• La belle histoire du jour : cette photo d'un enfant et d'une biche fait fondre l'Amérique

     Créé : 30-09-2015 19:53

    VIRALITE - Depuis 24 heures, une photo montrant un jeune garçon conduire une biche décrite comme aveugle, brouter en toute sécurité un coin d'herbe, fait le tour des réseaux sociaux outre-Atlantique.


    Depuis 24 heures, cette photo fait le tour du monde

    Imgur     lien

    Photo:

    Les informations manquent, mais la viralité, elle, est bien au rendez-vous. Mardi, un utilisateur d'imgur, la célèbre banque d'images en ligne, a posté sur ce site une photo montrant un enfant d'une dizaine d'années, accompagnant une biche sur un trottoir. Le cliché, qui a de quoi surprendre, est légendé de la manière suivante : "Il y a une biche aveugle dans notre quartier et ce garçon, âgé de dix ans, l'amène tous les matins avant l'école vers une parcelle d'herbe pour qu'elle puisse se nourrir suffisamment."

    La belle histoire du jour : cette photo d'un enfant et d'une biche fait fondre l'Amérique


    Une image et quelques lignes qui ont enflammé la toile américaine. En quelques heures, le cliché a été visionné plus de 3 millions de fois et est devenu l'un des principaux sujets de conversation sur le très populaire réseau social Reddit. L'ensemble des commentaires postés rendent hommage à ce jeune garçon pour son "geste d'humanité".


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    General Motors rappelle plus de 1,4 million

    de voitures pour risque d'incendie

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    <figure class="cover trigger_scroll"> General Motors va rappeller plus de 1,4 million de voitures pour des risques d'incendie <figcaption>

    General Motors va rappeller plus de 1,4 million de voitures pour des risques d'incendie

    REUTERS/Mark Blinch

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    GM a annoncé mardi rappeler plus de 1,4 million de véhicules produits de 1997 à 2004, dont la grande majorité se trouve aux Etats-Unis, pour un risque d'incendie dans le compartiment du moteur suite à une fuite d'huile.

    Nouveau rappel massif dans l'automobile. General Motors a annoncé mardi rappeler plus de 1,4 million de véhicules produits de 1997 à 2004, dont la grande majorité se trouve aux Etats-Unis, pour un risque d'incendie dans le compartiment du moteur suite à une fuite d'huile. Ce problème mécanique est à l'origine de 19 blessés lors des six dernières années mais le groupe automobile affirme ne pas avoir recensé de décès pour l'instant. 

    <figure class="media_content">General Motors rappelle plus de 1,4 million de voitures pour risque d'incendie<figcaption>

    afp.com/Joe Raedle

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    Troisième fois que GM fait revenir ces voitures

    C'est la troisième fois que GM fait revenir ces voitures chez les concessionnaires, après 2008 et 2009, parce que les précédentes réparations n'ont pas fonctionné a expliqué un porte-parole. 

    Les véhicules concernés sont la Pontiac Grand Prix modèles 1997 à 2004, la Chevrolet Impala (2000 à 2004), la Chevrolet Lumina 1998 à 1999, la Chevrolet Monte Carlo (1998-2004), l'Oldsmobile Intrigue (1998 à 1999) et la Buick Regal (1997 à 2004). 

    Environ 1,283 million de ces voitures sont aux Etats-Unis, le reste au Mexique, au Canada et ailleurs, ajoute GM sans donner les chiffres par pays touché. Ces berlines et coupés de milieu de gamme sont équipés d'un moteur de 3,8 litres de cylindrée, selon GM.


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  • VIDEOS.

    Etats-Unis : indignation après l'arrestation brutale d'une lycéenne noire

    Delphine Perez | 27 Oct. 2015, 11h46 | MAJ : 27 Oct. 2015, 13h50   lien
     
     
    <figure> Niya Kenny, 18 ans, a filmé la scène de l'arrestation ultra violente de la lycéenne molestée par un policier en pleine classe.  <figcaption class="articleChapeau ">Niya Kenny, 18 ans, a filmé la scène de l'arrestation ultra violente de la lycéenne molestée par un policier en pleine classe.  DR</figcaption> </figure>

    Une vidéo montrant l'arrestation brutale d'une lycéenne noire en plein cours provoque l'indignation aux Etats-Unis sur les réseaux sociaux. On y voit un policier blanc arracher violemment la jeune fille de sa chaise en la cravatant, avant de la traîner par terre à travers la classe.


     Ces nouvelles images de brutalités policières font suite à une série d'affaires, parfois tragiques, impliquant des policiers blancs face à des jeunes hommes ou des adolescents noirs.

    L'arrestation s'est déroulée lundi dans un lycée de Columbia (Caroline du sud), a indiqué la chaîne de télévision locale WIS, qui s'est procurée deux vidéos de cette scène. Les images de #AssaultAtSpringValleyHigh -- en référence au nom de l'école -- publiées sur Twitter sont rapidement devenues virales.

    «J'ai pleuré comme un bébé, je criais !» témoigne Niya Kenny, une amie de la victime et auteur d'une des vidéos. Horrifiée, la jeune fille de 18 ans, qui «n'avait jamais vu un tel déferlement de violence sur une petite fille», a été arrêtée peu après pour avoir pris la défense de son amie. Elle a refusé de donner ses images aux autorités. Poursuivie pour «perturbations dans la classe», Niya confie avoir filmé pour témoigner. «Quand on voit les images, on se demande qui perturbe vraiment la classe : ma fille ou le policier ?», s'est indigné la mère de Niya, interrogée par une chaîne américaine..

    VIDEOs. L'arrestation brutale d'une lycéenne en classe

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    On voit sur ces images le policier Ben Fields entrer dans la classe. Il a une brève conversation avec une jeune fille -- assise à son bureau -- avant de la saisir par le cou, de la renverser sur le dos et de la traîner sur le sol. Elle semble ne montrer aucune résistance.
     

    Le shérif réclame une enquête fédérale



    Curtis Wilson, porte-parole du département du sherif du conté de Richland, avait indiqué lors d'une première conférence de presse que la lycéenne, invitée «à plusieurs reprise» -- pour des raisons non précisées -- à quitter sa classe, avait refusé. Ben Fields, l'un des deux policiers référents de cette école de Spring Valley, a fait l'objet d'une suspension administrative pendant la durée d'une enquête interne, a indiqué NBC News. La chaîne ajoute que Fields avait déjà comparu en 2013 pour une affaire dans laquelle des étudiants afro-américains «avaient été visés de manière injuste et brutale».

    Le shérif Leon Lott a demandé au FBI et au ministère de la justice de mener une enquête indépendante sur l'incident du lycée de Spring Valley. Lott, dont le bureau est en charge du programme de la sécurité à l'école, était à Chicago au moment des faits. Il avoue «être très perturbé» par ce qu'il a vu dans la vidéo.

    Aux Etats-Unis, le scandale enfle et l'affaire fait la Une des médias. David Klinger, un professeur de criminologie à l'université du Missouri, affirme à CNN que «l'acte du policier est injustifiable». «Cela n'a aucun sens, s'indigne-t-il, pourquoi un tel déchaînement de violence, l'attraper, la soulever de sa chaise et la chaise avec, puis la jeter à travers la pièce ? Il y a peut-être une explication. Mais je n'en vois pas». 

    James Manning, le président du conseil d'administration pour le secteur scolaire de Richland, est «alarmé» par les images. «J'ai regardé la vidéo plusieurs fois et il n'y a aucun doute. Elle est très choquante», a-t-il déclaré. «En tant que père d'une lycéenne de Richland, je vous assure qu'il y a de quoi s'inquiéter. Nous avons été en contact permanent avec le shérif pour demander la radiation du policier».

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  • Air cocaïne: fuir en France, «l’unique solution»

    pour Pascal Fauret

    Par AFP <time datetime="2015-10-27T18:24:28" itemprop="datePublished"> 27 octobre 2015 à 18:24 lien </time>
     
    Le pilote français Pascal Fauret, lors d'une conférence de presse à Paris le 27 octobre 2015
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    Le pilote français Pascal Fauret, lors d'une conférence de presse à Paris le 27 octobre 2015 Photo BERTRAND GUAY. AFP

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    «Dès que j’ai su que j’étais condamné à 20 ans, ma décision de partir a été immédiate .» Pascal Fauret raconte, dans un entretien à l’AFP, «sa perte totale de confiance dans la justice dominicaine », estimant que sa fuite en France était «l’unique solution».

    Visage rond, épaules larges, cheveux grisonnants, le pilote français de 55 ans, exfiltré de ce petit pays des Caraïbes , se montre énigmatique sur son retour rocambolesque en France le week-end dernier.

    «Des gens se sont impliqués pour nous aider. Le voyage a été éprouvant», consent-il à dire, évoquant «plusieurs jours de traversée ». C’est par bateau puis par avion , via l’ île de Saint-Martin , que Pascal Fauret et son copilote Bruno Odos , 56 ans, ont fui pour regagner la France, selon une source proche du dossier.

    «Il n’y avait rien dans le dossier. On attendait la décision du tribunal comme une délivrance », confie-t-il. Mais le 14 août 2015 , ils sont condamnés à 20 ans de prison, laissés en liberté surveillée dans l’attente de leur appel . «C’est tombé comme un coup de massue», relève l’ancien pilote de l’ aéronavale reconverti dans l’aviation d’ affaires.

    «A partir de là, j’ai compris que tout avait été joué d’ avance. Aujourd’hui , je ne suis pas en fuite. Je souhaite juste pouvoir m’exprimer en toute sérénité devant la justice française», ajoute-t-il, «soulagé d’avoir quitté ce cauchemar».

    Dans la nuit du 19 au 20 mars 2013, la police dominicaine, renseignée notamment par les États-Unis , saisit 26 valises contenant 680 kilos de cocaïne à bord d’un Falcon 50 sur le tarmac de l’ aéroport de Punta Cana (est de la République dominicaine ). Parmi les personnes arrêtées, quatre Français, dont Pascal Fauret. «L’assaut sur l’avion n’a pas duré longtemps. On a basculé en quelques instants dans quelque chose de totalement surréaliste», raconte-t-il.

     

    - «Pas un vol de copains» -

     

    Et d’évoquer, «les 15 jours de cachot, entassés dans une cellule de 25 mètres carrés , pratiquement sans lumière, avec une quarantaine de détenus ramassés dans la rue pour trafic de drogue». «Bruno Odos tenait un journal de bord ; pour moi les journées étaient complètement vides. Je lisais beaucoup , mais j’avais l’ impression de m’enfoncer de jour en jour dans un marécage».

    Après quinze mois de détention provisoire, les Français seront relâchés dans l’attente de leur procès. Une fois condamnés, ils ont interdiction de quitter l’île.

    «L’opération (d’exfiltration, ndlr) a été menée pour nous deux . Nous n’étions pas en contact avec les deux autres Français», Nicolas Pisapia et Alain Castany, deux passagers de l’avion toujours en République dominicaine, explique Pascal Fauret.

    De toutes façons, «nous n’étions pas mariés , ce n’était pas un vol de copains. A un moment donné, chacun suit sa route , j’ai géré ma vie à moi», estime-t-il. Des voix se sont élevées, jugeant que la fuite des deux pilotes pourrait gravement nuire à l’ avenir judiciaire de Nicolas Pisapia et Alain Castany.

    Désormais, Pascal Fauret souhaite que cette affaire «qui a pris toute (sa) vie» se termine. «Il reste encore beaucoup d’ épreuves à venir », conclut-il, espérant être entendu prochainement par le juge d’instruction marseillais chargé de l’ enquête française.

    AFP

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  • <article class="centre"><header id="titre_article">

    Neutralité du net : le Parlement européen adopte

    la deuxième version du texte

    Les Echos | <time datetime="2015-10-27T14:28:40+01:00" itemprop="datePublished">Le 27/10 à 14:28, mis à jour à <time datetime="2015-10-27T16:18:15+01:00" itemprop="dateModified"> 16:18   lien </time></time>
     
    Le Parlement européen a rejeté mardi le projet de règlement européen sur les télécommunications - Shutterstock
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    Les eurodéputés viennent de rejeter le règlement sur les télécommunications qui inquiétait les défenseurs de la liberté sur Internet, depuis l’ajout d’amendements défavorables au principe de neutralité du net.

    Le Parlement européen a adopté mardi en seconde lecture le projet de règlement européen sur les télécommunications et rejeté les amendements apportés par le Conseil de l’Union européenne, notamment sur le sujet crucial de la neutralité du net.

    Promouvoir l’égalité d’accès à Internet

    La neutralité du net est un principe selon lequel toutes les données qui sont échangées sur le web doivent être traitées à égalité, qu’il s’agisse d’un courriel envoyé à un ami ou d’une vidéo hébergée sur YouTube. Ce principe est l’objet d’une bataille législative entre les partisans de la liberté sur Internet, comme l’association française la Quadrature du net , et les fournisseurs d’accès à Internet et les Etats européens. Les enjeux sont autant économiques - ne pas privilégier des services payants au détriment de sites gratuits - que démocratiques : ne pas favoriser de groupes ou d’opinions politiques ni limiter l’accès et le transfert de leurs données. Pour ses militants, la neutralité du net est conforme aux fondements d’Internet, créé comme un réseau fonctionnant sur un mode horizontal et décentralisé.

    La première version du projet de règlement a été votée au Parlement européen le 3 avril 2014. Le texte, salué par les activistes, a défini et reconnu l’importance du principe de la neutralité du net : « Le principe de “neutralité de l’Internet” dans l’Internet ouvert signifie que tout le trafic devrait être traité de la même manière, sans discrimination, restriction ou interférence, quels que soient l’émetteur, le récepteur, le type, le contenu, l’appareil, le service ou l’application. (...) Le caractère ouvert de l’Internet est un moteur clé de compétitivité, de croissance économique, de développement social et d’innovation ».

    Les contours de la neutralité du net restent à dessiner

    Comme le prévoit la procédure législative ordinaire de l’Union europénne, la majorité des règlements doivent être à la fois approuvés par le Parlement européen et par le Conseil de l’Union européenne, qui réunit les représentants des Etats membres. A l’issue de négociations avec les eurodéputés et la Commission européenne, le Conseil a adopté une version largement amendée du texte, le 30 juin 2015 en deuxième lecture : il prévoit un certain nombre d’exceptions à la neutralité du net. Pour le collectif Save The Internet , qui réunit des citoyens et des associations européens, le règlement modifié par le Conseil n’est pas assez clair et «  laisse une marge de manœuvre non négligeable aux régulateurs et à la Commission européenne pour décider si la neutralité du Net doit être protégée ou non ».

    #NetNeutrality Neutralité du Net : recul majeur pour l'Internet libre au @Europarl_FR ! https://t.co/kRHwPlWLKB pic.twitter.com/Cxch4M5BOd

    — La Quadrature du Net (@laquadrature) 27 Octobre 2015

    Le vote de mardi marque donc la fin des amendements apportés par les Etats lors du Conseil de l’Union européenne, mais également de la première version qui définissait et dessinait les contours du principe. La rapporteure du dossier, Pilar Del Castillo Vera, s’est félicitée de ce qu’elle considère comme une victoire : « Internet est une valeur précieuse, un bijou en quelque sorte. [...] Ce vote va faciliter et permettre un accès égal à Internet, sans interface et sans restrictions ».

    Les Echos
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