• Le Parlement iranien bloque la fusion des ministères du Pétrole et de l'Énergie
     
    Le Parlement iranien bloque la fusion des ministères du Pétrole et de l'Énergie
    Le Majlis, dominé par les conservateurs religieux opposés au président Mahmoud Ahmadinejad (photo), a rejeté un projet de loi de la présidence visant à intégrer le ministère du Pétrole à celui de l'Énergie.
    Par Dépêche (texte)
     

    AFP - Le Parlement iranien a rejeté un projet du président Mahmoud Ahmadinejad de fusionner le ministère stratégique du Pétrole et celui de l'Energie, a indiqué mardi le site officiel de la chambre.

    "La fusion des deux ministères a été annulée et ne figure plus à l'agenda du gouvernement", selon ce site, qui cite Hossein Sobhani-Nia, un responsable au Parlement dominé par les conservateurs religieux qui sont opposés au président Ahmadinejad.

    Selon ce parlementaire, la décision a été prise par un sous-comité formé de représentants du gouvernement et du Parlement qui a abouti à "la conclusion que le ministère du Pétrole doit rester indépendant en raison de son importance".

    M. Ahmadinejad avait décidé d'intégrer le ministère de Pétrole à celui de l'Energie et la fusion d'autres ministères pour réduire la taille du gouvernement. Il s'était engagé à réduire à 17 le nombre de ses ministères contre 21 jusqu'alors, dans le cadre du 5e plan quinquennal 2010/2015.

    Le président iranien et son entourage sont soumis depuis deux mois à de violentes critiques des conservateurs religieux qui leur reprochent notamment de contester l'autorité du Guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei.

    Depuis, les attaques contre le camp présidentiel et les décisions de l'exécutif sont quasi-quotidiennes, en dépit de plusieurs appels au calme lancés par l'ayatollah Khamenei qui a demandé à ses partisans de laisser le gouvernement "faire son travail".

     

    COMMENTAIRE PERSONNEL :

    L'iran était déjà au Moyen - Âge avec Almadinedjad, Qu'en sera t-il si le clan des conservateurs religieux l'emportent, comme c'est probable?.. L'ayatollah Ali Khamenei est une autorité souveraine, fera-t-il encore reculer l'Iran en imposant la Charia? On peut le penser... Ce n'est pas le changement que l'on souhaitait!

     

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  • La Fête de la musique a 30 ans

    Par Emmanuèle Bailly  

     

    La fête de la musique c'est ce soir !

     

        La fête de la musique c'est ce soir !

    Ce soir, malgré les risques d'averses, nombreux seront les amateurs de musique à sortir pour se dégourdir les oreilles.

    Depuis 30 ans, la musique envahit les quatre coins des villes. Professionnels ou amateurs, tous seront présents pour jouer d'un instrument ou chanter. Pour connaître la programmation complète de la fête dans votre région. Cliquez ici

    Pour cette 30e édition de la Fête de la Musique l'Outre-mer est à l'honneur.


    Voici les principaux lieux à Paris et en Île-de-France pour écouter des gwokas guadeloupéens, les biguines martiniquaises, les maloyas réunionnais, les tamure polynésiens  ...


    En banlieue

    Le groupe Centre Atoumo est à la fête sur le parvis de la mairie d’Esbly (77), tandis que Teddy Lafarge Gangama (Réunion) arpente la scène de Courbevoie (92). Les groupes Black Messe à Aulnay-sous-bois (93), le Cap J Yonallot à Saint-Ouen (93), Alonzidon et Moye au Kremlin Bicêtre (94) et enfin Soul Indies à Malakoff (92).

    A Paris

    Dans les jardins du Palais Royal (Paris 1er) avec au programme : Hula Serenaders avec le Halau Hula O Manoa (Tahiti, Polynésie française), Calypsociation (steel drum), Gospel Forever (chorale créole), un groupe de gwoka traditionnel : Amis des Iles, une création pour percussions de Dédé Saint-Prix, Baco (Mayotte), Tyssia (Nouvelle Calédonie), Erik (Guadeloupe), Valérie Louri (Martinique), Davy Sicard (Réunion), Dédé Saint-Prix (Martinique), Malavoi et Ralph Thamar (Martinique).


    L'Hôtel de Matignon (Paris 7e) présente, entre autres, le Patrice Caratini Jazz Ensemble avec Alain Jean- Marie (Chofé Biguine La).


    Le Sénat accueille différents groupes ultramarins sous le kiosque du jardin du Luxembourg (Paris 6e) : Te Hina OMotu Haka (chants et danses des îles Marquises, Polynésie française), Gospel Forever (chorale créole), Négoce et Signature (quadrille, Guadeloupe), Roger Raspail (gwoka, Guadeloupe), et Sully et Les Chamanes (bal créole aux sons du sega et du maloya, Réunion).


    Les clubs de la rue des Lombards (Paris 1er) s’accordent à la thématique avec une programmation de jazz Outre-mer : Tiss Rodriguez au Baiser Salé, Tricia Evy Trio au Sunset et Buigine Reflexions Trio au Sunside. La mairie du 2e reçoit Elsa Martine (Guyane). L’orchestre symphonique de la Garde Républicaine à l’Hôtel National des Invalides (Paris 7e) et le Festival Jeunes Talents à l’Hôtel de Soubise (Archives Nationales, Paris 3e) mettent à l’honneur les œuvres du Chevalier de Saint-Georges. La mairie du 15e accueille sur son parvis le groupe antillais 7ydille pour un hommage à Jenny Alpha et le Conseil Régional d’Ile de France propose sur sa scène de musique du monde, Place des Vins de France (Paris 12e) : E.sy Kennenga (Martinique) et Rony Théophile (Guadeloupe).

    Enfin, Bercy Village (Paris 12e) vibre au son d’Elsy Fleriag Quartet et Dokonon, la musique antillaise fait bouger le mail Saint-Blaise (Paris 20e) et Francésca fait zouker le boulevard de Clichy (Paris 18e). Les hôpitaux Lariboisière (Paris 10e), Saint-Louis (Paris 10e) et Armand Trousseau (Paris 12e) mettent le gwoka, le quadrille et la biguine à l’honneur avec les groupes Mkm, Tchoké Varé, Pi Douban, Stille Ka, Siwo Kanèl et Les Dolmens.


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  • La garde à vue de Georges Tron prolongée de 24 heures
     
    Le parquet d'Evry a décidé de prolonger la garde à vue de l’ex-secrétaire d’État à la Fonction publique. Visé par deux plaintes pour "viol" et "agression sexuelle", Georges Tron pourrait être mis en examen à l'issue de cette enquête préliminaire.
    Par France 2 (vidéo)
    Dépêche (texte)
     

    AFP - La garde à vue de Georges Tron, entamée lundi à 14H00, a été prolongée de 24 heures mardi en début d'après-midi, a indiqué à l'AFP le parquet d'Evry qui mène une enquête préliminaire sur des accusations de viol et d'agression sexuelle contre l'ancien ministre.

    La procureure d'Evry Marie-Suzanne Le Quéau était arrivée vers 13H00 dans les locaux du SRPJ de Versailles, où l'ancien secrétaire d'Etat à la fonction publique est entendu.

    A l'issue de cette garde à vue, Georges Tron sera remis en liberté ou déféré devant la justice en vue d'une éventuelle mise en examen par un juge d'instruction.

    Une des adjointes de M. Tron à la mairie de Draveil ainsi qu'une employée municipale ont également été placées en garde à vue.

    Ces mesures font suite à l'enquête préliminaire déclenchée par deux plaintes d'anciennes employées municipales déposées le 25 mai, accusant Georges Tron et son adjointe.

    Quatre jours plus tard, Georges Tron avait quitté ses fonctions de secrétaire d'Etat à la Fonction publique.

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  • Préfet ERIGNAC :YVAN COLONNA condamné à la réclusion perpétuelle à perpétuité

    Dans une lettre, Yvan Colonna somme Pierre Alessandri de l'innocenter
     
    La cour d'assises spéciale de Paris a déclaré Yvan Colonna coupable de l'assassinat du préfet de Corse Claude Érignac en 1998. Condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, le berger de Cargèse va se pourvoir en cassation, selon son avocat.    ERIGNAC
    Par France 2 (vidéo)
    Dépêche (texte)
     

    AFP - Yvan Colonna, déclaré coupable pour la troisième fois de l'assassinat en 1998 du préfet de Corse Claude Erignac, a été condamné lundi à la réclusion criminelle à perpétuité sans peine de sûreté par la cour d'assises spéciale de Paris.

    A l'énoncé du verdict, qui ne prévoit pas cette peine de sûreté qu'avait réclamé le ministère public, le berger de Cargèse a crié "Je suis innocent" et a quitté le box des accusés après avoir embrassé son fils Jean-Baptiste, 21 ans, et son frère Stéphane.

    L'un de ses avocats, Me Antoine Sollacaro, a immédiatement annoncé l'intention de son client de se pourvoir en cassation.

    Auparavant, le visage tendu, Yvan Colonna, avait écouté le président Hervé Stephan, se tournant se temps à autre vers sa famille, notamment sa nouvelle épouse qui s'est mise à pleurer après qu'il a été déclaré coupable de tous les faits qui lui sont reprochés au terme d'un délibéré d'environ sept heures.

    Le président a lu une motivation détaillée du verdict, déclarant Yvan Colonna, 51 ans, coupable d'avoir participé à l'attaque de la gendarmerie de Pietrosella où l'arme du crime avait été dérobée, en septembre 1997, et à l'assassinat du préfet, le 6 février 1998 à Ajaccio.

    "Yvan Colonna a tenu le rôle du tireur lors de l'assassinat", a jugé la cour.

    Dans la matinée, avant que la cour se retire pour délibérer, Colonna avait une dernière fois clamé son innocence : "J'ai jamais tué personne, j'ai jamais pensé tuer quelqu'un, j'ai jamais imaginé participer au meurtre de quelqu'un".

    Avant sa déclaration d'une dizaine de minutes pendant laquelle il a dit son "stress" et sa "peur", il avait pu échanger quelques mots depuis le box des accusés avec son fils Jean-Baptiste, présent pour la première fois au procès et qu'il a dit ne pas avoir vu depuis "sept mois".

    "J'en suis à huit ans de prison pour un crime que je n'ai pas commis", avait assuré le berger de Cargèse (Corse-du-Sud), arrêté le 4 juillet 2003 au terme d'une cavale de quatre ans dans le maquis corse.

    "Je vous demande tout simplement de me croire, parce que c'est la vérité. Je ne vais pas vous supplier, ça ne se fait pas", avait-il dit aux neuf magistrats professionnels qui composent la cour.

    "Je suis fatigué, très fatigué de me battre depuis des années. J'ai envie de rentrer chez moi, de retrouver un peu de paix".

    Les magistrats ont motivé leur verdict, répondant à une liste de 36 questions, rejetant dix questions subsidiaires qui lui avaient été soumises par la défense.

    Jugé depuis le 2 mai, Yvan Colonna, qui n'a cessé de clamer son innocence, a été condamné deux fois à perpétuité. Le verdict d'appel en 2009, alourdi d'une période de sûreté de 22 ans, a été annulé par la Cour de cassation pour vice de forme.

    En l'absence d'éléments matériels, l'accusation reposait principalement sur les mises en cause d'Yvan Colonna par plusieurs des six membres du commando condamnés en 2003 pour le crime et par leurs épouses.

    Faites durant leurs gardes à vue en mai 1999 et réitérées devant un juge d'instruction, ces accusations n'ont été rétractées que des mois, voire des années plus tard. La cavale d'Yvan Colonna (1999-2003) est aussi considérée comme un élément à charge.

    Ses avocats avaient demandé à la cour de l'acquitter au bénéfice du doute. Ils ont insisté sur les "irrégularités" de l'enquête et dénoncé une instruction menée uniquement "à charge".

    Ils avaient demandé à la cour de ne pas "sacraliser" la parole de ses accusateurs, auxquels la police aurait, selon eux, "soufflé" le nom d'Yvan Colonna, qu'ils soupçonnaient "depuis décembre 1998".

    Auditionnés fin mai, certains membres du commando ont une nouvelle fois affirmé qu'Yvan Colonna n'avait pas participé à leurs actions. Mais comme aux deux premiers procès, leurs silences et non-dits ont pesé.

     

    Dans une lettre, Yvan Colonna somme Pierre Alessandri de l'innocenter
    Dans une lettre, Yvan Colonna somme Pierre Alessandri de l'innocenter
    Jugé pour la troisième fois dans l'assassinat du préfet de Corse Claude Érignac en 1998, Yvan Colonna aurait écrit en décembre à Pierre Alessandri, l'auteur du meurtre, pour lui demander de le "tirer d'affaire".    ERIGNAC
    Par Dépêche (texte)
     

    REUTERS - Yvan Colonna, jugé pour la troisième fois aux assises spéciales de Paris pour l'assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998, avait, dans une lettre envoyée en décembre, menacé Pierre Alessandri et lui avait demandé de le tirer d'affaire, rapportent samedi matin les radios Europe 1 et RTL.
     
    Pierre Alessandri, comme trois autres protagonistes, avait d'abord accusé Colonna à partir de mai 1999, avant de se rétracter en octobre 2000. Finalement condamné à perpétuité en 2003, il a déclaré en 2004 qu'il était le véritable auteur des coups de feu.
     
    Jeudi dernier, il a confirmé à la cour d'assises de Paris le nouveau récit d'Yvan Colonna pour tenter de démontrer son innocence. Selon cette nouvelle version, apparue cette semaine, Colonna avait été contacté pour faire partie du groupe de tueurs mais avait refusé, ce qui avait suscité un sentiment de rancune amenant ensuite les auteurs du crime à le mettre en cause à tort.
     
    Selon les deux radios, le président de la cour d'assises a dévoilé vendredi l'existence d'une lettre manuscrite de quatre feuillets, rédigée en langue corse, qu'a écrite et envoyée Yvan Colonna à Pierre Alessandri en décembre dernier, avant l'ouverture de l'actuel procès.
     

    La lettre, datée du 19 décembre 2010, a été saisie dans la cellule d'Alessandri et, d'après les avocats, il s'agirait bien de l'écriture d'Yvan Colonna, précise Europe 1.

     
    Dans cette lettre, Colonna parle d'amitié trahie, reproche à Alessandri de ne pas avoir dit qu'il était innoncent, de l'avoir sacrifié et "balancé", et lui demande de le tirer d'affaire.

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  • La signature de nombreux contrats confirme la reprise du secteur aéronautique
     
    Signe fort de la reprise du secteur aéronautique : le Salon du Bourget, plus grand rendez-vous mondial de la filière, a débuté sur les chapeaux de roue avec plus de 200 avions vendus dès le premier jour d'ouverture.
     
    Par Jérôme BONNARD / Markus KARLSSON , envoyés spéciaux au Salon du Bourget (vidéo)
    Dépêche (texte)

    AFP - Le 49e salon du Bourget, le plus grand rassemblement aéronautique au monde, a démarré en fanfare lundi avec plus de 200 avions vendus dès le premier jour, signe de reprise d'un secteur où la Chine tente de prendre pied aux côtés des géants Airbus et Boeing.

    L'avionneur Airbus a déjà engrangé en une journée des commandes fermes pour 142 appareils, en grande majorité des A320 Neo.

    La version remotorisée du moyen-courrier phare de l'avionneur européen a séduit les loueurs américain GE Capital Aviation Services (GECAS) et Air Lease Corporation, qui en ont commandé respectivement 60 et 36 unités. La compagnie scandinave SAS a signé de son côté pour 30 exemplaires du même appareil.

    "l'avion solaire est l'invité d'honneur de cette année"
    Par Sylviane BAHR, envoyée spéciale au Salon du Bourget

    Sur le papier, l'ensemble des commandes fermes d'Airbus, tous avions confondus, représente plus de 15 milliards de dollars (10,4 milliards d'euros) sur le papier. Néanmoins, ces contrats sont négociés au cas par cas et les montants réels rarement dévoilés.

    Le grand rival américain Boeing affichait de son côté des commandes pour près de 40 avions, dont 22 fermes parmi lesquels six long-courriers 777-300 ER, achetés par Qatar Airways pour un prix catalogue de 1,7 milliard de dollars (environ 1,19 milliard d'euros).

    "Le trafic redémarre de manière très forte", a commenté Jim Albaugh, le patron de la branche aviation commerciale du constructeur américain.

    Dans le ciel, les ballets aériens ont commencé notamment avec de spectaculaires et assourdissantes acrobaties de l'avion de combat Rafale. Les avions ont pu se frayer un chemin entre deux averses, qui ont un peu assombri l'ambiance.

    Le président Nicolas Sarkozy, venu inaugurer la grand-messe, a pu observer l'A400M, pour son unique vol du salon. Le transporteur militaire A400M est en effet privé de vol de démonstration à cause d'un problème moteur.

    En revanche, Airbus a trouvé une solution in extremis au lendemain de l'incident qui a cloué au sol son A380: le plus gros avion de ligne du monde a finalement pu effectuer une démonstration en vol grâce à un appareil aux couleurs de la compagnie Korean Air.

    Les deux géants du secteur, Airbus et Boeing, ne sont cependant pas seuls en piste au Bourget, où Brésiliens, Canadiens mais aussi Chinois cherchent leur place dans ce secteur quasi duopolistique. Un défi pour les industriels français, comme a tenu à le souligner M. Sarkozy.

    "Si nous ne sommes pas compétitifs, il n'y a plus d'industrie aéronautique", a averti le président de la République.

    "Il y a une seule stratégie possible, relever le défi de la mondialisation en étant plus innovant, plus imaginatif et plus compétitif", a-t-il martelé devant un parterre de dirigeants et de salariés des entreprises françaises de l'aéronautique et de la défense.

    Troisième constructeur aéronautique mondial, le brésilien Embraer a annoncé lundi 39 nouvelles commandes pour sa famille E-jets pour un prix catalogue de 1,7 milliard de dollars (environ 1,19 milliard d'euros).

    Le canadien Bombardier a quant à lui enregistré une commande ferme de 10 avions CS100 pour un montant de 616 millions de dollars de la part d'un transporteur qui a tenu à garder l'anonymat.

    Mais ce sont surtout les Chinois qui ont attiré l'attention lundi. Les visiteurs se pressaient dans la maquette du premier avion de ligne commercial chinois de l'histoire: le C919 du constructeur Comac.

    "Il est mieux que le 787" de Boeing, affirme à des militaires français le démonstrateur qui assure la visite. "Enfin, c'est mon opinion, pas la ligne officielle" de Comac, reprend-il à la vue d'un badge presse.

    Néanmoins, le C919, dont le premier vol est prévu en 2014 et la mise en service en 2016 est surtout là comme preuve de la volonté des Chinois de construire des avions. "Nous ne nous attendons pas à des commandes", confirme un représentant du constructeur.

     
    L'Américain Boeing présente son nouveau 747-8 Intercontinental. Il pourra transporter jusqu’à 467 passagers. La longueur de ses ailes est de 68,5 mètres (Crédit photo : Meziani Allaoua - France 24).

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