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Par marialis2.2 le 15 Août 2015 à 15:41
Les autorités ont ordonné samedi l‘évacuation des habitants de la zone proche du site frappé mercredi à Tianjin par deux violentes explosions consécutives à un incendie dans un entrepôt de produits chimiques. Du cyanure de sodium, une substance pouvant, au contact de l’air, devenir hautement toxique, a en effet été décelé dans l’atmosphère. Par ailleurs, de nouvelles déflagrations se sont produites.
Policiers et militaires ont par conséquent élargi le périmètre de sécurité à un rayon de 3 km sur le port de cette métropole de 15 millions d’habitants, située à 140 km de la capitale, Pékin.
ADVERTISINGMais le gouvernement délivre des informations au compte-gouttes, entretenant un grand flou sur les circonstances de l’accident. Et il censure médias et internautes. Contribuant par là même à alimenter les spéculations. “J‘étais allé faire des courses, raconte un habitant du
secteur concerné, et quand je suis revenu, la route était bloquée. J’ai demandé pourquoi, que se passe-t-il ? On m’a juste répondu : c’est encore dangereux à l’intérieur, vous ne pouvez pas entrer.”Le dernier bilan officiel fait état de 85 morts et plus de 700 blessés. Dont des dizaines sont dans un état grave, voire critique.
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Par marialis2.2 le 14 Août 2015 à 19:06<article><header>
Cuba: le drapeau américain flotte
à nouveau à la Havane
Cinquante-quatre ans après avoir été abaissé, le drapeau américain flotte à nouveau devant l'ambassade des Etats-Unis à Cuba, hissé vendredi en présence du secrétaire d'Etat John Kerry.
</header>Le drapeau américain flotte à nouveau à Cuba Pablo Martinez Monsivais/AP/SIPA<aside class="top-outils"></aside><aside class="inside-art" id="js-article-inside-art"><section class="social-buttons js-share-tools"></section></aside></article>Cinquante-quatre ans après avoir été abaissé, le drapeau américain flotte à nouveau devant l'ambassade des Etats-Unis à Cuba, hissé vendredi 14 août en présence du secrétaire d'Etat John Kerry qui a salué un "moment mémorable" entre les deux ex-adversaires de la Guerre froide.
"Mes amis, il n'y a pas besoin d'un GPS pour réaliser que la voie de l'isolement mutuel empruntée par les Etats-Unis et Cuba n'était pas la bonne", a affirmé M. Kerry dans un discours prononcé en partie en espagnol devant l'ambassade.
Vêtu d'un costume sombre malgré la chaleur, il a aussi estimé que "le peuple de Cuba serait mieux servi par une véritable démocratie où les gens sont libres de choisir leurs dirigeants".
Estimant "formidable" de se trouver à Cuba, John Kerry a également réaffirmé que le gouvernement de Barack Obama était "fortement en faveur" de la levée de l'embargo économique imposé à l'île communiste depuis 1962.
Derrière des barrières de sécurité, une petite foule a assisté à cette cérémonie en agitant des drapeaux cubains. Les hymnes cubain, américain et la levée du drapeau ont été accompagnés de "Viva" et d'applaudissements.
La Havane s'est mise sur son 31
Façades repeintes, rues asphaltées dans l'urgence : La Havane s'est mise sur son 31 pour accueillir M. Kerry, qui a atterri vers 09H00 (13H00 GMT) et doit rester une dizaine d'heures sur place.
Une première pour un secrétaire d'Etat américain depuis 1945.
Cette visite intervient huit mois après l'annonce solennelle et simultanée, le 17 décembre, par Barack Obama et Raul Castro, d'un rapprochement historique.
Et pour marquer un peu plus l'Histoire, ce sont les trois Marines - Jim Tracy, F.W. Mike East et Larry C. Morris - qui avaient abaissé en janvier 1961 le drapeau flottant au fronton de la représentation diplomatique qui l'ont remis aux jeunes Marines pour le hisser de nouveau vendredi, scellant la nouvelle entente des anciens ennemis.
"Voir flotter la drapeau américain sur le Malecon (front de mer) de La Havane est un sentiment aussi profond que celui ressenti à Washington", quand a été hissé le drapeau cubain, confiait cette semaine à l'AFP Hugo Cancio, l'un des rares Cubano-américains invités à la cérémonie.
Dans les faits, les relations diplomatiques sont déjà rétablies - et les ambassades des deux côtés rouvertes - depuis le 20 juillet, mais le département d'Etat a salué un "jour historique".
Les deux gouvernements avaient rompu les liens en 1961 dans la foulée de la révolution castriste mais ils entretenaient depuis 1977 des sections d'intérêts qui faisaient office d'ambassades.
La levée de l'embargo en question
La brève visite de John Kerry vise aussi à aborder les sujets qui fâchent, comme la protection des droits de l'homme et des dissidents politiques.
Par ailleurs John Kerry a déclaré que l'administration du président Barack Obama était "fermement favorable" à la levée de l'embargo américain imposé à Cuba. Il a salué devant l'ambassade des Etats-Unis à La Havane un "moment historique".
M. Kerry a également estimé dans son discours prononcé en partie en espagnol que "le peuple de Cuba serait mieux servi par une véritable démocratie".
(Avec AFP)
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Par marialis2.2 le 13 Août 2015 à 11:06
La Chine stoppe son superordinateur Tianhe-1A
à cause de l'explosion à Tianjin
2015-08-13 13:27:35 xinhua lienLa Chine a fermé son superordinateur Tianhe-1A à cause d'une terrible explosion survenue mercredi soir à Tianjin, ville portuaire située près de la capitale chinoise.Tianhe-1A, basé au Centre national des superordinateurs à Tianjin, se trouve à quelques kilomètres du centre de l'explosion.
Les ondes de choc ont brisé des vitres du centre et ont causé l'effondrement du plafond à l'intérieur de l'immeuble, selon un employé du centre.
La machine a bien fonctionné même après l'explosion, a fait savoir Liu Guangming, directeur du centre.
Protégé dans une pièce renforcée pour ordinateur, Tianhe-1A et sa banque de données sont intacts, a ajouté M. Liu.
Pourtant, le centre a décidé de stopper manuellement Tianhe-1A une demi-heure après l'accident, en raison des préoccupations de sécurité.
Une gigantesque explosion s'est produite mercredi soir à Tianjin dans un entrepôt où étaient stockés des produits chimiques dangereux, faisant au moins 17 morts et plus de 400 blessés, selon le bilan établi jeudi matin.
Tianhe-1A, qui est capable d'atteindre une vitesse de calcul de 2,57 petaflops, a été reconnu comme le système d'ordinateur le plus rapide du monde en 2010, d'après le tableau de classement semestriel des 500 premiers superordinateurs.
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Par marialis2.2 le 12 Août 2015 à 23:07
Pourquoi les e-mails d’Hillary Clinton
posent problème
Le Monde.fr | <time datetime="2015-08-12T15:36:13+02:00" itemprop="datePublished">12.08.2015 à 15h36</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-08-12T17:18:56+02:00" itemprop="dateModified">12.08.2015 à 17h18</time> | Par Damien Leloup
<figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> </figure>Après de longues hésitations, Hillary Clinton, en tête des sondages pour l’investiture démocrate à la présidentielle américaine, a finalement accepté de donner le disque dur d’un ordinateur personnel qu’elle a utilisé comme serveur mail durant son mandat au Département d’Etat (2009-2013).
L’utilisation par Mme Clinton de son compte e-mail personnel dans le cadre de ses fonctions fait l’objet d’une enquête du ministère de la justice. Cette enquête a connu de multiples rebondissements, et constitue un élément-clé utilisé par les adversaires de la candidate dans la campagne pour l’investiture démocrate.
Lire aussi : Hillary Clinton ouvre ses serveurs au FBI et remet une copie de ses e-mails
Qu’est-il reproché à Hillary Clinton ?
Aux Etats-Unis, les élus et hauts fonctionnaires ne sont pas autorisés à utiliser des boîtes e-mail personnelles pour des activités liées à leur mandat. Ces correspondances sont considérées comme faisant partie des documents importants de leur activité : la loi américaine, et notamment le Federal Records Act, impose d’en conserver une copie pour archivage. A moins d’être classés confidentiels ou secret-défense, ces échanges peuvent être consultés par toute personne qui en fait la demande au nom de la loi sur la liberté d’information (Freedom of Information Act).
Sarah Palin, candidate à la vice-présidence pour les républicains en 2008, avait connu des déboires similaires. Après un piratage de son compte Yahoo! personnel, la presse américaine avait révélé qu’elle avait utilisé cette adresse pour gérer des dossiers liés à son mandat, en tant que gouverneure de l’Alaska. L’affaire avait créé un scandale qui avait causé du tort à Sarah Palin, en pleine campagne présidentielle, avant de se retourner contre le parti démocrate : le pirate, identifié quelques semaines plus tard, était le fils d’un élu démocrate.
Ces e-mails étaient-ils correctement protégés ?
En tant que responsable de la diplomatie américaine, Hillary Clinton envoyait et recevait une très grande quantité d’informations confidentielles et sensibles. Son compte e-mail aurait donc dû faire l’objet de mesures de protection particulièrement importantes. Mais le compte personnel qu’elle utilisait, et qui fonctionnait avec plusieurs serveurs – dont l’un situé à son domicile –, ne bénéficiait pas de ces mesures, et était donc aisément vulnérable à un piratage. Plus grave, certaines mesures élémentaires de protection n’étaient semble-t-il pas respectées – l’un des domaines liés au compte utilisait un certificat de sécurité invalide.
Ces éléments font dire aux républicains – mais aussi à de nombreux experts en sécurité informatique – qu’il est très probable que les messages ayant transité par ce compte aient été, à un moment ou un autre, consultés par des pirates. Aucune preuve d’un piratage d’ampleur n’a cependant été apportée pour l’instant.
Que contenaient ces courriels ?
Ce mardi, la commission d’enquête a annoncé que parmi les quarante e-mails qu’elle a pu examiner, au moins cinq contenaient des informations classifiées. Deux d’entre eux contenaient des informations classées « top secret ». Selon le département d’Etat, « il y a potentiellement plusieurs centaines de courriels classifiés parmi les 30 000 remis par Mme Clinton aux enquêteurs ».
Lire aussi : Ce que contiennent les e-mails rendus publics d’Hillary Clinton
Comment a réagi Mme Clinton ?
Mme Clinton et son équipe ont essentiellement joué la montre. Il a fallu cinq mois pour que le ministère de la justice obtienne l’accès au disque dur du serveur situé au domicile de la secrétaire d’Etat. L’équipe de Mme Clinton avait effacé le contenu du disque dur fin 2014, après avoir transmis aux enquêteurs un fichier présenté comme contenant l’intégralité des courriels y figurant.
Si depuis le début de l’enquête Mme Clinton a reconnu l’avoir utilisé, elle a toujours affirmé qu’aucun document confidentiel n’avait transité par cette boîte e-mail. Les premières conclusions de l’enquête montrent le contraire, mais notent également que les documents examinés, s’ils contenaient bien des informations classifiées, n’étaient pas identifiés comme tels. Un argument qui pourrait être utilisé par Mme Clinton pour arguer de sa bonne foi.
En revanche, la commission parlementaire d’enquête sur l’attaque du consulat américain de Benghazi, en Libye, qui s’était soldée en 2012 par la mort de l’ambassadeur, a découvert en juin que le fichier transmis par Mme Clinton n’était pas complet. Quinze courriels envoyés par la responsable de la diplomatie américaine à Sidney Blumenthal, vieil ami et conseiller de Mme Clinton, ne figuraient pas dans le fichier – M. Blumenthal avait transmis des copies de tous ses échanges avec Mme Clinton à la commission d’enquête, à sa demande.
Quelles peuvent être les conséquences de l’enquête ?
Hillary Clinton est loin d’être la première responsable politique américaine accusée d’une utilisation illégale de courriels. Les condamnations judiciaires sont extrêmement rares, mais les conséquences politiques peuvent être lourdes. Mme Clinton fait déjà l’objet d’attaques l’accusant d’avoir mis en danger la vie des soldats américains, et ses adversaires dénoncent son manque de transparence – dont le gouvernement Obama avait pourtant fait l’une de ses priorités.
Autre conséquence très concrète : l’inspection générale du département d’Etat a lancé le 17 juillet une vaste enquête interne sur « l’utilisation d’outils de communication personnels par cinq secrétaires d’Etat et leurs équipes proches ».
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Par marialis2.2 le 10 Août 2015 à 00:56
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Vol MH370 : les Maldives recherchent
également des débris
Des habitants de cet Etat insulaire ont rapporté avoir aperçu des débris qui pourraient appartenir au Boeing 777 disparu de Malaysia Airlines.
Source AFPPublié le <time datetime="2015-08-09T20:07" itemprop="datePublished">09/08/2015 à 20:07</time> - Modifié le <time datetime="2015-08-09T21:49" itemprop="dateModified">09/08/2015 à 21:49</time> | Le Point.fr lienEt si les recherches devaient se concentrer également vers les Maldives ? Le pays s'est mis à son tour à la recherche de débris du Boeing 777 disparu de Malaysia Airlines après que des habitants de cet Etat insulaire de l'océan indien ont rapporté avoir aperçu des éléments éventuellement intéress</header>"Nous regardons cela sous un jour nouveau après la découverte de la Réunion", a déclaré dimanche un porte-parole de la police de cet Etat insulaire de l'océan indien, se référant à la confirmation que le fragment d'avion de deux mètres trouvé dans l'île française de la Réunion provenait du vol MH370, disparu il y a 17 mois. Des habitants des Maldives ont rapporté avoir vu ces dernières semaines à plusieurs reprises des débris au large d'atolls du nord de l'archipel, selon la même source.
"Des débris non identifiés"
"Nous collectons ces débris non identifiés et les entreposons afin que les Malaisiens puissent les examiner et déterminer s'ils appartiennent ou non à l'appareil", a dit à l'AFP un responsable de la présidence des Maldives, Mohamed Shareef, interrogé par téléphone. "Nous leur avons envoyé des photographies et attendons leur réponse", a-t-il précisé.
Les Maldives ont en outre fourni à la Malaisie des données de radars, après des rumeurs selon lesquelles un avion de ligne avait été vu volant bas au large de certains atolls le jour de la disparition. "Nous avons vérifié des données fournies par nos radars et la réponse a été négative", a dit Mohamed Shareef. "Il n'y avait pas d'avion de ligne dans cette zone et nous avons transmis cette information aux autorités de Malaisie", a-t-il indiqué.
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