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    Le chef de l'EI appelle à une révolte

    en Arabie saoudite, à des attaques en Israël

    Publié le <time datetime="2015-12-26T19:57" itemprop="datePublished">26/12/2015 à 19:57</time> - Modifié le <time datetime="2015-12-26T20:00" itemprop="dateModified">26/12/2015 à 20:00</time> | AFP lien

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    Le chef du groupe jihadiste État islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, a appelé à un soulèvement en Arabie saoudite et promis des attaques en Israël, dans un enregistrement audio publié en ligne samedi.

    Cet enregistrement est le premier en sept mois et a été partagé sur les réseaux sociaux Twitter et Telegram, selon le site américain de surveillance des réseaux jihadistes SITE.

    Il survient alors que l'EI subit des revers militaires en Syrie et en Irak.

    Dans cet enregistrement de 24 minutes, Baghdadi critique la vaste coalition de 34 pays dont la création a été annoncée par l'Arabie saoudite le 15 décembre pour "combattre le terrorisme".

    "Ils ont récemment annoncé une coalition (...) faussement appelée +islamique+ et ont affirmé que son but était de combattre le califat", proclamé par l'EI à cheval entre la Syrie et l'Irak, a indiqué Baghdadi.

    "Si cette coalition était islamique, elle aurait apporté la victoire et son aide au peuple en Syrie", a-t-il affirmé.

    Le chef de l'EI, qui dans ses enregistrements passés s'est attaqué de manière virulente à Ryad, a appelé les Saoudiens à "se soulever" contre ses dirigeants.

    Baghdadi a menacé d'attaquer Israël, affirmant que l'EI "n'avait pas un instant oublié la Palestine".

    La première et dernière apparition publique de Baghdadi avait eu lieu à l'été 2014 dans la ville irakienne de Mossoul.


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  • #Dingueça Christine Boutin se fait recadrer sur Twitter par Jésus himself

    <time datetime="2015-12-26T19:45:25+0100">Publié le 26/12/15 à 19:45</time>

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    </article>

    Du coup je suis un cheval ou une vache @christineboutin ? parce que là j'ai rien compris

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    Christine Boutin, a reçu un bien étrange cadeau de Noël sur Twitter.

    Samedi matin, la présidente du Parti chrétien démocrate avait publié sur le réseau social un message dans lequel elle exposait l'interprétation très personnelle qu'elle se fait du droit du sol.

    "Le droit du sol est l'absurdité qui consiste à dire qu'un cheval est une vache parce qu'il est né dans une étable...ça vous inspire quoi", a-t-elle posté.

    Les réactions ne se sont pas fait attendre, y compris celle de Jésus - il s'agit bien évidemment d'un compte parodique... - qui a interpellé Christiane Boutin dans un tweet :

    "Du coup je suis un cheval ou une vache Christine Boutin ? parce que là j'ai rien compris".

    Un recadrage plutôt inattendu.


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    Robert Ménard s'insurge contre les musulmans

    qui sont venus protéger les églises

    le soir de Noël

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    Publication: <time datetime="2015-12-26T08:05:15-05:00"> 26/12/2015 14h05 CET </time> Mis à jour: <time datetime="2015-12-26T12:55:01-05:00"> Il y a 1 heure </time>
    ROBERT MENARD
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    POLITIQUE - Robert Ménard n'aime pas (mais alors pas du tout) que des musulmans se soient portés volontaires pour protéger des églises le soir de Noël. Dans un communiqué publié ce samedi 26 décembre sur sa la page Facebook personnelle de la ville de Béziers (qui fait désormais office de tribune du maire), celui qui ne compte plus les provocations s'est insurgé que dans sa ville, "la messe de Noël à l'Eglise de La Devèze s'est tenue sous la prétendue "protection" d'un groupe de musulmans".

    À Béziers en effet, tout comme à Lens comme nous en parlions hier, des musulmans sont venus symboliquement protéger les traditionnelles messes de minuit, placées cette année sous haute surveillance. Un geste qui a d'ailleurs valu aux volontaires de Lens les honneurs chaleureux du prêtre en marge de la messe.

    Alors que beaucoup y ont vu un geste bienvenu d'ouverture, de solidarité et d'apaisement dans un contexte où le vivre-ensemble a été ébranlé par les attentats terroristes, l'édile soutenu par le FN a pesté de son côté contre une "garde musulmane" dont les membres sont connus selon lui pour leur "engagement fondamentaliste et anti-israélien". "Dans quel pays vit-on ? Où est passée la France ?", s'offusque-t-il dans son billet qui fait explicitement référence à sa très polémique "Garde Biterroise".

    Et Robert Ménard d'asséner: "Depuis quand les pyromanes protègent des incendies?". Ci-dessous, l'intégralité du coup de gueule de l'ancien président de Reporters sans frontières.

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    Ville de Béziers
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    · 9 h·

    "Garde Musulmane" : que fait l'Etat ?

    Ainsi donc la messe de Noël à l'Eglise de La Devèze s'est tenue sous la prétendue "protection" d'un groupe de musulmans.
    Ainsi donc ce même groupe s'est rendu ensuite à la cathédrale pour se livrer aux mêmes simagrées médiatiques.
    Ainsi donc ce groupe de musulmans était dirigé par deux activistes connus pour leur engagement fondamentaliste et anti-israélien....

    Afficher la suite

    Sur Twitter, l'intéressé en a remis une couche, opposant encore la "Garde Biterroise" aux personnes qui sont venues faire un geste symbolique participant du dialogue interreligieux.

    On peut donc s'attendre pour le mois de janvier à ce que le prochain numéro du Journal de Béziers, gazette municipale poussant très loin le concept de tabloïd de propagande, accorde une place de choix à cette "patrouille musulmane".

    L'association SOS Racisme a fait savoir qu'elle allait porter plainte contre Robert Ménard. "Robert Ménard s’illustre une fois de plus dans la volonté d’attiser la haine envers les musulmans, collectivement qualifiés de pyromanes", déplore l'organisation.

    "Pour Robert Ménard, tout geste de fraternité est une abomination car il vient affaiblir son projet foncièrement raciste. Pour Robert Ménard, toute manifestation d’une France capable de construire un espace du vivre ensemble conforme à notre tradition républicaine est à proscrire car venant affaiblir son souhait à peine camouflé d’une guerre civile entre les musulmans et les non-musulmans", a ajouté SOS Racisme dans un communiqué.

    Lire aussi :

    • La messe de Noël de Lens protégée par des musulmans


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    Ajaccio : nouvelle manifestation tendue

    dans le quartier des Jardins de l'Empereur

    <time>Publié le 26-12-2015 à 18h11Mis à jour à 18h26   lien </time>

    Environ 300 personnes se sont à nouveau regroupées dans le quartier des Jardins de l'Empereur cet après-midi à Ajaccio. Vendredi, la manifestation de soutien à des pompiers agressés a dégénéré et une salle de prière musulmane a été saccagée.

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    A nouveau, des slogans racistes et islamophobes ont été entendus dans le quartier des jardins de l'Empereur à Ajaccio. (TWITTER)
    A nouveau, des slogans racistes et islamophobes ont été entendus dans le quartier des jardins
    de l'Empereur à Ajaccio. (TWITTER)
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    Au lendemain du saccage d'une salle de prière musulmane en marge d'une manifestation en soutien aux pompiers et policiers agressés dans la nuit de jeudi à vendredi, une centaine de personnes se sont à nouveau regroupées dans le quartier des jardins de l'Empereur à Ajaccio.

    "Sales arabes montrez-vous"

    Aux environs de 15 heures, environ 300 individus ont forcé le barrage policier installé aux abords de ce quartier situé dans les hauteurs d'Ajaccio. "On est toujours là", a scandé une partie du cortège, encadrés par un dispositif conséquent de gendarmes mobiles et de CRS qui empêchait l'accès des manifestants aux bâtiments du quartier.

     

    Les portes vitrées de trois halls d'entrée ont été brisées à coup de pierre par un manifestant. "Je suis contente qu'ils soient là", a témoigné une habitante :

    Ça fait 50 ans que je vis là et ce n'est plus possible"

    En fin d'après-midi, les manifestants ont commencé à avancer en direction de Saint-Jean, un autre quartier d'Ajaccio, situé à une dizaine de minutes de là, promettant que cette nouvelle manifestation "n'était que le début".

     

    Selon France 3 Corse, deux marrons de terres - petites bombes agricoles - ont explosé et une bouteille d'acide aurait également été retrouvée.

     

    Situation très tendue

    Vendredi 25 décembre, une première manifestation pacifique de soutien aux pompiers avaient dégénéré. Une mosquée du quartier a été saccagée et une cinquantaine de livres, dont des exemplaires du Coran, ont été brûlés. Un restaurant kébab a été également dégradé.

    Ces manifestants ont d'abord affirmé vouloir retrouver les auteurs de l'agression de la veille, scandant pour certains "Arabi fora [les Arabes dehors, NDLR] !". Dans la nuit de jeudi à vendredi, les services de secours qui intervenaient sur un incendie dans la zone avaient été pris à partie par des jeunes encagoulés, avait indiqué la préfecture.

    On a vraiment frôlé la catastrophe, il aurait pu y avoir des morts", a témoigné sur iTélé l'un des deux pompiers blessés dans le guet-apens.

    Selon lui, l'agression s'est déroulée en deux temps, les secours dépêchés sur un incendie dans le quartier des Jardins de l'Empereur à Ajaccio sont d'abord tombés sur cinquante à soixante individus qui se trouvaient autour d'un feu et leur ont lancé des projectiles : pierres, parpaings, barre de fer.

    Puis, alors qu'ils rebroussaient chemin, ils ont à nouveau été pris à partie par un petit groupe : "Nous avons été pris dans un véritable guet-apens par une vingtaine de personnes armées de barre de fer, de battes de baseball, cagoulés. Ils ont essayé de nous porter des coups, d'ouvrir le camion, ils ont réussi à briser les vitres", relate le pompier.

    Selon "Corse Matin", les agresseurs auraient alors crié : "Sales Corses de merde, cassez-vous, vous n'êtes pas chez vous ici !"

    L.B. avec AFP 


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    Guet-apens à Ajaccio :

    "On a frôlé la catastrophe"

    Deux pompiers ont été blessés, avec un membre des forces de l'ordre, lors d'un véritable guet-apens le 24 décembre. Leurs propos montrent la violence des faits.

    Publié le <time datetime="2015-12-26T16:40" itemprop="datePublished">26/12/2015 à 16:40</time> - Modifié le <time datetime="2015-12-26T18:21" itemprop="dateModified">26/12/2015 à 18:21</time> | Le Point.fr    lien
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    Image d'un camion de pompiers après une attaque dans la ville d'Ajaccio en corse dans la nuit du 24 au 25 décembre 2015
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    Image d'un camion de pompiers après une attaque dans la ville d'Ajaccio en corse dans la nuit du 24 au 25 décembre 2015

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    Dans la nuit du réveillon de Noël, plusieurs pompiers ont été attirés dans un véritable guet-apens à Ajaccio en Corse. Appelés pour un incendie volontaire, ils ont été littéralement agressés par des individus cagoulés dans un quartier populaire de la ville. Au total, deux pompiers et un membre des forces de l'ordre ont été blessés. Depuis, le témoignage des pompiers présents pendant l'attaque montre la violence des faits : "Il faisait sombre. Nous sommes restés dans le camion et notre principale préoccupation était que personne ne puisse monter dedans. D'autant qu'il y avait une femme avec nous sur l'intervention. Je l'ai poussée derrière et j'ai fermement tenu la porte. C'est à ce moment-là que j'ai été blessé", a expliqué Nicolas, l'un des pompiers présents sur place à Corse Matin. Tiffany, jeune femme pompier, également présente sur les lieux lors de l'incendie, s'est aussi confiée : "On a tous eu peur. On savait que s'ils pénétraient dans le camion, ce n'était plus la même histoire. Il fallait rapidement sortir du quartier."

    "On est là pour les aider, c'est honteux"

    Ce samedi 26 décembre, Nicolas est également revenu sur le déroulement des faits au micro d'i>Télé. Le pompier, blessé à l'oeil, explique qu'à leur arrivée sur les lieux, les pompiers se sont trouvés face à une cinquantaine de personnes armées. En tentant de rebrousser chemin, ils se sont trouvés dans un "guet-apens d'une vingtaine de personnes". Armés de pierres, parpaings et battes de baseball, leurs attaquants s'en sont pris violemment au camion et ont réussi à briser les vitres. "On a vraiment frôlé la catastrophe, il aurait pu y avoir des morts", explique le pompier visiblement encore choqué par l'attaque. Une action organisée et préméditée sans précédent, d'après le pompier, qui évoque cependant des violences précédentes contre les pompiers dans la région, mais jamais rien d'une telle intensité. "On est là pour aider, c'est honteux", ajoute Nicolas qui souligne que de nombreuses insultes ont fusé durant l'attaque, notamment "contre les Corses".

    Ce vendredi 25 décembre, plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées dans la ville d'Ajaccio pour manifester leur soutien aux pompiers et aux membres des forces de l'ordre. Certains des pompiers blessés dans l'attaque étaient également présents. Plusieurs personnes ont ensuite saccagé une salle de prière musulmane qui était située à côté du lieu du guet-apens dans le quartier de l'Empereur. Des représailles fermement condamnées par la classe politique. Les forces de l'ordre sont toujours déployées dans le quartier pour essayer de limiter la multiplication des incidents. Mais en milieu d'après-midi samedi, plus de 300 personnes ont forcé le barrage de police.


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