• Rugby à XIII

     

    XIII : La France a fait sauter le verrou irlandais

    Le 5/11/2011 à 18h01 par Matthieu Terrats | Mis à jour à 20h12

    Les Irlandais n'ont pas tenu. A l'heure de jeu, le verrou celte a fini par sauter face aux assauts des Français, qui retrouvaient réussite et efficacité sous l'impulsion d'un Olivier Elima (deux essais à son actif). Duport, Bosc et Kane Bentley se chargeant de donner au tableau d'affichage de plus justes proportions.

    Un succès (16-34), qui assure aux Tricolores une victoire finale dans ce tournoi européen.

     

    Et pourtant, à la pause, surprise, c'est bien l'Irlande qui menait face à la France (8-6). Outrageusement dominateurs, les hommes d'Olivier Elima étaient cependant incapables de concrétiser de nombreuses occasions. Les Bleus avaient alors raté leur objectif d'allier la manière au résultat. Les Irlandais étaient, quant à eux, comme on les attendait : souvent maladroits, un brin désorganisés, mais désarmants de courage. Ils n'ont pas été capables de tenir ce rythme quarante minutes de plus ?

    Les Bleus dans l'anonymat

    L'Irlande, pays de rugby à XIII, c'est pas gagné !

    Australie-Irlande (football gaélique), Leinster-Munster (XV), et Angleterre-Australie (XIII, Four Nations), telles sont les affiches qui ont monopolisé l'attention des fans de sport, ce week-end, de l'autre côté de la Manche. Tout sauf l'Irlande-France treiziste qui a débuté ce samedi à 18h à Limerick, pourtant le premier match international du genre disputé au Thomond Park.

    Match qui a attiré une simple poignée de spectateurs dans l'antre du Munster. Allez, on dira qu'ils sont 300, tout au plus, à avoir investi le temple de la Red Army au moment des hymnes. Alors que la Fédération irlandaise avait pourtant bradé le prix du billet (5 euros la place).

    Et pourtant, le match est haletant même si les Bleus sont menés à la pause 8-6.

     

    Les compositions des équipes :

    IRLANDE : Mc Nally - Haley, Cross, Cosgrove, Taylor -(o) Handforth, (m) Finn - McCarthy
    Amor, Corcoran -Boyle, Beswick, Ambler.

    Arbitre: M. Silverwood (ANG)

    FRANCE : Stacul - Pala, Baile, Duport, Vaccari - (m) Bosc, (o) Chisholm - Baitieri - Elima (c), Gossard - Fakir, K. Bentley, Casty.

    Remplaçants. France : Pélissier, Simon, Sadaoui, Cardace.


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  • Homs toujours assiégée et bombardée par les forces d'Assad

    - Publié le 05/11/2011 à 20:05


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    par Khaled Yacoub Oweis

    AMMAN (Reuters) - Des chars syriens ont continué samedi à pilonner la ville assiégée de Homs, ont rapporté des opposants et des habitants, alimentant les doutes sur la volonté de Bachar al Assad de mettre en oeuvre le plan de la Ligue arabe sur la fin de la répression en Syrie.

    Au moins 13 civils ont été tués et des dizaines d'autres blessés samedi dans cette ville d'un million d'habitants située au nord de Damas, où l'armée a entrepris d'écraser la contestation contre le président Assad.

    Ces décès survenus à la veille de l'Aïd al Adha, la principale fête du calendrier musulman, portent à environ 90 le nombre de civils qui auraient été tués à Homs depuis mardi.

    "Des bâtiments entiers ont été pulvérisés par les tirs de blindés. Le pain manque et les gens qui sont touchés en pleine rue succombent à leurs blessures sur place car personne ne peut leur venir en aide", a déclaré Samer, un activiste à Homs.

    Cette situation a conduit la Ligue arabe samedi à exprimer son inquiétude et à inviter le régime syrien à respecter son plan de sortie de crise accepté mercredi par Damas.

    Dans un communiqué, le secrétaire général de la Ligue, Nabil Elaraby, a fait part de ses "graves préoccupations à propos de la poursuite des violences" et a "lancé un appel au gouvernement syrien pour qu'il prenne des mesures immédiates de protection des civils".

    "L'échec de la solution arabe conduirait à des résultats catastrophiques pour la situation en Syrie et dans le reste de la région", a-t-il ajouté en indiquant que l'organisation panarabe voulait éviter toute "intervention étrangère".

    Le plan de la Ligue arabe prévoit le retrait de l'armée des villes, la libération des prisonniers politiques et l'ouverture dans un délai de deux semaines d'un dialogue avec l'opposition.

    Cette dernière rejette tout dialogue tant que se poursuivent les violences et que Bachar al Assad n'a pas quitté le pouvoir, que sa famille occupe depuis 1970.

    Nabil Elaraby a précisé qu'il était en contact avec les membres de la commission ministérielle de la Ligue sur la Syrie, dirigée par le Qatar.

    "SITUATION HUMANITAIRE HORRIBLE"

    A Homs, les bombardements se concentrent sur Bab Amro, un faubourg résidentiel déshérité à plusieurs kilomètres du centre, où se sont réfugiés des opposants et un nombre croissant de déserteurs de l'armée, disent des habitants.

    "La situation humanitaire à Bab Amro est horrible. Les habitants se disent complètement assiégés et affirment que leurs réserves en nourriture et en médicaments s'épuisent", a déclaré Rami Abdelrahman, un dissident en exil en Grande-Bretagne interrogé au téléphone par Reuters.

    Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, trois manifestants ont été blessés par balles dans la ville de Dael, dans le sud du pays. L'organisation, basée à Londres, ajoute que quatre miliciens pro-Assad ont été tués dans des combats avec des déserteurs de l'armée près de la ville de Khan Cheikhoun, au nord de Homs, où se déroulaient les funérailles d'un jeune soldat et d'un policier exécutés sommairement par les gouvernementaux pour avoir refusé de tirer sur la foule.

    Les autorités de Damas affirment qu'elles combattent à Homs des bandes armées accusées du meurtre de civils et de dignitaires de la ville. Les médias officiels ont fait état cette semaine de la mort de plusieurs "terroristes" et de saisies d'arsenaux.

    Plus généralement, le régime impute les troubles en Syrie à des extrémistes islamistes et à des bandes armées soutenues par l'étranger, qui auraient tué 1.100 membres des forces de sécurité. Les Nations unies avancent pour leur part un bilan de plus de 3.000 civils tués dans le cadre de la répression du soulèvement contre le régime, débuté en mars.

    Vendredi, les forces de sécurité ont tué au moins 19 personnes et fait de nombreux blessés à travers le pays, ont rapporté des opposants, ce qu'a démenti la télévision d'Etat.

    Des images diffusées sur YouTube et qui auraient été filmées en diverses villes de Syrie montrent des milliers de manifestants agitant des drapeaux. Certains scandent: "Mère, ne pleure pas, les jours de Bachar sont comptés".

    Une vidéo tournée à Taybet al Imam, près de Hama, montre une foule marchant dans la principale artère de la ville. Les bâtiments sont recouverts d'immenses drapeaux de la Syrie d'avant le régime baassiste accompagnés du drapeau adopté par les insurgés libyens ayant renversé Mouammar Kadhafi.

    "Le peuple veut l'exécution d'Assad", ont scandé des manifestants à Deir Baalba, près de Homs.

    AMNISTIE

    Ces informations sont impossibles à vérifier de source indépendante car le régime a expulsé quasiment tous les médias étrangers.

    Nabil Elaraby dit avoir été informé ces deux derniers jours par le représentant de la Syrie auprès de la Ligue arabe que bandes armées étaient impliquées dans "des actes violents et de sabotage" à Homs, à Hama et en d'autres endroits du pays.

    Le secrétaire général de la Ligue a aussi rencontré une délégation de l'opposition regroupée au sein du Conseil national syrien, dirigé par Bourhan Ghalioun.

    La télévision d'Etat a annoncé vendredi une offre d'amnistie, valable une semaine, pour quiconque déposerait les armes, se rendrait à la police et n'aurait pas "commis de meurtre".

    Cette offre d'amnistie ne semble pas faire partie du plan de la Ligue arabe et, par la voix de sa porte-parole Victoria Nuland, le département d'Etat américain a souligné qu'il "ne conseillerait à personne de se rendre aux autorités actuellement".

    L'agence de presse officielle syrienne a pour sa part annoncé la libération de 553 détenus à l'occasion de l'Aïd al Adha.

    Les Etats-Unis n'ont en outre aucune confiance en Bachar al Assad pour la mise en oeuvre du plan de la Ligue arabe. "Il y a une histoire longue et profondément ancrée de promesses non respectées au sein du régime des Assad", a dit Victoria Nuland.

    Le gouvernement syrien a dénoncé "des propos irresponsables (...) qui visent à attiser les querelles religieuses et à soutenir les meurtres et les actes de terrorisme pratiqués par des bandes armées contre les citoyens syriens".

    Jean-Loup Fiévet, Bertrand Boucey et Guy Kerivel pour le service français


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  • Syrie: le régime libère plus de 550 détenus mais persiste dans la répression

    DAMAS — Le régime syrien a libéré samedi plus de 550 personnes arrêtées lors de la répression du mouvement de contestation, un premier signe de mise en application du plan arabe de sortie de crise malgré la poursuite des opérations sécuritaires ayant fait au moins dix morts.

    L'annonce de ces libérations est intervenue après une mise en garde de la Ligue arabe qui a appelé le régime du président Bachar al-Assad à appliquer "immédiatement" son plan en Syrie, mettant en garde contre une "catastrophe" si les violences se poursuivaient.

    Mais le Conseil national syrien (CNS), qui regroupe la majorité des courants de l'opposition syrienne et continue de réclamer le départ de M. Assad, a rejeté tout dialogue avec le pouvoir par la voix de son chef, Burhan Ghalioun, après une rencontre avec le chef de la Ligue arabe au Caire, Nabil al-Arabi.

    Les pays occidentaux ont exprimé pour leur part des doutes sur l'engagement du régime à appliquer le plan arabe qu'il a accepté le 2 novembre, d'autant que la répression a fait plus de 50 morts depuis.

    Ce plan prévoit un arrêt total des violences, la libération des personnes arrêtées lors de la répression, le retrait de l'armée des villes et la libre circulation des observateurs et médias internationaux, avant l'ouverture d'un dialogue entre le régime et l'opposition.

    Au total "553 personnes arrêtées pendant les événements et qui n'ont pas de sang sur les mains ont été libérées", a annoncé l'agence officielle Sana, en disant que ces libérations étaient survenues à l'occasion de la fête musulmane d'Al-Adha.

    Les associations syriennes de défense des droits de l'homme et l'ONU chiffrent à plusieurs milliers le nombre de personnes arrêtées dans la répression de la révolte lancée le 15 mars. Plus de 3.000 autres ont été tuées, selon l'ONU.

    Les autorités ont en outre promis une amnistie aux détenteurs d'armes qui se rendraient avec leurs armes d'ici au 12 novembre et qui n'auraient "pas commis d'assassinats".

    Mais les Etats-Unis, qui continuent de réclamer un départ de M. Assad, ont dit "ne conseiller à personne de se rendre aux autorités du régime". Ce qui a irrité le pouvoir syrien, qui a dénoncé les "ingérences" de Washington accusé de "soutenir le terrorisme pratiqué par les groupes armés".

    Aux yeux de l'opposition et de l'Occident, le régime Assad a perdu sa crédibilité en cherchant à mater la révolte dans le sang après avoir promis des réformes qui ne se sont pas concrétisées et libéré seulement quelques centaines de détenus en juin malgré l'annonce d'une amnistie générale.

    Parallèlement aux libérations, les forces du régime ont poursuivi leurs opérations de ratissage et dispersé par la force les rassemblements, au lendemain d'un vendredi sanglant au cours duquel 23 personnes ont péri.

    Six civils sont morts samedi par balles à Homs, haut lieu de la révolte, alors que quatre "miliciens" pro-régime ont été tués dans des accrochages avec des déserteurs présumés à Saraqeb (nord-ouest), selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

    Le régime syrien ne reconnaît pas l'ampleur de la contestation et attribue les violences à des "gangs terroristes armés". La révolte a en outre été marquée ces dernières semaines par une multiplication des attaques armées lancées par des déserteurs contre les forces de sécurité, selon des ONG.

    "Un échec de la solution arabe aurait des conséquences catastrophiques sur la situation en Syrie et dans la région", a averti M. Arabi après sa rencontre avec M. Ghalioune.

    Selon le numéro deux de la Ligue arabe, Ahmed Ben Hilli, M. Assad dispose de deux semaines pour ouvrir le dialogue avec l'opposition à compter de la date de son acceptation du plan, c'est-à-dire jusqu'au 16 novembre.

    Mais M. Ghalioun a rejeté toute négociation avec le régime dans une déclaration diffusée par la chaîne de télévision du Qatar Al-Jazira.

    "Nous ne négocierons pas le sang des victimes et des martyrs. Le but du régime est de gagner du temps" en disant accepter ce plan, a-t-il affirmé, en appelant les forces de sécurité "à ne pas obéir aux ordres de réprimer le peuple".

    Selon lui, le CNS "a présenté des demandes officielles à la Ligue arabe et à l'ONU pour la protection des civils, afin qu'elles prennent des décisions contraignantes d'envoyer des observateurs internationaux (en Syrie). Les options sont nombreuses et nous n'en excluons aucune".

    M. Assad avait averti il y a une semaine que toute intervention étrangère contre son pays provoquerait un "tremblement de terre" au Proche-Orient.


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  • Saber-Toothed Squirrel Skulls Found: Lived 100 Million Years Ago

     Saber-Toothed Squirrel Skulls Found: Lived 100 Million Years Ago

    Scrat, the saber-toothed squirrel in the movie Ice Age, is not just the imagined creation of some computer animator. Paleontologists from the University of Louisville and Argentina’s Universidad Maimónides have found two skulls belonging to the first known mammal of the early Late Cretaceous period of South America, 144 to 65 million years ago when dinosaurs were in their heyday. The skulls are about 100 million years old and were found embedded in rock in a remote area of northern Patagonia; it took several years of lab work to remove the skulls. The creature has been named Cronopio dentiacutus and is a dryolestoid, which is an extinct group of mammals who are distantly related to today’s marsupials and placentals:

    Cronopio was shrew-sized, about 4-6 inches in length, and was an insectivore with a diet of the insects, grubs and other bugs of the time. It lived when giant dinosaurs roamed Earth — more than 100 million years ago — and made its home in a vegetated river plain.

    The skulls reveal that Cronopio had extremely long canine teeth, a narrow muzzle and a short, rounded skull. “These first fossil remains of dryolestoids … give us a complete picture of the skull for the group,” John R. Wible, Ph.D., curator of mammals at the Carnegie Museum of Natural History, said. “The new dryolestoid, Cronopio, is without a doubt one of the most unusual mammals that I have seen, extinct or living, with its elongate, compressed snout and oversized canine teeth. What it did with that unusual morphology perhaps may come to light with additional discoveries… .”

    The discovery of the skulls — which are very rare due to their small size and fragility — bridges a previous 60-million-gap in the fossil record that had been “somewhat of a blank slate” and also confirms that mammals were endemic in southern continents at that time.

    It is usually teeth or bone fragments, rather than an entire skull, that are found dating back to the Late Cretaceous period, so the two skulls are a major find. Discovering the skulls enables paleontologists to have a much more complete view of the genealogy of mammals at such a very early stage in their — in our — evolution. Says lead author Guillermo Rougier, Ph.D., professor of anatomical sciences and neurobiology at the University of Louisville:

    “This tells us a little more of the full history of our lineage, a very resilient lineage. Cronopio lived in a completely different world than ours, dominated by dinosaurs and with a different geography; these new fossils give us information on how transient and ever-evolving our world is.”

    Related Care2 Coverage


    Read more: http://www.care2.com/causes/saber-toothed-squirrel-skulls-found-live-100-million-years-ago.html#ixzz1csNmNcvr


    2 commentaires
  • harcèlement moral au travail ; positionnement des médecin du travail , de la CPAM ...

     
    Bonsoir,

    Victime de harcèlement moral - au regard du Code du travail -effectué par un de mes supérieurs, je me retrouve en fait complètement abandonné à mon sort / à la reconnaissance de cette situation et des effets sur ma santé, puisque ni le médecin-conseil, ni l'expert, ni le médecin du travail admettent ce qui s'est réellement passé et les conséquences que cela a entrainé pour moi. Le médecin généraliste ne fait guère le poids contre tous ces professionnels qui nient l'évidence. Seul l'inspecteur du travail a pris position pour me soutenir sans pour autant évoquer dans ses écrits le terme de harcèlement moral.

    Que faire, d'une part pour que la vérité éclate et que les faits soient enfin reconnus et que la responsabilité de mon supérieur soit reconnue?Comment fait-on pour se reconstruire lorsqu'on au sein des organismes sociaux le harcèlement moral reste tabou et que le sujet est d'emblée rejeter?
    Le fait que, à l'intérieur de la CPAM, certains font le choix de nier l'évidence et la souffrance des salariés, s'avère en fait un double traumatisme pour la personne harcelé. Comment ne pas comprendre alors que certains craquent et décident de mettre fin à leurs jours? Comment faire pour que le harceleur ne continue pas sur d'autres salariés en toute impunité?

    Biensûr, je ne me permettrrai pas de généraliser. Il ya heureusement des salariés de la CPAM et des médecins du travail qui agissent en toute honnêteté. Merci à eux, ils se reconnaitront.
    Mais tout de même, on se retrouve trop facilement face au déni qui crève les yeux à tel point qu'elles en sont même ridicules, toutes ces personnes qui osent dire qu'on est au pays des Bisounours et qu'on raconte n'importe quoi.

    Désolé de mettre le pavé dans la marre; mais c'est le cri du coeur : je viens d'apprendre qu'une collègue s'est suicidée, après avoir tentée durant plusieurs mois de faire face au harcèlement commis par la même personne. La direction évoque déjà ses problèmes personnels...

    Concrètement , qu'est-ce qu'on peut faire pour être entendus et reconnus en tant que salariés victimes de harceleur? Que peut-on faire pour qu'au sein de la CPAM le harcèlement moral soit enfin reconnu? A quand une reconnnaissance en tant que maladie professionnelle? Que faire pour que les médecins du travail écoutent les salariés en souffrance et prennent les décisions qui s'imposent - pourtant prévues poar le Code du travail- pour protéger ces salariés en danger ?

    Bonsoir.

    Kémaïs       
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    Dernière modification par Kémaïs ; Aujourd'hui à 20h13.

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