• Egypte: le projet de Constitution approuvé

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 1 heure" data-original="le 01/12/2013 à 21:36" datetime="2013-12-01T21:36:59+01:00" itemprop="dateModified">le 01/12/2013 à 21:36</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 1 heure" data-original="le 01/12/2013 à 21:36" datetime="2013-12-01T21:36:06+01:00" itemprop="datePublished">le 01/12/2013 à 21:36</time>
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    La commission constituante a approuvé ce soir le projet de Constitution égyptienne devant être soumis à référendum, première étape de la feuille de route établie par l'armée pour une "transition démocratique" après la destitution du président islamiste Mohamed Morsi. La nouvelle loi fondamentale, approuvée par un comité de 50 personnes, maintient de larges prérogatives à l'armée, comme la possibilité de juger dans certains cas des civils, au grand dam des défenseurs des droits de l'Homme.


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  • Syrie: 20 morts dans des raids aériens

    sur la province d'Alep, selon une ONG

    Créé le 30/11/2013 à 19h00 -- Mis à jour le 30/11/2013 à 19h00
    Un homme parmi des gravats après un raid attribué à l'armée syrienne dan sla province d'Alep, le 23 novembre 2013
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    Un homme parmi des gravats après un raid attribué à l'armée syrienne dan sla province d'Alep, le 23 novembre 2013 Karam Al-Masri Karam Al-Masri

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    Beyrouth - Au moins 20 personnes, dont sept femmes et un enfant, ont été tuées samedi dans un raid aérien de l'armée sur la ville d'Al-Bab, dans le nord de la province d'Alep, selon une ONG syrienne.

    Des hélicoptères du régime ont lancé sur la ville des barils d'explosifs, causant également d'importants dégâts, a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

    VIDEO

    © 2013 AFP

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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-11-22T23:44" itemprop="datePublished" pubdate=""> 22/11/2013 à 23:44</time> - Modifié le <time datetime="2013-11-22T23:51" itemprop="dateModified"> 22/11/2013 à 23:51</time>

    Le réalisateur Georges Lautner, dont le mythique film a fêté en novembre ses 50 ans, était âgé de 87 ans.       lien

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    Georges Lautner au Festival de Cannes en 2006
    <article><header><figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption>Georges Lautner au Festival de Cannes en 2006 © Sipa </figcaption> </figure></header>
    <section class="col_article" style="margin-top:-30px">
    • Par Charlotte Pons

    </section>

    Le réalisateur Georges Lautner est décédé à l'âge de 87 ans, a indiqué sa compagne au journal Le Parisien ce vendredi soir. Il est notamment l'auteur des fameux Tontons flingueurs avec le dialoguiste Michel Audiard. Le réalisateur, qui devait inaugurer samedi 9 novembre à Nantes une rue au nom de son film "Les Tontons Flingueurs", avait annulé sa venue pour raisons de santé. A 87 ans, souffrant, il avait été hospitalisé dans une clinique parisienne et les médecins lui avaient déconseillé le voyage à Nantes le temps qu'il se remette.

    Cette inauguration était prévue dans le cadre d'un festival organisé pour fêter les 50 ans des "Tontons Flingueurs", sorti en novembre 1963 et devenu culte avec les dialogues de Michel Audiard et les inoubliables interprétations de Lino Ventura ("Monsieur Fernand"), Bernard Blier ("Raoul Volfoni") ou encore Francis Blanche ("Maître Folace").

    </article>

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  • Actualité > Faits divers > Tireur de "Libération" : un suspect en garde à vue médicalisée

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    Tireur de "Libération" : un suspect

    en garde à vue médicalisée

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    <time datetime="2013-11-20T20:17:43" itemprop="datePublished">Publié le 20-11-2013 à 20h17</time> - <time datetime="2013-11-20T21:47:18" itemprop="dateModified">Mis à jour à 21h47    lien </time>

    L'homme se trouvait dans un véhicule stationné dans un parking souterrain de Bois-Colombes, dans un état de "semi-inconscience, sans doute à la suite d'une prise de médicaments", selon le parquet. Son ADN est en cours d'analyse.

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    La police judiciaire sur les lieux de l'attaque à "Libération", le 18 novembre 2013. (KENZO TRIBOUILLARD/AFP)

    La police judiciaire sur les lieux de l'attaque à "Libération", le 18 novembre 2013. (KENZO TRIBOUILLARD/AFP)

    <aside class="obs-article-brelated" style="margin-left:20px;"> <header class="obs-blocktitle">Sur le même sujet</header>

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    Serait-ce la fin de la traque ? Un homme a été arrêté, mercredi soir 20 novembre, dans l'enquête sur le tireur soupçonné d'être à l'origine des attaques de BFMTV, de "Libération" et de la Défense, a annoncé le parquet de Paris.

    Présentant une "forte ressemblance physique" avec la personne recherchée, dont des images issues de la vidéosurveillance ont été diffusées, il a été arrêté à 19h05 dans un véhicule stationné dans un parking souterrain public de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine), précise au "Nouvel Observateur" une source judiciaire.

    Vers 21 heures, la rue était barrée par des policiers, a constaté un journaliste de l'AFP.

    L'homme a été interpellé après qu'une de ses connaissances l'a reconnu sur les vidéos diffusées par les policiers, et a alerté la police judiciaire, toujours selon nos informations. Ce témoignage a été recueilli au commissariat de Courbevoie. 

    Selon une source proche de l'enquête, c'est l'homme qui l'hébergeait qui aurait contacté la police. "Il lui aurait confié, en évoquant l'affaire du tireur, 'j'ai fait une connerie' ", a expliqué cette source.
    L'homme interpellé n'était toutefois pas en mesure d'être entendu et a été transféré, selon des sources policières, dans un hôpital de la région parisienne dans le cadre d'une garde à vue médicalisée. 

    "Il a été évacué par le Samu", a déclaré le maire de Bois-Colombes, Yves Révillon, à quelques journalistes devant le parking.

    "Semi-inconscience"

    L'homme interpellé n'est toutefois pas pour l'heure en mesure d'être entendu.
    Selon plusieurs sources proches de l'enquête, il se trouvait en effet dans un état de "semi-inconscience, sans doute suite à la prise de médicaments qui peut laisser penser à une tentative de suicide". Les policiers ne lui ont donc pas encore notifié ses droits, il n'est pas officiellement encore en garde à vue. 

    Précisons qu'une journaliste du service photo de "Libération" avait témoigné avoir croisé l'individu, à 10 heures lundi, dans le passage Vendôme qui débouche en face du journal. L'homme l'avait "bousculée" avant de la suivre et de revenir sur ses pas. La journaliste avait décrit un homme à moitié "hagard" qui lui avait donné "l’impression d’un mec un lendemain de cuite".

    Pour l'heure, notre source ne précise pas si l'homme est originaire de Paris et sa région, s'il était armé ni ce qu'il faisait dans cette voiture.

    Si la notification parvient bien après son hospitalisation, il sera la première personne placée en garde à vue depuis le début de la traque, qui n'avait donné lieu jusqu'ici, malgré un appel à témoins et la diffusion de photos du suspect, qu'à quelques contrôles sans suite.

    Analyse ADN

    Les enquêteurs ont prélevé un échantillon ADN sur le suspect, qui est actuellement en cours d'analyse, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

    Le profil génétique du tireur ayant déjà été établi, les résultats de cette analyse devraient être transmis aux policiers dans un délai d'environ quatre heures pour formellement incriminer ou innocenter ce suspect.

    Des centaines de témoignages recueillis

    Peu avant, on avait eu la confirmation que ces attaques étaient bien le fait d'un auteur unique.

    Dans leurs investigations, les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne comptaient notamment sur les témoignages suscités par une photo rendue publique mardi matin, plus nette que celles diffusées la veille. Le suspect au visage rond y apparaissait de face, bonnet enfoncé sur le front et bouche entrouverte.

    Les enquêteurs ont reçu plusieurs centaines d'appel. Ils cherchaient un homme de 35 à 45 ans, de type européen, et mesurant entre 1,70 m et 1,80 m.

    Cet homme a surgi lundi matin à Libération armé d'un fusil à pompe à crosse et canon sciés, de calibre 12, un calibre très courant qui peut recevoir indifféremment des munitions Brenneke (chasse au sanglier) et/ou des munitions contenant des chevrotines.

    Le jeune assistant photographe qu'il a blessé au thorax et à l'abdomen, "a pu être réveillé et sevré de ventilation artificielle", selon l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

    Lundi, après les attaques de Libération et de la Défense, un automobiliste avait affirmé à la police qu'un "individu armé l'avait pris en otage" pendant près de 20 minutes, le contraignant à le déposer aux Champs-Élysées.

    Vendredi, c'est à BFMTV qu'un homme avait fait irruption dans le hall, ne tirant toutefois pas de coup de feu.


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  • Traque du tireur parisien :

    un homme placé en garde à vue

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 10 minutes" data-original="le 20/11/2013 à 21:38" datetime="2013-11-20T21:38:51+01:00" itemprop="dateModified">le 20/11/2013 à 21:38</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 1 heure" data-original="le 20/11/2013 à 20:38" datetime="2013-11-20T20:38:08+01:00" itemprop="datePublished">le 20/11/2013 à 20:38</time>
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    Capture d'écran Google Maps.
    <figure class="fig-photo"> <figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description"></figcaption> </figure>

    L'homme a été dénoncé à la police par une connaissance, selon les informations du Figaro. Il aurait été retrouvé dans un état second dans un parking de Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine. Les analyses ADN sont en cours.

     
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    Un des hommes les plus recherchés de France a-t-il été retrouvé ? Un homme, suspecté d'être à l'origine des attaques de BFM-TV, Libération et la Défense, a été placé en garde à vue. Si ce dernier présente «une forte ressemblance physique» avec la personne recherchée, dont des images issues de la vidéosurveillance ont été diffusées, il est encore trop tôt pour assurer qu'il s'agit bien du tireur. Des tests ADN sont actuellement en cours pour permettre d'identifier formellement le suspect, et les résultats devraient tomber dans les heures à venir, selon nos informations.

    L'homme a été arrêté mercredi soir vers 19 heures, après avoir été repéré stationné dans un parking souterrain de Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine. Il a pu être appréhendé par les services de police grâce à la collaboration d'une connaissance. Une personne qui l'hébergeait depuis une quinzaine de jours l'aurait en effet reconnu sur les photos diffuseés par les autorités et aurait contacté la police, indique-t-on au Figaro. Le suspect a été trouvé dans un état second, comateux, après avoir absorbé une grande quantité de médicaments dont la nature reste à déterminer. Il a été placé en garde à vue dans un hôpital, mais il n'est pas en mesure d'être entendu. La notification de ses droits a dû être différée. Des perquistions sont en cours pour essayer de mettre la main sur l'arme ou sur tout élément susceptible de fournir un indice, comme les vêtements portés par le tireur lors des attaques.

    Première garde à vue depuis le début de la traque

    C'est la première personne placée en garde à vue depuis le début de la traque, qui n'avait donné lieu jusqu'ici, malgré un appel à temoin et la diffusion de photos du suspect, qu'à quelques contrôles sans suite. Les enquêteurs ont reçu plusieurs centaines d'appels. Ils cherchaient un homme de 35 à 45 ans, de type européen, et mesurant entre 1,70 m et 1,80 m. Cet homme a surgi lundi matin dans les locaux du quotidien Libération armé d'un fusil à pompe à crosse et canon sciés, de calibre 12, pouvant recevoir indifféremment des munitions Brenneke (chasse au sanglier) et/ou des munitions contenant des chevrotines. Le jeune assistant photographe qu'il a blessé au thorax et à l'abdomen, «a pu être réveillé et sevré de ventilation artificielle», selon l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Manuel Valls s'est rendu mercredi après-midi à son chevet, a annoncé le ministère de l'Intérieur, pour témoigner «de son soutien».

    Lundi, après les attaques de Libération et de la Défense, un automobiliste avait affirmé à la police qu'un «individu armé l'avait pris en otage» pendant près de 20 minutes, le contraignant à le déposer aux Champs-Élysées. Vendredi, c'est à BFMTV qu'un homme avait fait irruption dans le hall, ne tirant toutefois pas de coup de feu.


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