• <article style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box; font-family: Georgia, serif; font-size: 16px;"><header>

     Sarkozy : "C'est encore le temps de la réflexion"Le Nouvel Observateur avec AFP

    lien 

    <time>Publié le 25-06-2014 à 22h33</time>

    L'ancien président de la République a reçu le "prix de l'appel du 18 juin" décerné par l'Union des Jeunes pour le progrès. L'occasion pour lui de se faufiler dans les pas du général de Gaulle.

    </header>
    Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre avec Juan Carlos à Madrid le 27 mai 2014. (Paul White/AP/SIPA).
    Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre avec Juan Carlos à Madrid le 27 mai 2014. (Paul White/AP/SIPA).
    <aside></aside>

    Nicolas Sarkozy, qui a montré de plus en plus de signes d'un désir de revenir en politique, a assuré mercredi 25 juin à Paris être "encore" dans le "temps de la réflexion".

    "C'est encore le temps de la réflexion", a lancé l'ancien président de la République qui recevait dans une salle de la questure de l'Assemblée nationale le "prix de l'appel du 18 juin" décerné par l'Union des Jeunes pour le progrès. Cette association relancée en 2010 est l'héritière de celle qui avait été créée en 1965 quand le général de Gaulle était à l'Elysée.

    Ma conception du gaullisme, c'est une certaine forme de fidélité", a lancé Nicolas Sarkozy, quatrième lauréat de cette récompense, après lesUMPNathalie Kosciusko-Morizet, Hervé Gaymard etFrançois Baroin.

    "La première qualité pour s'engager en politique, c'est d'être passionné", a-t-il dit devant plusieurs dizaines de membres de l'UJP.

    On s'engage passionnément ou pas du tout, à mille pour cent ou pas du tout, avec le coeur, les tripes, les sentiments. Ce n'est pas une question de calcul, la politique, mais de passion."

    Pour l'ex-chef de l'Etat dont la campagne victorieuse de 2007 avait été axée sur la "rupture", "le gaullisme a toujours porté la volonté de rupture. A chaque instant, le système a voulu se venger de lui [le général] parce qu'il n'était pas des leurs, il les dominait".

    "Le gaullisme, c'est se tourner vers l'avenir"

    "La première famille à laquelle j'ai adhéré, c'est la famille gaulliste, je n'ai jamais changé de famille politique", a-t-il assuré. "Le gaullisme est imperméable aux modes et surtout étranger à ceux qui suivent les modes."

    "Ceux qui le couvrent de fleurs aujourd'hui le couvraient d'injures à l'époque ; cela n'a aucune importance puisque le souvenir du général de Gaulle demeure et que le souvenir de ceux qui le couvraient d'injures est passé depuis longtemps", a-t-il ajouté.

    "L'aventure de la famille gaulliste, c'est une immense armée passionnée, qui peut se déchirer, qui peut s'affronter mais qui ne ressemble à aucune autre parce qu'elle porte un engagement qui est viscéral et pas simplement cérébral", selon le responsable de droite. "La famille gaulliste, c'est aussi une famille, une pensée, des racines qui s'inscrivent dans une succession de ruptures.

    Pour lui, "il n'y a pas de phrase plus contradictoire que celle qui consiste à invoquer au nom du gaullisme le retour aux sources. Il n'y a pas de retour aux sources. Le gaullisme, c'est se tourner vers l'avenir en rupture avec les habitudes, avec les sectarismes avec les conservatismes, les frilosités et même la lâcheté'."

    "Tous les coeurs sont à gagner"

    "Toute l'idée du gaullisme, c'est l'idée du rassemblement et de l'unité", a dit celui dont la famille politique se déchire.

    Le gaullisme porte l'idée d'un rassemblement le plus large possible."

    "Celui qui est gaulliste considère que tout le monde est à convaincre, qu'aucune citadelle n'est imprenable, que tous les coeurs sont à gagner", a encore lancé Nicolas Sarkozy.

    Lui qui avait été critiqué pour des propos hostiles aux corps intermédiaires a encore évoqué "le peu d'appétence du gaullisme pour les corps intermédiaires".

    Le gaullisme, c'est le rapport direct avec le peuple", a-t-il résumé
    .
    </article>

    Sur le web : Sarkozy reçoit le prix de l'Appel du 18 juin à l'Assemblée - 25/06
     

    votre commentaire
  • Nigeria: 21 morts dans un attentat à la bombe

    Une nouvelle attaque a frappé le coeur de la capitale nigériane, Abuja, ce mercredi. Une bombe a explosé dans un centre commercial en pleine heure d'affluence, faisant 21 morts et 17 blessés.

    D. N. avec AFP 
    Le 25/06/2014 à 17:45 
    Mis à jour le 25/06/2014 à 23:39
    lien
    La capitale du Nigeria, Abuja, a été frappée par un nouvel attentat, ce mercredi. (BFMTV)

    La capitale du Nigeria, Abuja, a été frappée par un nouvel attentat, ce mercredi. (BFMTV)

    1 / 1

    <article class="corps_article_right" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; vertical-align: baseline; color: rgb(34, 34, 34);">

    Le coeur de la capitale du Nigeria, Abuja, a de nouveau été frappé par un attentat à la bombe qui a fait 21 morts et 17 blessés ce mercredi, dans un centre commercial bondé de la ville, déjà pris pour cible plusieurs fois par les islamistes de Boko Haram. 

    La bombe a explosé peu avant 16 heures (15 heures GMT) près d'une des entrées de l'Emab Plaza, un centre commercial situé entre deux autres galeries marchandes, dans un quartier très animé en plein centre d'Abuja, non loin du siège du gouvernement. L'explosion s'est produite alors que des clients faisaient leurs courses une heure avant le début du match de la Coupe du monde, Nigeria-Argentine.

    Une personne arrêtée

    Ce nouvel attentat, qui a frappé le centre-ville d'Abuja, où se trouvent les ministères, les bâtiments administratifs, les grands hôtels et les sièges d'entreprises étrangères, pourtant sous haute surveillance depuis l'attentat contre le siège des Nations unies en août 2011, laisse plâner de nouvelles inquiétudes quant à la capacité des forces de l'ordre à protéger la capitale nigériane.

    Après l'attentat de mercredi, le site entièrement bouclé par la police et l'armée, offrait un spectacle de désolation, les services de secours zigzagant entre les débris de voitures et les flaques de sang, pour transporter les restes de cadavres éparpillés sur le sol. L'explosion a été si forte qu'elle a fait voler en éclats les vitres des fenêtres des immeubles de l'autre côté de la rue.

    "Le bilan est de 21 morts et 17 blessés" a déclaré Frank Mba, le porte-parole de la police, devant la presse, ajoutant qu'une personne a été arrêtée. Mike Omeri, un porte-parole du gouvernement, a pour sa part déclaré qu'il s'agissait d'un "attentat à la bombe".

    Heure d'affluence

    Toutes les victimes ont été évacuées du site, a déclaré le porte-parole des services de secours, Manzo Ezekiel. "L'explosion est survenue à un moment de forte activité commerciale" et le lieu était très fréquenté au moment de l'explosion, a-t-il précisé.

    Une employée de l'hôtel Newcastle, situé dans le même quartier de Wuse II, qui a souhaité rester anonyme, a déclaré avoir entendu une déflagration. L'attentat n'a pas été revendiqué pour l'instant mais le groupe islamiste armé Boko Haram, qui a suscité l'indignation de la communauté internationale en enlevant plus de 200 lycéennes mi-avril, a mené deux attentats très meurtriers dans la capitale en avril et mai.
        
    La gare routière de Nyanya, à la sortie d'Abuja, a d'abord été touchée le 14 avril par un attentat à la voiture piégée qui a fait 75 morts, l'attaque la plus meurtrière jamais perpétrée sur le territoire de la capitale fédérale. Le chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, considéré comme un terroriste à l'échelle mondiale par les Etats-Unis, avait revendiqué l'attentat du 14 avril dans une vidéo.

    </article>

    votre commentaire
  • <article style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box; font-family: Georgia, serif; font-size: 16px;"><header>

    Mondial: les Bleus ont rendez-vous avec la légende

    <time>Publié le 25-06-2014 à 17h35Mis à jour à 23h55</time>lien

     

    </header>
    Montage photo montrant le joueur de l'Equateur Felipe Caicedo (g) à Brasilia le 15 juin 2014, et l'attaquant de l'équipe de France Karim Benzema à Salvador le 20 juin 2014(c) AfpMontage photo montrant le joueur de l'Equateur Felipe Caicedo (g) à Brasilia le 15 juin 2014, et l'attaquant de l'équipe de France Karim Benzema à Salvador le 20 juin 2014 (c) Afp
    <aside></aside>

    Rio de Janeiro (AFP) - Irrésistible depuis le début du Mondial, la France a un dernier petit effort à fournir mercredi (17H00 locales, 20H00 GMT, 22H00 françaises) dans le mythique Maracana de Rio de de Janeiro contre l'Equateur afin de valider son billet pour les 8e de finale et décrocher la 1re place du groupe E.

    Un résultat nul ou une victoire contre l'Equateur devrait lui permettre de se prémunir d'un éventuel duel face à l'Argentine de Messi.

    Avec 2 succès en 2 rencontres, 8 buts inscrits et seulement deux encaissés, les Bleus n'ont théoriquement pas grand-chose à craindre et il faudrait une catastrophe monumentale pour qu'ils échouent aux portes du Top 16.

    Didier Deschamps ne fait qu'exhorter ses joueurs à "ne pas s'enflammer" alors que leurs prestations en ont fait des terreurs du tournoi, voire des favoris en puissance. Mais le danger mathématique est tellement minime qu'ils peuvent aborder tranquillement cet ultime rendez-vous du 1er tour avant de basculer dans l'inconnue des matches à élimination directe.

    L'objectif est surtout de maintenir l'élan des premiers jours passés au Brésil et de se montrer digne du légendaire Maracana, la perspective de le retrouver le 13 juillet pour la finale étant un rêve que personne n'ose encore envisager à voix haute malgré les louanges qui s'abattent de tous côtés sur cette équipe.

    Dans cette enceinte chargée d'histoire où il y a 37 ans la bande à Platini avait signé son acte fondateur en tenant tête à la Seleçao brésilienne (2-2) de Rivelino, la France doit se montrer à la hauteur de l'événement et de son nouveau statut.

    - Une défense remaniée -

    Traditionnellement, les 3e rencontres d'un premier tour sont toujours l'occasion de faire participer les suppléants à la fête. Celui-ci ne dérogera pas à la règle même si, sur le papier, rien n'est encore joué.

    Deschamps est soumis à plusieurs contraintes. Outre la suspension de Yohan Cabaye, qui l'obligera à changer de "sentinelle" devant la défense, il doit gérer les menaces qui pèsent sur Patrice Evra et Paul Pogba, déjà avertis.

    Selon la mise en place tactique de mardi effectuée à huis-clos, c'est Morgan Schneiderlin qui aura la haute charge de remplacer Cabaye. Il s'agit d'une petite surprise, le milieu de Southampton (24 ans) ne comptant qu'une sélection et n'étant pas encore entré en jeu durant la compétition. Il grille la politesse à Rio Mavuba, beaucoup plus expérimenté (30 ans, 13 sélections) et qui était considéré jusque-là comme la doublure attitrée du Parisien.

    Evra sera logiquement suppléé par le jeune champion du monde U20 Lucas Digne (21 ans, 2 sélections) alors que Pogba sera tout de même aligné en dépit de son carton jaune reçu contre le Honduras (3-0, le 15 juin).

    Le sélectionneur est également tributaire de l'état de santé de Raphaël Varane, victime d'une gastro-entérite dimanche, et du physique de Mamadou Sakho, blessé à une cuisse (petite élongation) face à la Suisse (5-2), vendredi. Ce qui devrait le pousser à modifier, en partie, sa charnière centrale.

    - 6 changements -

    Le joueur du Real Madrid devrait passer son tour pour revenir en forme optimale pour les 8e de finale, ce qui ouvre la voie à une titularisation de Laurent Koscielny, l'une des principales victimes du naufrage des Tricolores au barrage aller en Ukraine (2-0, le 15 novembre). Devenu N.3 dans la hiérarchie des défenseurs centraux, le Gunner a l'occasion de se racheter.

    Sakho sera en revanche être maintenu. Deschamps avait pourtant déclaré samedi que l'ancien Parisien serait "peut-être juste" pour affronter l'Equateur mais ce dernier semble avoir récupéré puisqu'il a repris normalement l'entraînement lundi à huis clos et a formé la paire défensive axiale avec Koscielny mardi.

    Au total: le sélectionneur effectuera 6 changements par rapport à l'équipe qui avait laminé la Suisse.

    Karim Benzema sera lui logiquement conservé aux avant-postes. L'attaquant du Real Madrid s'est pour l'instant imposé comme l'une des grandes vedettes de cette Coupe du monde et les Bleus ne peuvent plus s'en passer. Avec 3 buts et des actions de classe à la pelle, Benzema rayonne et il aurait été injuste de lui faire manquer la visite du Maracana. La légende lui tend les bras
    .

    </article>


    votre commentaire
  • ITALIE-URUGUAY : LE PACTOLE GRÂCE À...

    LA MORSURE DE SUAREZ

    lien 

    Avant la rencontre entre l'Italie et l'Uruguay (0-1), un Norvégien nommé Thomas Syversen s'était rendu sur un site de Paris. Jusque-là rien de surprenant, sauf que le pari de l'intéressé portait sur un événement bien particulier.





    Luis Suarez et Giorgio Chiellini

    En clair, Thomas Syversen a tablé sur le fait que Luis Suarez allait mordre un adversaire au cours de cette rencontre capitale. Ce scénario s'est déroulé puisque "El Pistolero" a effectivement mordu le défenseur Giorgio Chiellini. Pendant que la FIFA mène son enquête au sujet du goleador uruguayen, Thomas Syversen se frotte les mains en ce moment. En effet, il va percevoir 5.600 euros, comme l'atteste son récépissé, après avoir fait ce pari audacieux avant le coup d'envoi ! L'histoire ne dit pas s'il remettra le couvert avant la fin de la compétition.


    votre commentaire
  • La mairie FN du Pontet va supprimer la gratuité

    des cantines pour les familles démunies

     

    Créé le 25/06/2014 à 19h03 -- Mis à jour le 25/06/2014 à 19h07        lien

    <aside>Illustration d'une cantine scolaire, le 18 décembre 2012.

    Illustration d'une cantine scolaire, le 18 décembre 2012. FRED SCHEIBER/20 MINUTES

    </aside>

    POLITIQUE - Le maire souhaite par cette mesure «responsabiliser les parents»...

    La mairie Front national du Pontet (Vaucluse) devait valider mercredi soir en conseil municipal la décision de supprimer la gratuité totale de la cantine pour les ménages les plus démunis, une mesure visant à «responsabiliser les parents» que critique vivement l’opposition UMP.

    «Les familles doivent contribuer aux charges collectives. Ce qui est gratuit pour les uns est payant pour les autres, car le coût est supporté par la collectivité. Nous souhaitons responsabiliser les parents. Qui n’a pas 1,57 EUR à verser à la collectivité pour un repas complet et équilibré?», a déclaré à l’AFP Xavier Magnin, directeur de cabinet du maire FN du Pontet, Joris Hébrard, confirmant uneinformation de France Bleu Vaucluse. Cette somme correspond à la demi-gratuité à laquelle pourraient prétendre les parents des 65 enfants concernés, selon Xavier Magnin, le tarif normal du repas étant de 3,15 EUR.

    Les économies ainsi réalisées devraient être de 29.000 euros, d’après Xavier Magnin, précisant qu’une soixantaine de tarifs de régie municipale allaient également être révisés lors de ce conseil. «Les petites rivières font les grands fleuves», a-t-il ajouté.

    L’opposition crie au scandale

    Le leader de l’opposition, Claude Toutain (UMP), a dénoncé sur les ondes de France Bleu Vaucluse une mesure «anti-sociale». «On touche les familles les plus défavorisées, monoparentales, les gens au RSA ou en fin de droit au chômage, alors que le maire s’est octroyé une augmentation de salaire de 44 %, soit 1.000 euros, qui aurait permis de financer 500 repas par mois», a-t-il ajouté.

    «Il faut bien se dire qu’il est de notre devoir, quand on est un peu plus aisé, de venir en aide aux personnes un peu plus en difficulté», a conclu Claude Toutain, dénonçant une décision «absolument scandaleuse».

    Joris Hébrard a remporté les élections municipales avec 42,6 % des voix, devançant de très peu ClaudeToutain (42,5 %).

     20 minutes avec AFP

    votre commentaire