• <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Reprise des négociations de paix israélo-palestinienne

    lundi à Washington

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-07-28T21:57:49+02:00" itemprop="datePublished">28.07.2013 à 21h57</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-07-28T22:29:10+02:00" itemprop="dateModified">28.07.2013 à 22h29</time>

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    <figure class="illustration_haut"> L'une des conditions posées par l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas pour de la reprise du dialogue était la libération de 104 prisonniers accordée dimanche. </figure>

    Les pourparlers pour relancer les négociations de paix entre Israéliens et Palestiens vont reprendre lundi soir et mardi à Washington. Les Etats-Unis ont annoncé la reprise du dialogue entre les deux parties, dimanche soir, après que le gouvernement israélien a approuvé la libération de 104 prisonniers palestiniens.

    "Aujourd'hui le secrétaire d'Etat John Kerry s'est entretenu avec le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et il les a personnellement invités à envoyer leurs équipes de négociateurs à Washington pour reprendre formellement les négociations directes", a indiqué le département d'Etat dans un communiqué.

    "Ces négociations seront une occasion de développer un plan de travail qui déterminera comment les parties procèderont dans ces négociations au cours des prochains mois", ajoute-t-il.

    Lire : Israël approuve la libération de 104 Palestiniens dans le cadre des négociations

    A l'issue de son sixième voyage dans la région, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, avait annoncé vendredi 19 juillet un accord préparant le terrain à une reprise des pourparlers de paix entre Palestiniens et Israéliens, gelés depuis près de trois ans. Une réunion entre négociateurs palestiniens et israéliens avait alors été annoncée pour "les semaines à venir" à Washington.

    La reprise des négociations après cet accord était, jusque là, conditionnée à des "détails", expliquait Washington. Parmi eux figuraient la libération des prisonniers. Le gouvernement israélien avait dans un premier temps annoncé qu'il n'en libérerait qu'environ 80 sur la centaine réclamée par l'Autorité palestinienne, avant de décider, dimanche, d'accepter complètement cette condition.

    Reste que pour que les négociations aboutissent, Israéliens et Palestiniens devront s'entendre sur deux points de désaccord cruciaux : le fait que les Palestiniens souhaitent négocier sur les bases des frontières prévalant avant 1967 ainsi que la question du gel de la colonisation dans les territoires palestiniens occupés.

    Lire (édition Abonnés) : Washington tempère son optimisme sur l'issue des pourparlers israélo-palestiniens

    </article>

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Tunisie : le gouvernement s'engage à ne pas utiliser

    la force contre les manifestants

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-07-28T23:13:29+02:00" itemprop="datePublished">28.07.2013 à 23h13</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Des milliers de Tunisiens ont manifesté après les obsèques de Mohamed Brahmi, l'opposant assassiné jeudi. </figure>

    Une nouvelle manifestation anti-gouvernementale se déroulait dimanche dans la soirée à Tunis, où l'opposition laïque réclame la dissolution de la Constituante et la démission du gouvernement islamiste après l'assassinat du député d'opposition Mohamed Brahmi.

    Des centaines de personnes, dont plusieurs députés, se sont rassemblées peu avant la rupture du jeûne de ramadan devant l'assemblée nationale constituante, en présence du fils de Mohamed Brahmi. Sa famille accuse les islamistes au pouvoir d'être responsables de sa mort.

    Plus tôt dans la journée, le ministre tunisien de l'intérieur Lotfi Ben Jeddou s'est engagé à garantir la sécurité des manifestants anti-gouvernementaux, au lendemain de violences policières ayant fait un blessé.

    SIT-IN DEVANT L'ASSEMBLÉE

    "Le ministre nous a dit qu'il a clairement donné des ordres aux agents de ne plus utiliser la force contre les manifestants et participants au sit-in devant l'Assemblée nationale constituante", a déclaré Samir Taïeb, député contestataire de la gauche. Un appel a été lancé peu après par le "Front du salut national de la Tunisie" nouvellement créé, demandant aux Tunisiens de se joindre au sit-in qui reprendra devant la Constituante (ANC).

    Des milliers de manifestants anti et pro gouvernement s'étaient rassemblés dans la nuit de samedi à dimanche devant l'Assemblée. La police avait procédé à des tirs massifs de lacrymogènes pour disperser les manifestants qui plantaient des tentes pour ce sit-in permanent. La police était aussi intervenue tard dans la nuit lorsque des manifestations pro et anti-gouvernement ont commencé à se lancer des invectives, puis des pierres.

    Un député a été blessé samedi après-midi lors des manifestations qui ont éclaté juste après les funérailles de Mohamed Brahm. Les forces de sécurité ont aussi sévi en région, notamment à Sidi Bouzid où des manifestants ont été dispersés à l'aube, et des interpellations ont eu lieu dans la ville plongée dans l'obscurité.

    L'état de la sécurité était dimanche au menu d'une réunion du président Moncef Marzouki et le chef de l'armée, a annoncé sans détails la présidence dans un communiqué.

    </article>

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  • <section class="titraille"> <header>

    F1, Hongrie

    Hamilton, sacrée première !

    Par Louis de Corson, 28-07-2013     lien

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    Lewis Hamilton, vainqueur de son premier grand prix avec Mercedes - Reuters

    </section>

    Lewis Hamilton a enfin réussi à tirer profit de sa pole position en remportant un Grand Prix de Hongrie très animé ! Kimi Räikkönen termine deuxième, juste devant Sebastian Vettel. Déception pour Romain Grosjean, seulement sixième.

    Le film de la course :
    Partir en pole position est souvent un avantage sur le Hungaroring où les dépassements sont très difficiles. Mais dans la fournaise hongroise (plus de 50°C sur la piste), Lewis Hamilton n’était pas confiant, étant très inquiet de la gestion de ses pneumatiques. Si l’Anglais a bien été contraint de faire trois arrêts, l’immense majorité de ses adversaires en a fait autant et le champion du monde 2008 a pu régaler en tête de la course pour s’offrir sa première victoire avec Mercedes.

    <aside class="info_plus"> Le chiffre

    4. Il s'agit de la quatrième victoire de Lewis Hamilton en Hongrie, en sept participations. Il rejoint Michael Schumacher en tête du palmarès de l'épreuve.

    </aside>

    Mais si le vainqueur a été relativement tranquille, derrière, ce fut très animé ! Grâce à une stratégie osée à seulement deux arrêts, Kimi Räikkönen gagne quatre places et termine deuxième, position qu’il occupe désormais au Championnat du monde. Sebastian Vettel, troisième ce dimanche après avoir échoué à dépasser le Finlandais en fin de course, conserve toutefois une belle avance de 38 points. Il reste largement favori à sa propre succession.

    Quatrième en étant parti dixième, Mark Webber a livré une bonne course. En revanche, Fernando Alonso et surtout Romain Grosjean, qui le suivent au classement, ont déçu. L’Espagnol avait promis un départ explosif, il n’en fut rien et il n’a jamais semblé dans le coup. Quant au Français, il a été victime de sa fougue en étant pénalisé d’un passage aux stands peu après la mi-course pour avoir dépassé Felipe Massa en dehors de la piste. Jenson Button, Felipe Massa, Sergio Perez sont dans les points, tout comme Pastor Maldonado, dixième, qui offre à Williams son premier top 10 cette saison.

    Les Bleus dans le rétro :
    Romain Grosjean termine sixième mais laisse un gros sentiment de gâchis car un podium était le minimum auquel il pouvait prétendre. Jean-Eric Vergne partait de loin et a eu du mal à remonter. Il termine douzième, juste devant son équipier Daniel Ricciardo, ce qui est toujours ça de pris. Charles Pic, quinzième, est devancé par Giedo van der Garde pour la première fois de la saison. Enfin, Jules Bianchi, au volant d’une Marussia très lente, termine seizième et avant-dernier, à trois tours du vainqueur du jour.

    Le flop : Romain Grosjean
    Certes, Romain Grosjean termine sixième, ce qui est un moindre mal. D’accord, il a animé le grand prix avec plusieurs dépassements. Mais l’un d’entre eux, sur Felipe Massa, lui valut une pénalité qui a ruiné tous ses efforts. Une sanction qui punit cette manœuvre et la précédente, sur Jenson Button, pendant laquelle les deux hommes s’étaient touchés. Le Français, ressorti des stands derrière Fernando Alonso, ne put dépasser l’Espagnol et il se contente de la sixième place, alors qu’un podium était clairement envisageable, puisqu’il devançait Kimi Räikkönen et Sebastian Vettel.


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Israël approuve la libération de 104 Palestiniens

    dans le cadre des négociations

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2013-07-28T01:11:45+02:00" itemprop="datePublished">28.07.2013 à 01h11</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-07-28T22:36:57+02:00" itemprop="dateModified">28.07.2013 à 22h36</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Benyamin Nétanyahou, le 22 juillet à Jérusalem. </figure>

    L'Autorité palestinienne a salué, dimanche 28 juillet, l'accord du gouvernement israélien à la libération de cent quatre prisonniers palestiniens dans le cadre d'une reprise des négociations de paix directes.

    "Nous estimons qu'il d'agit d'une étape importante et espérons pouvoir saisir l'occasion fournie par les efforts de l'administration américaine pour parvenir à un accord de paix durable et juste", a déclaré le négociateur palestinien Saëb Erakat.

    Cette décision a permis de réouvrir le dialogue israélo-palestinien : Washington a indiqué dimanche soir que les deux parties avaient été conviées à une première rencontre dès lundi soir, après trois ans d'interruption de négociations.

    Lire : Reprise des négociations de paix israélo-palestinienne lundi à Washington

    Le gouvernement israélien a approuvé la libération des prisonniers par treize votes pour, sept contre et deux abstentions.

    "UNE FOIS LES NÉGOCIATIONS DÉMARRÉES"

    Le feu vert du cabinet israélien est intervenu après plusieurs heures de délibérations en raison de l'opposition farouche aux libérations de prisonniers exprimée par plusieurs ministres, se faisant l'écho d'une bonne partie de l'opinion publique israélienne. "Il y a des moments où on doit prendre des décisions difficiles pour le bien du pays et c'est un de ces moments", a justifié le premier ministre Benyamin Netanyahu à ses ministres au début de la réunion, selon son bureau.

    Samedi, il s'était dit prêt à libérer des Palestiniens détenus en Israël "par étapes, une fois les négociations démarrées, puis en fonction de leur évolution", a-t-il écrit sur sa page Facebook. Aucun détail n'a été donné sur l'identité des détenus susceptibles d'être libérés.

    "A l'heure actuelle, il me semble de la plus haute importance que l'Etat d'Israël entre" en négociations écrit M. Nétanyahou. "C'est important à la fois pour maximiser les possibilités de mettre fin au conflit avec les Palestiniens, et pour renforcer la position d'Israël" sur le plan international, a-t-il assuré.

    UN RÉFÉRENDUM EN CAS D'ACCORD DE PAIX

    Avant d'approuver la libération de prisonniers palestiniens, le conseil des ministres avait adopté un projet de loi prévoyant un référendum en cas d'accord de paix avec les Palestiniens. Selon un communiqué de ses services, M. Netanyahu a jugé "important que, pour de telles décisions historiques, chaque citoyen vote directement".

    Le gouvernement a indiqué qu'il demanderait au Parlement de se prononcer rapidement sur ce texte. Selon les médias, il pourrait être présenté cette semaine pour une première lecture. Le référendum deviendrait ainsi la dernière étape nécessaire pour entériner un éventuel accord de paix, après l'approbation du gouvernement puis celle du Parlement.

    Ce projet de loi est vu comme un geste envers les ministres de droite qui appréhendent les concessions pouvant être demandées à Israël lors des négociations. Ils craignent la cession de territoires sous contrôle israélien, comme Jérusalem-Est, sur une simple décision du cabinet, alors que nombre d'Israéliens y sont opposés.

    Lire (édition Abonnés) : Washington tempère son optimisme sur l'issue des pourparlers israélo-palestiniens

    </article>

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  • Pétition : Carla Bruni-Sarkozy menace

    de porter plainte

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    Carla Bruni.

    Carla Bruni.

    Crédit : AFP

    Une pétition réclame à Carla Bruni-Sarkozy le remboursement de 410.000 euros dépensés par l'État pour le site internet de sa fondation. Mais la chanteuse contre-attaque.

    Carla Bruni-Sarkozy, visée par une pétition en ligne exigeant qu'elle reverse de l'argent public dépensé pour réaliser un site internet à son nom du temps où elle était Première dame, a menacé dimanche 28 juillet de porter plainte pour défendre son "honneur".

    "Madame Carla Bruni-Sarkozy se réserve de poursuivre tout propos qui porterait atteinte à son honneur dès lors qu'il serait imputé à la fondation qui porte son nom d'avoir bénéficié de financements qui n'ont jamais existé", selon un communiqué de son avocat, Me Richard Malka.

    Il affirme que le site au cœur de la controverse, épinglé dans un récent rapport de la Cour des comptes, "a cessé d'exister en mai 2012" et que la fondation caritative qui porte le nom de l'ex-Première dame ne peut donc être suspectée d'avoir bénéficié du "moindre centime" en provenance de la présidence de la République. L'avocat, désireux de "clarifier" les choses, dénonce les "fausses informations" circulant ces jours-ci sur "un prétendu et imaginaire financement du site internet de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy par des fonds publics".
     

    Epinglée par la Cour des Comptes début juillet


    Ce qui n'empêche pas que de l'argent public ait servi à promouvoir les activités de celle qui fut Première dame entre 2008 et 2012. De fait, si l'adresse carlabrunisarkozy.org renvoie uniquement désormais vers les activités de la fondation éponyme (créée en 2009), le site hébergeait aussi, avant la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012, des contenus en rapport avec les activités de l'épouse du président. Dans un rapport du 15 juillet sur la gestion de l'Elysée, la Cour des comptes épinglait le fait que Carla Bruni-Sarkozy ait bénéficié d'"un site internet spécifique dédié" pour un coût à la charge de la présidence s'élevant à 410.000 euros sur la période janvier 2011-mai 2012.

    Ce site nécessitait-il un tel investissement ? En guise de protestation, un développeur de sites web, Nicolas Bousquet, a lancé une pétition en ligne exigeant de l'ex-Première dame qu'elle reverse les 410.000 euros sous forme de dons "à des associations caritatives qui oeuvrent pour les plus démunis". Hébergée par la plate-forme Change.org depuis jeudi, la pétition avait recueilli dimanche en fin de journée plus de 72.600 signatures électroniques.


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