• Dernière modification : 28/06/2012 

    - Allemagne - Euro-2012 - Football - Italie

     

    L’Italie rejoint l’Espagne en finale

     L’Italie rejoint l’Espagne en finale  

    L’Italie a battu jeudi l’Allemagne (2-1), grâce au doublé en première période de son avant-centre Mario Balotelli (photo). La Squadra Azzurra est ainsi qualifiée pour la finale dimanche face à l’Espagne, championne d’Europe en titre.

    Par Dépêche (texte)
     

    REUTERS - L'Italie s'est qualifiée jeudi pour la finale de l'Euro 2012, où elle retrouvera l'Espagne, en disposant de l'Allemagne grâce à un doublé de Mario Balotelli (2-1).

    La Squadra Azzurra a maîtrisé la rencontre de bout en bout et s'en est remise au talent de son enfant terrible, auteur du premier but d'une tête astucieuse (20e) et du second d'une frappe puissante sous la barre transversale (36e).

    La Mannschaft a réduit le score en toute fin de rencontre sur un penalty transformé par Mesut Özil (90e+2).

    Dimanche, à Kiev, l'Italie tentera de décrocher un deuxième titre de championne d'Europe, 44 ans après son unique sacre continental.

    De son côté, l'Espagne visera deux records: devenir la première nation à conserver son titre de championne d'Europe mais aussi la seule à enchaîner trois sacres majeurs.

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    Allemagne
    M. Özil 91'
    1 - 2
    Terminé
    Italie
    M. Balotelli 20', M. Balotelli 36'
    Le 28/06/2012 à 20:45 | Euro 2012 - Varsovie | Arbitre : M. Lannoy

    Composition

    M. Neuer
    M. Hummels
    H. Badstuber
    P. Lahm
    S. Khedira
    M. Özil
    B. Schweinsteiger
    T. Kroos
    sortie J. Boateng
    entrée T. Müller 70'
    sortie L. Podolski
    entrée M. Reus 45'
    sortie M. Gomez
    entrée M. Klose 45'

    Remplacants

    A. Schürrle
    I. Gündogan
    M. Götze
    L. Bender
    M. Schmelzer
    P. Mertesacker
    B. Höwedes
    R. Zieler
    T. Wiese

    Entraineur

    Joachim Löw
    90+3 L'Italie se qualifie pour la finale en tenant dans les dernières secondes son avantage. L'Allemagne bute encore sur la Squadra Azzurra qu'elle n'a jamais battue en phase finale. Les coéquipiers de Buffon défieront l'Espagne dimanche en finale !
    90+1 BUT de Özil pour l'Allemagne qui transforme ce penalty en force sur la droite. L'Allemagne y croit, il reste deux minutes de temps additionnel ! Hummels écope d'un carton pour une faute dans la surface sur Bonucci.
    90 Penalty pour l'Allemagne pour une main de Balzaretti.
    90 Quatre minutes de temps additionnel à Varsovie ! L'Italie s'apprête à retrouver l'Espagne en finale.
    89 Klose est servi sur la gauche et peut trouver Hummels resté aux avant-postes suite à un corner. L'Allemand face à Buffon bute sur le capitaine Azzurri. Dans la foulée, Ozil frappe à son tour mais ne trouve pas le cadre.
    87 L'Allemagne se dirige vers une nouvelle désillusion. Présente dans le dernier carré d'une grande compétition pour la quatrième fois consécutive, la Mannschaft devra sans doute encore attendre pour remporter un nouveau titre. Elle reste bredouille depuis 1996 et l'Euro en Angleterre. L'Italie gère parfaitement cette fin de match.

    Statistiques

    1   Buts   2
    6   Tirs   4
    4   Tirs cadrés   4
    2   Tirs non cadrés   0
    6   Corners   0
    0   Hors-jeu   0
    0   Cartons jaunes   4
    0   Cartons rouges  

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  • 28 juin 2012 - 21H43  

     

    Dans une Birmanie en ébullition, la Banque centrale en quête d'indépendance
     

    Trois mois après la modernisation de sa devise, la Birmanie poursuit les réformes économiques à marche forcée: sa Banque centrale est désormais en quête d'indépendance, une réforme majeure pour rassurer les investisseurs quant à la stabilité monétaire du pays.

     
    Trois mois après la modernisation de sa devise, la Birmanie poursuit les réformes économiques à marche forcée: sa Banque centrale est désormais en quête d'indépendance, une réforme majeure pour rassurer les investisseurs quant à la stabilité monétaire du pays.

    Dans un rapport publié en mai, le Fonds monétaire international (FMI) avait noté que la CBM était un simple département du ministère des Finances alors qu'elle devrait être dotée d'une "autonomie opérationnelle totale", avec "l'objectif prioritaire clairement défini de la stabilité des prix".

    Dans un rapport publié en mai, le Fonds monétaire international (FMI) avait noté que la CBM était un simple département du ministère des Finances alors qu'elle devrait être dotée d'une "autonomie opérationnelle totale", avec "l'objectif prioritaire clairement défini de la stabilité des prix".

    AFP - Trois mois après la modernisation de sa devise, la Birmanie poursuit les réformes économiques à marche forcée: sa Banque centrale est désormais en quête d'indépendance, une réforme majeure pour rassurer les investisseurs quant à la stabilité monétaire du pays.

    La Banque (Central Bank of Myanmar, CBM) fait l'objet d'une réforme qui devra passer devant le parlement alors que le nouveau pouvoir tente de se débarrasser des structures héritées d'un demi-siècle de pouvoir militaire.

    "La loi sur la CBM devrait être amendée pour être plus pertinente, dans un système avec une banque centrale indépendante", a expliqué Maung Maung Win, un des deux gouverneurs adjoints de l'institution, dans un entretien à l'AFP.

    Mais "l'indépendance ne peut pas nous être accordée immédiatement car la banque a besoin de répondre à certaines exigences, en particulier sur le plan des infrastructures".

    "Si nous atteignons la stabilité monétaire, les investisseurs pourront venir dans notre pays avec un plus grand sentiment de confiance", a-t-il ajouté.

    La réforme est une nécessité pour transformer la Birmanie en économie de marché. La faiblesse de la banque est "au coeur des problèmes monétaires de la Birmanie", estime en effet Sean Turnell, économiste à l'université Macquarie de Sydney. "Lui accorder l'indépendance sera une révolution".

    "Autonomie opérationnelle"

    La CBM doit notamment embaucher un nombre important de nouveaux personnels qui devront être formés aux lois de la haute finance. Et elle s'est déjà mise en quête de partenaires étrangers, signant même récemment un accord de coopération technique avec son homologue thaïlandaise.

    Dans un rapport publié en mai, le Fonds monétaire international (FMI) avait noté que la CBM était un simple département du ministère des Finances alors qu'elle devrait être dotée d'une "autonomie opérationnelle totale", avec "l'objectif prioritaire clairement défini de la stabilité des prix".

    Mais le Fonds avait aussi reconnu que le pouvoir s'abstenait désormais de faire fonctionner la planche à billets pour financer les déficits. L'inflation, après un inquiétant 33% en mars 2008, est tombée à 4,2% sur un an en mars, selon ses analystes.

    Sur son site internet, la CBM explique que son principal objectif est de "maintenir la stabilité macroéconomique tout en faisant la promotion de l'épargne domestique".

    Elle revendique en particulier d'utiliser à cet effet son taux d'intérêt directeur, actuellement à 10%. Mais Turnell relève que la fixation de ce taux n'a rien à voir avec une véritable politique monétaire.

    "Ils gardent les taux aussi bas que possible afin de réduire le coût du financement du déficit. Les taux d'intérêts ne forment pas actuellement un outil disponible de gestion monétaire".

    Le président Thein Sein, qui a succédé à la junte en mars 2011 et a depuis multiplié les réformes politiques, a annoncé il y a quelques jours que le pays entamait une "deuxième phase de réformes" centrée sur l'économie.

    La seule transformation majeure dans ce domaine était intervenue en avril, lorsque le pays avait adopté un système de change flottant contrôlé, désormais affiché chaque jour sur le site internet de la CBM. Une étape essentielle pour relancer une économie paralysée par la cohabitation de multiples taux de change.

    Au menu du parlement ces prochains mois figure aussi une loi très attendue sur les investissements. Elle prévoit notamment une exemption fiscale de cinq ans pour les investisseurs étrangers, contre trois aujourd'hui, et devrait autoriser les étrangers à prendre le contrôle en totalité d'entreprises locales.

    En attendant, les Birmans constatent progressivement combien les discours se traduisent dans les faits. Depuis quelques semaines, des distributeurs automatiques de billets ont fait leur apparition à Rangoun.


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  • Euro. Italie-Allemagne : le doublé de Mario Balotelli

     

    Publié le 28.06.2012, 21h40 | Mise à jour : 22h22

    AFP

    L'enfant terrible du italien, Mario balotelli, s'est soudainement réveillé jeudi soir dans l' et de quelle façon. L'attaquant de a mis les siens sur les rails de la finale de l'Euro avec un doublé retentissant.

    Le premier but est incrit après un service impeccable d'Antonio Cassano sur le flanc gauche qui mystifie deux défenseurs allemands (Boateng et Hummels) pour adresser un centre au cordeau à son compère de l'attaque.
     
     Celui-ci ne laisse aucune chance à bout portant à Manuel Neuer (20e).



    Le deuxième but est une pure merveille et le résultat du travail de l'attaquant du club champion d'Angleterre. Sur un excellent ballon en profondeur, parfaitement dosé par Montolivo, «Super Mario» adresse une reprise de volée pleine lucarne et, là encore, Manuel Neuer n'esquisse aucun geste.



     

    LeParisien.fr


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  • Euro 2012: Les fédérations russe et espagnole sanctionnées pour les actes de racisme de leurs supporters

    Mis à jour le 28.06.12 à 22h04

    La Fédération espagnole de football (RFEF) a écopé jeudi d'une amende 20.000 euros et son homologue russe (RFS) de 30.000 euros pour le comportement de certains de leurs supporters, coupables d'injures et de chants racistes lors de deux rencontres de l'Euro 2012.

    L'instance espagnole était visée pour ces motifs à la suite d'incidents constatés lors du match Espagne-Italie, disputé le 10 juin à Gdansk, en Pologne.

    De son côté, la RFS était sous le coup d'une sanction pour le comportement de ses supporters le 8 juin à Wroclaw, toujours en Pologne, lors du match Russie-République tchèque.

    Les deux fédérations ont désormais la possibilité de faire appel de ces deux amendes prononcées par l'UEFA.

    Reuters

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  • Dernier jour du procès : Kerviel fait un malaise et demande pardon

    Publié le 28.06.2012, 18h15 | Mise à jour : 20h00

    Paris (1er), jeudi. Dernier jour du procès de Jérôme Kerviel. L'ex-trader arrive au tribunal avec son avocat Me David Koubbi, victime d'une bagarre la veille, et de Tristane Banon... Qui, on l'ignore encore, a voulu assister dans la salle à la plaidoirie de la défense.

    Paris (1er), jeudi. Dernier jour du procès de Jérôme Kerviel. L'ex-trader arrive au tribunal avec son avocat Me David Koubbi, victime d'une bagarre la veille, et de Tristane Banon... Qui, on l'ignore encore, a voulu assister dans la salle à la plaidoirie de la défense. | AFP PHOTO MEHDI FEDOUACH

    Zoom

     

    Relaxe ou prison : Jérôme Kerviel sera fixé le 24 octobre sur son sort... L'ex-trader de la , qui a fait perdre 4,9 milliards d'euros à la banque, a donc vécu jeudi son tout dernier jour de procès. Son , Me David Koubbi, apparu une canne à la main et un oeil au beurre noir dans la salle, a plaidé, sans surprise, la relaxe.

     



    Dans une ultime adresse à la cour, Jérôme Kerviel, visiblement épuisé, diminué après un malaise en plein milieu de la plaidoirie, lance une dernière fois : «Je demande pardon aux salariés du réseau de la Société Générale. Ils ont souffert d'un système auquel j'ai participé, que je n'ai pas mis en place (...) A aucun moment je n'ai menti à la justice».

    Cinq ans de prison ferme ont été requis contre lui. Kerviel risque même plus gros qu'en première instance, où il avait été condamné à cinq ans, dont trois ferme. La Société Générale lui réclame toujours les 4,9 milliards d'euros de dommages et intérêts, montant de la perte. Soit l'équivalent de 390 000 ans de
    . «Ce qui a été requis, ce n'est plus une peine, c'est un châtiment», commente Benoît Pruvost, associé dans le cabinet de Me Koubbi. Dans l'hypothèse qu'il soit condamné, Jérôme Kerviel, 35 ans, issu d'une famille modeste et désormais sans emploi, ne pourra évidemment jamais rembourser une telle somme.
     

    Tristane Banon dans la salle d'audience
    Une invitée surprise s'est glissée au milieu de la salle archicomble pour assister au dernier jour du procès de Jérôme Kerviel... Son visage est bien connu du public : il s'agit de Tristane Banon, la jeune romancière qui avait porté plainte l'année dernière contre DSK pour tentative de viol. David Koubbi est aussi son avocat. Et le conseil commun à Kerviel et Banon n'a hésité, en pleine plaidoirie, à citer le nom de Tristane pour comparer la solitude de son client Kerviel à celle ressentie de la journaliste à l'époque de l'affaire DSK, tous deux victimes, dit-il, du «réseau».

    LeParisien.fr


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