• Chine : un nouveau-né retrouvé vivant

    dans un conduit de W.C.

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 7 heures" data-original="le 28/05/2013 à 16:30" datetime="2013-05-28T16:30:20+02:00" itemprop="dateModified">le 28/05/2013 à 16:30</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 7 heures" data-original="le 28/05/2013 à 16:28" datetime="2013-05-28T16:28:09+02:00" itemprop="datePublished">le 28/05/2013 à 16:28</time>
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    <figure class="fig-photo"> <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

    Crédits photo : REUTERS TV/Reuters

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    VIDÉO - La mère de l'enfant, âgée de 22 ans, aurait caché sa grossesse à ses voisins de peur d'être mise à l'écart.

     

    L'affaire met la Chine en émoi. La police de Jinhua, dans la province orientale du Zhejiang, a fait savoir mardi qu'un nouveau-né avait été secouru vivant dans le conduit de W.C. d'un immeuble, où il est resté coincé entre deux et trois heures après sa naissance.

    Sa mère, une célibataire de 22 ans, aurait avoué avoir caché sa grossesse à ses voisins de peur d'être mise à l'écart. Elle dit avoir accouché samedi de manière inattendue alors qu'elle se rendait dans les toilettes publiques (à la turque) d'une résidence, dans lesquelles le bébé est tombé. Elle a ensuite appelé son propriétaire, assurant avoir entendu «des bruits bizarres» dans le conduit. Ce dernier a appelé la police .

    En près d'une heure, les secouristes sont parvenus à couper le conduit de 10 cm de diamètre, à l'aide de scies et de pince servant à extraire le bébé. «La femme était présente sur place durant toute l'opération de sauvetage... et a admis être la mère lorsque nous le lui avons demandé», a rapporté un policier, ajoutant que le père était toujours recherché. «Nous devons encore enquêter pour déterminer si elle avait de mauvaises intentions» et éventuellement mettre la jeune mère en examen, a ajouté l'agent. Le propriétaire conteste quant à lui la version de la mère, indiquant qu'aucun indice ne laisse penser qu'elle a accouché dans les toilettes.

    Les abandons de bébés sont fréquents dans le pays

    Le bébé, qui pèse 2,3 kg, a été conduit à l'hôpital le plus proche. Il souffre de plusieurs coupures et son rythme cardiaque s'est durant un moment ralenti, mais son état de santé n'inspire plus d'inquiétude. Sa mère, elle, se trouve dans un état grave suite à des complications, après son accouchement.

    Depuis que l'affaire a été rendue publique, de nombreux anonymes ont fait parvenir du lait en poudre, des habits et des couches pour le bébé. Des milliers d'autres expriment leur indignation sur les comptes de microblogs chinois. «Jamais je ne pourrai accepter ou pardonner une attitude consistant à abandonner un bébé, encore attaché par son cordon ombilical au placenta, dans des toilettes», confie ainsi un internaute, sous le pseudonyme de Jiding Jiajia. Les abandons de bébés ne sont pas rares en Chine, où s'applique la politique de l'enfant unique.


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  • Vaucluse : le PS local a-t-il aidé à faire élire Marion Maréchal-Le Pen ?


    le 28 mai 2013 à 22h47 , mis à jour le 28 mai 2013 à 22h58. lien
     
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    La députée FN Marion Maréchal-Le Pen/Image d'archives – mars 2013

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    La députée FN Marion Maréchal-Le Pen/Image d'archives – mars 2013 / Crédits : ABACA
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    </aside> </section> PolitiqueSelon L'Express, des élus socialistes du Vaucluse auraient passé un accord secret avec le Front national entre les deux tours des législatives de 2012.

    Le maintien au 2e tour de Catherine Arkilovitch, candidate socialiste dans la 3e circonscription du Vaucluse aux législatives de 2012, est-il le résultat de tractations secrètes avec le Front national ? C'est ce qu'affirme L'Express dans son édition de mercredi.

    Rappel des faits : arrivée en 3e position derrière Marion Maréchal-Le Pen et le sortant UMP Jean-Michel Ferrand,  Catherine Arkilovitch ne s'était pas désistée, comme lui demandait Martine Aubry. La patronne du PS souhaitait en effet constituer un Front républicain contre la nièce de Marine Le Pen.

    Enquête interne 

    Selon L'Express, ce maintien résultait en fait d'un accord secret entre les dignitaires socialistes locaux et le FN. En échange du maintien de Catherine Arkilovitch, jugé gênant pour l'UMP (à juste titre puisque Marion Maréchal-Le Pen a été élue), le FN devait rendre la pareille au PS dans la circonscription voisine. Dans cette 5e du Vaucluse, le socialiste Jean-François Lovisolo  pouvait en effet espérer l'emporter en cas de triangulaire.  Il sera finalement battu après le désistement de la candidate lepéniste -mais pas adhérente au FN-, contre la demande de Marine Le Pen.

    L'Express explique que la direction nationale du PS a diligenté une enquête pour connaître les tenants de l'affaire. Marc Mancel, qui dirige ces investigations internes, admet cependant au journal qu'il n'a pas  "preuves concrètes" de ce qu'il qualifie de "deal". Mais il prévient néanmoins que son rapport sera "très à charge". "Il n'est pas normal, par exemple, que le président socialiste du conseil général ait refusé de prendre Martine Aubry au téléphone pendant toute la semaine de l'entre-deux tours", dit-il à L'Express.

    Interrogée par L'Express, Catherine Arkilovitch dément avoir subi des pressions locales pour se maintenir. Quant à Marion Maréchal-Le Pen, elle réfute, sans surprise, tout arrangement.


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  • L'Assemblée fait passer le texte sur l'enseignement supérieur, sans une partie

    de la gauche

    Edité par
    le 28 mai 2013 à 21h05 , mis à jour le 28 mai 2013 à 21h09.
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    <section id="articleFigure166889"> <article class="teaser sz14">
    <figure class="figure underline"> Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur/Image d'archives - novembre 2011 <figcaption class="degrade-une"></figcaption></figure>
    Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur/Image d'archives - novembre 2011 / Crédits : AFP
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    <section class="grid-200 fleft" id="content-list-left"><aside class="sz12 tag c1 aside166896 ombre1">

     

    </aside> </section> Notre sociétéLes députés français ont adopté mardi par 289 voix contre 248 le projet de loi sur l'enseignement supérieur et la recherche qui prévoit notamment l'enseignement en anglais dans les universités françaises pour certains cours.

    Le texte est passé mais il a fait grincer des dents, même à gauche. Les députés français ont adopté mardi par 289 voix contre 248 le projet de loi sur l'enseignement supérieur et la reherche qui prévoit notamment l'enseignement en anglais dans les universités françaises pour certains cours. Les groupes PS et des radicaux de gauche ont voté ce texte présenté par la ministre de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, un projet qui, affirme-t-elle, "doit contribuer au nouveau modèle français et à remettre en mouvement notre pays pour se maintenir dans le peloton de tête des grandes nations". Les groupes Front de gauche, écologiste, UMP et UDI (centriste) ont voté contre.
     
    "La philosophie de ce texte ne nous convient pas du tout. Nous sommes à l'opposé des revendications de ce projet de loi", a dit l'écologiste Isabelle Attard. Pour l'UMP Patrick Hetzel, "vous nous proposez un terrible voyage dans le passé. Il est marqué par une vision bureaucratique et dépassée".  L'article 2 du texte, qui offre la possibilité, dans le cadre d'accords avec des universités étrangères ou des programmes financés par l'Union européenne, de dispenser des cours en anglais, a suscité de vifs débats. Plusieurs amendements sur cet article ont été votés qui prévoient la mise en place d'un apprentissage de la langue française au bénéficie des étudiants étrangers concernés et de circonscrire la portée de la mesure aux enseignements nécessitant véritablement d'être dispensés en langue étrangère. "Il ne s'agit, en aucun cas, de remettre en cause la primauté de l'enseignement en français ou la défense de la francophonie", a dit la ministre en réponse à des élus de l'opposition mais également de certains socialistes. "Il s'agit au contraire d'élargir le socle de la francophonie auprès des jeunes, notamment des pays émergents, qui, aujourd'hui, ne viennent pas dans notre pays."
     
    50% de diplômés du supérieur dans chaque classe d'âge
     
    Ce texte sur l'enseignement supérieur et la recherche vise à compléter la loi de 2007 sur l'autonomie des universités et a pour objectif d'augmenter les chances de réussite des étudiants. Il fixe l'objectif de parvenir à 50% de diplômés du supérieur dans chaque classe d'âge, en favorisant notamment la continuité entre le secondaire et le supérieur et le rapprochement entre lycée, classes préparatoires et université. Plusieurs amendements ont été adoptés, comme celui prévoyant que les lycéens ayant obtenu les meilleurs résultats au bac bénéficieront d'un droit automatique à rejoindre une classe préparatoire aux grandes écoles.
     
    Un autre met fin à la gratuité de la scolarité des élèves des classes préparatoires qui devront donc acquitter un droit fixé à environ 180 euros par année, contre l'avis de l'exécutif.  S'il est soutenu par l'Unef, syndicat étudiant proche du PS, et de façon plus réservée par la Conférence des présidents d'université, le projet de loi dans son ensemble est dénoncé par plusieurs syndicats d'enseignants comme la FSU, la CGT, FO et plusieurs collectifs qui ont appelé à manifester ça et là. Le Sénat examinera à son tour ce texte à partir du 18 juin. Le gouvernement ayant décidé d'utiliser la procédure accélérée, une commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat sera ensuite convoquée afin de mettre au point un texte qui sera soumis aux députés et sénateurs pour son adoption définitive avant la fin juin.


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  • PARIS - Primaires UMP: trois leaders

    de la Droite forte soutiennent Bournazel

    contre NKM à Paris

    Créé le 28/05/2013 à 19h20 -- Mis à jour le 28/05/2013 à 22h50
    Pierre-Yves Bournazel, candidat à la primaire UMP pour la mairie de Paris, le 14 mai 2013 sur le plateau de LCI
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    Pierre-Yves Bournazel, candidat à la primaire UMP pour la mairie de Paris, le 14 mai 2013 sur le plateau de LCI Kenzo Tribouillard AFP

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    PARIS - Trois responsables de la Droite forte, premier courant au sein de l'UMP, ont apporté mardi leur soutien à la candidature de Pierre-Yves Bournazel, rival de Nathalie Kosciusko-Morizet, à la primaire à Paris, dans le prolongement de leur chef de file, Guillaume Peltier, qui avait appelé à faire battre l'ex-ministre de l'Environnement.

    "Cofondateurs de la Droite forte et parce que la politique manque trop souvent de franchise, nous disons, nous clairement les choses: nous avons fait le choix de soutenir Pierre-Yves Bournazel et appelons à voter pour lui en masse", écrivent dans une lettre adressée à des milliers de parisiens le secrétaire général de l'UMP, Geoffroy Didier, le sénateur de Paris, Pierre Charon et le maire adjoint du 17e, Geoffroy Boulard.

    "Pour Pierre-Yves Bournazel, les Parisiens ne sont pas des pions pour servir une ambition. Pour lui, Paris n'est pas un marchepied pour 2017. Disons les choses franchement: Pierre-Yves Bournazel ne veut pas se servir de Paris. Il veut servir les Parisiens", ajoutent les trois élus en allusion à NKM dont le nom n'est pas cité une seule fois dans le texte.

    Cette prise de position survient après l'appel de Guillaume Peltier, vice-président de l'UMP et co-fondateur avec M. Didier du courant de la Droite forte, qui avait souhaité le 20 mai sur RTL "que ce ne soit pas" Nathalie Kosciusko-Morizet qui "soit désignée" candidate de l'UMP pour les municipales à Paris, lors de la primaire du parti d'opposition dans la capitale, en raison de ses prises de position sur le mariage homosexuel.

    M. Peltier avait alors exprimé sa préférence pour deux autres candidats en lice, dont Pierre-Yves Bournazel.

    Nathalie Kosciusko-Morizet, considérée comme la favorite de la primaire qui se déroulera par internet du 31 mai au 3 juin, s'était abstenue à l'Assemblée sur la loi ouvrant le mariage et l'adoption aux couples de même sexe.

    Le bureau politique de l'UMP avait adressé "un rappel à l'ordre" à Guillaume Peltier et plusieurs personnalités du parti avaient critiqué sa prise de position en appelant au "devoir d'être solidaire".

    Parallèlement, 126 responsables de l'UMP ont appelé à voter NKM "seule capable", selon eux, de faire battre la gauche et gagner Paris". Elle a obtenu aussi le soutien de François Fillon, Alain Juppé et de Bernadette Chirac.

    © 2013 AFP

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  • PARIS - Roland-Garros: Djokovic passe

    entre les gouttes, Bartoli au courage

    Créé le 28/05/2013 à 11h11 -- Mis à jour le 28/05/2013 à 22h03

    Le Serbe Novak Djokovic au service face ua Belge David Goffin lors du 1er tour de Roland-Garros, à Paris, le 28 mai 2013
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    Le Serbe Novak Djokovic au service face ua Belge David Goffin lors du 1er tour de Roland-Garros, à Paris, le 28 mai 2013 Thomas Coex AFP

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    PARIS - Le Serbe Novak Djokovic, N.1 mondial, s'est qualifié pour le deuxième tour de Roland-Garros, en battant le Belge David Goffin en trois sets 7-6, 6-4, 7-5 au cours d'une journée très humide mardi.

    Outre des températures frisquettes, la pluie insistante a gêné la programmation de cette journée. Les premiers matches ont commencé vers 13h15, soit avec plus de deux heures de retard sur l'horaire initial.

    Les joueurs ont pu rester sur les courts pendant environ une heure et demie, avant que de nouvelles averses n'entraînent une interruption de près d'une heure. Le ciel s'est ensuite dégagé, quelques rayons de soleil perçant même en fin d'après-midi, mais plusieurs matches ont dû être reportés à mercredi.

    Dans ces conditions difficiles, Djokovic, programmé en N.2 sur le Central, n'a commencé son match qu'en début de soirée. Le Serbe a d'ailleurs milité pour qu'on installe l'éclairage sur le Central de Roland-Garros, mardi soir, après sa qualification pour le deuxième tour.

    Interrogé sur le projet de doter le Central d'un toit pour 2018, Djokovic a déclaré que c'était «encore loin» dans le temps.

    «Ce dont on a encore plus besoin ici, c'est l'éclairage. Là on doit s'arrêter de jouer à 21h00 ou 21h30. Ca pose un problème», a-t-il poursuivi.

    En quête d'un premier titre à Paris, Djokovic a, comme Rafael Nadal la veille, dû transpirer sur son match d'ouverture même s'il n'a finalement pas cédé un set, contrairement à son rival espagnol.

    Mais il s'en est fallu de peu face à un Goffin aussi inspiré que l'année dernière à Roland-Garros où il était devenu le premier «lucky loser» à atteindre les huitièmes de finale en Grand Chelem depuis 17 ans.

    Le Belge, qui avait alors pris un set à Roger Federer, a juste manqué un peu d'expérience mardi, comme au premier set où il a commis une double-faute très malvenue à 5-5 au tie-break.

    Pour le reste, ce poids léger, 58e mondial, a réussi à rivaliser avec le patron du circuit qu'il a souvent relégué à plusieurs mètres de la balle.

    Djokovic n'a ainsi jamais vraiment pu souffler et a dû s'arracher pour faire à chaque fois la différence en fin de set et se rassurer un peu après deux éliminations précoces à Madrid et Rome.

    «Ce n'était pas facile car David (Goffin) est un bon joueur avec beaucoup, beaucoup de talent et d'agressivité. Je suis content de ce premier tour, j'espère continuer comme ça», a déclaré le Serbe en français au public.

    Son soulagement était en tous cas palpable à la fin de match lorsqu'il a levé le poing en direction de son camp, pendant que Goffin sortait du court sous l'ovation du public, peuplé de nombreux Belges.

    Djokovic rencontrera au prochain tour l'Argentin Guido Pella qui a sorti, peu après, le Croate Ivan Dodig au terme d'un long combat en cinq sets.

    Si Djokovic a commencé - et terminé aussi tard - c'est aussi parce que Marion Bartoli a fait durer le plaisir face à la Bélarusse Olga Govortsova, sauvant même deux balles de match avant de s'imposer 7-6, 4-6, 7-5.

    La N.1 française doit avant tout son succès à sa vaillance. Mais aussi à la fragilité mentale de son adversaire, qui a raté plusieurs occasions de l'enfoncer pour de bon.

    Même si elle a eu énormément de déchet dans son jeu, Bartoli ne peut que savourer ce succès, elle qui était arrivée à Paris en n'ayant gagné que deux de ses sept derniers matches, dont un sur abandon.

    Deux autres Bleues ont ont obtenu leur billet pour le 2e tour également. Alizé Cornet, tête de série N.31, s'est qualifiée en battant mardi la Portugaise Maria Joao Koehler en deux sets 7-5, 6-2. La N.2 française rencontrera la Roumaine Irina-Camelia Begu ou l'Espagnole Silvia Soler-Espinosa.

    Peu après, Kristina Mladenovic s'est imposée face à l'Américaine Lauren Davis en deux sets, 6-0, 7-5. Elle rencontrera l'Australienne Samantha Stosur, tête de série N.9.

    Le public français a aussi pu découvrir un nouveau personnage à suivre, le tout jeune Lucas Pouille, 19 ans et 324e mondial. Pour son premier match du Grand Chelem, il est devenu le plus jeune Français à passer un tour à Roland-Garros depuis trois ans.

    Le Nordiste, soutenu par une colonie de proches, a dominé l'Américain Alex Kuznetsov (6-1, 7-6, 6-2). Une victoire qu'il a accueillie avec la plus grande sérénité.

    Pouille est devenu le Français le plus précoce à passer un tour à Roland-Garros depuis Guillaume Rufin, battu mardi par Tommy Haas, en 2009.

    Son deuxième tour devrait lui permettre de grandir un peu plus vite encore. Il sera opposé à Grigor Dimitrov, 22 ans, surnommé «Baby Federer», sans doute le joueur le plus attendu de la nouvelle génération.

    Mardi, c'est Bernard Tomic qui a dû abandonner, victime d'une blessure à une cuisse face au Roumain Victor Hanescu.

    Attendu au tournant, l'Australien a ensuite expliqué qu'il aimait «toujours» son père, au coeur d'un nouveau scandale après avoir agressé son partenaire d'entraînement, et qu'il allait «continuer à travailler» avec lui.

    «Il sera toujours mon entraîneur, il me connaît mieux que quiconque. Mais j'aurai peut-être quelqu'un pour l'épauler et travailler avec nous», a ajouté Tomic. Son père, John, a été arrêté par la police à Madrid en mai pour avoir donné un coup de tête au sparring-partner franco-monégasque Thomas Drouet.

    © 2013 AFP

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