• En visite en Afrique du Sud,

    Hollande ne verra pas Mandela

    Edité par avec
    le 14 octobre 2013 à 09h50
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    <figure class="figure underline"> François Hollande à son arrivée en Afrique du Sud, 14/10/13 <figcaption class="degrade-une"></figcaption></figure>
    François Hollande à son arrivée en Afrique du Sud, 14/10/13 / Crédits : TF1/LCI
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    </article></section><aside class="sz12 tag c1 aside166896 ombre1">valérie trierweiler , françois hollande , afrique du sud , nelson mandela , jacob zuma</aside> </section> AfriquePrésent deux jours en Afrique du Sud, où il est arrivé lundi matin, le chef de l'Etat ne pourra pas rencontrer l'ancien prix Nobel de la Paix, encore très malade.

    Même s'il va mieux que fin juin, quand sa mort semblait imminente, et qu'il a regagné son domicile début septembre, Nelson Mandela est encore très faible. Pas question pour l'ancien président sud-africain d'avoir d'autres visites que celles de sa famille.

    Il ne recevra donc pas François Hollande , arrivé lundi matin en Afrique du Sud pour une visite d'Etat de deux jours. Pendant ce voyage, le président de la République se rendra notamment à Soweto, le ghetto noir de Johannesburg. Il y visitera la maison dans laquelle le prix Nobel de la Paix a vécu de nombreuses années avant son incarcération.

    Diplomatie et commerce
     
    D'un point de vue bilatéral, François Hollande, dont c'est le premier déplacement en Afrique du Sud, entend renforcer "le partenariat" et "le lien fort" entre la France et ce pays émergent. Son programme prévoit donc, comme le veut le protocole, plusieurs rendez-vous avec son homologue sud-africain Jacob Zuma . Ces entretiens sont notamment consacrés à la signature contrats économiques intergouvernementaux dans le domaine de l'énergie et des transports. Dans cette optique, le chef de l'Etat est accompagné d'une vingtaine de dirigeants d'entreprises.
     
    Sur le plan diplomatique, les crises africaines, en particulier en République démocratique du Congo, où les troupes sud-africaines sont le fer de lance de la brigade d'intervention de l'ONU au Kivu contre les rebelles armées, et en Centrafrique, seront abordées.

    Avec Trierweiler 
     
    François Hollande est aussi accompagné de sa compagne. Valérie Trierweiler profitera de l'occasion pour rencontrer, à titre privé, un couple de lesbiennes. Si les droits des homosexuels sont garantis par la loi en Afrique du Sud, dans la pratique, de nombreuses lesbiennes des townships sont victimes de graves discriminations.

     Les relations entre la France et l'Afrique du Sud

     

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  • Prix Nobel de la Paix: "Un soutien clair au désarmement chimique syrien"

    Par: rédaction
    11/10/13 - 15h38  Source: Belga

    François Hollande © reuters.

    L'attribution vendredi du prix Nobel de la paix à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) met en lumière son périlleux travail en Syrie et conforte le démantèlement de l'arsenal syrien, ont estimé vendredi gouvernements, organisations internationales et ONG.

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    Le président français François Hollande a affirmé que ce prix "vient donner une consécration" à l'action effectuée par la communauté internationale "depuis plusieurs semaines pour dénoncer l'utilisation des armes chimiques et les éliminer dans un proche avenir".

    "Chacun a compris le message du jury qui a attribué le prix Nobel à l'organisation qui a pour mission de détruire les armes chimiques", a-t-il dit, en rappelant que "ces armes de terreur ont été employées une fois encore le 21 août 2013 par le régime syrien contre des populations civiles".

    Après cette attaque meurtrière attribuée par les Occidentaux au régime de Damas, Américains et Français avaient été tout près d'intervenir militairement. Cette menace a été écartée à la suite d'un accord russo-américain et, dans la foulée, le Conseil de sécurité des Nations unies a voté la résolution 2118 qui a chargé l'OIAC de détruire l'arsenal chimique syrien.

    Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a souligné que cette attaque avait rappelé au monde "les effets effoyables" des armes chimiques et l'importance du rôle de l'OIAC.

    "C'est un vrai geste d'encouragement qui va renforcer le travail de l'organisation en Syrie", s'est réjoui Ake Sellström, qui dirige la mission d'enquête de l'ONU parallèle à celle de l'OIAC, interrogé par la radio publique suédoise SVT.

    "Grande nouvelle pour l'OIAC d'être reconnue de cette manière pour tout ce qu'elle a accompli depuis l'entrée en vigueur de la Convention sur l'interdiction des armes chimiques en 1997", a de son côté lancé sur sa page Facebook un des experts de l'organisation internationale, Julian Tangaere.

    Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a, lui aussi, souligné que l'OIAC "faisait face à un défi sans précédent dans ses efforts en Syrie" pour détruire les armes chimiques du régime de Damas, une action activement soutenue par l'Union européenne.

    Plus largement, "ce prix Nobel de la paix va donner un nouvel élan au désarmement dans le monde", a déclaré le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle en soulignant que "l'OIAC apporte, avec son action en Syrie, une énorme contribution au contrôle et à la destruction des armes chimiques". La chancelière allemande Angela Merkel a fait part quant à elle de son profond "respect" pour le travail de l'organisation.

    Amnesty international s'est félicité de l'attribution du Nobel de la paix à l'OIAC, "un lauréat qui le mérite". Mais, a souligné l'organisation de défense des droits de l'Homme, "les armes conventionnelles continuent à être utilisées pour commettre des massacres".

    L'annonce du Nobel doit "pousser la communauté internationale à mettre fin aux violations massives (des droits de l'Homme) en Syrie et à poursuivre les responsables des crimes de guerre commis par toutes les parties au conflit", a ajouté Amnesty.




     

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  • Ayrault gaffe et révèle l'enlèvement

    de deux journalistes en Syrie

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-10-09T16:56:31+02:00" itemprop="datePublished">09.10.2013 à 16h56   </time>
    lien

    Durée : 00:47  |  Images : Europe 1 via AFP

    Deux journalistes français, Nicolas Hénin et Pierre Torres, ont été enlevés en juin en Syrie, ont annoncé mercredi leurs familles et le gouvernement qui gardaient leur détention confidentielle jusqu'à ce que le premier ministre dévoile prématurément leurs noms.

    Nicolas Hénin, reporter de 37 ans, et Pierre Torres, photographe de 29 ans, ont été enlevés le 22 juin à Raqqa, une ville du nord de la Syrie que se disputent divers groupes armés, mais leur enlèvement n'a pas été revendiqué, ont indiqué dans un communiqué leurs familles et proches.

    Le Monde.fr


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  • Hollande en Corse pour parler sécurité

    et spécificité insulaire

    Par Les Echos | 04/10 | 09:05 | mis à jour à 09:56

    Pour sa première visite en Corse depuis son élection, le président de la République veut rendre hommage au premier territoire libéré le 4 octobre 1943. Il veut aussi assurer la population et les élus corses du soutien de l’Etat, notamment dans la lutte contre la criminalité.

    Venredi, première visite officielle de François Hollande en Corse depuis son élection - Reuters

    Venredi, première visite officielle de François Hollande en Corse depuis son élection - Reuters

    Pour la première fois depuis son élection, François Hollande se rend en Corse vendredi pour une visite officielle. L’objectif est double : exercice de mémoire et exercice politique. Le président de la République entend non seulement réparer un oubli historique - l’île fut le premier territoire métropolitain libéré de l’occupation germano-italienne voici 70 ans jour pour jour (voir encadré) mais aussi assurer les Corses du soutien de l’Etat, alors que la criminalité, endémique, ne faiblit pas.

     

    Peu après son arrivée en Corse, le chef de l’Etat se rendra à la citadelle d’Ajaccio pour visiter la minuscule cellule où s’était suicidé le 19 Mars 1943, au lendemain de son arrestation, un héros de la Résistance, Fred Scamaroni, afin de ne pas parler à ses tortionnaires italiens. Il devrait également se rendre sur le plateau de Ciniccia, haut lieu de la Résistance, à proximité du village de Levie (Corse-du-Sud), avant de rejoindre Bastia pour tenir un discours sur la Libération de l’île, proclamée officiellement le 4 octobre 1943.

    Le volet politique de cette visite débutera dès le matin à la préfecture d’Ajaccio où le président rendra hommage au préfet Claude Erignac, « sauvagement assassiné » le 6 février 1998, tout près de là. Au chapitre de l’insécurité, il arrive toutefois précédé d’un bilan peu reluisant. Le rythme des homicides (17 depuis janvier), n’a guère diminué en dépit des mesures annoncées l’an dernier par les ministres de l’Intérieur Manuel Valls et de la Justice Christine Taubira.

    François Hollande le souligne lui-même dans les colonnes de Corse Matin, estimant malgré tout que le gouvernement, « mobilisé  », a marqué des points avec le triplement attendu en 2013 et par rapport à l’année précédente des saisies d’avoirs criminels. Il rappelle aussi que « les renforts nécessaires ont été affectés » à l’île avec « 58 policiers et gendarmes supplémentaires en un an ». Reste à en convaincre une population lasse d’annonces non suivies d’effet. Au premier tour de l’élection présidentielle, François Hollande est arrivé en troisième position derrière Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen.

    Réserves

    Le président de la République s’entretiendra de cette insécurité dans la matinée avec les élus locaux. Ceux-ci devraient aussi l’interroger sur son intention d’accorder ou non d’accorder une place spécifique à l’île dans la Constitution française, une semaine jour pour jour après le vote à une large majorité par l’Assemblée de Corse d’une délibération qui va en ce sens. Un projet qui vise notamment à élargir les compétences de l’Assemblée de Corse en lui conférant un pouvoir d’adaptation législatif encadré en terme de fiscalité et de maîtrise du foncier.

    Sur ce point, le chef de l’Etat s’est montré pour le moins réservé dans son interview à Corse Matin. « Je demanderai au Gouvernement de recevoir les élus de l’Assemblée de Corse pour poursuivre la réflexion », avance-t-il. Et de prévenir: « Mon obligation, c’est de rester dans le cadre de la République ». Quant à la « co-officialité  » de la langue corse et du français qui deviendraient, toujours selon le voeu de l’Assemblée de Corse, les deux langues officielles de l’île, elle suscite une réponse tout aussi réservée : « S’agissant de la langue corse, on fait déjà beaucoup, » a-t-il observé.

    Le président s’est montré plus ferme encore dans sa réponse à certains élus corses qui veulent limiter l’accès à la propriété aux seuls résidents de l’île . « Faire des règles d’accès à la propriété différentes entre les citoyens serait contraire au principe d’égalité et aurait pour effet de fermer le marché immobilier au détriment de tous », a-t-il tranché.

    Enfin, peut-être le président se penchera-t-il sur le dossier de la compagnie maritime SNCM, qui vient de se voir attribuer la délégation de service public entre la Corse et le continent. Le tribunal administratif de Bastia a en effet examiné hier le recours de la compagnie Corsica Ferries et de la Confédération Générale des PME , qui contestaient la légalité des obligations de service public entre la Corse et les ports de Toulon et Nice. Le rapporteur public a demandé leur annulation, le tribunal doit rendre son jugement dans quinze jours.


    Libération : Hollande veut effacer un oubli historique

    Le 4 octobre 1943, la Corse a été le premier territoire métropolitain libéré par l’action combinée de la Résistance et des Forces françaises libres venues d’Afrique du Nord. Un fait souvent négligé par les livres d’histoire plus volontiers enclins à célébrer les débarquements de Normandie et de Provence, pourtant postérieurs de plusieurs mois. Aujourd’hui encore, cet oubli est douloureusement ressenti en Corse, tout particulièrement par les anciens combattants. Le réparer sera le « sens » de la visite du chef de l’Etat , a-t-il lui-même souligné dans une interview au quotidien Corse Matin paru vendredi


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  • Couacs au gouvernement : les cinq règles

    édictées par Hollande et Ayrault

    Le HuffPost  |  Par Alexandre Boudet Publication:   |  Mis à jour: 02/10/2013 20h04 CEST   lien

     

    COMMUNICATION - L'exécutif a lancé son opération anti-couacs. Échaudés par la récente polémique entre Cécile Duflot et Manuel Valls sur la question Rom, François Hollande et Jean-Marc Ayrault ont tenté de recadré leurs troupes ce mercredi. Cela a commencé dans la matinée au conseil des ministres. "Le recadrage a été clair, net et personne n'a moufté", a confié un participant.

    Mais une fois n'est pas coutume, le chef de l'Etat s'est également adressé directement à son Premier ministre. François Hollande lui a en effet demandé "d'assurer encore davantage la coordination du travail et de l'expression du gouvernement". "L'exemplarité est la condition de l'efficacité", a ajouté le président de la République. C'est dans ce but que les services de Matignon ont, selon Europe 1, adressé une note aux communicants de tous les ministres. Celle-ci est visible en bas de cet article.

    A l'issue de cette journée de mise au point, les ministres sont tenus de respecter cinq règles.


    1- Faire preuve de solidarité

    En ouvrant le conseil des ministres, ce mercredi matin, François Hollande a rappelé les principes qui régissent, en théorie, la vie d'un gouvernement. "Vous devez faire preuve de collégialité, solidarité et responsabilité", a lancé le chef de l'Etat. Un peu plus tard, lors des questions au gouvernement, Jean-Marc Ayrault a répété ses commandements. Interrogé par le député UMP Gérald Darmanin, il a autant répondu au parlementaire que mis en garde ses ministres. "Le président de la République a tenu à apporter une précision de comportement et de méthode. Il a rappelé ce qui doit guider l’action et le comportement de tous les membres du gouvernement, c’est la collégialité, c’est la solidarité et, cela a l’air de vous manquer, la responsabilité", a déclaré le Premier ministre.


    Dans l'hémicycle, Jean-Marc Ayrault relaie la... par LCP

    2- "Arrêter de communiquer dans tous les sens"

    Lors du conseil des ministres, Jean-Marc Ayrault a pris la parole après François Hollande pour s'adresser à tous ses ministres. "Je tiens à dire qu'il faut arrêter de communiquer dans tous les sens", a lancé le chef du gouvernement selon un participant. En clair, il leur demande de ne plus s'exprimer hors de leur périmètre d'action. Chacun est désormais prié de s'en tenir à son domaine de compétence, ce qui devrait éviter que la ministre du Logement parle des Roms ou que le ministre de l'Education donne son avis sur la légalisation du cannabis comme Vincent Peillon l'avait fait il y a maintenant quelques mois.

    3- Demander l'autorisation à Matignon avant une interview

    De manière à coordonner les prises de paroles, voire à les contrôler, Matignon a édicté de nouvelles règles, visibles dans la note ci-dessous. Alors qu'auparavant les ministres devaient informer les services du Premier ministre quand ils passaient à la radio ou à la télévision, ils vont devoir désormais demander l'autorisation. "Ce dispositif a des avantages, mais ne permet pas une coordination d’ensemble. Nous devons l'améliorer", écrit le responsable de la communication de Jean-Marc Ayrault.

    Voici la nouvelle règle: quand un média sollicite un ministre, celui-ci doit informer au préalable Matignon. "Recevant les informations des uns et des autres, nous aurons la possibilité d’évaluer la pertinence du projet de média au regard de l’ensemble des passages médias déjà programmés, et de l’actualité", précise le conseil du Premier ministre. C'est "en fonction de cette appréciation", que le passage sera validé ou non.

    "Vous recevrez ensuite un message de ma part dans un délai aussi rapide que possible afin de vous permettre de pouvoir répondre dans les temps aux invitations. Je veillerai à ce qu’une réponse vous soit donnée en toutes circonstances", assure Jérôme Batout.

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    4- Faire relire les interviews sensibles au Premier ministre

    La note envoyée par Matignon rappelle également une règle édictée durant l'été à propos des interviews dans la presse écrite et les tribunes des ministres. "Il n’y a pas de relecture systématique par Matignon, même si, comme je vous l’avais dit fin juin, il vous appartient
    d’apprécier si une relecture est souhaitable", écrit Jérôme Batout. "Le cabinet du Premier ministre sera toujours à votre disposition pour cela", ajoute-t-il.

    On peut néanmoins relever que le dernier couac émanant d'une interview à la presse écrite avait pour origine Jean-Marc Ayrault lui-même. Dans une interview à Metronews, il expliquait que la pause fiscale ne serait effective qu'en 2015.

    5- Le limogeage au prochain écart

    Pour bien s'assurer que le message a été reçu par tout le monde, François Hollande a adressé une mise en garde à ses ministres. "Le président a ajouté, détachant les syllabes: c'est la dernière fois", a-t-il lancé, selon un participant au conseil des ministres. Néanmoins, cet avertissement n'est pas le premier envoyé par le président de la République. Dès le mois de mars, il répondait "oui" à David Pujadas qui lui demandait sur France2 si au prochain écart, le ministre concerné serait mis "dehors".

    Cela s'était concrétisé par le limogeage de la ministre de l'Ecologie Delphine Batho qui avait qualifié de "mauvais" le budget 2014 alors en préparation. Mais depuis, plusieurs membres du gouvernement sont sortis des clous sans dommage, reposant une fois encore la question de l'autorité de François Hollande.


    Retrouvez la note envoyée par les services de Matignon.


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