribunal administratif a en effet notifié à la Constituante qu'elle devait attendre la promulgation de la loi créant cette instance et sa publication au journal officiel.

    La présidence a annoncé samedi matin que la loi avait été promulguée par le chef de l'Etat, Moncef Marzouki, selon l'agence officielle TAP.

    Après plusieurs reports une séance de l'ANC a d'autre part eu lieu samedi soir mais le débat a porté sur les mesures à prendre pour accélérer ses travaux.

    Le "dialogue national" en cours vise à sortir la Tunisie de la profonde impasse dans laquelle elle est plongée depuis l'assassinat le 25 juillet du député d'opposition Mohamed Brahmi, attribué à la mouvance jihadiste.

    Les négociations ont pu débuter le 25 octobre avec la promesse d'Ennahda de céder le pouvoir à des indépendants.

    Mais parallèlement, les heurts impliquant des groupes armés se sont multipliés, culminant mercredi avec des attaques contre deux sites touristiques, pour la première fois depuis la révolution de janvier 2011: l'un a été visé par un attentat suicide qui n'a pas fait de victime et l'autre par une tentative déjouée à temps.

    Durant le seul mois d'octobre, neuf gendarmes et policiers ont été tués dans des affrontements.

    Si aucune revendication n'a été annoncée, le gouvernement a attribué les attaques à des groupes liés aux salafistes d'Ansar Ashariaa, mouvement accusé de liens avec Al-Qaïda.

    L'opposition taxe Ennahda de laxisme face à l'essor de ces groupes armés et des violences.

    L'incertitude politique et l'essor jihadiste continuent en outre de déprimer l'économie, déjà anémique avant la révolution de 2011 en raison de la pauvreté et de la misère.

    Arrivés au pouvoir en octobre 2011, les islamistes ont été considérablement affaiblis par la multiplication des crises politiques, les assassinats de deux opposants, les heurts avec les jihadistes et les polémiques sur leurs tentatives supposées "d'islamiser" la société tunisienne.


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