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    Derniers ajustements avant la réforme territoriale

    Par , publié le <time datetime="2014-06-02 09:33:41" itemprop="datePublished" pubdate="">02/06/2014 à 09:33</time><time datetime="" itemprop="dateModified"></time>

    Mardi, François Hollande devrait annoncer la création de douze super-régions au lieu de vingt-deux actuellement. Derniers arbitrages ce lundi avant la présentation officielle. 

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    <aside class="toolbar" style="margin: 0px 0px 15px; border-style: solid; border-color: rgb(226, 226, 226); border-width: 1px 0px; height: 25px; clear: both; padding: 9px 0px 5px;">

    </aside><figure class="ouverture" style="margin: 0px 0px 10px; padding: 0px; outline: 0px; width: 605px;">Derniers ajustements avant la réforme territoriale<figcaption>

     

    Aujourd'hui, le Président de la République ajuste le contenu de la réforme territoriale avant sa présentation.

     

     

    afp.com/Bertrand Guay

     

    </figcaption></figure></header>

    François Hollande finalise ce lundi les grandes lignes de la réforme territoriale. Selon Le Monde, le président de la République devrait prendre ses derniers arbitrages lors d'un entretien avec Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, et d'un déjeuner avec le Premier ministre Manuel Valls. 

    Dimanche, le Journal du Dimanche a dévoilé que cette réforme pourrait entraîner la création d'une douzaine de super-régions, contre 22 actuellement. Mardi, François Hollande devrait s'exprimer publiquement afin de présenter cette nouvelle répartition du territoire et exposer les nouveaux contours géographiques de la France. De quelle manière? Toujours selon le Journal du Dimanche, le chef de l'Etat "dans une tribune ou une interview, sans doute à la presse quotidienne régionale". 

    Les doutes face à la réforme

    La réforme territoriale divise du côté des élus. Le député UMP de l'Aisne Xavier Bertrand a affirmé dimanche sur France 5 être "prêt à s'engager" dans ce projet. Cependant, s'il soutient la réforme, il reste sceptique face à l'engagement du président car il "sait pertinemment qu'il n'arrivera pas à la mettre en oeuvre". Xavier Bertrand souhaite un référendum, comme Jean-François Copé le réclamait déjà.  

    Le président du MoDem, Français Bayrou, a lui aussi réagi dimanche face aux annonces de présentation de cette réforme. Il a jugé que François Hollande n'allait "pas arriver" à mener ce projet à son terme, dans l'émission Tous Politiques sur France Inter. Mais surtout, François Bayrou doute de l'intérêt de cette réforme: "Pour moi, il n'y avait pas trop de régions en France, peut-être on pouvait réunir les deux Normandie ensemble et trouver des accomodements, mais je ne crois pas qu'on fera plus d'économies avec 12 régions que si on avait gardé les équilibres actuels". Selon lui, "la vraie question [...] est la fusion des départements avec les régions". 

    Deux projets de loi, présentés par Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, et Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation, seront examinés le 18 juin prochain en Conseil des Ministres. 


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  • Et si Hollande n'allait pas au bout de son mandat ?

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      • Par Alexandre Devecchio
      • Mis à jour <time datetime="2014-05-30T17:05:16+02:00" itemprop="dateModified">le 30/05/2014 à 17:05</time>
      •  
      • Publié <time datetime="2014-05-29T18:21:33+02:00" itemprop="datePublished">le 29/05/2014 à 18:21</time>
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    <figure><figcaption itemprop="description">

     

    </figcaption></figure>

    FIGAROVOX/ANALYSE -

    Après l'échec du PS aux européennes, les médias et les politiques s'interrogent : et si François Hollande n'allait pas au bout de son mandat. Le décryptage de Christian Delporte.

     

    <figure itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"></figure>

    Christian Delporte est historien spécialiste de l'histoire des médias et de la communication politique.

    Il est l'auteur de «Come-back, ou l'art de revenir en politique» (Paris, Éditions Flammarion, 2014).


    Au lendemain de la débâcle des européennes, François Bayrou, invité de BFM-TV, a lâché «François Hollande n'ira pas au bout de son mandat. Il va y avoir un coup de foudre d'ici là. On ne peut pas durer trois ans dans la situation où on se trouve.». Selon une étude OpinionWay réalisée en exclusivité pour Le Figaro Magazine, les Français ne sont plus que 3% à préférer François Hollande comme candidat du PS à la prochaine présidentielle de 2017. En dépit de la force des institutions, l'hypothèse de voir François Hollande démissionner est-elle désormais crédible?

    La démission du leader qui n'a plus la confiance du peuple est une vieille question, théorisée par…les bolcheviks! Sur le plan institutionnel, rien n'oblige François Hollande à partir. L'impopularité mesurée par les sondages (même si l'actuel Président bat des records, sur ce plan) ou l'échec aux élections intermédiaires ne suffiront pas, sauf s'il en décidait lui-même ainsi, à le pousser à la démission. A cet égard, ses prédécesseurs ont eu la même attitude. Seule une situation exceptionnelle de chaos (manifestations et grèves massives, pays bloqué, violences…) pourrait l'y conduire. Nous n'en sommes pas là. Quand on est à la tête de l'Etat, on croit toujours, même si on s'illusionne parfois, qu'on finira par rebondir et reconquérir l'opinion. La démission, pour un homme politique, a fortiori exerçant les plus hautes fonctions, est une extrémité inadmissible. Seuls l'épuisement ou la contrainte sous une forte pression l'y mènent éventuellement. En attendant, les leaders de l'opposition peuvent bien poser la question du départ de Hollande, c'est bon pour mobiliser leur électorat qui attend un tel discours. Mais, en leur for intérieur, ils savent, par expérience, que cela ne se produira pas.

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    De Gaulle est parti en 1969, désavoué par le peuple lors d'un référendum où il avait mis son mandat en jeu.

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    Cette situation serait-elle inédite dans l'histoire politique?

    Le Président Mac Mahon a démissionné en 1877, après avoir dissout la Chambre, finalement poussé dehors par la nouvelle majorité républicaine qui refusait de gouverner avec lui. Alexandre Millerand fut dans la même situation en 1924. D'autres chefs de l'Etat ont démissionné sous la IIIe République: Jules Grévy, en 1887, emporté par un scandale, Jean Casimir-Périer, en 1895 (après 6 mois et 6 jours, par dépit), Paul Deschanel, en 1922 (pour des raisons de santé bien connues): mais, à l'époque, comme disait De Gaulle, les présidents «inauguraient les chrysanthèmes». Le Général, justement, est parti en 1969, désavoué par le peuple lors d'un référendum où il avait mis son mandat en jeu. Dans ces deux cas, le départ résulte de l'expression du suffrage universel. Mais, malgré lui, Mitterrand, à deux reprises (1986, 1993) et Chirac (1997) ont préféré la cohabitation à la démission. On se rappelle aussi qu'en 1968, De Gaulle avait écarté l'hypothèse de sa démission, préférant dissoudre l'Assemblée nationale, provoquer des législatives anticipées et, ainsi, poser la «question de confiance» au peuple français.

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    Répétée, reprise, l'idée du départ fait son chemin.

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    L'Express titre en une cette semaine, «Encore trois ans», tandis que Valeurs actuelles pose la question «doit-il partir?» Ces unes sont-elles le reflet d'une fragilité réelle du pouvoir ou contribue-t-elle à le déstabiliser?

    Valeurs actuelles s'adresse à une clientèle de droite, tandis que L'Express vise un public plus large, mais les deux se rejoignent, simplement parce qu'ils traduisent l'air du temps. Je ne me lancerai pas dans la théorie de la poule et de l'œuf. La presse évoque le départ de Hollande, parce que son impopularité bat des records et que, pour vendre, il ne faut jamais trop s'éloigner de ce que pensent ses lecteurs…Mais, du coup, répétée, reprise, l'idée du départ fait son chemin. La presse est généralement opportuniste et panurgienne. Souvenons-nous de l'époque de Nicolas Sarkozy, d'abord porté aux nues, ensuite jeté aux orties. La mode est au Hollande-bashing, pratiqué jusqu'à l'intérieur du PS (au moins dans les couloirs). Si Hollande remonte, même timidement, dans les sondages, il n'est pas exclu que quelques magazines le trouvent soudain formidable et s'interrogent sur sa réélection, avec des titres, du genre: «Et s'il réussissait son pari?»… Ainsi va la presse.

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    Son seul atout, c'est le temps, ces trois ans qui nous séparent de l'échéance présidentielle. C'est là-dessus qu'il mise.

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    François Hollande bat des records d'impopularité et ne dispose plus d'une majorité solide. Dans ses conditions, comment peut-il tenir? De quelles options politiques dispose-t-il encore?

    Il n'a pas beaucoup d'options. Je ne crois guère à la dissolution. Elle pourrait être contrainte, si le désaveu des «rebelles» du PS se traduisait par un vote de défiance à l'Assemblée. Mais les députés du PS se feront-ils hara-kiri? Combien reviendraient au Palais-Bourbon? Les Verts, dont la plupart des députés le sont grâce au PS qui leur a laissé des circonscriptions, y perdraient toutes leurs plumes. Pour le sport, imaginons la dissolution surprise. Elle se fonderait sur un pari risqué: l'échec aux législatives, la cohabitation avec l'UMP, l'usure de la nouvelle majorité et une nouvelle virginité politique dans l'opinion (à l'instar de Mitterrand et de Chirac) lui ouvrant les portes de la réélection en 2017. Franchement peu vraisemblable. Le plus évident pour Hollande, c'est de miser sur le retour de la croissance, dont les signes sont présents dans plusieurs pays d'Europe. Son seul atout, c'est le temps, ces trois ans qui nous séparent de l'échéance présidentielle. C'est là-dessus qu'il mise.

    François Hollande, s'il ne démissionne pas, a -t-il encore une chance d'être candidat à sa propre succession en 2017?

    Tout président élu pour un premier mandat rêve d'en accomplir un second, tout en se gardant de le dire. Difficile pour le PS de lui contester une deuxième candidature, sans provoquer une crise qui ferait resurgir brusquement le spectre de 2002. Cependant, le contexte jouera également. En cas d'impopularité forte, la presse testera d'autres noms, ceux de Valls, Aubry, Montebourg ou d'autres. Si les sondages le donnent perdant à coup sûr, alors qu'un socialiste pourrait l'emporter, une incroyable pression s'exercera sur lui, à laquelle il lui sera rude de résister


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    Marine Le Pen juge le gouvernement "incapable

    de protéger les Français"

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-06-02T09:34" itemprop="datePublished" pubdate="">02/06/2014 à 09:34</time>

    La présidente du FN se dit "scandalisée par la naïveté stupéfiante de notre gouvernement", et s'interroge sur les 1 000 Français qui sont en Syrie.

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    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">La présidente du FN, Marine Le Pen.<figcaption>

    La présidente du FN, Marine Le Pen. © AFP PHOTO MARTIN BUREAU

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    Marine Le Pen, présidente du FN, a accusé lundi le gouvernement de "naïveté stupéfiante", le jugeant "incapable de protéger les Français", après l'arrestation d'un Français passé par la Syrie et soupçonné d'être l'auteur de la tuerie au Musée juif de Bruxelles.

    "Est-ce que, sérieusement, ce gouvernement a pris la mesure du danger auquel nous sommes confrontés, étant entendu qu'il y a, nous dit-on, près de 1 000 Français qui sont en Syrie ? Combien sont revenus, combien sont prêts à passer à l'acte ? Je crois qu'aujourd'hui, le gouvernement est incapable de protéger les Français des dangers qui pèsent sur lui. Parce qu'ils ne veulent pas prendre la mesure pour des raisons idéologiques de ce danger, de ce fascisme vert que je dénonce déjà depuis de très nombreuses années", a déclaré l'eurodéputée sur France Info. "Je suis scandalisée par la naïveté stupéfiante de notre gouvernement, la déclaration de Bernard Cazeneuve le 26 mai disant : Aux jeunes qui partent en Syrie, je veux dire qu'il y a mille combats à mener pour la France. C'est pitoyable", a poursuivi la présidente du Front national.

    Montée de l'islamisme radical

    Un Français au "profil djihadiste", radicalisé en prison et passé par la Syrie, a été arrêté vendredi à Marseille, soupçonné d'être l'auteur de la tuerie au Musée juif de Bruxelles le 24 mai. Par ailleurs, quatre personnes ont été arrêtées lundi en France en lien avec des filières djihadistes, a annoncé le ministre de l'Intérieur. Selon Marine Le Pen, il faut "renforcer à tout prix le renseignement, affaibli par Nicolas Sarkozy et par François Hollande", "revenir à des frontières", créer "des prisons spéciales pour ce type de profil" et prononcer la "déchéance de la nationalité". La présidente du FN a de nouveau prôné de "mettre fin à l'immigration massive, car le développement du fondamentalisme islamiste dans notre pays a suivi exactement la courbe de l'immigration de masse".

    Interrogée sur la montée de l'islamisme radical et de l'antisémitisme en France, Marine Le Pen a répondu : "Évidemment. Les deux sont liés d'ailleurs, ça fait des années que nous le disons. Nos compatriotes juifs le savent, quand ils ne sont pas manipulés par les institutions du type Crif ou autres, ils ont bien compris que le danger principal était bien évidemment la montée du fondamentalisme islamiste."

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  • VIDEOS.

    Jihad en Syrie : Bernard Cazeneuve

    annonce quatre arrestations ce lundi

     

    Publié le 02.06.2014, 07h48 | Mise à jour : 10h20     lien 


     
    Paris (8e), lundi. Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, annonce que quatre personnes ont été arrêtées dans le cadre des filières jihadistes vers la Syrie.

    Paris (8e), lundi. Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, annonce que quatre personnes ont été arrêtées dans le cadre des filières jihadistes vers la Syrie. | Europe 1

    Zoom
    Les filières jihadistes vers la Syrie sont dans le viseur des autorités françaises. Ce lundi, des arrestations de recruteurs sont en coursInterrogé sur Europe 1, Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, a déclaré qu'«à l'heure où je vous parle, il y a des arrestations, en Ile-de-France et dans le sud de la France, d'agents qui ont pu recruter et agir sur le théâtre de ces opérations jihadistes en Syrie. <btn_noimpr> </btn_noimpr>Il y a quatre arrestations». 

    «Nous voulons que la traque soit totale, nous ne voulons laisser aucune chance aux terroristes», a-t-il ajouté. «Le combat contre le terrorisme s'accomplira en France, mais aussi partout en Europe, sans trêve ni pause.» Selon l'AFP, les arrestations ont eu lieu dans trois départements d'Ile-de-France et dans le sud de la France. Parmi les quatre personnes arrêtées figurent «trois recruteurs» présumés, d'après une source policière.

    Ces arrestations interviennent au lendemain de l'annonce de l'interpellation vendredi, à Marseille (Bouches-du-Rhône), de Mehdi Nemmouche. Cet individu est le principal suspect dans la tuerie du Musée juif de Bruxelles (Belgique), le 24 mai, lors de laquelle quatre personnes sont mortes.

    Arrêté en possession d'une caméra GoPro, d'une kalachnikov, d'un revolver, il est en garde à vue depuis vendredi dans les locaux de la DGSI, la direction générale de la sécurité intérieure, à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Elle peut durer jusqu'à mardi, voire jeudi si elle est prolongée.

    VIDEO. «A l'heure où je vous parle, il y a des arrestations» 


    VIDEO. L'édito du Parisien. «Mehdi Nemmouche, encore un terroriste français !»


    VIDEO. Musée juif de Bruxelles : dans une vidéo, le suspect évoque la tuerie 


    VIDEO. Tuerie de Bruxelles : «Nous sommes face à une menace collective»


    VIDEO. Musée juif : la tante du suspect décrit un garçon «discret»

     

    <btn_noimpr></btn_noimpr><btn_noimpr></btn_noimpr>

    LeParisien.fr


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  • Jihadistes français : "Nous n'aurons aucune faiblesse", dit Bruno Le Roux

    Par  | Publié le 01/06/2014 à 21h13 | Le Grand Jury     lien

    Bruno Le Roux

    Bruno Le Roux

    Crédit : RTL / Félix de Malleray / Abacapress

    INVITÉ RTL - Le président du groupe PS à l'Assemblée dit vouloir "accompagner" le plan Cazeneuve pour lutter contre les Français tentés par le jihad et indique que cette question est devenue une "priorité pour la majorité".

    "Une enquête doit être menée tout comme elle l'a été pour Mohamed Merah". Bruno Le Roux a promis ce dimanche au Grand Jury RTL / Le Figaro / LCI de "tout mettre en œuvre" pour faire la lumière sur la tuerie du musée juif de Bruxelles, revendiquée par un jeune Français de 29 ans, Mehdi Nemmouche.

    Le président du groupe socialiste à l'Assemblée a réaffirmé la volonté du gouvernement d'approfondir le plan Cazeneuve élaboré en avril pour lutter contre les Français tentés par le djihad. "Je ne demande pas à revoir la loi Cazeneuve, je demande à l'accompagner", a indiqué Bruno Le Roux, qui dit par ailleurs avoir demandé à Manuel Valls la mobilisation des parlementaires "pour compléter la réflexion du gouvernement sur la question de ces filières djihadistes". 

    Nous n'aurons aucune faiblesseBruno Le Roux

    "Nous n'aurons aucune faiblesse", a ajouté le député de Seine-Saint-Denis pour qui cette affaire est devenue "une priorité" aux yeux de la majorité. "Cette affaire doit renforcer notre détermination à dire à tous ceux qui se pensent apprentis djihadistes que la République les combattra pour eux, et pour la République." 

    Tout comme Mohamed Merah, Mehdi Nemmouche aurait fréquenté des groupes radicaux en Turquie. Un phénomène qui pourrait pousser le gouvernement à rétablir les visas pour la Turquie ? "La question est posée", a concédé Bruno Le Roux pour qui "toutes les pistes sont ouvertes pour faire en sorte que l'État de droit ne fasse preuve d'aucune naïveté par rapport à ceux qui veulent partir et revenir ensuite pour combattre."

    Le Grand Jury du 01 juin 2014 - Bruno Le Roux - 1e partie

    Crédit : RTL.fr

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