• Dernière modification : 28/06/2013 

    Décès du marathonien français Alain Mimoun

    Décès du marathonien français Alain Mimoun
    Alain Mimoun, chez lui en décembre 2010
    © AFP    lien

    La légende de l'athlétisme français Alain Mimoun est décédé jeudi soir à l'âge de 92 ans. Il a marqué l'histoire de son sport grâce à sa victoire au marathon des Jeux olympiques de Melbourne en 1956.

    Par Dépêche (texte)
     

    Alain Mimoun, légende de l'athlétisme français, est décédé jeudi soir à l'âge de 92 ans, a-t-on appris vendredi auprès de la Fédération française d'athlétisme.

    Mimoun a marqué l'histoire de son sport grâce à sa victoire au marathon des jeux Olympiques de Melbourne en 1956, où il avait notamment dominé le Tchèque Emil Zatopek.

    Né le 1er janvier 1921 à El Telagh, en Algérie, Ali Mimoun Ould Kacha avait découvert la course à pied lors de son service militaire effectué chez les tirailleurs algériens.

    Sous le feu des canons allemands en 1944 à Monte Cassino (Italie), sa jambe gauche martyrisée par plusieurs éclats d'obus fut sauvée par un chirurgien inspiré.

    En 1947, à 26 ans, il remporte le premier de 33 titres nationaux. Un an plus tard, aux Jeux de Londres, il se classe deuxième du 10.000 m derrière Zatopek. En 1952, aux JO d'Helsinki, il doit encore se contenter de médailles d'argent, sur 5000 et 10.000 m.

    Il atteindra finalement la consécration suprême à 35 ans, à Melbourne, avec son titre sur le marathon.
     

    AFP


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    Alain Mimoun, légende de l'athlétisme français,

    est mort

     

    <time datetime="2013-06-28T12:34:30" itemprop="dateCreated">Créé le 28-06-2013 à 12h34</time> - <time datetime="2013-06-28T14:25:39" itemprop="dateModified">Mis à jour à 14h25</time>

    VIDEO. Le Français, champion du marathon des Jeux Olympiques de Melbourne en 1956, est décédé à l'âge de 92 ans.

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    Alain Mimoun (à droite), en compagnie d'Emil Zatopek (au centre)et de Herbert Schade (à gauche), lors de la finale du 5.000 mètres des JO d'Helsinki de 1952. (Anonymous/AP/SIPA)

    Alain Mimoun (à droite), en compagnie d'Emil Zatopek (au centre)et de Herbert Schade (à gauche), lors de la finale du 5.000 mètres des JO d'Helsinki de 1952. (Anonymous/AP/SIPA)

    Alain Mimoum, légende de l'athlétisme français, est décédé hier soir à l'âge de 92 ans, rapporte ce vendredi 28 juin la Fédération française d'athlétisme.

    Mimoum a marqué l'histoire de son sport grâce à sa victoire au marathon des Jeux Olympiques de Melbourne en 1956, où il avait notamment dominé le Tchèque Emil Zatopek.

    Né le 1er janvier 1921 à El Telagh, en Algérie, Ali Mimoun Ould Kacha avait découvert la course à pied lors de son service militaire effectué chez les tirailleurs algériens.

    Sous le feu des canons allemands en 1944 à Monte Cassino, en Italie, sa jambe gauche martyrisée par plusieurs éclats d'obus fut sauvée par un chirurgien inspiré.

    Une course de légende à Melbourne

    En 1947, à 26 ans, il remporte le premier de 33 titres nationaux. Un an plus tard, aux Jeux de Londres, il se classe deuxième du 10.000 m derrière Zatopek. En 1952, aux JO d'Helsinki, il doit encore se contenter de médailles d'argent, sur 5.000 et 10.000 m.

    Il atteindra finalement la consécration suprême à 35 ans, à Melbourne, avec son titre sur le marathon.

    Le Français se retrouve seul en tête à mi-course. Il lui reste 20 kilomètres comme chemin de croix et d'exaltation.

    "Le coup de marteau, ça a été autour du 30e km. Les cinq minutes les plus durs, plus difficiles que tout le marathon. Je m'insultais 'fainéant, tu ne vas pas lâcher maintenant'. Je pensais à ma mère, à ma femme, à ma fille qui venait de naître", se racontait Alain Mimoun.


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  • PAS DU TOUT

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    Quand on rêve, les adultes vous ramènent à la réalité

    Ils gomment les étoiles, retirent les couleurs,

    Nous ramènent au quotidien si lisse et étriqué

    Au  réel insipide, utilisant des mots sans réelles saveurs

    Nous enlevant le Beau, nous laissant insatisfaits.

    Le quotidien nous cloue et tue les rêveries

    Et quand tout va mal, nous refusons ce postulat :

    Non, il existe d’autres  Mondes où tout est fantaisie

    Ou les fleurs sont si belles, qu’on vante leur éclat

    Leur parfum si raffiné qu’il stimule les sens endormis.

    L’adulte refuse le rêve, mais l’enfant sait que ce lieu existe

    Il refuse « le pas du tout » et s’envole dans le « pourquoi pas »

    Suit son chemin à lui et s’évade loin de nous, résiste,

    Et se bâtit un lieu dont lui seul est le roi….


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  • A LA FOLIE…

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    Je lève mon verre à une vieille  amie

    Elle embellie les choses, nous rend indestructibles

    Soulève des montagnes et se rit de la Vie

    Quand un enfant rêve, tout est accessible,

    Il contourne les règles et se joue des obstacles.

    A nous d’être à la hauteur, relever ce défi ultrasensible

    Retrousser nos manches, ouvrir nos cœurs au miracle

    Faire que d’un désir, jaillisse une réalité fantasque

    Tellement belle, tellement grandiose et généreuse

    Que l’enfant éblouit, peut enfin enlever son masque

    Et jouir de l’essence de la Vie dans  sa Beauté lumineuse…


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  • Passionnément !

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    La Vie est injuste, et oublie parfois un enfant,

    Et c’est pour lui qu’on se bat, avec force et allant

    On redresse la tête vers les champs du possible

    On se bat pour qu’un rêve, juste un balbutiement,

    Prenne corps, s’étoffe, devienne tout à coup  géant

    Car les yeux d’un enfant porte en eux tous les mondes

    Toutes les fantaisies, les rêves les plus fous, les plus déments,

    A charge pour nous autres de les rendre fécondes

    De les magnifier pour que le jour venu, l’enfant

    Ouvre la bouche et en reste béat, cloué par le bonheur…


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