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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-06-28T23:50" itemprop="datePublished" pubdate=""> 28/06/2013 à 23:50</time>

    La Bourse de New York a terminé le semestre sur une note contrastée, le Dow Jones cédant 0,76% et le Nasdaq étant stable (+0,04%).

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Deux traders, NYSE, New York <figcaption>Deux traders, NYSE, New York © Richard Drew/AP / SIPA </figcaption> </figure>
     
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    Wall Street a achevé la séance et le semestre sur une note contrastée vendredi, après des propos rassurants de responsables de la Fed mais des indicateurs sans éclat: le Dow Jones a cédé 0,76% tandis que le Nasdaq a grignoté 0,04%. Selon les résultats définitifs à la clôture, le Dow Jones Industrial Average s'est replié de 114,89 points à 14.909,60 points tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, a grappillé 1,39 point à 3.403,25 points. L'indice élargi Standard & Poor's 500 a lâché 0,43% ou 6,92 points à 1.606,28 points. En dépit de quelques hésitations vendredi alors que les investisseurs procédaient à quelques ajustements en fin de mois et de semestre, la place new-yorkaise a fini "une belle semaine", a estimé Art Hogan, de Lazard Capital Markets. Selon lui, "le marché a fait preuve de sa capacité à surmonter ses peurs concernant la Fed (la Réserve fédérale américaine) grâce notamment aux propos tenus par un ensemble de dirigeants" de la banque centrale vendredi et au cours des jours précédents, a-t-il noté.

    Volatilité

    Un gouverneur de la Banque centrale américaine, Jeremy Stein, a ainsi enjoint les acteurs financiers à considérer les tendances économiques plutôt que "les dernières nouvelles" parues avant une nouvelle réunion de la banque centrale. D'autre part, le président de l'antenne de Richmond (Virginia), Jeffrey Lacker, a prévu encore "davantage de volatilité sur les marchés", alors que la Fed se prépare à réduire ses injections de liquidités, mais a ajouté que "cela ne devrait pas interférer avec les prévisions de modeste croissance" de l'économie américaine. Par la voix de ses dirigeants, "la Fed continue de clarifier son message en montrant que toute inflexion de sa politique reste conditionnée" à l'amélioration de l'économie, a-t-il résumé. Des indicateurs en demi-teinte n'ont cependant pas aidé le marché à poursuivre son rebond des derniers jours.

    Blackberry déçoit

    La croissance de l'activité économique de la région de Chicago a nettement ralenti en juin, au-delà des prévisions des analystes. En revanche, si le moral des ménages a très légèrement reculé le même mois aux Etats-Unis, selon l'estimation finale d'un indice publié par l'Université de Michigan, ce chiffre est meilleur qu'attendu et supérieur aux estimations initiales. Et des résultats trimestriels d'entreprises contrastés ont pesé sur les indices, selon les analystes de la maison de courtage Charles Schwab, citant notamment le fabricant canadien de smartphones Blackberry. Plombé par l'annonce d'une perte trimestrielle bien supérieure aux attentes, le titre a décroché de 27,76% à 10,46 dollars. Par ailleurs, le groupe de conseil et de services informatiques Accenture, dont les revenus étaient décevants et qui a revu ses prévisions en baisse, a également assombri l'humeur des courtiers. Son titre a chuté de 10,30% à 71,96 dollars.

    IBM recule

    Dans son sillage, le géant informatique IBM a affiché l'une des plus mauvaises performances du Dow Jones, dont il est membre, cédant 2,32% à 191,11 dollars. Le fabricant américain d'articles de sports Nike a avancé de 2,18% à 63,68 dollars, aidé par une nette augmentation de ses résultats annuels. L'éditeur de logiciels Adobe a reculé quant à lui de 0,81% à 45,56 dollars, peu après l'annonce de l'acquisition d'une pépite française de la haute technologie, Neolane, pour 600 millions de dollars. Dans la pharmacie, le groupe Pfizer s'est apprécié de 0,60% à 28,01 dollars. Son conseil d'administration a validé un programme de rachat de ses propres actions pour 10 milliards de dollars. Le marché obligataire a progressé. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a reculé à 2,478% contre 2,483% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,498% contre 3,547% la veille.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Québec : le maire de Laval démissionne

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-06-28T23:28:58+02:00" itemprop="datePublished">28.06.2013 à 23h28</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-06-28T23:45:47+02:00" itemprop="dateModified">28.06.2013 à 23h45</time>

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    Le maire intérimaire de Laval, la troisième ville du Québec, a démissionné vendredi 28 juin, en raison d'une affaire de mœurs, devenant le deuxième édile de la Belle Province après celui de Montréal à jeter l'éponge en dix jours. Alexandre Duplessis, qui avait pris ses fonctions il y a sept mois, a "remis sa démission", a annoncé la mairie sur son site internet.

    Quelques heures plus tôt, forcé de s'exprimer après que des médias aient affirmé qu'il avait fait l'objet d'un chantage de deux prostituées, il a reconnu avoir été victime d'une tentative "d'extorsion", tout en martelant qu'il n'avait "jamais rien reçu à caractère sexuel". Déjà sous tutelle gouvernementale, Laval se trouve encore plus dans la tourmente.

    Nommé en novembre à titre temporaire – pour un an, jusqu'aux prochaines élections municipales – M. Duplessis a succédé à Gilles Vaillancourt, qui avait dirigé pendant 23 ans cette banlieue du nord de Montréal. M. Vaillancourt avait été poussé vers la sortie après plusieurs perquisitions menées dans le cadre d'une vaste enquête sur des appels d'offres truqués qui impliqueraient des entrepreneurs du BTP, la mafia italienne locale et des dirigeants politiques. Finalement arrêté en mai dernier, aux côtés d'un riche entrepreneur soupçonné de connivence avec la mafia, il a été formellement accusé de gangstérisme.

    Ex-bras droit de l'ancien maire, M. Duplessis a été la cible en décembre d'une perquisition de l'Unité anticorruption de la police québécoise, mais aucune accusation n'a été portée contre lui jusqu'à présent. Sa démission intervient dix jours après l'arrestation et la démission du maire intérimaire de Montréal, Michael Applebaum, formellement accusé de "complot, abus de confiance et actes de corruption dans les affaires municipales".

    Les élections municipales doivent se tenir le 3 novembre au Québec, mais d'ici là, les révélations et arrestations pourraient continuer à se multiplier dans ce vaste scandale de marchés publics truqués. Cette semaine encore, le fisc québécois a déposé près d'un millier d'accusations contre Tony Accurso et autant contre Paolo Catania, deux des plus gros entrepreneurs de BTP de la province francophone, poursuivis pour fraude fiscale dans cette vaste affaire.

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  • Aude : Viviane, l'ourse échappée de Sigean,

    court toujours...

    Avec AFP
    26/06/2013, 10 h 43 | Mis à jour le 26/06/2013, 15 h 53   lien
    L'ourse Viviane poursuit sa cavale...
    L'ourse Viviane poursuit sa cavale... (DR)

    Gendarmes, chiens, hélicoptère... l'important dispositif de recherche ne donne toujours rien. L'ourse, qui pèse 130 kg pour 1,60 m debout, reste introuvable quatre jours après son "évasion" de la réserve de Sigean.

    L'ourse Viviane restait ce mercredi matin introuvable dans l'Aude, quatre jours après s'être échappée de la réserve africaine de Sigean. "Il n'y a toujours pas de trace", et "l'on réévalue le dispositif" mis en place pour les recherches, indique la préfecture.

    Malgré l'aide de chiens spécialisés et le concours d'un hélicoptère, les gendarmes et les personnels de la réserve avaient cherché le plantigrade en vain mardi. L'ourse a été aperçue trois fois depuis son "évasion", dont la dernière remonte à mardi vers 9 heures, lorsqu'elle a été repérée par une joggeuse sur l'île Sainte-Lucie, en bordure de l'étang de Bages, entre Gruissan et Port-la-Nouvelle.

    Les images de France 2 sur la "traque" de l'ourse Viviane :

     

    1,60 m pour 130 kg

    Végétarienne, Viviane est parfaitement adaptable à "l'environnement dans lequel elle évolue, ce qui lui permet de se nourrir", a précisé la préfecture. Par ailleurs, l'espèce à laquelle elle appartient - les ours du Tibet - étant bonne nageuse, elle peut facilement passer d'île en île sur l'étang de Bages et de Sigean.

    La femelle recherchée fait partie d'un groupe de 20 ours du Tibet qui s'est progressivement développé à Sigean depuis 1974. Née dans la réserve en 1982, elle pèse actuellement 130 kg pour 1,60 m debout.


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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-06-28T22:45" itemprop="datePublished" pubdate=""> 28/06/2013 à 22:45</time> - Modifié le <time datetime="2013-06-28T23:00" itemprop="dateModified"> 28/06/2013 à 23:00</time>

    Après Patrick Dils, Matthieu est le deuxième mineur à être condamné à la perpétuité. Une peine exceptionnelle pour un criminel "exceptionnel".

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">

    Agnès Marin, violée et assassinée en novembre 2011, à l'âge de 13 ans

    <figcaption>Agnès Marin, violée et assassinée en novembre 2011, à l'âge de 13 ans © FAYOLLE PASCAL / SIPA </figcaption> </figure>
     
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    En condamnant vendredi soir Matthieu, 19 ans, à une peine de perpétuité, la cour d'assises pour mineurs du Puy-en-Velay (Haute-Loire) est allée au-delà des réquisitions de l'avocate générale, qui avait réclamé une peine de 30 ans de réclusion. C'est la deuxième fois seulement dans les annales des assises en France qu'un mineur écope de la peine maximale, après Patrick Dils, en 1989. De quoi surprendre mais aussi apaiser un peu la colère des parents des victimes, à commencer par la mère d'Agnès Marin. "Nous avons affronté cette épreuve des assises et nous avons été confrontés à toute l'horreur de la mort de notre fille. Ce soir, Agnès a été respectée", a-t-elle commenté à l'énoncé du verdict

     

    L'accusé a donc été reconnu coupable du viol et du meurtre d'Agnès, en novembre 2011, au Chambon-sur-Lignon, et du viol de Julie*, dans le Gard, en août 2010. Sans excuse de minorité et sans obligation de suivi médical. "Nous avons été entendus, a ajouté le père d'Agnès. C'était important pour nous de savoir que cet individu serait mis à l'écart de toute tentation et de vos enfants". Pour l'avocat de la famille, la peine de perpétuité demeure "un verdict exceptionnel où l'excuse de minorité a été rejetée pour cet accusé terriblement effrayant, avec l'absence de toute empathie pour ses victimes".

    Sans réaction

    Cette peine très lourde pour un accusé si jeune illustre bien à quel point ce procès exceptionnel est venu sanctionner un "criminel exceptionnel", pour reprendre l'expression de Maître Szpiner, avocat de la partie civile. Exceptionnel par son âge tout d'abord. Matthieu n'avait que 17 ans au moment du viol et du meurtre avec préméditation d'Agnès, elle-même à quelques jours de fêter ses 14 ans au moment du drame. Il n'avait pourtant pas hésité à l'entraîner dans les bois à proximité du collège Cévenol où ils étaient scolarisés, pour la violer, la poignarder et brûler son corps. Des faits tragiques intervenus seulement quelques mois après le viol dans le Gard de Julie, l'une de ses camarades, totalement traumatisée depuis et qui peine à se reconstruire.
    À aucun moment lors de ce procès, Matthieu n'a exprimé la moindre compassion pour les familles des victimes, ni le moindre regret. Semblant totalement déconnecté des événements, il s'est même assoupi dans le box des accusés lors des réquisitions, exceptionnellement ouvertes au publique. À l'énoncé du verdict, Matthieu est resté sans réaction.

    "Risque majeur de récidive"

    Tout au long des débats, les jurés n'ont pas été convaincus par son manque de discernement au moment des faits, comme ont tenté de le plaider les avocates de la défense. Le jeune garçon, "habile" et "intelligent" a bien été jugé responsable pénalement. La Cour a estimé qu'il n'était pas atteint de troubles psychiques ayant aboli le contrôle de ses actes. "Il était parfaitement dans le réel. Il n'y avait pas de double qui agissait à sa place", est convaincue l'avocate générale. Fils d'un professeur et d'une comptable, qui auront tout tenté pour sauver leur enfant de ses propres démons, le jeune homme porterait en lui des "traits pervers actifs et terrifiants", selon le ministère public.

    Au fil des débats, sa personnalité est apparue comme "ultra dangereuse", et son avenir "envahi par des risques majeurs de récidives et le naufrage possible dans la maladie mentale". "C'est un individu extrêmement dangereux, au point qu'il est seul en prison pour qu'il ne fasse pas de mal à ses codétenus. Il prend du plaisir à faire du mal", assure le père d'Agnès. À partir de ce soir, Matthieu est donc mis hors de nuire.

    La famille Marin "n'en restera pas là"

    À l'issue des débats, la famille d'Agnès a décidé de ne pas se contenter du procès du tueur de leur fille. Frédéric Marin a d'ores et déjà annoncé qu'il "n'en resterait pas là". "Il y a eu trop de dysfonctionnements dans cette affaire, a-t-il déclaré sur les marches du palais de justice. Tout le monde se repasse la patate chaude ! Les experts, la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) chargée du suivi de Matthieu, l'établissement scolaire du Chambon, l'Éducation nationale... Il y a eu des mensonges, y compris à la barre. En un an et demi de procédure, certains ont fait des fausses déclarations, d'autres ont menti. J'aurais voulu entendre des paroles de contrition. Tout le monde peut faire des erreurs. Il faut juste les assumer. Or je n'ai rien entendu de tout cela en deux semaines de procès. Heureusement que l'avocate générale a reconnu qu'il s'est passé des choses qui n'auraient pas dû arriver". Avec leur avocat, Me Szpiner, les parents d'Agnès s'apprêtent à entamer un nouveau combat.


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    - Publié le <time datetime="2013-06-28T21:34" itemprop="datePublished" pubdate=""> 28/06/2013 à 21:34</time>

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    Andy Murray n'en a rien à faire du vent de folie qui s'est emparé de Wimbledon depuis le début de la quinzaine en traçant imperturbablement sa route dans une moitié de tableau désertée.

    Alors que les têtes les plus prestigieuses ont roulé ces derniers jours et qu'il n'y avait que quatre joueuses du Top 10 au troisième tour, une première en Grand Chelem, le héros local n'a pas cillé pour devenir le premier grand favori à atteindre les huitièmes de finale.

    Comme lors de ses deux premiers tours, Murray n'a pas perdu un set face à l'Espagnol Tommy Robredo, repoussé 6-2, 6-4, 7-5 sous le toit du Central, fermé à cause de la pluie qui a perturbé une grande partie de la journée.

    "C'était un match de grande qualité, j'ai tapé très bien dans la balle, j'ai réussi beaucoup de points gagnants, a-t-il dit. J'espère que je vais continuer à jouer mieux. On m'a testé dans les premiers tours et j'ai bien répondu."

    Attendu comme le messie par tout un peuple qui espère applaudir le premier Britannique à remporter Wimbledon depuis Fred Perry en 1936, Murray a l'air de s'affranchir remarquablement bien avec la pression.

    Il faut dire qu'il a l'habitude et le fait d'avoir ouvert son palmarès en Grand Chelem en septembre dernier à l'US Open a fini par le libérer.

    "Mouais, moi je trouve que cela me met encore plus de pression. Je dois rester concentré et ne pas m'en occuper, même si parfois c'est dur", a nuancé Murray, vainqueur sous les yeux de sa mère et de sa copine de son quatorzième match de suite sur gazon, après ceux décrochés en route pour le titre olympique l'été dernier à Wimbledon et au Queen's récemment.

    Reste que l'Ecossais avance dans le désert dans une partie de tableau saccagée où l'Ukrainien Sergiy Stakhovsky est retombé sur terre 48 heures après son exploit contre Roger Federer en s'inclinant face à Jürgen Melzer.

    La voie est libre pour Bartoli

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    Murray, hormis quelques gros serveurs, type Janowicz ou Gulbis, n'a, sur le papier, pas grand-chose à craindre jusqu'en finale. Et ce n'est pas son prochain adversaire, à choisir entre le Russe Mikhail Youzhny ou le Serbe Viktor Troicki qui devront revenir samedi, qui allait l'empêcher de dormir.

    Dans le tableau féminin, Marion Bartoli se retrouve également dans une situation très enviable après sa qualification pour les huitièmes de finale grâce à son succès (6-4, 7-5) sur la jeune Italienne Camila Giorgi.

    Alors qu'elle aurait dû rencontrer Maria Sharapova, elle fera face lundi à une autre Italienne, Karin Knapp, 104e mondiale, une cible très accessible.

    Sur le papier, l'Auvergnate est même supérieure à toutes ses adversaires potentielles jusqu'à une éventuelle demi-finale face à Petra Kvitova.

    Mais il ne faudra pas suivre l'exemple d'Alizé Cornet, qui n'a pas su profiter d'une situation similaire face à Flavia Pennetta, ancienne 10e joueuse mondiale redescendue au 166e rang (0-6, 7-6, 6-2).

    "Ca me fait très mal, a-t-elle réagi. Il y a beaucoup de regrets et beaucoup de déception. Le tableau s'était ouvert, c'est vraiment dommage. Quand je vois mon niveau de jeu, je pense que je suis sur la bonne voie. Mais là c'est dur."

    Son deuxième huitième de finale en Grand Chelem, après celui à l'Open d'Australie en 2009, attendra encore un peu.

    Jérémy Chardy a, lui, remporté son deuxième tour, interrompu la veille, face à l'Allemand Jan-Lennard Struff (6-2, 5-7, 7-6, 7-6).

    Place maintenant à un tout autre défi avec le N.1 mondial Novak Djokovic, contre qui il est mené 14 sets à 0 en carrière. "Oui je sais, ce n'est pas facile. La dernière fois ça a été assez sévère. Je vais devoir changer quelque chose pour essayer de le gêner", a déclaré le Palois, battu 6-4, 6-1, 6-1 par le Serbe au premier tour à Wimbledon il y a deux ans.


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