• Très embarrassant cette journée de la FEMME
    : il est vrai, comme tu le dis que nous n'avons pas besoin d'une journée pour EXISTER, pour être reconnues. Enfin ce sont surtout nos droits qui sont reconnus :
    - droit de vote (bien après les suffragettes) en récompense des services rendus pendant la guerre
    - droit au travail
    - droit d'être enfin autonome et une personne  à part entière, sans l'aval de son mari ,
    = 1963 avoir un compte en banque à son nom, sans la tutelle de son mari,
    - droit de disposer de notre corps = droit à l'avortement, usage de la pilule et de contraceptifs, de décider de privilégier sa vie de mère ou sa carrière professionnelle sans être montrée du doigt,
    - droit de se présenter aux élections, obligation de parité ( pour encore embrouiller les choses simples)
    - entrer à l'Académie  française ( sans parité, par charité ?) ou en reconnaissance d'un simple talent...
    - droit d'intégrer la formation et le métier qui nous plait sans discrimination (dans les textes...)

    Alors sur tous ces points ,je suis d'accord avec toi, cette jour née peut paraître ridicule et même humiliante ( un seul jour sur 365)! Mais nous avons fait un long chemin, semé d'embûches pour arriver à être respectées dans notre famille, par nos enfants chez nous et au travail.
    Si on regarde le droit du travail, bon nombre d'articles nous protègent de l'univers masculin  et pourtant  l' harcèlement moral, physique et sociétal pour nous faire regagner nos fourneaux, pour réduire le chômage  n'a jamais été aussi fort.
    Nous subissons une  pression sociale inouïe : avoir des enfants ( ne pas en vouloir parait toujours suspect), entretenir la maison ou être une souillon, bien éduquer les enfants ou être une mère indigne...
    Les femmes battues, violées, méprisées, analphabètes ( et oui, c'est nouveau ...) ne sont pas la majorité en France, MAIS ELLES SOUFFRENT QUAND MÊME!

    Et si nous quittons la France, alors c'est la journée de la Femme tous les jours : le droit au silence,à l'analphabétisme, à l'enfermement entre quatre murs, au mariage forcé, l'excision, l'infibulation, à la non existence en  tant que Personne.

    Alors, je dédie cette journée à toutes les femmes courageuses qui ont permis l'évolution de notre condition féminine ici en France et à toutes les autres qui souffrent ailleurs en silence sous le joug d'une religion, d'un dogme, d'une pratique ancestrale où elles n'existent pas en tant qu'individu... On en fait des fantômes, cachées sous un drap, où seuls des yeux apparaissent et expriment la peur et la souffrance, "les yeux toujours baissés".
    C'est peut-être pour elles que ce jour là mérite d'être fêté.

    Mais  attention soyons tous vigilants "ICI ET MAINTENANT" : le message aujourd'hui est très clair(Publicité, journaux...) " soit belle et tais toi", "parce que je le vaux bien" ! Il permet les viols:"les tournantes", le mépris de l'autre!

    Alors restons sur nos gardes et défendons ces droits si chèrement acquis.
    Et pourquoi pas pour changer  une journée de l'Homme?


    3 commentaires
  • Monde 08/03/2011 à 10h04 (mise à jour à 11h13)

    L'opposition rejette une offre de négociation de Kadhafi

    L'essentiel

    Selon les insurgés, un représentant de Kadhafi a proposé d'ouvrir des négociations, mais cette offre a été immédiatement rejetée. Toutefois, l'opposition s'engagerait à ne pas le poursuivre devant la justice s'il quitte le pays.


    Par LIBÉRATION.FR


    L'Essentiel

    •Les forces de Kadhafi bombardent à nouveau Ras Lanouf.

    •Kadhafi prêt à partir? Selon plusieurs médias arabes, un intermédiaire mandaté par lui aurait proposé une réunion avec les rebelles pour négocier son départ. Une proposition refusée par l'opposition, qui s'engagerait toutefois à ne pas le poursuivre judiciairement s'il quitte le pays.

    •Les diplomates français et britanniques travaillent sur un projet d'exclusion aérienne à présenter en fin de semaine au Conseil de sécurité de l'Onu.

    Sur le plan militaire:


    (Une batterie rebelle anti-aérienne à Ras Lanouf, Asmaa Waguih / Reuters)

    Selon Al-Jezira, Kadhafi aurait proposé aux insurgés une réunion avec le Congrès général du peuple rebelle pour examiner les conditions de son départ assorties de garanties. Mais, selon l'un des porte-paroles de l'oppostion, Mustafa Gheriani, cette proposition a été refusée:

    «Je confirme que nous avons reçu des contacts venant d'un représentant de Kadhafi qui voulait négocier sa sortie. Nous l'avons rejeté. Nous ne négocions pas avec quelqu'un qui a fait couler le sang libyen et qui continue de le faire. Pourquoi devrions-nous faire confiance à cet homme aujourd'hui?»

    Toutefois, l'opposition s'engage à ne pas entamer de poursuites judiciaires contre Kadhafi s'il démissionne et quitte le pays, assure mardi à l'AFP le président du Conseil national mis en place par les insurgés pour préparer la transition.

    Sur le terrain, un avion de chasse a mené une attaque ce mardi dans le désert, provoquant un énorme nuage de fumée grise, à l'est du port pétrolier de Ras Lanouf, base la plus avancée de l'opposition dans l'est libyen. Depuis plusieurs jours, Ras Lanouf, Ben Jaouad et Brega sont l'objet de combats entre les insurgés et les forces de Kadhafi.

    Ce sont des points primordiaux pour le contrôle du pétrole et de l'est du pays.

    Selon un journaliste de l'AFP, les insurgés sont moins nombreux ce mardi que les jours précédents sur le poste de contrôle principal de Ras Lanouf.

    Sur le plan diplomatique:

    La France et la Grande-Bretagne travaillent sur un projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU imposant une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye. Selon des diplomates, ils veulent la présenter dès cette semaine. L'adoption d'une telle résolution semble cependant délicate, en raison de la réticence de certains pays, comme la Chine et surtout la Russie.

    Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, a confirmé lundi que l'alliance militaire examinait tous les scénarios pour être prête à agir mais il a tenu à préciser qu'elle n'interviendrait pas en Libye sans mandat de l'ONU.

    Ceux qui sont officiellement pour la «zone d'exlusion»:

    •La France

    •Le Royaume-Uni

    •L'Organisation de la conférence islamique (OCI) (57 membres dont la Libye, un milliard de musulmans)

    •Les monarchies arabes du Golfe (les Emirats, l'Arabie saoudite, le Koweït, le Qatar, le sultanat d'Oman et Bahreïn)

    Ceux qui sont contre:

    •La Chine

    •La Russie

    Sur le plan humanitaire:



    Plus de 190 000 personnes ont déjà quitté la Libye. Les Européens ont une hantise: que la situation se dégrade au point de se traduire par une vague d'émigration massive d'Afrique du Nord vers le Vieux continent.

    Ils craignent que des centaines de milliers d'habitants des pays du sud de la Méditerranée ne soient poussés à fuir vers l'Europe au cas où la vague de contestation historique qui secoue le monde arabe se traduirait par un surcroît de précarité économique et sociale.

    Plus de 1.000 immigrants, pour la plupart tunisiens, sont arrivées entre dimanche soir et lundi sur l'île italienne de Lampedusa (sud de la Sicile).

    ---> A lire sur ce sujet le reportage de Jean-Louis Le Touzet à Lampedusa (zone abonnés).Une plateforme de crise à Bruxelles coordonne depuis vendredi le pont aérien mis en place par les pays européens pour évacuer les milliers d'Egyptiens bloqués en Libye.

    L'Italie va rapatrier par deux vols de la compagnie nationale Alitalia environ 600 ressortissants du Bangladesh qui ont fui les combats en Libye pour se réfugier en Tunisie, annonce ce mardi le ministère italien des Affaires étrangères.


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  • Appel à sauver la vie de l’avocat Houtan Kian et de Sakineh Mohammadi Ashtiani

    Action urgente : Iran
    Appel à sauver la vie de l’avocat Houtan Kian et de Sakineh Mohammadi Ashtiani
    2 Mars 2011

    La République Islamique d’Iran a condamné Houtan Kian, l’avocat dans l’affaire de la lapidation de Sakineh Mohammadi Astiani, à la mort par pendaison. Il a eu quatre condamnations à mort consécutives. Trois ont été révoquées, la quatrième a été conformée. Des rapports crédibles reçus par le Comité International Contre la Lapidation confirment ce fait.

    Houtan Kian a été arrêté en octobre 2010 avec Sajjad Ghaderzadeh, le fils de Sakineh Mohammadi Astiani, et deux journalistes allemands, lors d’une interview. Si plus tard les trois autres personnes ont été libérées, Houtan Kian est menacé d’exécution imminente. De plus, la condamnation à mort de Sakineh Mohammadi Ashtiani a été confirmée. En apprenant cette nouvelle, on rapporte que Sakineh a tenté de se suicider mais a survécu.

    Nous sommes horrifiés par ces atroces condamnations à mort et appelons à une action urgente pour stopper leur exécutions et obtenir leurs libérations inconditionnelles. Ils n’ont rien fait de mal. Le seul crime de Houtan Kian a été de défendre une femme menacée de mort par lapidation. Le seul crime de Sakineh est d’être une femme dans la République Islamique d’Iran et sous la loi de la Charria.

     

    Seule une forte pression internationale pourra les sauver ainsi que les nombreuses autres personnes qui attendent la mort dans la capitale mondiale des exécutions.

    Mina Ahadi, Coordinatrice des Comités Internationaux Contre la Lapidation et les Exécutions
    Patty Debonitas, Porte-parole de Iran Solidarity
    Maryam Namazie, Porte-parole de One Law for All

    AGISSEZ MAINTENAT !

    Ecrivez, appelez, faxez et envoyez des e-mails demandant la fin des exécutions et la libération immédiate et inconditionnelle de Sakineh Mohammadi Ashtiani et de son avocat Houtan Kian.

    Vous pouvez contacter les ambassades de la République Islamique d’Iran, les ministères des affaires étrangères de vos pays de résidences, les députés, le système judiciaire iranien, l’ONU, l’Union Européenne et d’autres.

    Vous pouvez aussi mener des actions de solidarité dans le centre d’une ville pour faire connaître cette affaire, agir par le biais de sites de réseaux sociaux et lever des banderoles “Libérez Houtan Kian et Sakineh” et “Fin immédiate des exécutions et de la lapidation” lors des actions de la Journée Internationale des Femmes.

    Merci d’envoyer des copies de vos lettres, mails, actions et actes de solidarité à :
    iransolidaritynow@gmail.com.

    Pour plus d’informations, contactez : Mina Ahadi, minaahadi@aol.com, Tel: +49 (0) 1775692413 or Patty Debonitas, iransolidaritynow@gmail.com, Tel: +44 (0) 7507978745.

    Quelques adresses de contact qui peuvent être utiles :

    ONU
    npillay@ohchr.org, urgent-action@ohchr.org, sg@un.org
    Working group on arbitrary detention: wgad@ohchr.org
    Human rights & international solidarity iesolidarity@ohchr.org

    Union Européenne
    Haute Représentation des Affaires Etrangères de l’UE
    Catherine Ashton: COMM-SPP-HRVP-ASHTON@ec.europa.eu

    République Islamique d’Iran

    Responsable du Système Judiciaire
    Sadeqh Larijani
    Howzeh Riyasat-e Qoveh Qazaiyeh (Office of the Head of the Judiciary)
    Pasteur St., Vali Asr Ave., south of Serah-e Jomhouri
    Tehran 1316814737, Iran
    Email: info@dadiran.ir ou par le site: http://www.dadiran.ir/tabid/75/Default.aspx
    Première case : votre prénom ; deuxième cas : votre nom de famille ; troisième case votre adresse email

    Ali Khamenei
    The Office of the Supreme Leader
    Islamic Republic Street – Shahid Keshvar Doust Street
    Tehran, Iran
    Email: info_leader@leader.ir
    par le site : http://www.leader.ir/langs/en/index.php?p=letter (anglais)
    http://www.leader.ir/langs/fa/index.php?p=letter (farsi)

    Secrétaire Général du Haut Conszeil pour les Droits Humains
    Mohammad Javad Larijani
    Howzeh Riassat-e Ghoveh Ghazaiyeh
    Pasteur St, Vali Asr Ave., south of Serah-e Jomhuri
    Tehran 1316814737, Iran
    Fax: +98 21 3390 4986
    Email: bia.judi@yahoo.com

    Ministères des Affaires Etrangères

    Autriche : michael.spindelegger@bmeia.gv.at
    Belgique: kab.bz@diplobel.fed.be
    Bosnie-Herzégovine : info@mvp.gov.ba
    Bulgarie : iprd@mfa.government.bg
    Brésil: imprensa@itamaraty.gov.br
    Grande-Bretagne : haguew@parliament.uk
    Canada: cannon.l@parl.gc.ca
    Croatie : ministar@mvpei.hr
    Chypre : minforeign1@mfa.gov.cy
    République Tchéque : podatelna@mzv.cz
    Danemark: udenrigsministeren@um.dk
    Estonie: vminfo@vm.ee
    Finlande: umi@formin.fi
    France: alain.juppe@diplomatie.gouv.fr
    Géorgie: inform@mfa.gov.ge
    Allemagne : guido.westerwelle@auswaertiges-amt.de,
    Grèce : gpapandreou@parliament.gr,
    Hongrie : titkarsag.konz@kum.hu,
    Islande : external@utn.stjr.is
    Inde : eam@mea.gov.in
    Irlande: minister@dfa.ie
    Italie : segreteria.frattini@esteri.it
    Lettonie: mfa.cha@mfa.gov.lv
    Malte : tonio.borg@gov.mt
    Moldavie : secdep@mfa.md
    Norvège: post@mfa.no
    Pologne : DNZPC.Sekretariat@msz.gov.pl,
    Portugal : senec@mne.gov.pt
    Serbie: msp@mfa.rs
    Espagne: miguel.moratinos@maec.es
    Bureau des Droits Humains : Email:beatriz.lorenzo@maec.es
    Suède : registrator@foreign.ministry.se
    Suisse : info@eda.admin.ch
    USA: : http://bit.ly/e0A7i8 (online form)
    Bureau of Democracy & Human Rights Kathy Stewart stewartkb@state.gov

    Ambassades étrangères en Iran

    • Afghani Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (00) (98) (21) 88735040, 88737050, 88737531
    Fax: (00) (98) (21) 88735600
    Email: info@afghanembassy.ir

    • Armenian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (98 21) 66704838
    (98 21) 66704833
    Fax: (98 21) 66700657
    Email: emarteh@yahoo.com

    • Australian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98 21 8386 3666
    Fax: 98 21 8872 0484
    Email: dfat-tehran@dfat.gov.au

    • Austrian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (+98/21) 22 75 00-38
    (+98/21) 22 75 00-40
    (+98/21) 22 75 00-42
    Fax: (+98/21) 22 70 52 62
    Email: teheran-ob@bmeia.gv.at

    • Azerbaijani Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (9821) 22 21 51 91/ 25 54
    Fax: : (9821) 22 21 75 04
    Email: azaremb@neda.net

    • Bangladeshi Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-88063073 to 76, 88059481
    Fax: +98-21-8803 9965
    Email: info@bangladoot.ir

    • Belarusian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (+98 21) 2270 88 29
    Fax: (+98 21) 2271 86 82
    Email: belarus-iri@apadana.com

    • Belgian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: + (98) (21) 22 04 16 17
    Fax: + (98) (21) 22 04 46 08
    Email: Teheran@diplobel.be

    • Bosnian Embassy in Teheran, Iran

    Phone: + (98 21) 8808 69 29
    + (98 21) 8808 69 30
    Fax: + (98 21) 8809 21 20
    Email: bhembasy@parsonline.net

    • Brazilian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (9821) 22753108-9 22752711 22753110
    Fax: (9821) 2274-4009
    Email: embassy@braziliran.org

    • Bulgarian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (009821) 8877-5662
    (009821) 8877-5037
    Fax: (009821) 8877-9680
    Email: bulgr.tehr@neda.net

    • Canadian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (011 98 21) 8152-0000
    Fax: (011 98 21) 8873-3200
    Email: teran@international.gc.ca

    • Chinese Embassy in Tehran, Iran

    Phone: 009821-22291240
    009821-22291241
    Fax: 009821-22291243
    009821-22290690
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    • Croatian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: 0098 21 258 9923
    0098 21 258 7039
    Fax: 0098 21 254 9199
    Email: vrh.teheran@mvpei.hr

    • Czech Embassy in Tehran, Iran

    Phone: 98 21 – 2288149
    98 21 – 2288153
    Fax: 98 21 2802079
    Email: teheran@embassy.mzv.cz

    • Danish Embassy in Tehran, Iran

    Phone: + 98 (21) 2260 13 63 or + 98 (21) 2260 70 20
    Fax: + 98 (21) 2264 00 07
    Email: thramb@um.dk

    • Finnish Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-2220 7090, 2223 0979
    Fax: +98-21-2221 0948
    Email: sanomat.teh@formin.fi

    • French Embassy in Tehran, Iran

    Phone: + 00 98 21 64 09 4000
    Fax: + 00 98 21 64 09 40 92/93
    Email: contact@ambafrance-ir.org

    • Georgian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: + (98 21) 2260-41-54
    Fax: + (98 21) 2260-97-65
    Email: tehran.emb@mfa.gov.ge; tehran.con@mfa.gov.ge

    • German Embassy in Teheran, Iran, Iran

    Phone: (0098 21) 39 99 00 00
    Fax: (0098 21) 39 99 18 90
    Email: nfo@teheran.diplo.de

    • Greek Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (009821) 2050533, 2053784
    Fax: (009821) 2057431
    Email: embgreece1@safineh.net

    • Indian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: 00-98-21-8755105-7
    Fax: 00-98-21-8755973
    Email: indemteh@dpimail.net

    • Indonesian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (98-21) 8871-6865, 8871-7251, 8855-3655
    Fax: (98-21) 8871-8822
    Email: kbritehran@parsonline.net

    • Irish Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-22803835 (08.30-16.30 Sun-Thurs); +98-21-22297918
    Fax: +98-21-22286933
    Email: tehranembassy@dfa.ie

    • Italian Embassy in Teheran, Iran

    Phone: 98 21 672 6955
    Fax: 98 21 672 6961
    Email: segreteria.teheran@esteri.it

    • Kenyan Embassy in Tehran, Iran

    Phone: + 98 21 22049355/22023234
    Fax: + 98 21 22048619/ 22025792
    Email: abbas@mfa.go.ke

    • Malaysian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (+9821) 2240 4081/3
    Fax: (+9821) 2241 7921
    Email: mwtehran@parsonline.net, malthran@kln.gov.my

    • Malian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (+98-21) 88720810

    • Mexican Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (9821) 2205-7586 a 88, *2205-7590*, 2201-2920/21
    Fax: (9821) 2205-7589

    • Dutch Embassy in Tehran, Iran

    Phone: 0935 2111299
    Email: teh@minbuza.nl

    • New Zealand Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-2612-2175 or +44-20-7316-8972 via London
    Fax: +98-21-2612-1973 or +44-20-7316-8954 via London
    Email: Tehran@nzembassy.org

    • Norwegian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (+9821) 2229 1333
    Fax: (+9821) 2229 2776
    Email: emb.tehran@mfa.no

    • Pakistani Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98 21 6694489, +98 21 6694488
    Fax: +98 21 66944898
    Email: pareptehran@yahoo.com

    • Pakistani Consulate in Mashhad, Iran

    Philippine Embassy in Tehran, Iran
    Phone: (+9821) 2266-8774 to 76
    Fax: (9821) 2266-8990
    Email: tehranpe@yahoo.com / tehranpe@dfa.gov.ph

    • Polish Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98.21.8878.7262
    Fax: +98.21.8878.8774
    Email: teheran.amb.sekretariat@msz.gov.pl

    • Russian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98 21 6670-1161, 6670-1173
    Fax: +98 21 6670-1652
    Email: rusembiran@parsonline.net
    Serbian Embassy in Tehran, Iran
    Phone: (+98-21)-2412569 /+98-21-2412570/+98-21-2412571
    Fax: +98-21-2402869
    Email: scgambateh@neda.net

    • Slovak Embassy in Tehran, Iran

    Phone: 0098-21 / 22 41 11 64
    Fax: 0098-21 / 22 40 97 19
    Email: svkemb@parsonline.net

    • Slovenian Embassy in Tehran, Iran

    Embassy of Slovenia in Iran
    Phone: +98-21-2802223
    Fax: +98-21-2282131
    Email: vte@mzz-dkp.gov.si

    • South African Embassy in Tehran, Iran

    Phone: + 98 21 270 2866-9
    Fax: + 98 21 271 9516
    Email: saembtehcons@walla.com, saembtehadmin@walla.com

    • Korean Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-8054900
    Fax: +98-21-8054899
    Email: emb-ir@mofat.go.kr

    • Spanish Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98.21.225.68. 681 / 682 / 683 / 684
    Fax: +98.21.225.68.016
    Email: emb.teheran@maec.es

    • Sri Lankan Embassy in Tehran, Iran

    Phone: 0098 21 22569179
    Fax: 0098 21 22540924
    Email: info@slembir.com/slemb@aframail.com

    • Swedish Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-2371 2200/+98-21-2371 2200
    Fax: +98-21-222 964 51/+98-21-222 860 21
    Email: ambassaden.teheran@foreign.ministry.se

    • Syrian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (+98-21) 2059031/2, 2052780
    Fax: (+98-21) 2059409

    • Turkish Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (+98-21)-3118997 / 3115299 / 3115351
    Fax: +98-21-3117928
    Email: polerumi@irantradecentre.com

    • Ukrainian Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-8034119 / +98-21-8008530
    Fax: +98-21-8007130
    Email: emb_ir@mfa.gov.ua / ukremb@parsonline.net

    • British Embassy in Tehran, Iran

    Phone: (98) (21) 6405 2000/(00 98 21) 6405 2264/11316-91144
    Fax: (98) (21) 6405 2289/(00 98 21) 6405 2273
    Email: margaret.mostoufi@fco.gov.uk

    • Venezuelan Embassy in Tehran, Iran

    Phone: +98-21-2205 1955 / 8871 5185 / 8871 2840
    Fax: +98-21-2202 0584
    Email: artur1@reacciun.ve

    Ambassades de la République islamique d’Iran

    • Iranian Embassy in Kabul, Afghanistan

    Phone: 0093-2101391 – 5
    Fax: 0093-2101397
    Email: iranemkabul@mfa.gov.ir

    • Iranian Embassy in Yerevan, Armenia

    Email: info@iranembassy.am

    • Iranian Embassy in Canberra, Australia

    City: Canberra
    Phone: (+61) 2 6290 2427, 2 6290 7000
    Fax: (+61) 2 6290 2825, 2 6290 2825
    Email: ambassador@iranembassy.org.au

    • Iranian Embassy in Vienna, Austria

    Phone: +431+7122657
    Fax: +431+7135733
    Email: public@iranembassy-wien.at

    • Iranian Embassy in Brasilia, Brazil

    Phone: (61) 3242-5733
    Fax: (61) 3242-5733
    Email: webiran@webiran.org.br

    • Iranian Embassy in Ottawa, Canada

    Phone: (613) 235-4726
    Email: executive@salamiran.org

    • Iranian Embassy in Copenhagen, Denmark

    Phone: + 45 +39160003
    Fax: + 45 +39160075
    Email: info@iran-embassy.dk

    • Iranian Embassy in Addis Ababa, Ethiopia

    Phone: 200794 – 712012
    Iranian Embassy in Helsinki, Finland
    Phone: +358-9-6869 240
    Fax: +358-9-6869 2410
    Email: embassy@iran.fi

    • Iranian Consulate in Frankfurt, Germany

    Phone: +49 (0) 69 56 000 739 / +49 (0) 69 56 000 740
    Fax: +49 (0) 69 56 000 728
    Email: info@irangk.de

    • Iranian Embassy in Budapest, Hungary

    Phone: 361+4609260
    Fax: 361+4609430
    Email: rahnama@iranembassy.hu

    • Iranian Embassy in New Delhi, India

    Phone: +91-11-23329600 / +91-11-23329601
    Fax: +91-11-23325493
    Email: info@iran-embassy.org.in

    • Iranian Embassy in Jakarta, Indonesia

    Phone: +62-21-331378 or 33139162-21-3107860
    Fax: +62-21-3107860
    Email: irembjkt@indo.net.id

    • Iranian Embassy in Dublin, Ireland

    Phone: (003531) 2885881/(003531) 2880252
    Fax: (003531) 2834246
    Email: iranembassy@indigo.ie

    • Iranian Embassy in Tokyo, Japan

    Fax: +3-34489022
    Email: consular@gol.com

    • Iranian Embassy in Nairobi, Kenya

    Phone: LOCAL: (020) 272.0343 INTERNATIONAL: +254.20.272.0343
    Fax: LOCAL: (020) 271.3966 INTERNATIONAL: +254.20.271.3

    • Iranian Embassy in Kuala Lumpur, Malaysia

    Phone: 603-4251 4824/4829/4826/4830
    Fax: 603-4256 2904/42532767
    Email: ir_emb@tm.net.my

    • Iranian Embassy in Den Haag, Netherlands

    Email: info@iranembassy.nl

    • Iranian Embassy in Wellington, New Zealand

    Phone: (04) 386 2976; (04) 386 2983; (04) 939 4536 (Consular)
    Fax: (04) 939 8108
    Email: info@iranembassy.org.nz

    • Iranian Embassy in Oslo, Norway

    Phone: (+47) 23 27 29 60
    Fax: (+47) 22 55 49 19
    Email: ambassador@iran-embassy-oslo.no

    • Iranian Embassy in Pretoria, South Africa

    Phone: +27 (012) 342 58 80 / +27 (012) 342 58 81
    Fax: +27 (012) 342 18 78
    Email: Office@Iranembassy.org.za

    • Iranian Embassy in Stockholm, Sweden

    Phone: 46 + 8 + 63 63 600 / 46 + 8 + 63 63 630
    Fax: 46 + 8 + 63 63 626
    Email: consular@iran.se

    • Iranian Embassy in Abu Dhabi, United Arab Emirates

    Phone: +9712 4447618
    Fax: +9712 4448714
    Email: iranemb@eim.ae

    • Iranian Embassy in London, United Kingdom

    Phone: (44) 020-7225 3000
    Fax: ( +44)2075894440
    Email: info@iran-embassy.org.uk

    • Iranian Consulate in Caracas, Venezuela

    Phone: 0058-212 9921854
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  • Alain Juppé fait profil bas en Égypte

    Alain Juppé s'est rendu dimanche sur la place Tahrir, au Caire, lieu symboliquede la révolution égyptienne.
    Alain Juppé s'est rendu dimanche sur la place Tahrir, au Caire, lieu symboliquede la révolution égyptienne. Crédits photo : KHALED DESOUKI/AFP

    Le ministre des Affaires étrangères s'est entretenu au Caire avec des Frères musulmans. Il assure que la France n'a pas à s'ingérer dans la transition post-Moubarak.

    Une dizaine de jeunes de la Coordination de la révolution du 25 janvier, laïcs et islamistes, qui exposent leurs attentes et leurs espoirs; un ministre qui écoute et promet de «poursuivre le dialogue politique, notamment avec l'islam». Alain Juppé s'est livré à un exercice de style inhabituel et délicat, dimanche, dans un café près de la place Tahrir, symbole de la révolution égyptienne. Première mission pour le chef de la diplomatie française: tourner la page des relations «privilégiées» entre la France et l'Égypte de Hosni Moubarak, illustrées, par exemple, par la coprésidence de l'Union pour la Méditerranée (UPM). Ces relations, les jeunes n'ont pas manqué de les stigmatiser. D'autant que Michèle Alliot-Marie saluait encore, trois jours avant la révolution, les «caractéristiques de démocratie et de tolérance» de l'État égyptien…

    Aujourd'hui, la France fait donc profil bas. «C'est aux seuls Égyptiens de définir les contours du système démocratique qu'ils souhaitent. La France n'a pas l'intention de s'y immiscer», a insisté Alain Juppé. «Le message qu'on fait passer, c'est ni ingérence ni indifférence», résume-t-on dans l'entourage du ministre.

    Dans la délégation de jeunes révolutionnaires, quatre membres des Frères musulmans. La c

    Le ministre des Affaires étrangères s'est entretenu au Caire avec des Frères musulmans. Il assure que la France n'a pas à s'ingérer dans la transition post-Moubarak.

    onfrérie islamiste interdite espère se constituer en parti politique. Brandie comme un épouvantail par le régime Moubarak, elle se dit prête à jouer le jeu de la démocratie. «Tout ce qu'on demande à la France, c'est de ne plus être stigmatisés et présentés comme des terroristes», souligne Islam Lotfy. «Plusieurs de ces jeunes (Frères musulmans) m'ont fait part de leur vision d'un islam libéral et respectueux des règles démocratiques», a commenté Alain Juppé, estimant que «la présentation qui est parfois faite de ce mouvement mérite sans doute d'être révisée». Avant d'ajouter: «Nous nous sommes peut-être laissé intoxiquer quand on nous disait ces dernières années: “Les régimes autoritaires sont le seul rempart contre l'extrémisme.”» Mais la France est aussi «l'objet de menaces de la part de mouvements islamistes radicaux… Qu'est-ce que le concept de laïcité, et comment fonctionne-t-il avec l'islam? Ce sont des problèmes pour la société française.»

     

    Aide économique

    Le chef de la diplomatie française en a eu une piqûre de rappel au cours d'une brève mais symbolique visite sur la place Tahrir. Il y a été accueilli aux cris de «Allahou akbar» par un groupe de salafistes. «Nous n'avons pas une vision idyllique», précise un de ses conseillers. «Nous faisons le pari de la démocratie, mais nous savons qu'il peut en sortir le meilleur comme le pire.» Pour faire en sorte que ce soit le meilleur, Alain Juppé a promis de soutenir la nouvelle Égypte «dans cette phase difficile de son histoire», notamment pour «contribuer à sa stabilité économique (…), seule façon de maîtriser les flux migratoires». Une piste est de faire passer l'enveloppe de l'Agence française de développement de 150 à 250 millions d'euros par an pour aider les petites et moyennes entreprises. Une autre, chère à Nicolas Sarkozy, de «refonder» l'Union pour la Méditerranée (UPM).

    Après sa rencontre avec les jeunes, Alain Juppé s'est entretenu avec le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, et avec le maréchal Mohammed Tantaoui, chef du Conseil suprême des forces armées au pouvoir. Deux hommes avec lesquels il a aussi évoqué le dossier libyen. «C'est notre principal sujet de préoccupation», a reconnu le chef de la diplomatie, appelant une nouvelle fois au départ d'un «régime discrédité».


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  • Côte d'Ivoire : le spectre d'une faillite hante la région

    Proche de Laurent Gbagbo, le gouverneur de la BCEAO, Philippe-Henri Dacoury-Tabley, voit son poste menacé.
    Proche de Laurent Gbagbo, le gouverneur de la BCEAO, Philippe-Henri Dacoury-Tabley, voit son poste menacé. Crédits photo : GEORGES GOBET/AFP

    Le gouverneur de la BCEAO est sur la sellette pour avoir aidé Gbagbo. 

    La paralysie économique et politique en Côte d'Ivoire se transforme en cauchemar pour les autres États d'Afrique de l'Ouest. Le pays à lui seul pèse près de 40 % du PIB (produit intérieur brut) de la région, cumule les deux tiers de ses bons du Trésor, et représente 22 % de sa population. «C'est un acteur essentiel sur le marché monétaire et financier», souligne el-Hadji Abdou Sakho, commissaire chargé des politiques économiques à l'Uémoa (Union économique et monétaire ouest-africaine).

    La Banque mondiale a gelé tous ses financements et fermé son bureau d'Abidjan, tandis que le Fonds monétaire international (FMI) ne verse plus un centime à la Côte d'Ivoire en attendant que la crise se résolve. Dès le mois de décembre dernier, les ministres des Finances de l'Uémoa ont demandé à la Banque centrale des États d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) de reconnaître pour seule signature autorisée à gérer les comptes du pays celle du président ivoirien «légitimement élu», Alassane Ouattara. Avec le Bénin, le Burkina-Faso, le Mali, le Niger, le Togo, le Sénégal et la Guinée-Bissau, ces huit pays, qui ont en commun le franc CFA comme monnaie unique, se servent de la BCEAO comme institut d'émission.

    Menace sur le franc CFA

    Laurent Gbagbo, qui refuse de quitter son poste, a immédiatement jugé la décision «illégale », estimant que les ministres «outrepassaient leurs prérogatives» et allaient «créer le désordre». Or, jusqu'à vendredi dernier, affirme Ali Daou, chargé de programme à l'Unesco à Bamako, il a «réussi à sortir 70 milliards de francs CFA via la Banque centrale». Un chiffre qui correspond à peu près à ce que la Côte d'Ivoire doit débourser chaque mois pour payer ses fonctionnaires et que confirme une bonne spécialiste du dossier qui estime par ailleurs qu'il a les moyens de mobiliser mensuellement jusqu'à 240 milliards de francs CFA. «En réalité, il joue sur les impôts des grandes sociétés d'État et étrangères ainsi que sur des redressements fiscaux non justifiés », explique un économiste. Du coup, Laurent Gbagbo menace de créer sa propre monnaie et de sortir du franc CFA.

    Cette crise, qui faisait encore l'objet d'une réunion des ministres de Finances au Mali au début du mois, promet d'être maintenant, «le seul vrai point à l'ordre du jour» de la Conférence des chefs d'État de l'Uémoa, qui s'ouvre samedi prochain à Bamako, selon ses organisateurs. Certes, personne ne veut croire à un effondrement de la Côte d'Ivoire. Mais tout le monde y songe. «C'est une éventualité que nous refusons d'envisager parce qu'elle est incompatible avec notre processus d'intégration», insiste el-Hadji Abdou Sakho.

    Résultat, c'est le gouverneur de la BCEAO, Philippe-Henri Dacoury-Tabley, qui se retrouve l'homme à abattre. Ivoirien, proche de Laurent Gbagbo, il aurait traîné les pieds pour obéir aux directives des responsables financiers de l'Uémoa, avoue un avocat européen. «Il doit partir samedi, c'est aux chefs d'État d'en décider», juge Ali Daou. «Il faut en tout cas qu'il se passe quelque chose de fort à ce sommet», confirme le commissaire chargé des politiques économiques à l'Uémoa.

     

     

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