• <header>

    All Blacks: McCaw a joué avec une côte cassée

    </header>

    <figure id="123456789"><figcaption>ICON SPORT</figcaption></figure><aside>
    Publié le <time datetime="2014-06-24T07:25:00+02:00" pubdate="">24 juin 2014 à 07h25</time>
    Mis à jour le <time datetime="2014-06-24T07:51:43+02:00">24 juin 2014 à 07h51</time>
    </aside>

    Apparu peu à son avantage lors de la série de trois test-matches pourtant tous victorieux de la série des All Blacks face à l'Angleterre, Richie McCaw (33 ans, 127 sélections), titulaires lors de chacune de ces trois rencontres, a en fait joué diminué face au XV de la Rose, comme l'a révélé le sélectionneur Steve Hansen sur le site espnscrum.com. Le capitaine des All Blacks s'est blessé aux côtes "peut-être lors du deuxième match, sans doute lors du premier", selon le technicien, qui a évidemment rendu hommage au courage de son leader, auquel avait été diagnostiquée dans un premier temps un simple contusion : "C’était un effort courageux de sa part de jouer et de faire ce qu’il a fait."

    McCaw, victime finalement d'une véritable fracture, a donc serré les dents et ajouté un peu plus à sa légende : "Il a donc souhaité disputer le dernier (test) et la douleur était vraiment forte après ça, donc il a dû aggraver sa blessure lors de ce troisième test." Un succès historique (36-13) pour les champions du monde capables d'égaler du même coup le record de victoires (17) au niveau international.

    Quant à McCaw, le joueur des Crusaders en est quitte pour une indisponibilité de 3 semaines, alors que sa province occupe actuellement la tête de la conférence néo-zélandaise dans le Super XV, dont la reprise aura lieu ce week-end.


    votre commentaire
  • <header>

    Coupe du monde 2014 : le Mexique reste au Brésil !

    Le Point.fr - Publié le 23/06/2014 à 17:21 - Modifié le 24/06/2014 à 06:29

    Les Mexicains battent aisément 3-1 une pâle équipe croate et se qualifient pour les huitièmes de finale où ils rencontreront les Pays-Bas.

    Par          lien
    </header>
     
    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Rafael Márquez (à droite) et Javier Hernández ont été décisifs ce soir contre la Croatie.<figcaption>Rafael Márquez (à droite) et Javier Hernández ont été décisifs ce soir contre la Croatie. © Paul Hanna / Reuters</figcaption></figure>

    Le Mexique reste au Brésil. On s'attendait à une rencontre âpre et serrée. Mais l'indécision a régné jusqu'à la 72e minute et ce but de Rafael Márquez, 35 ans, qui fêtait sa 122e sélection. Avec cette victoire 3-1 sur la Croatie, la Verde confirme la domination des pays d'outre-Atlantique sur les équipes européennes à l'occasion de ce Mondial 2014. Tous les ingrédients qui font la réussite de ces équipes (comme celles du Chili, du Costa Rica, et de la Colombie) ont été réunis ce soir. Le Mexique a fait preuve d'intelligence dans tous les secteurs de jeu. Rafael Márquez, en plus d'être l'homme du match avec un but et une passe décisive, a parfaitement commandé la défense. Le milieu de terrain Herrera a régulé de manière remarquable l'entre-jeu et l'attaquant Peralta s'est distingué par ses appels de balle pleins de flair et de générosité.

    Les trois buts mexicains ont été inscrits en l'espace de 10 minutes, de la 72e à la 82e, et ont sonné comme des coups de massue sur la pauvre équipe croate. La Tricolor a montré aussi qu'elle ne savait pas seulement jouer au ballon et bien défendre, car deux de ses trois points ont été marqués sur corner. Le capitaine mexicain ouvre donc le score à un peu plus d'un quart d'heure du coup de sifflet en reprenant un corner de Javier Hernández, entré en jeu à la 62e. Le sélectionneur Miguel Herrera s'est même offert le luxe de mettre sur le banc un attaquant aussi racé et performant.

    Une belle colonne vertébrale mexicaine

    Et cela a été un coaching gagnant puisque l'avant-centre de Manchester United a aussi marqué le troisième but à la 82e, sur corner, en reprenant du crâne une déviation de la tête du même Márquez. Entre-temps, Guardado faisait le break du plat du pied gauche à la 75e en bénéficiant dans la surface d'un très bon service de Peralta. Ce dernier n'a pas marqué, mais a une nouvelle fois crevé l'écran par son jeu dos au but et sans ballon.

    Peralta, Márquez, Guardado, Ochoa, sans parler de l'alternance Giovani Dos Santos-Hernandez (le premier est souvent remplacé par le second en cours de match) : la colonne vertébrale mexicaine et son 5-3-2 a fière allure. Elle nous rappelle aussi le talent de certains de ces joueurs qui ont fait ou font actuellement le bonheur des clubs européens. Et un capitaine comme Márquez prouve que l'expérience peut s'avérer être un atout majeur. La réduction croate du score à la 87e minute ne changera évidemment pas le sort de la rencontre. La Croatie avait besoin d'une victoire pour se qualifier, le Mexique seulement d'un match nul, mais c'est la Verde qui s'est finalement imposée dans une Arena Pernambuco acquise à la cause latine. Ce seront les Pays-Bas, une autre équipe européenne, qui s'opposera à eux en huitième de finale.

    Les compos :

    Croatie : Pletikosa - Srna, Corluka, Lovren, Vrsaljko (57e, Kovacic) - Pranjic, Rakitic - Perisic, Modric, Olic (68e, Rebic) - Mandzukic

    Mexique : Ochoa - F. Rodríguez, Márquez, Moreno - P. Aguilar, Herrera, Vazquez, Layun, Guardado (84e, Fabián) - G. Dos Santos (62e, Hernandez), Peralta (78e, Peña)


    votre commentaire
  • MATCH TERMINÉ
    Heure du match : 22h00
     
    CAMEROUN
    1-4
    BRÉSIL
     
    Stade : Estádio Nacional | Météo : Légèrement nuageux, 24°C 
    Commentaires : Warnier Mathieu | Arbitre : J. Eriksson
     
    CARTONS :
    • Enoh
    • S. M'bia
    BUTS :
    • (26') Matip
    Cameroun
    VS
    Brésil
    BUTS :
    • (16') Neymar
    • (34') Neymar
    • (49') Fred
    • (83') Fernandinho
    CARTONS : 
    _
     
     
    CM 2014 (GPE A) / CAMEROUN - BRESIL : 1-4 :

    Le Brésil s'en remet une nouvelle fois à Neymar

    Grâce à un doublé de Neymar, le sauveur, le Brésil a battu le Cameroun et termine à la première place du groupe A. Tout n'est pas parfait, mais les Brésiliens ont rendez-vous avec le Chili en huitièmes de finale.

     

    Le debrief

    Après avoir fait le dos rond pendant dix minutes, le Cameroun est progressivement monté en puissance face à une formation brésilienne fébrile et hésitante. Mais alors que Marcelo (9eme) et David Luiz (13eme) sont intervenus in extremis pour empêcher l’ouverture du score des Lions Indomptables, c’est l’inévitable Neymar (17emre) qui a trouvé la faille, inscrivant par la même occasion le 100eme but de ce Mondial 2014. Ce même Neymar et Fred ont ensuite été à deux doigts de faire le break, mais il en fallait plus pour décourager des Camerounais en quête de revanche malgré leur élimination. Profitant des largesses défensives et des problèmes à la construction des troupes de Luiz Felipe Scolari, le Cameroun est revenu par l’intermédiaire de Joel Matip (26eme). Mais c’est encore Neymar qui a enfilé son costume de sauveur pour redonner l’avantage aux siens quelques minutes plus tard (35eme). L’arbre qui cache la forêt, mais le mal était fait et les Brésiliens étaient lancés vers une victoire synonyme de qualification (et de première place au final).

    Au fur et à mesure, les Sud-Américains ont pris l’ascendant sur la rencontre. Et ceci malgré des largesses défensives indignes d’un prétendant au titre. L’entrée de Fernandinho, en lieu et place de Paulinho, a permis de stabiliser le milieu de terrain, Fred se chargeant de faire le break au retour des vestiaires (49eme). Sous pression, les coéquipiers de Thiago Silva ont répondu présent et verront les huitièmes de finale. Mais il faudra faire beaucoup plus espérer remporter le trophée. Aujourd’hui, les Brésiliens reposent sur leurs individualités et les motifs d’inquiétude sont nombreux. Neymar ne tombera pas toujours sur des défenseurs aussi conciliants que ce lundi soir… On aura un nouvel élément de réponse face au Chili en huitièmes de finale. Vivement samedi prochain ! 

    - See more at: http://www.football365.fr/coupe-du-monde-2014/le-bresil-s-en-remet-une-nouvelle-fois-a-neymar-1143870.shtml#sthash.PZQzhnkZ.dpuf


    votre commentaire
  • La France est déficitaire dans ses échanges économiques avec l'étranger

     

    Créé le 23/06/2014 à 20h30 -- Mis à jour le 23/06/2014 à 20h40
    <aside>La France n'a pas vraiment amélioré en 2013 le résultat de ses transactions courantes avec le reste du monde, encore largement déficitaires. Photographie de la Banque de France en 2003 à Paris

    La France n'a pas vraiment amélioré en 2013 le résultat de ses transactions courantes avec le reste du monde, encore largement déficitaires. Photographie de la Banque de France en 2003 à Paris JOEL ROBINE AFP

    </aside>

    Paris - La France n'a pas vraiment amélioré en 2013 le résultat de ses transactions courantes avec le reste du monde, encore largement déficitaires malgré l'excédent de ses échanges de services et une légère amélioration de son déficit commercial persistant.

    Le déficit des transactions courantes s'est maintenu à un niveau élevé, à 30,3 milliards d'euros, soit 1,4% du Produit intérieur brut, a annoncé lundi la Banque de France.

    «Ce déficit ne marque pas de réelle amélioration par rapport à celui de 2012 qui est de 31,8 milliards», a précisé la Banque de France (BdF) au cours d'une conférence de presse.

    De plus, ce léger mieux n'est pas à mettre au compte d'un dynamisme retrouvé des entreprises à l'étranger. «Cela est essentiellement dû à une baisse des importations de biens, notamment énergétiques, dans le contexte d'une conjoncture médiocre», a souligné le directeur général des statistiques de la BdF, Jacques Fournier.

    Et cette diminution des importations de biens est «essentiellement tirée par la baisse des prix du baril qui contribue fortement à celle de la facture énergétique», a-t-il précisé. «Plus généralement, les importations de la plupart des grandes classes de produits décroissent» en raison de «la faiblesse de la demande interne», souligne-t-il.

     

    - Fort déséquilibre avec l'Allemagne -

     

    Jean-Christophe Caffet, économiste chez Natixis, souligne également l'effet d'«une appréciation de l'euro qui rend les importations moins coûteuses».

    La balance des transactions courantes est un bon indicateur de la situation d'une économie par rapport au reste du monde car elle va au-delà des seuls échanges de biens, déficitaires depuis de longues années en France. Elle prend en compte ceux, croissants, de services ainsi que les revenus des investissements et ceux du travail versés entre agents économiques en France et à l'étranger.

    Les échanges de biens et de services ont poursuivi leur amélioration l'an dernier avec un déficit de 24 milliards, soit de 6 milliards inférieur à celui de 2012. «L'essentiel» du déficit des échanges de biens, c'est-à-dire du déficit commercial de la France «provient du déséquilibre de ses échanges avec la zone euro en particulier avec l'Allemagne», fait remarquer la BdF.

    Les échanges de services dégagent un excédent comme les années précédentes mais celui-ci est en diminution, passant de 25 milliards en 2012 à 18 milliards en 2013. Les importations de services (+9%) croissent davantage que les exportations (+4%).

    Seconde composante des transactions courantes, les revenus «reflètent notamment les profits tirés de l'activité internationale des groupes français, les revenus de placements financiers et, en sens inverse, la charge des intérêts versés en contrepartie de l'endettement auprès de l'étranger», explique la BdF.

    Alors que le solde de tous ces revenus était positif en 2011, il était déficitaire de 6 milliards d'euros l'an dernier. En 2012 il était négatif de 2 milliards.

    C'est ce solde des transactions courantes qui in fine détermine si un pays a acquis sur une période la capacité de prêter des capitaux au reste du monde ou a besoin d'en emprunter, sa tendance à s'enrichir ou s'appauvrir.

     

    - Soutien à la compétitivité «indispensable» -

     

    «Une amélioration des exportations de biens mais aussi de services constitue plus que jamais une forte nécessité», plaide M. Fournier. «C'est à la fois un facteur de croissance et une condition pour que celle-ci ne s'opère pas au détriment de l'indépendance financière nationale», avertit le statisticien.

    «La poursuite déterminée et rapide des actions engagées par les pouvoirs publics en faveur de la compétitivité internationale des entreprises françaises est donc indispensable», ajoute-il.

    La balance des transactions courantes est une composante de la balance des paiements, qui comporte également le compte de capital (remise de dette, achat de brevets, de terrains...), et le compte financier qui répertorie entre autres les investissements directs et de portefeuille et l'évolution des réserves en devises et en or.

    La BdF note que «l'année 2013 confirme la tendance à la décrue des investissements directs français à l'étranger enregistrée depuis 2009». Mais ces investissements directs, qui représentent les prises de participation stratégiques des entreprises, restent créditeurs, c'est-à-dire que les investissements directs français à l'étranger sont supérieurs aux investissements directs étrangers en France, à hauteur de 389 milliards en 2013.

     © 2014 AFP

    votre commentaire
  • Mondial 2014: dernier tour d'honneur réussi pour l'Espagne

    (PHOTOS)

    AFPQC  |  Par Agence France-PressePublication: 23/06/2014 11:54 EDT  | 

     Mis à jour: 23/06/2014 14:13 EDT      lien

     
     

    L'Espagne, éliminée prématurément du Mondial-2014, a fait honneur une dernière fois à son statut de championne en titre en battant l'Australie (3-0) dans un match sans enjeu à Curitiba, où plusieurs joueurs de l'âge d'or espagnol ont peut-être dit au revoir à la Roja.

    Un premier but de David Villa (36), un deuxième de Fernando Torres (69), un troisième de Juan Mata (82): ce match-là avait de faux airs de tour d'honneur pour les héros d'hier, qui ont écarté avec sérieux des Australiens limités sans leur buteur Tim Cahill, suspendu.

    La victoire et la troisième place symbolique du groupe B mettront un peu de baume sur les plaies espagnoles après le traumatisme des déroutes contre les Pays-Bas (5-1) et le Chili (2-0), synonymes d'élimination au premier tour.

    A l'Arena da Baixada, David Villa (32 ans), qui va partir jouer en Australie puis aux Etats-Unis, a probablement disputé lundi sa 97e et dernière sélection avec l'Espagne.

    Mais il l'a fait en beauté, confortant son statut de meilleur buteur de l'histoire de la Roja (59 buts) sur une action splendide: ouverture laser d'Andres Iniesta pour Juanfran, qui centre en retrait pour la talonnade victorieuse de Villa (36).

    - Ramos capitaine, Koke prometteur -

    D'autres trentenaires, comme le gardien Pepe Reina (31 ans) ou le milieu Xabi Alonso (32 ans), pourraient également avoir joué là leur ultime match international, sous réserve de confirmation. Le meneur barcelonais Xavi (34 ans), donné partant lui aussi, n'a lui pas eu cette opportunité en raison d'un problème musculaire.

    Tous ces joueurs ont largement contribué aux conquêtes du passé (Euro-2008, Mondial-2010 et Euro-2012), mais il y a eu aussi lundi à Curitiba un aperçu de ce que pourra être l'Espagne demain.

    En défense, Sergio Ramos (28 ans, 119 sélections) portait ainsi le brassard de capitaine et au milieu, le jeune Koke (22 ans) a pris ses responsabilités.

    Présenté par Xavi comme son successeur en sélection, le milieu de l'Atletico a été plutôt bon, dirigeant le jeu et affichant une complicité prometteuse avec Andres Iniesta.

    Ce dernier (30 ans), dont c'était la 100e sélection, devrait rester au coeur du projet espagnol, tant sa vista et sa qualité de passe sont précieuses: "Don Andres" a ainsi délivré une passe décisive sur le deuxième but en lançant Torres seul dans la surface (69).

    Le troisième but est venu d'une ouverture de Cesc Fabregas pour Juan Mata (82).

    Certes, rien n'est réglé pour la Roja, dont le sélectionneur Vicente del Bosque, sous contrat jusqu'en 2016, a laissé planer le doute concernant son avenir. Mais, à Curitiba, l'Espagne a laissé entrevoir la promesse d'un renouveau.

    
     
    PHOTOS: Spain vs. Australia
    
    
    1 sur 43
     
    
    
     
    Getty Images
    
    
    • Suiv
    •  

    votre commentaire